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L'accès à la conscience - CdF
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L'accès à la conscience - CdF
L'accès à la conscience tel que le décrit le psycho-neurologue Stanislas Dehaene, conférencier au Collège de France, est particulièrement intéressant pour approcher les symptômes cognitifs dus aux perturbations des ions. J'ai déjà posté un petit résumé global de l'ensemble de ses cours dans la revue générale de santé : Revue générale, la cognition /4. Dans ce post, je vais donc détailler le point sur l'accès à la conscience.
La conscience est un emballement de processus cognitifs qui traitent un seul sujet. Par exemple, quand le mot OIGNON est lu, la zone cognitive de la phonologie des mots va s'activer car ce mot ne se prononce pas comme il s'écrit. Si cette zone n'était pas activée, le phonème du mot ne serait pas redressé et la sémantique du mot ne serait pas parfaitement consciente. Ça ferait 'ouaguenonne'. N'est-il pas difficile d'attribuer le son 'ouaguenonne' à la sémantique OIGNON ? Pourtant, n'est-ce pas comme cela qu'il se lit littéralement ? La réciproque est vraie, la phonologie du mot OIGNON est tellement loin de la façon de prononcer littéralement sa graphie qu'il est difficile d'attribuer la sémantique du mot OIGNON à la graphie 'ognion'.
Le schéma ci-dessus montre donc tous les points particuliers où les ions indésirables peuvent interférer au niveau de la conscience. Avec une intoxication chronique, il peut y avoir des effets progressifs combinés à des effets de débordement. Il faut se rappeler que les ions physiologiques ont un enchainement et un séquençage bien spécifique. Les uns sont canalisés de l'extérieur vers l'intérieur pour faire détonner le signal électrique, puis les autres prennent le relai dans le même sens pour faire durer le potentiel et enfin les troisièmes sont canalisés dans l'autre sens pour rétablir le repos. Ensuite, des pompes entrent en action pour rétablir les gradients de concentration adéquates des ions dans les compartiments de façon à pouvoir renouveler le transfert d'un signal électrique. Les ions ont un fonctionnement magnétique et non mécanique, c'est-à-dire qu'une légère anomalie ne bloque pas la machine, mais elle la perturbe. Les perturbations peuvent donc s'exprimer à un moment tardif dans la séquence, non nécessairement au début de la séquence mais éventuellement au milieu de la séquence. Cela dépend de l'affinité du Ml avec les ions physiologiques. Il faut bien voir que chaque segment du schéma ci-dessus est une propagation du signal électrique schématisé ci-dessous avec des fréquences d'ondes bien spécifiques. Ces fréquences permettent la synchronisation des processus cognitifs à distance. Par exemple, les zones des math et du langage dialoguent entre elles d'un lobe du cerveau à l'autre par des fréquences basses. C'est-à-dire que les perturbations par débordement peuvent éventuellement avoir un effet sur la fréquence des ondes, et donc sur le dialogue sémantique interne au cerveau. Rappel du post Rôle des ions dans la cellule excitable :
On peut également prendre en compte l'aspect multi-factoriel avec des facteurs déclenchants et des facteurs de fond réactifs à un facteur déclenchants. Par exemple, une intoxication peut être silencieuse hors d'un champ magnétique mais elle peut s'exprimer auprès d'un champ electro-magnétique. Il peut y avoir aussi des déclenchements par l'alimentation : gluten,... Il faut donc un concours de circonstances intérieures et/ou extérieures pour activer la pathologie. Ces facteurs déclenchants expliquent la raison pour laquelle ces pathologies sont épisodiques, impromptues et non permanentes.
Édit 1 : voir passages en gras.
Édit 2 : voir passage en rouge
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- Les sources :
- La page du cours Signatures de l'accès à la conscience 2/2 - 9 fév 2010 avec vidéo, audio, et support.
- La page de présentation de la chair de S. Dehaene Psychologie cognitive expérimentale
- le support du cours en Pdf d'ou est extrait le schéma suivant (Page 26) :[size=85][attachment=1]Cours2010_5.pdf[/attachment][/size]
- le résumé de l'ensemble de son cours de 2010 par Dehaene :[size=85] [attachment=2]Dehaene2010.pdf[/attachment][/size]
- Schéma de l'accès à la conscience :
- le stimulus subliminal (en rouge) : c'est un stimulus qui active une zone cognitive mais sa faiblesse fait qu'il disparait avant d'être présenté à la conscience.
- le stimulus pré-conscient (en orange) : c'est un stimulus dont la force est suffisante pour accéder à la conscience mais il est bloqué car la conscience est occupée à traiter d'autres stimulus.
- Le stimulus conscient (en vert) : c'est un stimulus dont la force est suffisante et qui envahit tous les autres processus cognitif du cerveau.
(En gris : processus cognitif non sollicité)
Tous les stimulus ne parviennent pas nécessairement à la conscience.
Il y a trois cas :
La conscience est un emballement de processus cognitifs qui traitent un seul sujet. Par exemple, quand le mot OIGNON est lu, la zone cognitive de la phonologie des mots va s'activer car ce mot ne se prononce pas comme il s'écrit. Si cette zone n'était pas activée, le phonème du mot ne serait pas redressé et la sémantique du mot ne serait pas parfaitement consciente. Ça ferait 'ouaguenonne'. N'est-il pas difficile d'attribuer le son 'ouaguenonne' à la sémantique OIGNON ? Pourtant, n'est-ce pas comme cela qu'il se lit littéralement ? La réciproque est vraie, la phonologie du mot OIGNON est tellement loin de la façon de prononcer littéralement sa graphie qu'il est difficile d'attribuer la sémantique du mot OIGNON à la graphie 'ognion'.
Le schéma ci-dessus montre donc tous les points particuliers où les ions indésirables peuvent interférer au niveau de la conscience. Avec une intoxication chronique, il peut y avoir des effets progressifs combinés à des effets de débordement. Il faut se rappeler que les ions physiologiques ont un enchainement et un séquençage bien spécifique. Les uns sont canalisés de l'extérieur vers l'intérieur pour faire détonner le signal électrique, puis les autres prennent le relai dans le même sens pour faire durer le potentiel et enfin les troisièmes sont canalisés dans l'autre sens pour rétablir le repos. Ensuite, des pompes entrent en action pour rétablir les gradients de concentration adéquates des ions dans les compartiments de façon à pouvoir renouveler le transfert d'un signal électrique. Les ions ont un fonctionnement magnétique et non mécanique, c'est-à-dire qu'une légère anomalie ne bloque pas la machine, mais elle la perturbe. Les perturbations peuvent donc s'exprimer à un moment tardif dans la séquence, non nécessairement au début de la séquence mais éventuellement au milieu de la séquence. Cela dépend de l'affinité du Ml avec les ions physiologiques. Il faut bien voir que chaque segment du schéma ci-dessus est une propagation du signal électrique schématisé ci-dessous avec des fréquences d'ondes bien spécifiques. Ces fréquences permettent la synchronisation des processus cognitifs à distance. Par exemple, les zones des math et du langage dialoguent entre elles d'un lobe du cerveau à l'autre par des fréquences basses. C'est-à-dire que les perturbations par débordement peuvent éventuellement avoir un effet sur la fréquence des ondes, et donc sur le dialogue sémantique interne au cerveau. Rappel du post Rôle des ions dans la cellule excitable :
- Hypothèses d'anomalies :
- À partir des points singuliers de la conscience, on peut imaginer que des phénomènes de boucles apparaissent quand les troisièmes ions ne rentrent pas en action pour rétablir le potentiel de repos. Dans ce cas, des idées fixes se répéteraient dans la conscience. Un seul potentiel d'action durerait et pourrait se multiplier en un train de potentiel d'action.
- On peut également imaginer que le stimulus pré-conscient entre par effraction dans la conscience, ainsi la pensée en cours n'est pas achevée. Et si 36 stimulus pré-conscients se présentaient en moins d'une seconde, il y aurait 36 pensées qui se télescoperaient dans l'ensemble des processus cognitifs. La pensée seraient ainsi une cacophonie hachée et fragmentée.
- On peut aussi imaginer que certains sous-processus cognitifs de la conscience ne s'activent pas, comme par exemple la phonologie des mots lus. Dans ce cas la cognition est incomplète. Le système peut certes corriger les erreurs, mais jusqu'à un certain point. Et encore faut-il qu'il ne soit pas intoxiqué.
- Ou au contraire, on peut aussi imaginer que des processus cognitif inopportuns s'activent. Par exemple, le doute de ce que dit l'interlocuteur, la timidité...
- On peut aussi imaginer que des stimulus subliminaux s'emballent et accèdent à la conscience, ou que des stimulus pré-conscients tombent dans le subconscient.
- On peut imaginer des désynchronisations légères, palpitantes, et tout juste à la frontière du décrochement de conscience entre processus cognitifs lointains au cours d'une pensée intense par une perturbations des Ml sur la fréquence de l'onde. La réponse du cerveau sera donc une augmentation de la vigilance et de la planification sans pour autant que ces rehausses d'activités soit effectives dans les faits. De ces défaillances répétitives en dépit d'un surcroit de supervision, il nait un agacement sur la longue. À terme, on cesse d'être vigilant et planificateur pour se libérer de l'agacement. Dans ce cas, la négligence des pensées complexes s'installe durablement.
- Il peut y avoir un peu de tout à la fois. Les symptômes vont donc apparaitre dans la conversation. Le lecteur peut se rendre compte de cela en substituant la conversation par une jonglerie. Quand on discute, on jongle avec des mots, des concepts, des idées, des effets, comme on jongle avec des quilles, des bouteilles, des assiettes, des bols, ... Il y a donc des objets en séries qui sont manipulés rapidement (ex :de multiples mots dans la série 'MOTS' comme on jongle avec des quilles), mais ils y aussi des séries de séries (MOTS, IDÉES, EFFETS,... comme des séries quilles, assiettes, bols, ...). Quelqu'un qui n'est pas intoxiqué va donc jongler aisément avec toutes ces séries de séries. Sa parole est donc fluide, conviviale, non répétitive, variée, tonale, imaginative, intuitive, réactive, rigoureuse mais aussi avec le juste ce qu'il faut d'imperfections relatives à une conversation à bâtons rompus. Toutes ces qualités apparaissent ainsi car la jonglerie en conscience se fait à un rythme soutenu et durable. Mais chez un intoxiqué, la jonglerie va avoir beaucoup de déchets et de parasitages qui vont apparaitre plus ou moins tardivement. La construction d'idées en temps réel va ralentir, ou même s'effondrer d'un coup comme pour un apprenti jongleur. Le changement d'objets inattendus ou le changement de rythme va le faire trébucher. Toute irrégularité devient une surprise déstabilisante. À force, on reste dans des rails de plus en plus étriqués de façon à ne pas trébucher. C'est-à-dire que le volant de mots, de concepts se réduit. De plus, il faut tout reprendre à zéro sans garantie de réussite quand une pensée s'effondre. Une conversation est donc nécessairement compromise car la désynchronisation des processus cognitifs évoqués ci-dessus va se répercuter sur la désynchronisation au niveau de la conversation. À ces désordres, s'ajoutent la réaction des interlocuteurs. Peu à peu, ces interlocuteurs se raréfient nécessairement. Cependant, la conscience est quand même là, elle est silencieuse, elle perdure sur ses acquis. Mais elle peut progresser à son rythme, à l'écrit par exemple. Mais il suffit que les métaux lourds reculent pour qu'elle réinvestisse tous les processus cognitifs précédemment intoxiqués.
- Comme la gestion de vie dans le long terme est une conversation avec soi-même, il va donc y avoir des symptômes sur ce champ-ci le temps de l'intoxication.
- ...
On peut également prendre en compte l'aspect multi-factoriel avec des facteurs déclenchants et des facteurs de fond réactifs à un facteur déclenchants. Par exemple, une intoxication peut être silencieuse hors d'un champ magnétique mais elle peut s'exprimer auprès d'un champ electro-magnétique. Il peut y avoir aussi des déclenchements par l'alimentation : gluten,... Il faut donc un concours de circonstances intérieures et/ou extérieures pour activer la pathologie. Ces facteurs déclenchants expliquent la raison pour laquelle ces pathologies sont épisodiques, impromptues et non permanentes.
Édit 1 : voir passages en gras.
Édit 2 : voir passage en rouge
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