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Re: SARS-COV-2
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Re: SARS-COV-2
par Sophocle Mar 27 Juil - 19:21
À propos de l'espoir d'un vaccin, voici une petite analyse synthétique et historique sur les agents infectieux.
Hygiénisme et assainissement des villes.
- Selon l'Institut Pasteur au Collège de France, ce sont l'assainissement des villes et l'hygiènisme qui ont réduit les victimes des maladies infectieuses à leur part actuelle incompressible [size=85](source,)[/size].
Mais, l'assainissement de masse des villes et l'hygiènisme de masse ont été finalisé au cours de la première moitié du vingtième siècle.
Diapositive de la conférence.
- Conférencier : Arnaud Fontanet, Professeur à l'Institut Pasteur.
En X : les dates au XXè, 1900, 1920, 1940, 1960, 1980.
En Y : la mortalité des maladies infectieuses aux États-Unis, de 0 à 1.000 pour 100.000.
[size=85]( source de la courbe )[/size]
- Jusqu'en 1950, la courbe chute avant la généralisation des vaccins et des anti-biotiques.
Après 1950, la courbe est plate tout au long de la généralisation des vaccins et des anti-biotiques, environ 50 pour 100.000 soit 0,05% de la pop, soit 160.000 américains par an.
1919 : pic de la grippe espagnole, (50 millions de victimes dans le monde)
1980 : légère remontée à cause du sida.
(Hors séance : Pandémies de grippe selon wiki :
- 1957 (1 million de victimes dans le monde),
1968 (1 million de victimes dans le monde),
(2009 non visible sur la courbe, 20.000 victimes dans le monde)
Historique des vaccins
- Vaccin contre la turberculose (BCG) (1921)
Vaccin contre la diphtérie et la coqueluche (1923)
Vaccin contre la fièvre jaune et le tétanos (1927)
Vaccin contre la grippe (1937)
Vaccin contre la poliomyélite (1953)
Vaccin contre la rougeole (1960)
Vaccin contre la rubéole (1962)
Vaccin contre les oreillons (1966)
Vaccin contre la varicelle (1973)
Éradication de la maladie de la Variole (1977)
Vaccin contre l'Hépatite A (1992)
Vaccin contre la gastroenterite du nourrisson (1998)
Vaccin contre le papillomavirus (2006)
Généralisation des vaccins et des antibiotiques.
- Quant aux généralisations des vaccins et des antibiotiques, elles n'ont eu lieu que dans la deuxième moitié du vingtième siècle ; cad : après l'assainissement et l'hygiènisme.
Or, selon l'institut Pasteur au Collège de France, cette généralisation n'a pas diminué les victimes des maladies infectieuses car le nombre de ces victimes était déjà au plus bas [size=85](source)[/size].
Réussites remarquables de la vaccination de masse.
- Cependant, le vaccin n'est pas inutile.
Exemple, le vaccin est un remède éclatant dans les guerres de tranchées.
Sur le front, plusieurs divisions de dix-mille soldats non vaccinés meurent par infection avant d'avoir tiré une balle.
Cependant, quelques centaines de ces soldats vaccinés succombent par la vaccination.
Le rapport est inférieur à un pour cent.
Dans un lieu où l'insalubrité et la promiscuité règnent, la vaccination de masse a donc été l'unique réponse.
Confection naturelle d'une Immunité large.
- Selon l'enquête de Thierry Casasnovas, un vaccin est ultra spécifique :
Une personne vaccinée pour une souche n'est absolument pas protégée par une toute petite mutation de l'agent infectieux.
Cependant, le spectre d'immunité d'une personne exposée à un agent infectieux mais non-vaccinée est beaucoup plus large que celui d'une personne vaccinée [size=85](source)[/size].
Illustration.
- Selon l'Institut Pasteur, la grippe espagnole de 1918 (H1N1) a épargné les personnes ayant été infectées par la grippe russe de 1890 (H2N2) [size=85](source)[/size].
Sur les dizaines de millions de victimes, ce sont donc, à 99%, les jeunes personnes qui ont succombé à la grippe espagnole.
Les causes de cette hécatombe sont l'insalubrité chronique des villes redoublée par l'insalubrité de la guerre.
Pendant les guerres, les épidémies sont courantes.
Leçons
- L'immunité naturelle (avec H1N1) contre une souche qui n'a pas infectée (H2N2) est donc valable pendant au moins 30 ans.
Sans vaccin, l'immunité naturelle aura mis en place toute la séquence d'adaptation commune à toutes les grippe.
L'adaptation à une nouvelle souche serait limité à la mutation.
Mais, une personne vaccinée contre H2N2 n'est pas immunisée contre H1N1, mais selon mes notes du CdF, il aiderait quand-même.
Cela ne convient pas car il est préférable d'entrainer complètement son SI depuis le début par une exposition aux agents infectieux.
D'ailleurs, le système de santé préconise la vaccination contre la grippe chaque année pour les personnes fragiles.
Ce seront les personnes les plus vaccinées quand elles ont été enfant qui auront besoin d'être vaccinées dans le grand âge.
Selon la source de la courbe, ce sont les personnes âgées qui meurent majoritairement de maladies infectieuses.
L'immunité naturelle est à comparer aux multi-injections et aux rappels des vaccins.
De plus, vaccination de masse ou pas, avec l'assainissement et l'hygiène, il n'y a pas plus de personnes qui meurent des maladies infectieuses.
Cela veut tout simplement dire que les vaccinés meurent d'agents infectieux, et que les non-vaccinés n'en meurent pas plus.
Cela veut également dire que la vaccination de masse avorte l'immunité collective des souches mutées.
C'est-à-dire que, faute d'immunité collective, si l'on ne meure pas de la souche ciblée par le vaccin, on meure de la souche mutée.
De toute façon, selon l'Institut Pasteur, il n'y a pas moins de morts par maladies infectieuses depuis la généralisation des vaccins et des anti-biotiques.
Sur l'ensemble de la population, les vaccinations de masse n'ont donc absolument pas d'effet sur le nombre de victimes.
Autrement dit, la salubrité publique apporte un optimum que les vaccins ne dépassent pas.
Crise économique
- Avec un vaccin, le système immunitaire apprend bêtement à se défendre contre un seul pathogène.
Sans vaccin, un système immunitaire apprend à apprendre.
Et, avec des produits anti-micro-organismes, le pire est souvent évité.
Avec un hypothétique vaccin contre le Covid, il y aura donc toujours autant de victimes.
Cependant ces victimes seront suffisament dispersées dans le temps pour qu'il n'y ait pas de confinement ni de crise économique.
Ce vaccin permettra donc, encore une fois, de reporter à plus tard le problème du terrain.
Le vaccin permettrait de réduire le pic, sans réduire le nombre de victimes pour autant.
Mais avec un calendrier vaccinal de plus en plus chargé à chaque nouveau agent infectieux, le système immunitaire est de plus en plus exposé à imploser.
Conclusion.
- En temps de paix et de salubrité, la non-vaccination généralisée est donc une réponse très sérieuse aux nouveaux virus.
Avant la mutation de l'agent infectieux, une immunité de groupe est donc déjà présente.
Les futures victimes des nouveaux virus et des vaccins sont donc les personnes qui réclament ou qui laissent faire le sur-vaccinisme.
Comme le montre la comorbidité des victimes du Covid, ce sont les personnes qui ont un bon terrain qui sont asymptomatiques.
Y compris avec la vaccination, l'absence d"éducation à l'entretien d'un bon terrain par l'État ou par les médecins n'est pas la politique optimale de santé.
Ce que montre le Covid, c'est que le terrain (métaux-lourds, pesticides, cem, glucides & mitochondries - [size=85]source[/size]) est devenu le premier enjeu de santé publique.
Après l'enjeu de la salubrité publique, l'enjeu est celui de la salubrité individuelle du terrain.
Faute de traitement du terrain, la vaccination des personnes fragiles demeure donc un pis-aller le moins déraisonnable.
Or, les personnes fragiles sont sensibles aux vaccins, le risque qu'elles en soient la victime est élevé.
Mais, bien fait, le traitement du terrain ne fait jamais de mal.
Cependant à chaque maladie, les système immunitaire augmente significativement son expérience.
Cela permet de compenser la baisse des lymphocytes avec l'âge.
Avec l'âge, un système immunitaire entrainé par de nombreuses maladies possède déjà un très large spectre de réponse par la mémoire d'acquisition.
L'exposition aux maladies au cours de la vie est un véritable investissement pour la fin de vie.
De plus, selon l'institut Pasteur : vaccin ou pas, les maladies infectieuses ne tuent pas plus.
Ce sont justement les personnes vaccinées au cours de leur vie qui deviendront les plus vulnérables lors du grand âge.
De plus, comme les métaux-lourds dérégulent le système immunitaire, le traitement des causes dégénératives devrait donc être prioritaire sur les vaccins.
Faute de traitement des causes dégénératives et faute de vaccins mais afin de maintenir l'économie, le confinement pourrait s'appliquer qu'aux personnes fragiles.
Le véritable problème de fond est que la bonne santé en temps de paix et de salubrité soit suffisamment responsable de façon à ce que les périodes difficiles soient les moins difficiles.
Ainsi, les périodes aisées sont les plus longues. - Dès qu'on atteint le zéro décès à la naissance avec le minimum de vaccins, les vaccins supplémentaires exposent les personnes âgées.
Une vaccination pléthorique offre certes une continuité d'enseignement à l'école mais elle ne doit être au détriment de la vie des personnes âgées.
Quitte à ce qu'il y ait des épidémies pour les maladies d'enfance mais sans victime, il faut donc un ajustement raisonné entre les vaccins pour qu'il y ait zéro victimes à la naissance et le moins de victimes au grand âge.
De plus, il est également nécessaire d'éliminer les accidents de vaccination.
En suivant la méthode de Descartes, un stagiaire en médecine devrait y parvenir.
Remèdes anti-micro-organismes.
- Exemple, la charge négative du fluor lutte contre les micro-organismes de la bouche.
À l'intérieur du corps, ce sont également des molécules à la charge négative qui luttent contre les micro-organismes, huiles essentielles, ail, soufre, ...
La charge négative créée une fracture dans la membrane du micro-organisme.
La membrane s'ouvre comme une fermeture éclair, et le micro-organisme meurt.
Les cellules humaines sont plus grosses, elles résistent à ces charges, mais certaines sont égratignées.
Il faut donc appliquer une posologie continue mais de basse intensité.
Il faut également laisser le temps au recyclement des débris.
Tout autant que les médicaments, les remèdes naturels baissent fortement la charge en micro-organismes.
La différence entre un médicament et une molécule naturelle, c'est que le médicament est ciblé et sélectif.
Avec les produits anti-micro-organismes, le système immunitaire a donc le temps de s'entrainer à s'immuniser tout en évitant le pire.
Avec un large spectre, cela protègera éventuellement de la prochaine épidémie.
P.I.B. Produit Intérieur Brut.
- Voici un message aux futurs candidats à la présidence :
Quelque-soit le PIB que soutire les médecins d'un peuple gangréné ;
un pays, dont le peuple est en bonne santé, produit un PIB bien plus élevé que celui d''un peuple en mauvaise santé.
Voilà de quoi préférer la bonne santé à la parole des médecins.
Ce à quoi j'ajoute qu'aucun grand auteur de littérature n'a jamais donné de crédibilité à un quelconque médecin.
Quant aux auteurs non médecins qui défient les médecins non auteurs, la liste est aussi longue que les grands auteurs, Hugo, Molière, Shakespeare, Montaigne, Deleuze, Nerval, Michaux, Rimbaux, Artaud.
Quant aux médecins auteurs, il y existe Céline, et Rabelais, mais ils sont critiques.
Traitement des causes des comorbidités
- Maladies chroniques, dégénérescence, comorbidité, c'est +/- la même chose.
Ça se traite pareil.
Dans cette conférences du Collège de France (Modèle de maladies psychiatriques), on trouve les causes des maladies chroniques : métaux-lourds, pesticides, stress oxydatif, mitochondrie.
Voici un post avec mes notes de cette conférence : Pathologies neuro, Alain Prochiantz, Cdf 18-19.
Les remèdes sont toujours les mêmes : chélations, exposition au froid, régime sans sucre, 2 repas par jour, légumes verts et un peu de viande, pancha-karma, jeûne, anti-mo, ...
Virus de la vaccination - édit
- Et selon cette conférence-ci du Collège-de -France, les égyptiens ont été contaminé en masse par le virus de l'hépatite C lors de ... campagnes de vaccination de masse.
Hépatite C en Egypte : l'élimination, à quel prix ?
Le monde merveilleux des vaccins que vendent les médecins fait donc baisser la garde après des médecins eux-mêmes.
Sophocle- Messages : 444
Date d'inscription : 25/07/2021 -
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