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Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas)

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Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Empty Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas)

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:37

Je fais un petit bilan des quatre dernières déshydratations depuis la mi-décembre.

  • Au cours d'un round, j'ai eu une déminéralisation qui m'a donné un gros coup de fatigue. C'était comme un coup de barre dans le tronc, entre les côtes. J'avais les membres las, très las. Ça a été résolu avec des ampoules d'eau de Quinton. Mon aromatopathe a indiqué que la marque Quinton a été rachetée et que leur produit ne répond plus au protocole de Quinton (à vérifier). mais il y a d'autres marques. Les jus de légumes devraient également pallier à ce problème.
  • Au cours d'un autre round, j'ai fait une crise d'électro-sensibilité. D'habitude, il suffit que je rejoigne mes lieux de vie pour que ça se résorbe en deux jours. Mais là, ça a perduré. C'était comme si c'était auto-entretenu. J'ai pris cinq grammes d'aspégic en deux jours, et ça a résolu le problème. C'est la première fois que ça résout le problème en dix ans. D'habitude, je ne peux rien faire contre les maux de tête.
  • Au cours d'un autre round, j'ai eu un gros coup de blues. Il a suffit de rompre pour retrouver la forme.
  • Il y a toujours des symptômes récurrents comme des sueurs sèches. Mais ça part avec les bains de sel, et je retrouve une peau agréable et onctueuse.
  • J'ai des symptômes récurrents qui n'apparaissent presque plus. Exemple : les picotements sur la peau.


Mais, au final, tout cela, ce ne sont que des symptômes qui flamboient et qui se régularisent quelques jours après la rehydratation.
De déshydratations en déshydratations, l'état du cerveau s'améliore.
C'est là le principal.
De plus, le système digestif tient bien le coup, ça s'est encore bien amélioré comme au début de l'année 2017.
Il n'y a eu aucun problème depuis que j'ai repris les déshydratation. Au contraire, ça marche impec'.
J'ai repris un peu le pain ordinaire. Du coup j'ai repris du poids, 2 kg. 62 kg au lieu de 60.
La semaine dernière, j'ai eu trois jours de suite sans presque aucun maux de tête, c'est la première fois depuis dix ans.
Mais, il y a comme un relargage à retardement après une déshydratation.
Le cerveau fait éponge, C'est comme si il se déchargeait pendant une déshydratation, puis le stock de Ml inerte dans les os se vide dans le cerveau.
Et les maux de tête réapparaissent.


À chaque déshydratation, les céphalées passent par les montagnes russes. Ça descend, monte, descend, monte, descend.
Cela est une silhouette qui se répète de déshydratations en déshydratations.
Au cours de la déshydration, ça baisse, puis ça monte ; à la réhydratation, ça rebaisse et enfin ça remonte.
Je pense qu'il a des effets combinés entre la concentration des ML et la tonicité des cellules.
La variation d'eau va chambouler pas mal de paramètres.
La baisse d'eau augmente la concentration des ML mais soulage l'hyper-tonicité des cellules.
La rehydratation baisse la concentration des ML mais réactive la tonicité des cellules.
Puis il y a un éventuellement un relargage à retardement par les os.

Si les Ml provoquent une hypertonie, c'est peut-être une connerie que de boire trop d'eau tout le temps.
C'est comme manger trop de gluten, ça peut créer de symptômes.
Il suffit de baisser la dose pour résorber les symptômes.
D'ailleurs, c'est en buvant trop d'eau que l'on s'intoxique car le flux d'eau et d'ions est sans cesse montant.
Les reins écopent certes le surplus d'eau, mais ils n'abaissent la tonicité de la cellule en deçà de la pression de seuil pour essorer le contenu de la cellule.
La cellule est en crue permanente car les Ml retiennent anormalement un grand volume d''eau dans la cellule.
Ce serait un symptôme spécifique au cerveau car les cellules sont enfermées dans une boite.
La rehausse de la pression va vite comprimer les cellules les unes contre les autres, contrairement à un organe du tronc qui peut aisément s'étaler.
C'est peut-être de là qui viennent mes sur-sensibilités quand je secoue la tête.
D'ailleurs, elles disparaissent au moment de la déshydratation.


Je vais donc tenter de rester en isotonie (ni hypo-, ni hyper-)en buvant le minimum d'eau pour organiser un étiage.
Cela est peut-être mieux que ces grandes déshydratations puis rehydratations qui passent par des flambées de symptômes.
Par contre, là, c'est avec de l'eau minérale, de l'eau de Quinton et éventuellement des jus de légumes pour reminéraliser sans cesse.

    Autre sujet : métaux en bouche et electrogalvanisme
    Je vais également faire des bains de bouche au sel. Ça devrait réduire l'electrogalvanisme et déstocker directement les ML de la mâchoire au lieu de les renvoyer vers le cerveau, et qu'il faudra ensuite faire transiter par la colonne puis les tissus ordinaires et enfin les intestins. peut-être que mon stock caché de métaux lourds se trouve là en dépit que j'ai déjà enlevé tous mes pombages.






EDIT JUILLET 2021,  - Rappel
Ces désagréments parviennent de la part sèche du jeûne sec.
Suite à des difficultés à traiter les relocatlisations des toxines par les jeûnes secs, je décommande donc le jeûne sec.
Cependant, je ne change pas d'avis sur les performances du jeûne humide, notamment pour traiter les cancers agressifs.
Il est à noter que, en dépit qu'elle soit abondante sur le jeûne humide, je n'ai jamais trouvé de littérature sur le jeûne sec.

Sophocle

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Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Empty Suspensions déshydratations

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:42



Je vais suspendre mon programme de déshydratations pour deux raisons.
  1. Parce qu'il me semble que j'ai de légères améliorations continues au cerveau depuis que je fais les bains de bouche au sel.
  2. Parce que j'ai accumulé trop de toxines dans les tissus ordinaires qui parviennent de la dernière et récente série de déshydratations.


  1. Symptômes au cerveau et bains de bouche au sel.
    À propos de ces améliorations, je souhaite avoir le coeur net si elles parviennes de ces bains de bouche.
    Tant que les symptômes cérébraux semblent diminuer tout seuls, il n'y a pas de raison d'activer la détox par la déshydratation.
    De plus, les éventuelles déshydratations ultérieures seront moins chargées en toxines.

  2. Symptômes tissus ordinaires et déshydratations
    J'ai trop de problèmes au dos qui se sont accumulés à chaque déshydratation.
    J'ai aussi une petite fatigue générale, je crains d'avoir abusé de trop de déshydratations.
    Ça fait du bien d'arrêter ces déshydratations.
    Je vais ainsi en profiter pour voir si la tendance à la très lente désintoxication à la suite aux bains de bouche se confirme.

    Questions maux de dos, j'ai le fameux mal de dos, général et non localisable, qui s'est renforcé.
    Mais j'ai aussi deux muscles, un à l'épaule, l'autre au niveau des hanches, qui sont sans cesse contractés (ou tétanisés).
    Ce n'est vraiment pas aussi virulent qu'une crampe, c'est plutôt léger et bien en deçà de l'insupportable.
    Mais ça demeure pénible et agaçant.
    Il faut que je me tienne bien droit avec les pectoraux bombés pour soulager la sensibilité/douleur.
    Depuis que j'ai repris les déshydratations en oct/nov, j'ai dû en faire une demi-douzaine sans autre forme de traitement.
    Je pense que les toxines du snc migrent par la colonne vertébrale et s'accumulent dans le liquide interstitiel du dos.

    Il faut donc que je nettoye l'extra tout en m'assurant que les toxines de l'intra ne s'épanchent pas.
    Le corps humain, c'est une espèce déchèterie à écluses.
    • 1ère écluse, déshydratation et pas de sport, l'intra se vide.
    • 2ème écluse, sport et hydratation, l'extra se vide et l'intra ne se vide pas.

Pour rincer l'extra, il faut transpirer tout en s'hydratant, sport, hammam.
J'ai essayé le sauna en m'hydratant entre 2 séances en cabine.
Je sens une petite différence au moment du repos entre deux séances.
Quand je fais un sauna sec, il y a un très léger bruissement intramusculaire.
Cela n'apparait pas quand je m'hydrate à la sortie de la cabine.
Mais en cabine, la transpiration est très liquide, c'est comme de l'eau.
De plus, ça n'aide pas beaucoup aux problèmes de dos.

L'été dernier, j'avais eu une réduction des maux de dos suites aux marches rapides quotidiennes.
J'ai donc repris les marches hydratées.
Je fais une heure en marche rapide.
Là, j'ai une bonne suée, bien grasse, et ça commence à ressembler un peu à de l'huile de vidange.
Ça pègue à la peau.
De plus, je dors bien mieux que si je fais un sauna.
Ça a l'air bien plus efficace.
Il faut vraiment que la marche soit rapide pour que la transpiration grasse sorte.
C'est justement au niveau du dos que la transpiration grasse est la plus abondante.

J'ai également essayé un jeûne hydrique de trois jours, ainsi les lipides incriminés seront éventuellement brûlés.
Je me suis senti pas très bien. C'est donc la bonne voie car les précédents jeûnes de cet été se sont bien déroulés.
Je vais me lancer dans un jeûne long pour brûler toutes ces graisses.
Si les symptômes s'effaçaient après le jeûne, cela voudrait dire que les toxines qui sortent de l'intra au moment de la déshydratation se re-localisent dans les tissus adipeux sous-cutanés.
La technique complète de détox serait donc une alternances de déshydratation et de jeûnes hydriques. À voir.
Une petite partie des ML devrait remonter au cerveau, mais ça vaut le coup si ça brûle une majorité des graisses avec leurs toxines.
Je prendrai du MSM ou de l'Edta ( à défaut de Dmsa et Ala, mes stocks sont vides) pour capter un max de métaux et éliminer par les reins.



Édit 1 (je le posterai comme prochain message) : Premiers retours. Ravisement de la situation.
Les améliorations se sont stabilisées.
Il est trop tôt pour aviser si ces bains de bouche au sel ont provoqué un renversement définitif de l'intox vers la détox.
Il est possible que ces bains de bouche aient sensiblement diminué l'électro-sensibilité par la décontamination de la mâchoire.
Il a donc peut-être une baisse de l'inflammation dans une région voisine du cerveau qui a provoqué une diminution des céphalées vers un nouvel équilibre.
Cependant, quand j'arrête les déshydratations, d'habitude, j'ai un retour à la hausse des céphalées - voir message du 29 août : "Mes céphalées ont malicieusement repris depuis que j'ai dû arrêter mes expériences de déshydratations."
Je dois donc surveiller la tendance sur une longue période sans déshydratations.
J'ai toujours été convaincu que j'avais une source de ML cachée dans la mâchoire (ou dans les os) qui se comportait comme une résurgence chronique.
Suite à ces bains, mon hypothèse est qu'il me semble que tous les métaux lourds qui étaient à la source de la contamination diffuse et continue aient été éliminés.
Si cela était vraiment le cas, je ne devrai donc pas avoir une ré-hausse des céphalées.
Et avec de la chance, peut-être que l'élimination ordinaire devrait être suffisante pour diminuer en douceur les métaux lourds qui étaient cantonnés dans le cerveau du fait de la saturation de la détox ordinaire par la résurgence.


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Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Empty Re: Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas)

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:42

gogote a écrit:Salut Sophocle,

un grand merci pour ces derniers post remplis de concepts détaillés et d'excellentes analyses, que je lis avec grande attention.
Surtout que les symptômes que tu évoques me parlent énormément ! Coïncidence ou non, voici que mes maux de dos ont explosé en lien à une intoxication grandissante de mon système nerveux/cerveau dernièrement. Comme toi, je sais avoir une source au niveau mandibulaire faible, dans laquelle semble s'accumuler les cochonneries.
Par rapport au dos, pour ma part, je suis certain que c'est une accumulation de toxines passant par le musculaire/tissus qui se retrouvent dans la moelle, perturbe le champs électrique, et en viennent à nous tendre les articulations/muscles. Et hop, ressenti de compression/décharges/blocages du rachis et des nerfs notamment.

A mon niveau, j'ai un potentiel souci génétique en cours de diagnostics, mais l'interet de cette forme de détox que tu évoques m'intéresse du coup particulièrement. Je vais à mon tour tenter les bains de bouche salés que tu évoques. Je marche aussi plus régulièrement dans la nature ces temps-ci, en lien à un changement d'environnement.

Mon EHS est stabilisé vu l'environnement, mais le moindre abus alimentaire, de certaines sources de glucides/graisses relancent une forme d'intox totale, avec de très fortes résonances électriques dans la tête, puis dans le corps. Lors de la detox de ceux-ci, j'imagine, les organes épurateurs s'enflamment, les muscles se raidissent, la fatigue explose, la conscience est mauvaise.

( je respote plus tard )

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Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Empty Re: Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas)

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:42

Salut Gogote,
Merci pour tes commentaires. :jap: En attendant la suite, je vais profiter des thèmes que tu abordes pour faire un point dessus dans mon cas. Je me focalise trop sur la détox et je délaisse les accotés. Voici une occasion pour placer des réflexions qui surnagent depuis longtemps dans ma tête.

Dos
    Je me suis toujours demandé si ces maux de dos étaient liés aux Ml, car, si c'était le cas, les maux de dos devraient définitivement disparaitre avec la suppression des ML. Ces maux de dos existent depuis bien avant mon état actuel. Ils sont donc peut-être un indicateur d'une intoxication chronique qui existe depuis que j'ai posé mes amalgames, il y a vingt-cinq ans. Il faut aussi tenir compte de la dynamique de mouvement des ML. Le dos et la colonne est un lieu à la croisée des chemins des Ml. Ils se chargent et se déchargent selon l'amont et l'aval de l'intox ou de la détox. Dans mon cas présent, ils se chargent lors d'une déshydratation. Les ML parviennent du Snc et s'épandent dans le dos. Puis ils se déchargent avec les marches rapides, et/ou les saunas humides, et/ou diète hypocaloriques. Le dos n'est donc pas révélateur d'une intoxication générale, mais plutôt du flux de ML.

Génétique
    Au niveau du génétique, j'ai toujours préféré faire l'autruche. S'il y avait une pathologie sur ce sujet-ci, c'est tellement gravé dans le marbre que je préfère ne pas savoir. Je me contente de faire des acéthylations ou des méthylations pour réguler l'expressions des gènes. Avant tous ces problèmes d'intox, je ne me voyais pas de défauts présents depuis toujours. Je me dis que je devrais donc avoir une base génétique suffisante qui, en dépit de ses défauts, me conviendra très bien après la détox. C'est-à-dire que si un défaut génétique était découvert par une analyse, ça risque de me paralyser psychologiquement ; alors que si je n'en savais rien, je trouve que je vivais très bien avec avant. Je deviens un peu apathique à chaque mauvaise nouvelle. J'en ai un peu marre des mauvaises nouvelles, je ne veux donc pas savoir ce qu'il en est tant que je n'ai pas définitivement réglé cette histoire de métaux lourds. Les métaux lourds ayant un effet assimilable dans la durabilité des fonctionnalités à une défaillance génétique, je ne sais pas attribuer les symptômes à telle origine (ml) ou à telle autre origine (génétique). D'alleurs, j'espère retrouver des fonctions que je n'avais jamais ressenties car j'étais déjà un peu intoxiqué dès l'enfance.


Environnement
    Pour l'environnemental, ça a été pendant très longtemps un axe de recherches. Toujours en urgence pour compenser la sensibilité sans cesse montante. Ça a occupé pas mal d'efforts et pas mal de temps. Cela a été une erreur de parcours car l'intox a perduré pendant ce temps-là. Cela masque donc l'axe principal de détox sur lequel il faut travailler durablement. Il est indispensable de travailler sur la neutralisation de l'environnemental mais il ne résout pas les causes premières des problèmes. L'environnement n'est qu'un activateur d'inflammations sur un terrain propice à des inflammations. Le terrain est certes contaminé aux métaux lourds mais cela ne déclenche pas à lui-seul de symptômes aigus. C'est la réunion de l'environnement et de l'intox qui fait l'inflammation. Tant qu'on ne travaille pas sur la détox, l'environnement demeure problématique. On a beau réduire les symptômes à zéro avec un traitement de l'environnement, les Ml demeurent tapis dans les tissus, prêt à enflammer le corps. Je pense que c'est comme cela que ce sujet doit être rédigé pour un nouvel intoxiqué qui lirait mon post. C'est un enseignement de mon expérience, j'ai perdu plusieurs années à traiter l'environnement avant de mettre à la détox. J'ai un très long parcours d'intoxiqué qui a commencé bien avant que j'ouvre ce topic. Je n'ai jamais pris la peine de coucher tout ce parcours par écrit, il est trop tard car j'ai oublié les points névralgiques de ce parcours. J'ai à peine effleuré ce sujet dans la présentation mais il me semble important d'insister sur ce point. En dépit d'une surface qui semblait s'améliorer, l'intoxication ne faisait que s'approfondir. À force de repousser la détox, les complications deviennent inextricables.


Surrénales
    Dans mon topic, je ne parle pas des surrénales. J'ai eu une discussion en mp sur la relation surrénales et fatigues intellectuelles (j'en profite pour saluer le membre avec lequel j'ai échangé sur le sujet). Je copie-colle donc les paragraphes à propos : Je me suis souvent posé la question or, je n'ai jamais vraiment réussi à cibler une réponse spécifique sur le sujet. La question des surrénales se pose certes. Les surrénales sont parfois suspectées de causer des fatigues intellectuelles. Mais je ne crois pas que mes symptômes de fatigue intellectuelle viennent des surrénales. Il me semble que les surrénales répondent plutôt au stress physique mais pas au stress intellectuel (concentration, réactivité, répondant, discussions). Quand on change de posture, là les surrénales entrent en action pour ajuster la pression sanguine dans le cerveau. Il peut donc avoir des baisses intellectuelles à ces moments-ci. Mais, il me semble que le stress intellectuel chronique viendrait plutôt d'une intoxication diffuse du cerveau. Ce serait un symptôme faible et opportuniste qui apparait dès que le cerveau est dans une petite activité intellectuelle qui perdure dans le temps. Dans le cas d'un cerveau intoxiqué, les ML offriraient une résistance aux vagues ioniques physiologiques. D'ailleurs, quand mes problèmes de tension ont été réglés, mes fatigues intellectuelles ont demeuré.

    Quand on peut attribuer des symptômes physiques aux surrénales (par ex: pb tension), je ne crois pas qu'il faille axer les efforts de soins sur elles spécifiquement. Il faut beaucoup d'efforts pour pallier à la baisse des surrénales alors qu'on peut obtenir des réponses en axant les efforts sur la détox générale des tissus ordinaires. En cas d'intox, il est possible que la discussion entre l'hypothalamus et les surrénales soient perturbées, cela peut provoquer ces symptômes. Ces discussions peuvent se faire par des nœuds nerveux qui sont peut-être intoxiqués sans pour autant que la glande incriminée soit intoxiquée. Il est également possible que ce soient les (baro-)récepteurs qui soient intoxiqués, ce sont des cellules excitables très sensibles au ML. Dans ce cas, les surrénales sont aveugles, elles ne peuvent donc pas agir en fonction du contexte en dépit qu'elles ne soient pas nécessairement intoxiquées. C'est un organe qui n'est pas accessible par l'extérieur. Il est donc blotti dans la masse du corps. La solution la plus certaine, est donc de désintoxiquer l'ensemble du corps. Si les surrénales étaient intoxiquées, un jeûne hydrique n'est pas suffisant. Il améliorera certes les fonctionnalités pendant le jeûne et un peu après, mais les ML risqueront de dissiper les bénéfices parleurs effets de lente désactivation.


Fatigues intellectuelles
    Pour traiter le problème de fatigues intellectuelle en attendant la détox totale, je muscle le cerveau avec des activités cérébrales qui sont aménagées de façon à ce que je puisse tenir le plus longtemps en activité. Je lis, je prends des notes de cours, je relis ces cours, j'en fais des résumés. Surtout, j'écris sur le forum. Là ça fait travailler les méninges Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Icon8. J'aménage le rythme et la variété des sujets pour tenir toute une journée quitte à baisser l'intensité du travail. Je fais de multiples mini-pauses pour ressourcer. Par contre, je sais que si j'étais noté ou que si je passais un examen, je risquerai d'être frustré par les mauvaises notes et stressé par les rendus, ce serait contre-productif, démotivant et désespérant. Je peux acquérir toutes les connaissances mais seulement si je n'étais pas noté. Cela paye en satisfaction et en motivation pour continuer. Mais quand j'ai une crise d'électro-sensibilité, là, il faut que j'attende deux jours que ça se passe sans rien pouvoir produire en attendant...

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Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Empty 2 Jeûnes + Dos + bains de bouche

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:46


Jeûnes.
    Au cours des dernières semaines, j'ai fait les deux jeûnes évoqués précédemment.
    J'ai perdu 8 kilos.
    Je n'ai pas eu de symptômes aigus, sauf une petite irritation sous le palais pendant les 3 premiers jours.
    Cela semble être à cause de la cétose.
    C'est totalement disparu après trois jours.
    Ce symptôme devient un classique, il apparait à chaque fois quand je n'ai fait pas un jeûne depuis longtemps, là 8 mois en l'occurence.
    Désormais, je ne tiens plus compte de ce symptôme.
    J'ai également renoué avec une forte électricité statique, ça faisait longtemps que je n'avais pas eu ce symptôme.
    Ça s'est effacé avec la rupture du jeûne.

    Par contre, sur la période de jeûne, je ne me suis pas senti bien de façon crescendo.
    Cela veut dire qu'il y a des toxines dans les tissus adipeux qui se relarguent.
    Ces toxines se libèrent de façon progressive et elles s'accumulent dans l'extra.
    Une partie est filtrée par les intestins, mais il demeure une part qui cause ces désagréments.
    Une sensation de fatigue intense s'était installée peu à peu au niveau du buste.
    Le buste semble se compresser sur lui-même comme si je manquais d'air.
    J'ai essayé l'eau de quinton et des soupes liquides pour me reminéraliser.
    Ça a aidé, un peu, mais pas suffisamment.
    J'ai donc dû interrompre le 2ème jeûne.
    Cette sensation a perduré jusqu'à une semaine après la rupture du jeûne.
    Mais ça s'est enfin dissipé.
    Je ne me réveillais pas bien le matin.

    J'ai également profité pour faire 5 journées sèches fragmentées en 2 parties car je craignais que la mobilisation ne regagne le cerveau.
    Ce qui n'a pas manqué, j'ai eu quelques retour de céphalées pendant les périodes hydriques.
    Pendant le jeûne sec, il y a donc toutes les cellules (ordinaires, nerveuses et adipeuses) qui libèrent leurs toxines.
    Ça fait une grande quantité mobilisée d'un seul coup mais ça protège le cerveau des tissus adipeux et réciproquement.
    Le jeûne sec à l'air efficace contre une recontamination mutuelle.
    Mais comme je n'en suis pas à mes premiers jeûnes, le taux de libération des toxines est désormais plus faible par rapport il y a un an.
    Je peux donc aborder un jeûne sec plus sereinement.
    Il va falloir que je recommence ces jeûnes hydriques jusqu'à effacement de ces symptômes.
    Depuis, j'ai repris les 8 kilos, les toxines se sont donc peut-être déconcentrées dans les cellules adipeuses.
    Le prochain jeûne devrait peut-être se dérouler de façon un peu plus douce.
    Il faudrait que j'élimine tous les tissus adipeux.
    Pour cela, il faut que j'estime quelle est sa masse.
    Aidé par un site CALCUL DE L'INDICE DE MASSE GRASSE, j'ai calculé que j'avais 12 kilos de tissus adipeux.
    La perte de 12 kilos semble tenable selon mes récentes expériences.

      Édit: Je me fierai également à la silhouette, il faut que l'épaisseur de la peau diminue de façon à ce que les articulations émergent.
      Le gras du bide est un stock tampon qui gère rapidement le surplus de glucose lors d'un repas riche.
      Il semble donc être le premier à évoluer en masse (vers le haut, ou vers le bas).
      Or, mon problème concerne le tissus adipeux sous-cutané car les Ml circulent dans tout le corps en cas de déshydratation et se relocalisent surtout dans le gras de la peau.
      De plus, les tissus adipeux nécessitent d'être clean pour trois raisons ; ils sont actif métaboliquement, ils participent au système endocrinien et ils réparent les cellules du corps.
      Mes précédentes expériences de jeûnes hydriques confirment que le gras du bide s'en va en premier.
      Il faut donc un jeûne long, au-delà de la diminution du bide, pour récurer les tissus adipeux sous-cutanés.
      Le top, c'est que je trouve un régime alimentaire qui fasse que je ne pèse que 55 kilos (au lieu de 62 aujourd'hui), comme ça, il me faudra un tout petit jeûne discret pour éliminer les tissus adipeux sous-cutanés intoxiqués.
      Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Morphologie-d_un-adipocyte-web-98266
      (schéma du dossier sur les tissus adipeux, voir message du 19 février)
      Les goutelettes de lipides sont liquides, les ions qu'elles renferment devraient éventuellement se comporter comme toute solution (aqueuse) ionique - à vérifier pour comprendre la captation d'ions au moment de la déshydratation.




Dos.
    Autre sujet, amélioration des problèmes de dos.
    [size=85](Pour une recherche exhaustive sur les maux de dos : Rechercher = "(mal|maux+dos)")[/size]
    j'ai acheté un appareil pour masser le dos par des vibrations.
    Ça se branche sur usb et ça coute moins de 5 euros.
    Au début, j'ai du l'appliquer plusieurs demi-journées pour bénéficier des premières prémisses.
    C'est que j'avais des années douleurs à rattraper.
    Mais j'ai fini par résoudre pas mal de douleurs.
    Je dirai entre 50 et 70%.
    Je pense que je dois aussi travailler ma posture pour finaliser ces problèmes de dos.
    Le soulagement n'est certes pas total mais il est durable.
    Je n'ai pas besoin de renouveler des massages pour retrouver des soulagements déjà acquis au préalable.
    Mais la prolongation de l'application n'apporte plus d'amélioration.
    Par exemple, outre les sensations permanentes ou les douleurs pour lacer les chaussures,
    j'avais une espèce de crispation intense et courte quand je me courbais le dos pour battre des œufs.
    C'étais comme une note de violon dans un film d'horreur qui traversait le dos sur toute la diagonale.
    Cette résolution indique donc que c'est un problème de stase que les vibrations viennent disperser par forçage de la circulation sanguine.
    Ces problèmes de dos s'accumulaient de déshydratation en déshydratation.
    Les Ml semblent diffuser par les interstices des vertèbres et se relocaliser en s'accumulant dans les tissus à proximité.
    Désormais, je pourrai prévenir ces maux en faisant quelques séances de massage pendant et après une déshydratation.
    Ces douleurs soulèvent le questionnement de leur origine.
    Est-ce une inflammation, une stase, un défaut de posture ou une activation intempestive par des ions perturbateurs du nerf de la douleur qui provoque ces sensations ?
    C'est peut-être un peu tous à la fois.
    Par ailleurs, l'aspégic me calme désormais et systématiquement des céphalées opportunes après une exposition à des champs électromagnétiques.
    Ce sont des céphalées volatiles qui fluctuent au-dessus d'une fond de céphalées légères, lentes et permanentes (un peu comme des acouphènes).
    Mais mes douleurs de dos n'ont absolument jamais été soulagées par de la chimie.
    Ces douleurs apparaissent lors d'une posture penchée en avant.
    Elles étaient également soulagée par une posture en arrière.
    Il y a donc une superposition de multiples causes qu'il convient de décortiquer pour bien cerner un ensemble harmonieux d'actions à mener.

    J'ai également trouvé que Antonin Artaud avait de vives douleurs insupportables dans tout le corps, mais chez lui, elles étaient très nombreuses et permanentes.
    Il en avait tellement qu'il devait se shootait quotidiennement au Laudanum pour tenir le coup.
    C'est dire l'énorme dose de mercure qu'il devait porter.
    Je suis loin de ses symptômes aussi aigus mais j'avais quand même quelques similitudes.
    Artaud était un théoricien du théâtre, il prônait un investissement de l'acteur dans son rôle de composition au lieu de faire des pièces avec une récitation de tirades à la Racine.
    Le jeu d'acteur moderne et les critères d'attribution actuels des Oscar et des Césars ont d'ailleurs été inspirés des théories et des mises en scènes d'Artaud.
    Artaud reprochait à ses amis surréalistes de s'accommoder du mensonge collégial qui baigne la société.
    Il disait que son théâtre était la réalité, celui de la cruauté, et que la société était un théâtre édulcoré de la cruauté.
    Quand on se familiarise avec ses textes, on peut voir qu'il n'y a pas d'aliénation.
    Son internement était éventuellement une erreur de justice.
    Surtout, le traitement qu'il a reçu n'a pas amélioré son état, mais il l'a bien empiré à cause des électrochocs.
    Pour les passionnés, voici un petit reportage sur la vie d'Artaud, youtube, 1h30, 20.000 vues.
    • Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Hqdefault


Bains de Bouche.
    Je commence à me faire une idée presque définitive sur les bains de bouche.
    Je pense que ces bains ont définitivement arrêté la lente réintoxication chronique du corps.
    Il me semble que je n'ai plus de lente reprise des céphalées.
    Cette nouvelle me fait beaucoup de bien au moral.
    J'ai fait ces bains à la mi-janvier, j'ai donc un peu de recul.
    Mais je préfère être prudent, il faut encore que je confirme cela sur le long terme.
    Par contre, ça ne désintoxique pas le cerveau, les Ml présents dans le cerveau demeurent tant qu'il n'y a pas de déshydratation.
    Il faudra donc que je continue les déshydratations pour traiter définitivement le cerveau.


Sophocle

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Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Empty Tout ça pour ça ? - Avis sur les déshydratations

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:42

I. v. de DMPS : retour à la case départ, tout ça pour ça ? :??:
Les déshydratations ne sont vraiment pas une solution autonome.
Elles posent de sérieux problèmes de relocalisation à terme.
J’ai certes dégagé le cerveau mais il faut encore traiter les organes cibles.
Je n’aurai jamais dû arrêter les IV de DMPS.
Je les avais arrêté parce qu’elles étaient trop lentes à donner des résultats, mais elles demeurent une des rares solutions qui avaient un réel effet sur les maux de tête.
J’aurai préféré me passer des iv, mais je n’ai pas de meilleure solution.
Je suis bien content d’avoir quand même cette solution pour finaliser le nettoyage du cerveau.
Je n’en suis pas à l’abri d’un incident, je croise donc les doigts car je ne compte pas reprendre les déshydratations pour l'instant.
Les effets secondaires des déshydratations sont trop pénibles.
Les déshydratations seraient peut-être (à vérifier) une bonne solution que quand il n’y a pas de métaux lourds dans le corps.

Entre-temps, j’ai désintoxiqué les intestins, la sphère buccale et majoritairement le cerveau, mais j’ai réintoxiqué la peau et l’épaule.
Le bilan est provisoirement mitigé, a fortiori je dois ajouter que l'hydrotomie percutané pour traiter l'épaule n'est pas une solution faisable sereinement à domicile.
Et il me faut encore trouver la solution pour les picotements.

Mais quand je vois les effets actuels (sensations permanentes, douleurs périodique pénibles) des ml dans mon épaule et que ces fichus ML étaient auparavant dans le cerveau, j'ai donc un éclaircissement total sur les symptômes cognitifs que je portais avant d'avoir délogé ces ml du système nerveux central.

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Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Empty Bulletin de santé

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:43


Tension artérielle
    Les douches froides ont vraiment régularisé ma tension artérielle en profondeur.
    En quelques semaines, les résultats sont spectaculaires :
    j'ai récemment fait un petit jeûne hydrique (j'ai 8kg en trop) au cours duquel je n'ai étonnamment pas fait l'objet de chute de tension.
    Je n'ai même pas eu besoin de prendre des douches froides pendant la période de jeûne pour activer la robustesse de la tension.
    Au cours de ce jeûne, j'ai pu faire des marches intenses et rapides de 2 heures sous le soleil sans pâtir à aucun moment d'une baisse de forme. Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Eek Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Eek Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Eek
    Désormais, la tension demeure pleinement à son top, y compris pendant une phase d'endurance soutenue au cours d'un jeûne. waaaaaaaaaaaaa. Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Smiley223 Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Smiley223 Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Smiley223
    Cela est un marqueur qui me semble époustouflant, l'endurance physique (que je n'ai jamais vraiment connu au cours de petite vie de souffreteux) est de retour.
    Je peux désormais bondir du lit sans me retrouver à moitié étourdi par la dévascularisation intempestive qui caractérisaient tous mes précédents jeûnes.
    Ce qui est curieux, c'est que je ne ressens aucune amélioration au quotidien.
    Il faut vraiment que je sollicite mon corps de façon forte et durable pour m'apercevoir des bénéfices des douches froides, marche forcée en montée, escaliers 2 à 2, ...
    Douches froides et jeûne hydriques sont mon nouveau plan de base pour entretenir la longévité dans la bonne santé : routine chronique du traitement du solvant aqueux et huileux.


Détox du plan hydrique
    Cependant, j'ai l'impression que toutes les actions sur le solvant aqueux accumulent toujours un peu plus de ml dans la couche cutanée.
    Les récentes marches dans le froid ont certes dégagées mes problèmes de mains, mais j'ai l'impression d'avoir re-contaminé un peu toute la peau.
    J'ai l'impression que le cuivre, qui était présent en abondance dans les mains, s'est re-ventilé dans le reste du corps.
    Suite à ces marches, j'ai eu quelques jours avec un gout métallique dans la bouche,...
    J'ai désormais acquis toute un panoplie de mobilisation mais mon problème bloquant est désormais : l'élimination... (je sais, je sais, Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Smiley152 cela était prévisible).
    Il faut dire qu'il me semble que mon empoisonnement était très profond, je ne me serais jamais donné une chance de retour avant la saint glin-glin.
    Il me semble que mon empoisonnement était historique et que mon corps s'est longtemps habitué aux ml jusqu'à ce que la dose diffuse dégorge en douceur sous toutes les coutures.
    Le snc a été significativement dégagé mais beaucoup de poison s'est dispersé dans les tissus cutanés et dans l'épaule.
    Il me semble que chaque activité de détox (marche, jeûne, douche froide, ...) devrait être systématiquement accompagnée d'un chélateur pour réduire la redépose comme une neige.



Électro-sensibilité, et inflammation
    Je suis encore un peu électro-sensible : il faut deux nuits avec le disjoncteur allumé pour activer fortement les symptômes d'inflammation.
    Le remède, c'est de couper de disjoncteur et de me mettre au repos intégral ; en douze heures, je retrouve un état acceptable.
    En temps normal, je peux donc aisément vivre la journée avec une vie presque normale si le disjoncteur était coupé chaque nuit de l'année.
    Comme j'ai très rarement l'occasion de provoquer ces symptômes donc j'ai la chance de pouvoir oublier que je suis électro-sensible la majeur partie de l'année.
    J'ai récemment fait un test pour voir où en était ma résistance : j'ai donc laissé le disjoncteur allumé les temps qu'il fallait pour activer l'inflammation générale :
    je n'arrive plus à lire ni même pas à surfer sur internet tellement mon attention est faible.
    J'ai également une sensation intérieure assez désagréable lorsque les symptômes d'inflammation sont activés.
    Les sensations intérieures d'inflammation (quand elles ont lieues) sont comme des courbatures musculaires mais à l'intérieur de la conscience.
    Ça accapare l'attention au détriment des perceptions du monde extérieur tant que l'inflammation est activée.
    Quand je pense que j'ai vécu quelques années avec cette sensation permanente lorsque l'empoisonnement était au plus fort.



Maux de tête
    J'ai quitté les maux de tête très pénibles et anxiogènes, mais j'ai toujours de légers maux permanents.
    La permanence des ces maux indique la permanence des métaux-lourds.
    Même si j'ai totalement réformé mon mode de vie, la tendance de métaux-lourds ne se renverse pas.
    J'ai certes retrouvé une bonne forme corporelle correcte grâce à toutes ces reformes, mais le désempoisonnement naturel ne se fait pas.
    Il me faut activer le désempoisonnement au forceps : déshydratation ou Iv dmps.
    Cognitivement, j'ai encore du mal à converser spontanément, j'ai toujours la dispersion des idées juste après que mes idées se soient rassemblées.
    Mais je pourrai tout-à-faire faire une longue présentation orale sans qu'aucun symptôme n'apparaisse au public.
    J'ai également retrouvé la capacité de lire cinquante pages d'une traite.
    Cela est un retour vers la normale qui fait vraiment du bien.
    Aussi, j'ai désormais des pop-up quand j'ai perdu mes clefs : pof, je suis informé dans quelle poche de quel manteau je les ai laissé dernièrement.
    C'est-à-dire que ma mémoire enregistre et présente la résolution sans que je la sollicite. Ça c'est dla balle. Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Smiley225
    C'est-à-dire que c'est uniquement lors de la conversation que la robustesse énergétique du cerveau s'enlise.
    Pour un rémission totale, il me semble qu'il ne s'agit désormais qu'une question de temps.





Épaule
    Les maux d'épaule ont bien baissé. Mais ils demeurent stables si je ne faisais pas d'hydrotomie percutanée.
    Encore une fois, la permanence des symptômes est au rendez-vous.
    Les bains froids ont eu quelques effets positifs mais j'ai atteint une certaine limite d'efficacité.
    Parfois, les symptômes baissent durablement, puis remontent durablement, sans savoir pourquoi.
    L'hydrotomie demeure la bonne solution mais il est difficile de la réaliser avec sérénité chez soi.
    Cela milite également pour la suspension des déshydrations.


Système digestif
    Là, tout va bien, les récentes purges au sel ont encore un peu amélioré un état qui était déjà satisfaisant.
    Mes derniers essais montrent que je ne peux certes pas manger une baguette entière avec un clacos entier mais je peux prendre 2 morceaux de pain par jour et occasionnellement un peu de fromage.
    Cependant, j'ai une fatigue après avoir mangé un peu trop de pain.
    Mais j'ai une habitude alimentaire majoritairement faite de légumes et de viandes, je prends donc rarement du pain même si je peux en manger régulièrement.


Peau
    Il en est de même avec la peau, les métaux-lourds y sont persistants.
    Les picotements ne baissent pas vraiment, aucune action ne réduit le problème.
    Ils sont tapis, en silence, et ils s'activent de temps à autre sans savoir pourquoi.
    Quand ils s'activement, les picotements ressemblent à des mini piqures de moustiques en rafale.
    J'ai l'impression d'être un terrain d'entraiment pour formations de moustiques Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Smiley83 Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Smiley83 Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Smiley83 .
    Si j'arrivais enfin à trouver le remède naturopathique au désempoisonnement de la peau, là, je serai le roi du pétrole. :roi: :roi: :roi:
    Je n'aurai jamais cru qu'il serait plus difficile de désintoxiquer la peau que le cerveau. Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Smiley223
    La peau est un organe fait avec une couche d'huile, toutes les solutions par osmose sont donc inopérantes.
    Il me semble que j'ai déjà eu ces problèmes de picotements dans le passé, mais je n'avais pas fait le lien et ils avaient fini par disparaitre par eux-mêmes.
    Il faut que je retrouve le pourquoi de la chose, c'était peut-être les iv de 2015, ou des marches rapides en période de canicule, ou autre ?, à voir.
    J'hésite à reprendre le gel d'aloe véra avec des chélateur, peut-être que ça compensait un peu le problème.


Analyses sanguines et prétendu diabète.
    J'ai récemment fait des analyses où la créatinine était élevée (132, réf : 59 à 104).
    La valeur du CKD annonçait un diabète de stade 3 (insuffisance rénale chronique modérée) selon le tableau des références (sans nécessité de répétition sur 3 mois ni besoin d'un marqueur d'atteinte requis pour le stade 2).
    La veille au soir de cette analyse, j'ai eu un repas "un peu" trop copieux, le plasma du prélèvement était encore opalescent au lendemain matin selon le bulletin d'analyse en question.
    J'ai donc ensuite programmé une créatininurie de 24h avant laquelle et pendant laquelle j'ai fait mes petites marches et j'ai veillé à une alimentation courante sans excès.
    Et là, les valeurs créa & cdk étaient au top, y'avait pas de meilleures santé rénale selon les tableaux des références... sans commentaire... Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Icon13 Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Icon13 Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Icon13


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Les déshydratations se suivent et (ne) se ressemblent (pas) Empty Oxygénation ET catabolisme : la résolution ?

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:43

Dans le cadre de mon discours général sur la grande santé (page 12 et page 14), jusqu'ici, je considérais que chaque solvant (huile ou eau) du corps avait son traitement spécifique, jeûne hydrique pour l'huile, douches froides pour l'eau, et je n'avais fait qu'une petite passerelle entre chaque solvant : les toxines passaient de l'un à l'autre. Mais, il n'est pas à négliger que le rétablissement optimal de l'équilibre physiologique général pour chaque solvant parvienne plutôt d'un mix de jeûnes hydriques et de douches froides.

    Petit rappel biologique préalable : L'anabolisme est le processus de création des huiles (acides aminés), le catabolisme est le processus de destruction de ces huiles ; et le métabolisme est la réunion de l'anabolisme et du catabolisme. Par le métabolisme, la cellule crée certes ses propres huiles, mais ensuite elle sculpte ces huiles au marteau. L'équilibre physiologique est donc une recherche dynamique permanente d'un surcroit de synthèse d'huile qui est ajusté par la destruction ciblée de ces huiles.


Or, dans nos sociétés occidentales récentes, l'alimentation et l'eau chaude y sont abondantes : la catabolisme n'a donc pas lieu, et les tissus sont sous-oxygénés. Par exemple, le cancer est une sur-production de tissus, le problème peut donc parvenir d'un manque de catabolisme, ou d'un manque d'oxygénation, ou d'un peu des deux. Le retour à l'équilibre physiologie s'obtient donc par le forçage du catabolisme et par le forçage de l'oxygénation des tissus. Ainsi la guérison des maladies chroniques sur l'huile ou sur l'eau est confortée au mieux.

Sans catabolisme : pas de destruction des huiles, sans oxygénation : pas d'activation du catabolisme (?, à vérifier).
Catabolisme :
...-CH2-CH2-CH2... + 9O2 -> 3CO2 + 3H2O
Huile + oxygénation -> dioxyde de carbone + eau


  • Le premier pivot de cet équilibre à rétablir est l'oxygénation des tissus.
      Le foisonnement de l'oxygénation s'obtient par un réseau de capillaires dont la musculation et le maillage dense s'obtiennent par les douches froides. C'est à chacun de trouver la mesure du rythme. Démarrage en douceur puis rythme soutenu pour guérir ; petit rythme quotidien/hebdo pour entretenir la santé.


  • Le second pivot est ensuite le catabolisme.
      Le forçage du catabolisme s'obtient par le jeûne hydrique (intermittent, périodique, long). C'est à chacun de trouver la mesure du rythme. Commencer en douceur. Rythme soutenu pour guérir ; petit rythme quotidien/ hebdo pour entretenir la santé.


Donc, pour conforter la guérison de maladies chroniques sur l'huile ou sur l'eau, il ne faudrait donc pas négliger le solvant secondaire : l'huile pour l'eau, l'eau pour l'huile. C'est pour cela qu'il me semble désormais que les douches froides et les jeûnes hydriques devraient s'accompagner systématiquement l'un à l'autre quelque soit la maladie et quelque soit le solvant qui dégénère. Comme les premiers jeûnes sont nécessairement intenses en crises de détox, il vaudrait aussi installer la pratique de la douche froide au préalable. C'est un canevas de base, ensuite, c'est à chacun de combiner les technique et de moduler les fréquences et les intensités des applications selon les circonstances. Dans le cadre d'un cancer, il faut évidement insister sur les jeûnes. Dans le cas d'arthrose, il vaudra mieux insister sur les douches froides. Cette proposition de résolution me semble une base mais elle n'est peut-être pas suffisante. Il faudrait peut-être ajouter des thérapies complémentaires selon la pathologie de chacun. Dans mon cas, hélas, ces deux techniques ne sont pas suffisantes pour éliminer les métaux-lourds car les métaux-lourds sont persistants, mais elles ont été nécessaires pour retrouver une forme correcte en dépit de l'empoisonnement. À vu de nez, dans mon cas, les douches froides ont contribué à 90% et le jeûne hydrique à 10%.


    [size=85]NOTA : Le contenu ci-dessus de ce post est une copie d'un récent complément du post M de la page 14 : NOTICE DE MISE EN PRATIQUE (évidemment, je n'ai pas pu m'empêcher d'augmenter le contenu de ce post par rapport à la première version disponible à la page 14). [/size]



    Annexe connexe :
    Je place ici quelques notes brutes (sans mise en rédaction) d'une conférence du DR LAURENT SCHWARTZ, QUELLE EQUATION POUR LE CANCER ET LA BIOLOGIE.
      oncologue, site : https://guerir-du-cancer.fr.
      Les statistiques des cancers sont stables depuis 1960, il n'y a donc pas d'impact des progrès, problème structurel.
      Contrairement à l'idée répandu, le cancer de la peau n'est pas lié à l'exposition au soleil.
      Point commun aux cancers : fermentation de la cellule par manque d'oxygène = suranabolisme par manque de catabolisme.
      Exemple : les cellules de la levure augmentent lors de l'absence d'oxygène, et elles se stabilisent lors du retour de l'oxygène.
      La cellule augmente en volume, puis après un volume critique, elle se divise en deux.
      La cancer : la cellule est bloquée en synthèse, elle n'arrive pas à brûler le sucre.
      Les causes secondaires sont nombreuses, tabac, alcool, ... mais le goulot d'étranglement de tous les cancers est la fermentation.
      Résolution par l'oxygénation : acide alpha-lipoïque, hydroxycitrate, régime cétogène, bleu de méthylène.
      le Dioxyde de chlore est efficace mais difficile d'application.
      Les radicaux libres relancent la mitochondrie.
      Avec le retour de la mithochondrie, les patients stabilisent certes le cancer mais ils ont aussi le retour d'une forme meilleure qu'avant le cancer.
      il refont du tennis, ou ils ont les cheveux qui repoussent et survie de cas prétendument désespérés.
      Problème du manque d'association de malade, les témoignages ne sont pas recherchés par la médecine classique.
      Catégories de maladies :
        Maladies de l'augmentation de pression (polyarthrite, chron, SEP, ...): inflammation à cause de l'épanchement de protéines.
        Maladies de l'augmentation électro-magnétique : logorée, fatigue, sur-exitation,
        Maladies par diminution de rendement énergétique : cancer, alzheimer, parkingson, vieillesse,

      le bleu de méthylène traite les maladies sur la mitochondrie et donc la diminution énergétique, donc cancers et Alzheimer.



    Annexe B, référence littéraire de circonstance :
      Victor Hugo a écrit:Si peu fixée que soit la météorologie, elle n’en est plus pourtant à délibérer, comme au deuxième siècle, si une pluie qui sauve une armée mourant de soif est due aux prières chrétiennes de la légion Mélitine ou à l’intervention païenne de Jupiter Pluvieux. L’astrologue Marcien Posthume était pour Jupiter, Tertullien était pour la légion Mélitine, personne n’était pour le nuage et le vent. Chapitre : l'art et la science, livre : William Shakespeare.
      Adaptation personnelle : Si peu fixée que soit la physiologie, elle n’en est plus pourtant à délibérer, comme au vingt-et-unième siècle, si un régime et une douche qui sauvent un malade soit du au médecin ou à l’intervention païenne de Michel Cinais. L’architecte d'intérieur Valérie Damidot était pour la chimio, Ciniais était pour l'ablation d'organe, personne n’était pour l'oxygène et les légumes. :p :p :p



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