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♫ Mets de l'huile ♫ - (SOLVATION DE L'HUILE)

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♫ Mets de l'huile  ♫ - (SOLVATION DE L'HUILE) Empty ♫ Mets de l'huile ♫ - (SOLVATION DE L'HUILE)

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:48


Solvatation
    Il y a quelques semaines, je me suis demandé si le tissu adipeux pouvait se comporter comme une solution ionique afin de recevoir les ions mobilisés par une déshydratation.
    Or, l'huile n'est pas polarisée, les ions ne peuvent donc pas se diluer dans l'huile.
    Cela peut se vérifier avec le gros sel qui ne s'y mélange pas.
    Il est intéressant de simuler le comportement des solvants avec le gros sel car cela donnera une indication avec les ions ML.
    Je vais donc devoir revoir un peu ma théorie de ré-intoxication entre les cellules aqueuses et adipeuses par des ions.
    Par ailleurs, comme je n'étais donc pas entièrement satisfait des bains salés car ça ne résolvait le problème d'intox de la peau qu'après une déshydratation,
    je recherchais donc encore un moyen pour prévenir l'intox de la peau pendant une déshydratation.
    Je me suis donc penché sur le phénomène de solvatation pour comprendre un peu mieux les combinaisons possibles entre les ions et les solvants.
    Voici un site, Les secrets de la solvatation, qui fait un tour d'horizon de façon très concise.
    Il existe deux formes de solvatations, dont l'une des deux formes se subdivise en deux catégories :
    • A) Apolaire, chaines organiques (-CH2-CH2-CH2-), queues des lipides, huiles, acides gras
    • B1) Polaire et protique, alcools -OH, eau H2O, tête des lipides, (oxygène avec le proton hydrogène)
    • B2) Polaire et aprotique, pont oxygène R-O-R' (sans hydrogène)


Cumul des formes
    Les molécules peuvent présenter 1, 2 ou les 3 formes de solvatation.
    Par exemple, le savon, avec sa combinaison d'une chaine organique et d'un pont oxygène, présente 2 formes de solvatation, polaire et apolaire.
    Il se dilue donc dans l'eau de façon homogène mais il dilue aussi les graisses de façon homogène.
    Ainsi, les surfaces, sur lesquelles on passe une eau savonneuse, sont dégraissées en dépit que l'huile et l'eau ne se diluent pas l'une dans l'autre.
    Si l'eau et l'huile ne se mélangent pas, c'est parce que ni l'une, ni l'autre n'ont strictement aucune forme de solvatation en commun.
    Le savon est un intermédiaire qui se mélange dans l'huile et dans l'eau, et qui fait que de l'huile peut être (indirectement) en suspension dans l'eau.
    Il n'y a pas de hiérarchie chimique entre solvants et solutés.
    Ce n'est qu'une question de quantité, c'est le produit qui est en petite quantité (soluté) qui se dilue dans l'autre (solvant).
    L'alcool présente également les 2 formes principales de solvatation mais elles ne sont pas aussi efficaces que le savon.
    Avec de l'huile végétale et de l'alcool à 90°, ça se dilue bien quand le mélange est remué.
    Mais au bout de 5 minutes au repos, les 2 phases se reconstituent très distinctement.
    Avec de l'alcool à 90° et du gros sel, le mélange est très partiel, seule une faible quantité de sel peut s'y diluer.
    L'alcool à 90° semble plutôt efficace avec les cétones (=O).
    Il existe donc un gradient de solvatation dans l'efficacité et dans la durée.
    Les lipides possèdent également les deux formes de solvatation, une tête polaire et une queue apolaire.
    Comme la membrane cellulaire est une bi-couche lipidique et qu'elle est cernée d'eau à l'intérieur et à l'extérieur,
    il y a donc donc des phénomènes de porosités sélectives, de distinction des compartiments et de dynamiques entre solvants et solutés de par et d'autre de la membrane.
    Je renvoie vers les cours (vidéo et PDF) d'Alessandro Villa "l'osmose et la diffusion ionique" détaillés au post "Bibliographie"
    Lors de la contamination, le positionnement du ML est assez déterminant.
    Il faut bien imaginer la membrane cellulaire comme une fine muraille d'huile, opposée à l'eau extérieure et mise en tension par l'eau intérieure.
    Si le ML est sous forme d'ion, il sera dans l'eau, et il désorganisera les tensions electro-magnétiques intra et extra-cellulaires.
    S'il est sous forme organique, il sera fixé dans une queue lipidique, il va donc désorganiser la membrane cellulaire ou les protéines fixées à la membrane.




Le tissu adipeux
    Le triglycéride, qui compose la majorité du tissu adipeux, possède la forme organique courante des lipides.
    Le tissus adipeux est donc un solvant idéal pour accumuler des toxines huileuses.
    Or, les triglycérides possèdent également une tête polaire, il demeure donc possible qu'il y ait quand-même une faible intoxication du tissu adipeux par des ions.
    Cela peut s'apparenter au même ratio que l'alcool et le gros sel par rapport à l'eau et au gros sel.
    Du coup, je ne crois plus trop à l'utilité du dmsa pendant un jeûne hydrique car il y aura peu d’ions en circulation.
    Mais il demeure possible que d'autres toxines (non ioniques) aient les 2 formes de solvatations et qu'elles peuvent donc passer d'une cellule adipeuse à une cellule aqueuse et vice-versa.


Application
  • Les ions (dont les ML), qui sont totalement solubles dans l'eau, ne sont donc absolument pas solubles dans l'huile.
    Lors d'une déshydratation, je peux donc envisager de protéger le tissu cutané d'une accumulation de ML en l'enduisant d'huile.
    L'huile formera ainsi une barrière qui protègera la peau de la relocalisation des ions ML.
    Je peux ainsi me dispenser des bains de sel à 50 g/l en résolution du problème d'intox de la peau.
  • Mais au cours d'un jeûne hydrique, la peau est également concernée par la mobilisation de toxines lipidiques.
    Or, l'huile enduite sur le tissu cutané peut être un moyen pour capter, diluer ces toxines, puis de les mettre en mouvement et enfin de les relarguer vers la sortie.

    Tout cela donne donc deux bonnes raisons de huiler le tissu cutané lors d'un jeûne sec.
    Pour choisir mon huile, j'évite les rayons dermato ou beauté, il y a des normes, les huiles sont donc trafiquées sans que cela soit indiqué sur l'emballage.
    J'ai acheté une dizaine d'huiles végétales + ou - compatibles avec mon type de peau, que je goute.
    Et je retiens celle qui passe le mieux en toute souplesse.




Sophocle

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♫ Mets de l'huile  ♫ - (SOLVATION DE L'HUILE) Empty Le cycle méthyl-ML dans celui des lipides.

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:53


Je me suis demandé pourquoi les ML organiques sont transformés en ML inorganiques.
La réponse semble assez simple, cela vient du métabolisme naturel des lipides.
Pour créer de la chaleur, les longues chaines organiques CH3-CH2...-CH2-CH3 de la queue des lipides sont tout simplement débitées en tout petits morceaux.
Donc, quand un méthyl-Ml est métabolisé, les liaisons sont cassées, les atomes sont libérés, les ML sont donc détachés du carbone, ils deviennent donc des ions inorganiques.
Mais pour que les Méthyl-Ml soient métabolisés, il me semble qu'il faut encore que la cellule ne puisse pas faire autrement que les accepter.
Or, en cas d'abondance de lipides, les lipides sains devraient être préférés par la cellule, et les méthyl-ML devraient être délaissés.
Comme l'approvisionnement en lipides se fait prioritairement par les aliments du tube digestif,
il y a donc la possibilité de choisir les bons lipides par la cellule pendant des mois tant que le sujet mange.
Il me semble que, en cas d'alimentation continue, les méthyl-ML finissent plutôt leur course dans le Tissu Adipeux (TA ) et s'y accumulent.
Or, il faut que les nutriments du tube digestif soient taris pour que le corps commence à piocher dans le TA.
Le TA n'est consommé que dans certaines circonstances, stress, exercices, diète.
Il faudrait déterminer comment ces toxines entrent dans le TA.
Est-ce au moment de la formation de la gouttelette lipidique à partir du glucose sanguin ?
    (Il est intéressant de noter que le TA se génère à partir du glucose et non à partir des lipides.
    Comme je veux que le TA ne se recompose pas après sa résorption totale, je sais désormais ainsi quels aliments éviter et ne pas éviter.)

Ou, est-ce que le TA se comporte-t-il comme un ultime solvant auquel adhère toute sorte de lipide délaissé par les cellules aqueuses ?
Ou les 2 ?, pour l'instant, mon expérience m'indique pour le moins que les déshydratations recontaminent le TA.
Quoi qu'il en soit, le TA est intoxiqué et il semble qu'il n'y ait pas d'autres moyens que de le métaboliser pour le désintoxiquer.
C'est un petit mauvais moment à passer.
(D'ailleurs, je me demande si la boulimie ne vient pas du réflexe d'éviter les symptômes quand le corps métabolise le TA.)
Dans mon cas, une grande fatigue apparait après 3 jours de jeûne, mais heureusement elle ne persiste pas dès que le jeûne est rompu.
De jeûnes de trois jours en jeûne de trois jours, j'arrive peu-à-peu à éliminer tout le TA.
Entre deux jeûnes, je fais une diète pour ne pas reprendre du poids.
La majorité de la fatigue se dissipe après quelques jours de diète.
Il y a donc un écoulement des toxines mobilisées post-jeûne.
Je dirai que ces toxines ne sont pas des ML car les désordres ne semblent pas durables.
Ces toxines sont peut-être des déchets en sous-produits indirects liés à la présence de ML.
Tant que des sources de ML demeurent dans le corps, il ne faudrait pas reconstruire le TA, sinon il va se ré-intoxiquer à nouveau.
Dans le cadre strict de la détox, le jeûne suivi d'une reprise du poids de départ est donc un peu vain.
Pour reprendre un jour du poids, il faudrait éliminer toutes les sources, les sources extérieures, les ML diffus dans le corps et les éventuels lieux de concentration (mâchoire).
    (D'ailleurs avec les bains de bouche au sel, je me demande s'il ne devient pas non urgent de se faire retirer les amalgames.
    De plus, le retrait des amalgames ne m'a pas empêché de tomber très malade quelques années après.
    Un retrait des amalgames ne protège donc pas d'une sévère intoxication ultérieure.
    Il faut donc bien cibler la priorité, dans mon cas, c'était la contamination de la mâchoire et non l'amalgame.
    De plus, le bain de bouche au sel répété multi-annuellement pourrait peut-être dispenser de se retirer les amalgames à terme.)

Tant qu'il demeure des ML, il me semble préférable de définitivement éliminer le TA pour pouvoir me concentrer sur les ML inorganiques.
Je pourrai prochainement donc recommencer une série de déshydratations en espérant qu'il n'y ait plus d'écueils.


Sophocle

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