LA FEMME - GYNECO

par **Sophocle** Mar 27 Juil - 12:53

Je place ici une conversation dont j'ai demandé à mon interlocutrice si elle n'avait pas de contre-indication à ce que la partie détox soit publiée.
Son pseudo a été changé en Antigone.
Des compléments de détails sont disponibles au post suivant.

Antigone a écrit:...

De mon côté, je ne sais trop si je suis intoxiquée aux ML, mais probablement. J'ai l'endométriose, une dysbiose très importante (putréfaction, dû au pathogène E. Coli surtout souche commensale initialement, beaucoup de ballonnements, malgré un gros travail sur l'alimentation, j'étais vegan avant en plus mais ça ne m'a pas réussi, bref), hypothyroïdie non auto-immune, acouphènes, acné, dermite, manque de vitalité globale. Des co-infections mais je n'y fais pas trop attention car je pense que c'est mon système immu que je dois surtout renforcer.
Petit à petit, je ressors la tête de l'eau, après des mois infernaux. De gros changements alimentaires couplés aux douches froides, au brossage de la lymphe, aux bains dérivatifs, aux jeûnes hydrique et sec, m'ont aidée. Et pourtant, j'ai le sentiment de toujours mal détoxifier, et, comme probablement beaucoup de malades chroniques, d'avancer à pas de tortue...
Ma plus grosse problématique résidant au niveau digestif, je me tords l'esprit à savoir si, oui ou non, je devrais faire la purge yogique, qui a l'air si miraculeuse. J'ai des réticences, lesquelles sont :
- je ne suis pas habituée aux pratiques type purge et ne souhaite pas faire de lavement. J'ai un ami qui en a réalisé au café, des lavements, et à partir de ce moment, il a perdu toute motilité de son côlon, si bien que même s'il arrête les lavements, il n'arrive pas à retrouver cette motilité, comme si tous ses nerfs étaient altérés, sa vie est devenue très difficile. Tu parlais d'un accident intestinal pendant un jeûne, peux-tu me le détailler si ça n'est pas indiscret ? En tout cas, j'ai une grosse peur, celle de réaliser quelque chose qui me mette dans une situation irréversible, et même si la purge yogique que tu proposes fait sens, j'ai peur de me tromper.
- de plus, j'ai une vitalité qui, même si est bien meilleure qu'il y a quelques mois, n'est tout de même pas optimum. Je suis quelqu'un qui a toujours été maigre (mauvais absorption...), je peine à retrouver une régularité dans mon cycle (grosse période d'aménorrhée), j'ai une fatigue chronique... je ne sais si c'est une bonne solution pour moi, et pourtant, je sens que ça peut l'être. Mais est-ce la bonne période ?

...

Sophocle a écrit:...
Comme à chaque personne qui m'écrit, je ne donne pas de recommandation.
Mais, je glose. Et, il est nécessaire que je prévienne que j'ai glosé jusqu'au bout de la spécificité de la femme avec mes limites.
Je ne m'étais pas encore posé la question de la femme, je l'ai donc posée sous tous mes questionnements.

Tu parlais d'un accident intestinal pendant un jeûne, peux-tu me le détailler ?
J'ai fait une randonnée pendant un jeûne sec.
La randonnée a démultiplié le volume d'eau évaporé, et donc, elle a multiplié la quantité de ml qui sont sortis des tissus profonds.
Je me souviens que les céphalées avaient significativement diminué lors de grosse déshydratation.
Cependant, quelques jours après, cette quantité élevée de ml s'est donc retrouvée accumulée dans l'intestin transverse.
Il y a donc eu un transfert de toxines.
L'intestin était déjà au ralenti par une constipation, mais de nombreux symptômes sont apparus un peu partout (sommeil,...), dont une aggravation de l'état des intestins.

Suite à ta remarque, j'ai recherché ce thème au travers de mes posts.
Je fais souvent référence à un relargage du mois de mars/avril (2017) sans l'avoir décrit au préalable.
Ceci est un oubli, je rajouterai un paragraphe.
Cet incident a eu lieu pendant une constipation ; sur le moment, j'ai vraisemblablement eu du mal à démêler l'écheveau du cumul des causes.
La constipation a masqué l'incident, ce n'est donc que bien ultérieurement que je me suis attribué un incident au regard de la nouvelle dimension du problème (troubles du sommeil, sur-complication à la digestion, douleurs à l'intestin, ...).

Les 3 infrastructures
Avec le jeûne et les douches froides, tu as déjà traité deux des trois infrastructures (huile et mitochondries).
Si les désordres étaient uniquement sur ces 2 infrastructures, le tableau devrait revenir plus aisément à la normale.
Comme il demeure qu'une seule infrastructure (l'eau et ses minéraux) et que les symptômes persistent, la suspicion de métaux-lourds demeure.
En cas d'infection, la suspicion de ml est renforcée car le ml est une centrale énergétique sous l'action des ondes que les mo sauraient domestiquer par méthylation.

Check-out des émonctoires
Le jeûne sec ôte certes les métaux-lourds de l'intra des tissus profonds (muscles,...), mais il les envoie en flots via le sang dans les émonctoires en attente de check-out.
Mais les ml ne sont pas éliminés hors des émonctoires.
Au contraire, ils s'y fixent et s'y accumulent à partir d'une forte dose.
Selon mon expérience de jeûne secs, les ml se sont fixés et accumulés durablement dans les intestins et dans la peau.
D'où l'incident d'intestins à trois quart réparé par les purges yogiques ; le quart restant à été réparé par les solubilisations de chélations.

Purge yogique
Sur un site médical professionnel, j'ai déjà lu des histoires d' "addictions" (sic) aux lavements suite à un premier lavement n'ayant pas résolu les problèmes.
Je n'ai encore pas lu d'incident avec des purges yogiques, mais les lavements à l'eau claire (0g/l de sel) ne vont jamais régler une intoxication de l'intestins aux ml.
Dans un lavement à l'eau claire (hypotonique), la cellule se gonfle en eau, les ml ne sortent donc absolument pas.
De nombreux ml étant scratchés du côté extérieur de la paroi cellulaire, il est possible que le lavement va juste faire diffuser l'intoxication en faisant ramper une agglutination de ml comme des billes de métal sur une surface uniformément aimantée sur laquelle de l'eau ruissellerait.
Ces billes demeureront toujours amassées aux cellules mais elles se meuvent en bloc comme des satellites qui passerai d'une planète à une autre au moment où deux planètes se frôleraient.
Les ml sortent ou décrochent que quand la cellule est pressée comme un citron.
De plus, avec les sulfates (anions bivalents), le ml se décroche de la paroi de la cellule par compétition magnétique.
Avec une forte hypertonie, le mouvement d'eau formera également un courant rapide qui arrachera les ml de leur aimant.
De très nombreux lavements à l'eau claire pourraient donc être réalisés à la suite sans que le problème local de métaux-lourds ne soit jamais réglé.
Pire, les métaux-lourds vont peut-être être déployés en nuage, cela va exacerber significativement leurs méfaits.
Selon moi, une intervention dans l'intestin se fait, en base, toujours avec de l'eau saline à l'isotonie.
De plus, la purge yogique me semble préférable car elle traite le tuyau de bout en bout.
Le lavement est préférable pour traiter efficacement le colon car l'eau de la purge aura perdu de son hypertonie en parcourant tout l'intestin grêle.
Mais il est possible que plusieurs purges yogiques arriveraient à un plafond et que la résolution ne soit pas complète.
Faute de résolution complète, il faudra peut-être passer ensuite aux chélateurs afin de parachever la désintoxication.
Selon mes expériences récentes sur la résolution de mon point de côté, une purge yogique au sulfate de sodium serait un peu plus appropriée contre les ml.
Dans mon cas, peut-être que le sulfate de sodium aurait mené la détox jusqu'au bout.
La purge yogique est une cure du foie à laquelle la prise d'huile et de pamplemousse est ôtée.
Le sel d'epsom dilate les canaux, cela aide les calculs à cheminer au travers du canal biliaire.
Voici un forum sur lequel il est indiqué que la cure du foie est sûre : LA CURE DU FOIE : 1 les Commentaires : "5) AUCUN incident n’a été indiqué pendant les cures du foie, ni par le Dr Clark, ni par les autres sites, ni même par curezone. A U C U N ! ".
En faisant une recherche automatique parmi les 719 messages suivants, le mot incident ne ressort pas.
Tu trouveras peut-être de nombreux témoignages de femmes sur la cure de foie car cette cure est très prisée.
À l'hôpital, les purges yogiques sont pratiquées pour toute sorte d'examen.
Auprès du personnel hospitalier, tu trouveras peut-être des infos sur des éventuels incidents.
Il peut y avoir une inflammation dans l'intestin qui est déjà présente avant la purge et qui fera la même sensation qu'une plaie sur laquelle du sel à été saupoudré.
Il suffit donc d'éteindre cette inflammation au préalable de la purge avec un anti-inflammatoire un peu costo.

Bains salins de bouche
Même si tu n'as pas eu d'amalgames, il est intéressant d'essayer quelques bains salins de bouche.
Tu pourras ainsi visualiser ce qui se passe dans une purge yogique.
5cl d'eau à mixer avec 2g de NaCl (40g/l) à placer dans la bouche, gargariser, attendre 5 minutes.
Recracher dans le même verre, et constater que la hauteur d'eau a doublée.
L'eau des muqueuses et ses minéraux (dont les ml) sont sortis de la sphère buccale.
En répétant ces bains 1x tous les 1 ou 2 jours, toute l'eau de l'intra des gencives, de la langue, des joues, du palais, ... aura été renouvelée.
Lors des purges salines, il se passera la même chose avec les muqueuses des émonctoires.
Par contre, lors d'un lavement à l'eau claire, il ne se passe pas plus de choses que lorsqu'on met de l'eau claire dans la bouche.
Quant aux bénéfices de l'eau clair (élimination d'encombrants), l'eau saline les assureront également.

Micro-Organismes (mo)
De plus, la victoire contre les mo n'est pas assurée tant qu'il y a des ml.
Cependant, il me semble que les purges ne résolvent que partiellement le problème des mo en dépit de la résolution des ml.
Après avoir éliminé les ml des intestins, il faudra éliminer les mo, puis éliminer les ml qui sont sortis des mo.
Mais comme les ml auront été éliminés, les mo ne reviendront pas avec autant de force.
Tout traitement (jeûnes sec, anti-mo,...) provoque des incidents d'accumulation de ml, il est donc utile de savoir pratiquer les purges yogiques pour résoudre un incident d'accumulation de ml dans les intestins.

Système immunitaire
c'est mon système immu que je dois surtout renforcer.
Selon moi, le système immunitaire se pense comme un organe profond (=non accessible depuis l'extérieur) comme tout autre organe profond (muscles, cerveau, foie, ...).
Il n'est certes pas un organe compact et ramassé, mais il est simplement dispersé.
Il faut certes ne pas le solliciter inutilement, mais il a surtout besoin qu'on le désintoxique comme tout organe a besoin d'être désintoxiqué.
Pour traiter le système immunitaire, il n'y a pas d'autre choix que de désintoxiquer tout le corps.
Il sera également renforcé par l'exposition au froid.
Il me semble que seul le jeune sec pourra le désintoxiquer définitivement et complètement des métaux-lourds car les chélateurs ne rentrent pas vraiment dans l'intra.
Il en est de même avec le cerveau.
Mais avant le jeûne sec, il faudrait éliminer tous les métaux-lourds (et ils sont nombreux) des émonctoires, ensuite ceux de l'extra par chélation, puis ceux des mo.
Puis il faudra recommencer la détox des émonctoires intoxiqués par les ml des mo.
Puis, ensuite il faudra faire des jeûnes secs.
Et enfin, recommencer la détox des émonctoires récemment intoxiqués par les ml des jeûnes secs.
La détox des ml est donc une panoplie de routines à installer.
À l'heure où j'écris ces lignes, je teste les sulfates.
Ces sulfates ont résolu mes problèmes récents de mobilisation dans les intestins.
Peut-être désintoxiquent-ils tout le corps, ou du moins, une certaine partie de façon à s'épargner les purges et les chélations.
C'est-à-dire que l'ajout de 2g de sulfate de sodium dans une eau minérale à boire tous les jours pendant plusieurs semaines pourrait traiter les émonctoires.

l'endométriose
Uniquement après que tous les ml auront été éliminés, un jeûne hydrique très long pourrait éventuellement traiter l'endométriose.
Selon Fabien Moine, les cellules retrouvent leur positionnement au-delà de 20 jours de jeûne.
Cependant, je ne dispose pas de sa source d'information et je n'ai pas entendu cette histoire une deuxième fois.
J'en déduis que les cellules anormalement placées pourraient donc s'éliminer.
Je ferai également des bains froids pendant le jeûne pour augmenter les effets du jeûne.
Mais tu as l'air un peu jeune pour un jeûne long.
Si l'endométriose ne posait pas de blocage technique, il est préférable de repousser un jeûne long juste avant la longévité.
À 50 ans, beaucoup de problèmes vont être résolus avec le jeûne long de façon à attaquer la longévité en pleine confiance.
En dépit que le jeûne long n'aura pas résolu le problème pour lequel il aura été exécuté, le jeûne long aura été un gain d'ensemble significatif qu'on ne regretterait pas.

Dermite, acné
Je n'en ai peu parlé dans mon topic, mais j'ai eu des plaques rouges sur le visage lors de mes tests de crèmes salines.
La peau du visage étant très fine et mes crèmes actuelles étant fortement dosées pour le cuir ordinaire, ces plaques ont durée une semaine.
J'ai donc suspendu l'application de la crème sur le visage en attente de la résolution des flambées.
Mais j'en ai déduis que j'avais plein de ml dans la peau du visage.
Je compte traiter cela ultérieurement par une crème saline faiblement dosée au sulfate de sodium (1 à 2 grammes de Na2SO4 dans un pot de 100ml).
La dermite (ou acnée) peut peut-être parvenir de ml et d'hormone dont le cumul déclenche l'inflammation.
Les hormones serait correctement dosées, mais leur fluctuation ferait l'effet de la goute d'eau qui déborde.

Pour aller jusqu'au bout de la femme : La femme chez Shakespeare
Chez Shakespeare, le roi français épouse Cordélia parce qu'elle renonce à sa dote.
Chez Shakespeare, un roi anglais, qui arrache un baiser à une femme qui avait certes cédé mais qui n'était pas consentante, meurt à la scène suivante.
Chez Shakespeare, les femmes parlent d'adultère après qu'elles aient été maltraité par leur époux.
Chez Shakespeare, les femmes françaises sont des chevaliers, elles combattent, elles mènent les troupes et elles sont chef de guerre.
Je m'arrête sur cette échantillon-ci, car sinon, je ne finirai jamais de parler de la femme chez Shakespeare...
L'œuvre de Shakespeare est un mode d'emploi de la femme à destination des hommes, elle devrait donc être enseignée au collège...
Mais chez Molière, l'homme jaloux insulte la femme par son manque de confiance, elle pourrait donc le faire cocu pour se venger.

Utérus
Lors de la dérégulation du cycle, la question de la détox de l'utérus se pose.
Comme on l'a déjà vu, lors d'un jeûne sec, les organes profonds (muscles, os, ...) se vident de leurs ml.
Les émonctoires étant des organes filtrants du sang, ils devraient être tapissés de ml.
Mais l'utérus est également un émonctoire, il est donc fortement possible que les métaux-lourds s'y fixent tout autant que dans les intestins.
Le remède serait des lavements à l'eau saline et éventuellement la prise de chélateurs.
Sur les sites professionnels de médecine, les douches vaginales sont interdites.
En pis-aller qui flattent leur autorité, on se croirait avec des clercs qui, faute de compétences, multiplient les interdictions.
Cependant, ces interdictions révèlent que les complications inextricables sont nombreuses et que la prudence s'impose.
Avant de se lancer dans la détox, un petit cours sur leS cycleS de la femme est très opportun.
Deux femmes très calées ont fait une petite série d'interview sur le cycle féminin au naturel avec Thierry C.
Les macro-cycles de vingt ans nécessiteraient un rodage naturel pluri-annuel.
Or, selon cette interview, la pilule entrave ce rodage, il y a peut-être là une explication aux dérégulations.
Mais, s'il s'agissait de métaux-lourds dans l'utérus, le lavement salin serait peut-être le seul traitement efficace.
Ce ne sera ni la chélation, ni le jeûne sec qui désintoxiquera les trompes, car l'un ne traite pas l'intra, et l'autre mène justement les métaux-lourds jusqu'à la limite extérieur des tissus sans jamais la franchir.
Lors d'un lavement salin, en cinq minutes, la cavité sera saturée par le doublement du volume d'eau.
Dès que l'eau demandera à sortir, c'est que les trompes auront été traitées, et il faudra libérer l'eau aussitôt ( ajout : au risque de crever les trompes - voir complément post suivant).
Eau froide. Au-delà des douches, il est préférable de tester quelques bains froids.
Mon expérience perso, c'est que seulement cinq bains frais (15'à15°) ont eu un effet de tonus général en profondeur qui ne m'a plus jamais quitté.
Sans effet des bains froids, un lavement à l'eau froide boostera fortement l'organe qui soufre éventuellement de manque de sollicitation à des conditions limites.
Quand au lavement, il me semble donc utile de la finaliser avec un lavement à l'huile (pratiques ayurvédiques) de bourrache afin de nourrir les tissus.
Ce lavement est également un équivalent local de la pancha-karma, les toxines organiques (pesticides) seraient également solubilisées et envoyées vers la circulation sanguine.
Le sujet des micro-organismes est plus complexe.
Les infections semblent faire parti des complications, sans être parano, il faudrait un peu désinfecter le matériel et utiliser de l'eau minérale.
Le déséquilibre de la flore semble également faire parti des complications. Mais, sans les métaux-lourds, la situation devrait s'améliorer.
Selon la fédération d'aromathérapie, les he ne s'attaquent pas aux mo commensaux.
J'ajouterai quelques he essentielles anti-mo à 5%, (non-abortives, non-dermocaustiques,...).
Sur les questions de femmes, la fédération française d'aromathérapie m'a semblé être dotée de solutions bien plus sur mesure qu'un gynéco.
Il faut cependant savoir qu'il faut de nombreux mois pour se familiariser avec l'aromathérapie.
Mais, en cas de difficultés chronique, la solution ne peut parvenir que par l'autonomie, cela en vaut donc le coup.
Par ailleurs, sur mes notes de la formation d'aromathérapie, j'ai retenu que l'huile végétale de bourrache serait l'huile de la femme car elle régulerait les hormones.
Je prendrai ces huiles en oral car les hormones parviennent également du cerveau.
Mais si c'était la thyroïde et/ou l'hypophyse qui étaient intoxiquées aux ml, comment le savoir sans le diagnostique aux ml ?
Ensuite, j'arrive à la fin de mes capacités d'anticipation.
Il y aura donc toutes les complications inextricables scandées par les sites professionnels. Comme je suis débrouillard, je m'en sortirai.
Mais comme je ne suis pas en situation, il m'est donc bien facile d'écrire cela.
Cependant, peut-être existe-il des centres qui pratiquent la douche utérine dont je me doute qu'il ne connaissent rien à la technique saline. Quelques séances encadrées par des professionnels permettraient peut-être de traiter les métaux-lourds. S'ils refusaient la technique saline, il demeure intéressant d'y pratiquer quelques séances pour se roder à la maison.
La solution du sulfate de sodium dans l'eau minérale serait quand-même à tenter au préalable.
De mon côté, je ne sais trop si je suis intoxiquée aux ML, mais probablement.
Pour la suite de ton parcours, il est hautement préférable de lever le doute.
Ton tableau est certes compatible avec une intoxication, mais :
il serait préférable d'arbitrer sur tes hypothèses sans résolution par un diagnostique.
S'il n'y avait pas de métaux-lourds, tu peux donc savoir que les purges yogiques, les jeûnes secs, les chélations seraient définitivement à mettre de côté.
Si le diagnostique était positif, là, tu sauras donc que seules ces actions spécifiques seraient appropriées pour résoudre un mix minéral non-physiologique.
Le diagnostique mettra éventuellement fin une errance qui peut durer des décennies.

Si tu n'avais pas de contre-indication, je souhaiterai publier ultérieurement la partie intox de ton message.
...

Sans les questions, je place ici une série de réponses sur différents sujets.

Jeûne sec
En effet, le glucose envoie un signal de multiplication des mo.
Cela est certes écrit dans l'E-book, et je l'ai également entendu au Collège de France.
Par voie de conséquence, le jeûne hydrique envoie les mo en veille.
Quant à la part sèche du jeûne, je n'avais pas encore entendu cette version mais elle ne me convainc pas au premier abord.
Le glucose, c'est du turbo métabolique à volonté.
Les cellules se divisent avec le glucose, et il en est de même avec les bactéries.
Lors d'un jeûne, les hommes cessent de se raser la barbe car les poils ont cessé de pousser (=cesser de se diviser).
Mais, les métaux-lourds chauffent avec des ondes.
Comme la chaleur, c'est de l'énergie, les mo disposent d'énergie avec les ondes et les ml.
Avec des ml, le jeûne perd de son efficacité.
Avec les ml, la donne est changée, voir inversée.
Il faut d'abord traiter les ml.
C'est pour cela que ton test aux ml est assez déterminant.
Le problème du jeûne sec, c'est que les ml qui sont fichés dans les muscles vont atterrir dans l'intestin.
Ton intestin, déjà en berne, sera encore plus chargé en toxines.
Ce qui te semblait une solution est une erreur.
Ta priorité n°1, c'est l'intestin.
Si tu avais des ml et des mo, les lavements n'apparaitront certes pas comme une réussite, mais cela aura été une étape nécessaire.
Ensuite, il faudrait faire des campagne anti-mo qui risquent de libérer des ml.

Test de provocation
T'inquiètes, si le test était positif, tu auras du chemin à parcourir.
S'il était négatif, les campagnes anti-mo (he, ail, ...) me semblent plus appropriées.
Avec ton message d'hier soir, j'ai le problème de l'absence de test aux ml.
Sans ce test, la confusion va régner à chaque initiative, à chaque question, et à chaque sujet.
Question : Faut-il faire ci ou pas ? le réponse est : ça dépend s'il y a des ml ou pas...
Donc, c'est la zizanie.
Il est vraiment préférable que je réponde à ton message d'hier qu'après le test de provocation.
Sans ce test, je ne peux vraiment pas t'aider car on va tergiverser comme à l'instant.
Le test est un traitement comme un autre à l'issu duquel un échantillon d'urine est envoyé au labo.
Il y a eu des incidents avec le traitement, c'est donc à chacun de se décider à prendre le risque.
Dans un cadre professionnel, ce risque est bordé.
Mais entre les témoignages d'incidents non étayés sur internet, et la minimisation des risques par les médecins, il est difficile de se faire un avis.
Il y a le fameux test des lymphocytes : on te prélève du sang, et on test les ml dans ce sang.
S'il réagit, y'a des chélateurs appropriés, mais tu devais voir cela avec le médecin.
Si tu n'avais pas de ml, il n'y aura pas d'incident même si le test des lymphocytes était positif car il n'y aura pas de ml qui sortirait.
S'il était négatif, je ne verrai pas de contre-indication au jeûne même s'il me semble qu'il ne servirait pas à grand chose...
La chélation va améliorer un état général et elle va permettre de résoudre les éventuels incidents qui surviennent lors d'un jeûne, ou d'une campagne anti-mo.
Pour se lancer dans les détox du second ordre, il faut d'abord se roder avec la chélation.
Quand j'ai fait le jeûne sec, j'ai bloqué les intestins, c'est pour cela que je te préviens du jeûne sec.
La multiplication des jeûnes secs risquerait de bloquer les émonctoires par gradient.
Cependant, les intestins peuvent être traités avant le rodage de la chélation de façon à attaquer les jeûnes secs avec les émonctoires déjà détoxés.
Le diagnostique de ml est donc préférable pour continuer à avancer.

Micro-organisme.
Le jeûne hydrique est très efficace en cas d'épidémie car la machinerie de réplication (adn/arn, membranes, ...) est suspendue faute d'énergie.
Donc, pas de multiplication des micro-organismes faute de glucose.
En jeûne, la division cellulaire est également suspendue, d'où son effet provisoire sur le cancer.
Mais si le régime alimentaire ne suivait pas (reprise du glocose) c'est la rechute, idem avec les mo.
J'ai vu le témoignage d'un membre qui a fait un herx suite à un traitement anti-mo.
Cet herx est parvenu alors qu'il avait déjà rodé son traitement anti-mo depuis des mois.
Ça a donc été une surprise inattendue.
Quelques jours/semaines après, ce membre ne s'en n'était toujours pas sorti, cela est anormal sauf si des ml se sont fixés dans les intestins.
Or ce membre n'a pas rodé la chélation chimique.
La chélation douce est aléatoire, et insuffisante en cas d'incident.
Mais seule la chélation chimique est suffisament satisfaisante.
En cas d'intox aux ml, le traitement des MO risque de provoquer un énorme lâcher de ml dans les intestins.
Il faut donc que tu sois à l'aise avec les techniques salines et les chélateurs pour t'attaquer aux ml libérés par les mo.
Si cela est écrit dans l'e-book du forum, c'est que c'est une constante chez les intoxiqués.
Les purges yogiques ne vont peut-être pas traiter les mo, tu aurais donc encore des soucis d'intestins.
Et, si tu ne supportais pas une dose normale de chélateur (environ 0,5 à 1g gramme selon produit), cela est un peu problématique.
Certains membres ne tolèrent que 0,05 g, voir moins, (mais non solubilisés jusqu'ici)...
Il faudrait donc y aller tout tout doucement sur les produits anti-mo (au goute à goute) y compris si tu ne ressentais pas d'effet, car le largage de ml peut être significatif et qu'il peut parvenir sans prévenir et à tout moment.
Faute de rodage intensif de la chélation, c'est la panade durable.
Quand j'ai commencé le traitement anti-mo, j'ai fait un incident, j'ai du enchainer avec une cure à 1,5g d'ala par jour pour résorber un point de côté permanent.
Les doses quotidienne de chélateur que je prenais correspondaient à plusieurs fois les doses mensuelles conseillées par les médecins...
Donc, prudence, stp, et le rodage du lavement te permettra d'être à l'aise dans la panique de l'éventuel fameux herx...
Quant aux produits anti-mo, les mo sont les tiens et pas les miens, il n'y a donc que toi pour sélectionner les produits qui feront effet.
Il faudrait dresser une longue liste d'anti-mo, et commence par le haut de la liste, puis cocher chaque case.
En cas de ml, le traitement anti-mo est le passage le plus périlleux.

Purges
J'ai vécu des incidents +/- très graves avec les jeûnes secs, avec les mo, et avec les crèmes salines.
Pour résoudre ces incidents, il faut savoir pratiquer le traitement des intestins.
Désormais, quand je fais un incident, je suis pénard : je sais le résoudre.
Ce sont les purges et les chélateurs qui m'ont sorti de mon incident à chaque fois.
Et depuis peu, les sulfates et les phosphates ont fait le bouleau dont l'administration est trop simple.

Sels de Schüssler
Je viens de découvrir les sulfates et les phosphates qui a déjà fait l'objet d'une médecine qui prétend réguler l'eau de l'organisme.
Il y a donc là une piste à tenter.
Comme chaque détox, il faut s'attendre à des améliorations qui n'iront pas jusqu'au bout de la résolution du problème.
Je propose une méthode provisoire qu'il te faudra affiner: dans un litre d'eau minérale, verser de 0,1g à 1g de chaque sel (bcs, chlorure, sulfate, phosphate).

Jeûne hydrique et endométriose
Quant à l'endométriose et au jeûne hydrique long, je crains que ce sujet-ci ne soit pas d'actualité avant plusieurs années en cas de ml.
De plus il te faut 15kg de réserves + des réserves de sécurité.
Si le jeûne hydrique de 5 jours ne résout pas les problèmes d'intestins, c'est pas la peine de continuer le jeûne, c'est qu'il faudra traiter l'eau.
S'il y avait encore des métaux-lourds dans les cellules, les effets éclatants du jeûne (court ou très long) ne sont pas potentialités.
Comme les ml inhibent la mitochondrie, la cellule ne peut pas lancer son programme d'apoptose ou d'entretien/maintenance.
Donc les chances de résolution de l'endométriose ne sont pas confortées.
D'où l'intérêt du test.
Mais tu peux toujours te préparer mentalement à la question du jeûne long car il faut beaucoup de mental d'acier.
Au début, il te faudra aussi bichonner ton intestin aux reprises (légumes vapeurs) après des jeûnes modérés.
Après des dizaines de jeûnes et après la détox aux ml, je peux faire une reprise avec un gueuleton sans aucun problème.

Bains salins de bouche
En effet, parfois ça ne marche pas même si je m'étais bien hydraté la veille.
Cela est noté dans mes chroniques.
Voici mon protocole complet :
Uniquement pour la bouche, mon dosage perso est à 100g/l, mais j'écris 40g/l dans mon topic pour qu'on ne me reproche pas d'incident de pelure de la muqueuse.
(ces pelures sont apparues après des bains à 200g/l, et à retardement lorsque j'ai mangé des légumes bien chaud)
Puis je fais circuler l'eau dans la bouche :
le long des gencives, en haut, en bas, de gauche à droite, de d. à g., les joues travaillent comme chez un saxophoniste,
puis je fais passer l'eau entre les dents par des mouvements de joues et de langue au rythme d'un roulement de tambour,
puis contre le palais, (la tête en avant)
puis je gargarise, (la tête en arrière)
puis je recommence le tout.
cad que l'eau est toujours en mouvement dynamique.
Comme je ne peux pas tenir 1 minute sans m'ennuyer, je prends ma douche en même temps, et 10 minutes passent toutes seules.
En dix minutes, y'a tellement d'eau...

Dosage du sel à la balance
Parfois, la dose est irritante à 5g près.
Avec une balance de cuisine (à 1g près), je suis définitivement à l'aise car j'ai mes repères.
Donc avec une balance, on peut être certains de ses habitudes.
Puis à terme, en cas de chélation autonome, une balance de précision deviendra vite indispensable.
Le mixer est aussi un ustensile indispensable.
Le petit matériel de l'intoxiqué, c'est : un mixeur à piles, un thermomètre et une balance de précision.
On trouve tout ce matériel en supérette - ou chez aroma-zone.
Chez aroma-zone, j'ai trouvé tout l'accastillage de second ordre, béchers, sous-coupes, cuillères 2g, 5g, pipette, pots,...
Y'a tout le matos du petit chimiste...

Purge/lavement
À l'hôpital, on n'appelle pas ça une purge yogique, mais un nettoyage par laxatifs.
Les laxatifs sont utilisés à chaque coloscopie.
les laxatifs ont différents modes opératoires, la purge yogique correspond aux laxatifs osmotiques (vraisemblablement très couramment utilisés).
Purge yogique = laxatif osmotique par voie orale.
Mais dans la purge yogique, il faut aussi faire la danse du ventre (moi, je ne la fait pas).
Lavement à l'isotonie, il faudrait garder l'eau pendant 20 minutes, mais il ne faut pas forcer au début.
Si ça veut ressortir en dépit qu'on force pour la garder, il faut libérer l'eau, et retenter ultérieurement.
Lavement au sel : ça voudra ressortir en 5 minutes car le volume d'eau aura doublé dans le lumière de l'intestin.
L'effet à eu lieu, il faut donc libérer l'eau.
La valeur de 40g/l est la valeur de départ.
Avec la pratique, on peut amender vers le haut (jusqu'à 60,80) ou vers le bas (mais pas moins de 20g/l sinon pas d'effet).
On peut changer les sels, sel d'epsom, ou sel de cuisine selon l'irritation, ...
Parfois, quand l'eau saline ne veut plus entrer, il faut alterner eau claire/eau saline.

Cure du foie
La cure du foie commence par une purge yogique avec du sulfate de magnésium, : 0,8 litre à boire à 40g/l de sel d'epsom.
Puis, ensuite on boit de l'huile avec du pamplemousse de façon à ce que la VB fasse un flush de calculs.
Les canaux sont dilatés, le foie évacue aussi ses calculs vers la VB.
Comme la cure du foie est très prisée, et qu'il y a bcp de témoignages sans incidents,
J'en déduis mécaniquement qu'il n'y a pas d'incidents sur la part osmotique de la purge yogique.
Bcp d'intoxiqués/ehs font la cure du foie, mais j'attribue ses vertus sur les intoxiqués aux sulfates et non à l'élimination des calculs.

Régime alimentaire
Le régime alimentaire de base que je recommande, +/-céto c'est :
Des légumes (verts de préférence ou en majorité) en salade : apport d'électrons dans l'eau de la cellule du légume.
De la viande en quantité raisonnable et des légumes cuits en accompagnement (apport de minéraux en abondance).
Réduire le riz, et légumineuses, quinoa...
Éviter fortement les sucres, gluten, pain, pâtes, céréale de blé, desserts, glaces, baba au rhum...
bannir les produits laitiers si nécessaire.
Sauf le beurre qui passe très bien, et encore mieux quand il est clarifié.
Le beurre, c'est 98% de lipides, or ce sont les protéines (caséines) qui posent problème.
Ensuite, il faut amender ce régime selon les résultats : des écarts si ça passe, de la restriction si ça passe pas.
Le régime végan n'est à tenter que pour les personnes qui sont déjà en très très bonne forme.
Mais, encore, cela n'est pas suffisant, il faut de la ressource culinaire pour compenser le déficit de protéines.
Dès que le jeûne a atteint un plafond d'effet, il ne sert plus a rien.
Les jeûnes longs à répétition semblent efficaces contre les pathologies vivantes : cancer, tumeurs, virus chroniques, épidémies, endométriose.
Contre les ml, un seul et unique jeûne hydrique court (3j) + ce régime me semble être l'optimum.
Après la détox des ml, on peut faire tous les jeûnes qu'on veut.
Le jeûne hydrique contre les ml est inopérant, et donc contre les mo qui vivent avec des ml (ml+ondes = chaleur = survie des mo).
Je recommande ce régime à vie de façon à ne pas avoir à faire de nouveaux jeûnes.
Ce régime pourra traiter l'endométriose sur un très long terme : par manque de sucre, la cellule mal placée ne se diviserait pas.
Le jeûne n'est qu'un effet éclatant de ce régime.
La mal-bouffe entre deux jeûnes annihilent les gains des précédents jeûnes, les mo reviendront (sauf si l'épidémie était passée).
Le sucre est prioritaire sur les lipides, les lipides ne sont donc pas brulés, et donc non détoxés.

Antigone a écrit:Je voulais t'évoquer quelque chose qui je pense te fera grand plaisir si tu ne le sais pas : les cures thermales à l'eau salée existent, notamment en France. J'ai parlé des vertus de l'eau salée à ma mère. Elle a fait des recherches et est tombée sur des cures gynécologiques à l'eau salée, dosée de 140g/L à 300g/L, ce qui est non négligeable. Celles sur lesquelles je suis tombée, c'est Salies-du-Salat, ou Salies-du-Béarn. Je vais faire dans la première ville une cure cet été a priori, j'ai fait ma demande à la sécu sociale. Il y a notamment les fameux lavements vaginaux.. ! Donc je trouve que c'est super, je pourrai peut-être ainsi maitriser le geste, et au-delà de cet aspect, octroyer à mon corps et mes organes génitaux une vraie détox, en ce qui concerne les métaux lourds/pesticides etc. Cela dit, je pense qu'il faudra que je me réalimente en conséquence très bien derrière et surtout que j'aie une très bonne hydratation, car cela risque d'être fatiguant, ça dure trois semaines.

Sophocle a écrit:Merci pour cette info, cela va certes conforter les lectrices de la section féminine. Mais cela va également conforter les lecteurs et les lectrices qui se posent des questions sur les purges yogiques, bains de bouches, crèmes salines. Si des femmes pratiquent ces techniques salines intimes ponctuellement en cure thermale, cela veut dire que ça marche pour résoudre des problèmes de muqueuses. Cette info est un sacré coup de pub pour la technique. Bien que je sais que j'aurai ton consentement, je ne te demande même pas ton avis pour publier ce passage. [size=85](hors séance : voici un site avec un catalogue de sites : Les curistes)[/size]

Antigone a écrit:Actuellement, et depuis 3 jours, je suis à Salies-du-Salat. J'ai commencé lundi ma cure et je sens que ça va me faire grand bien. J'ai quelques précisions, non négligeables, à t'apporter ce jour : d'abord, le soin principal de la cure gynécologique est effectivement le lavement vaginal à l'eau salée. Seulement, ils utilisent une eau plus que diluée au début... le médecin m'a prescrit 7g/L. C'est vraiment peu, par rapport à l'eau pure de 300g/L. J'ai insisté en le voyant, je lui ai dit que ça me paraissait peu et que j'avais peur que ça ne soit pas assez efficace mais il a considéré que ça le serait. Il avait aussi pris ma tension ce matin-là, j'étais à 10/6. Je pense qu'il n'a pas voulu commencer fort avec moi au vu de ma tension, surtout que je lui avais parlé de ma fatigue chronique avant. En milieu de cure, apparemment, il augmente les doses (soit au bout d'une semaine et demi environ). Pour ma part, je l'ai réalisé, ce soin, ce matin même pour la première fois, avec beaucoup de douleurs. J'ai déjà, initialement, des douleurs dans cette zone, mais c'est le sel au contact des muqueuses qui a vraiment déclenché des douleurs importantes. J'ai failli arrêter avant mais j'ai tenu bon, le soin dure 15 minutes au total. Donc, même peu dosé, j'ai eu de grosses douleurs... Saurais-tu l'expliquer ? Après, justement avec l'endo, je suppose que c'est une zone particulièrement inflammatoire pour moi malgré tout, et donc qu'au niveau nerveux, j'y suis également plus sensible. Sinon, quant à la pratique elle-même, en réalité, on se débrouille globalement toutes seules... Enfin, elle m'a montré comment ça fonctionnait avant, comme un lavement rectal finalement mais au niveau du vagin, l'eau au lieu d'être éjectée verticalement l'est de façon horizontale, sur les côtés de la canule. Mais sinon, pas de précautions particulières mis à part le fait que ça doive être stérilisé, donc chaque jour, après, mettre dans l'eau bouillante. À mon sens, c'est clairement aisément reproductible chez soi... Il vaut mieux être progressif pour augmenter petit à petit le seuil de tolérance, tout simplement. Par contre, ils ne font pas du tout de lavements utérins pour le coup, et ça, je n'en connais pas les risques et usages.
Quant aux autres soins, ils consistent en une douche locale à jet : l'infirmière projette sur nous la douche à l'eau salée à la température de notre choix. Le médecin indique les endroits sur lesquels elle doit insister. Il y a les pieds, particulièrement le dos et les jambes. Ça fait beaucoup de bien. Il paraît qu'elle est « drainante », en ce sens, j'ai saisi que ça devait bien stimuler la lymphe. Sinon, ça apaise. Le dernier soin est une immersion dans un bain d'eau pure de Salies pendant 20 minutes. Les premières 10 minutes, on reçoit dans le bain des jets de douche qui stimulent le corps également, et dans la seconde partie, c'est un « aérobain », avec énormément de remous. C'est pareil, plutôt agréable quoi qu'un peu violent au début tout de même. Au 2ème jour, j'ai une peau déjà moins belle, j'ai l'impression que des toxines sortent par cette voie. Sinon, je pensais avoir droit aux applications de boue, mais ça n'est malheureusement pas le cas. L'infirmière m'a dit qu'il aurait fallu indiquer sur l'ordonnance cure gynéco avec rhumatologie en complément. Je ne suis pas concernée, cependant, l'argile est bon aussi pour la gynéco, donc si je réitère l'expérience d'une cure thermale, j'ajouterai probablement ce complément sur mon ordonnance, si mon médecin est concilient.

par **Sophocle** Mar 27 Juil - 12:54

Dans Mabeth, Shakespeare a écrit:MACBETH : Comment va votre malade, docteur ?
LE MÉDECIN : Elle a moins une maladie, monseigneur, qu’un trouble causé par d’accablantes visions qui l’empêchent de reposer.
MACBETH : Guéris-la de cela. Tu ne peux donc pas traiter un esprit malade, arracher de la mémoire un chagrin enraciné, effacer les ennuis inscrits dans le cerveau, et, grâce à quelque doux antidote d’oubli, débarrasser le sein gonflé des dangereuses matières qui pèsent sur le cœur ?
LE MÉDECIN : En pareil cas, c’est au malade à se traiter lui-même.
MACBETH : Qu’on jette la médecine aux chiens, je ne veux rien d’elle…

J'ai commencé à rédiger ce post comme un complément au post précédent.
Mais à force d'amendements, j'ai rédigé un canevas de discours d'autonomie de la femme.
Afin de prévenir et de traiter toute intox, je dois prévenir que j'ai glosé jusqu'au bout des détails de tripes de femmes.
De la détox, je suis passé à la contraception, puis à la fertilité.
L'autonomie peut prendre plusieurs années à se consolider, il ne faut donc négliger aucune solution à disposition pour minimiser les chances de fécondation.
Cependant, la détox une démarche de première intention pour rétablir la fertilité et pour maximiser un développement physiologique de l'embryon.

Peu de discours sur les solutions naturelles.

Au cours de ma pérégrination, je n'ai presque rien trouvé qui suggère de près ou de loin comment la femme peut réguler son corps.
Heureusement que, Thierry C. invite deux nanas très calées qui parlent de la symptothermie (les cycles au naturel - voir lien au post précédent).
Avec ces vidéos, on sait comment le corps fonctionne en base au long cours.
Après, chacune peut apprécier les anomalies, les éventuelles dérégulations et les effets de la médication par rapport à une situation au naturel.
Voici un tableau comparatif des efficacités des méthodes, les résultats de la méthode sympto-thermique sont équivalent à toute autre méthode hormonale (voir légende en pied de tableau).
Avec cette méthode, la femme ne prend pas plus de risques que la pilule, mais sans les effets secondaires de la manipulation des hormones.
À mes yeux, le gain majeur est que la femme prend totalement possession de son corps.
C'est-à-dire que la jeune-femme insufflera une confiance de pleine conscience : 1 en elle-même, 2 sur son esprit, et 3 sur son corps.
Ainsi, la jeune-femme sera autonome, et elle pourra revenir à l'autonomie à tout moment.
Cette confiance aura un retentissement de sérénité sur son épanouissement corporel et mental.
Le taux d'abandon de la méthode est certes de 50% à un an, mais une femme pourra revenir à la sympto-thermie quand elle le désirera.
En dépit qu'elle optera pour une autre méthode à terme, la confiance en elle-même demeurera par la connaissance de la méthode naturelle.

Effacement du naturel.

Le rapport que nous avons à la technique, ce n'est pas un renforcement du naturel mais un effacement du naturel.
Par exemple, la salubrité des deux liquides du corps et la salubrité des mitochondries est un discours qui a complètement échappé aux médecins et à l'État.
Le traitement des causes des maladies (métaux-lourds, pesticides, sucre,...) est également un discours qui a complètement échappé aux médecins et à l'État.
Derrière une civilisation prétendument hautement scientifique, on ne sait ni les causes ni les traitements des maladies dégénératives.
Or, ces causes et ces traitements sont connus depuis l'Antiquité, soufre, jeûne, bains froids.
Quant au corps de la femme, il nécessite un rodage, une patience, un apprentissage, une transmission des savoirs, un accompagnement, et tant de soins encore.
Les médecins conventionnels n'ont pas de discours, si ce n'est celui de marchands de soins de façon à faire de la femme une consommatrice de médicaments.
Selon Shakespeare, les gaulois était le peuple qui prend la femme pour une finalité et qui exclut de la prendre pour un moyen.
Shakespeare fait donc de la France le centre du monde par le rapport qu'ont les hommes avec les femmes.
Avec les médecins français, on est bien loin de la noblesse shakespearienne.
Je rappelle que la loi française interdit formellement aux médecins de faire des affaires commerciales.
Et, cette même loi interdit formellement aux entrepreneurs (et à tout autre personne) de dispenser des discours médicaux.
Comme tout Ordre, l'Ordre des Médecins a justement été créé pour veiller au strict respect de cela.
Or, la confusion règne entre les médecins et les entreprises, l'Ordre des Médecins est donc un échec.
Quand les centres anti-poison interdisent des diagnostiques aux métaux-lourds, cela est une trahison dont l'ensemble des médecins profitent.
Avec leur impunité, les médecins que j'ai questionnés en sont à se froisser quand je leur demande de traiter les causes des maladies chroniques.
Comme on ne peut pas compter sur le gouvernement, il faudrait donc inventer un contre-pouvoir aux Ordres (tenu par les usagers) pour les obliger à faire appliquer leur mission de service public correctement.
Le problème de la médecine conventionnelle, c'est qu'elle doit satisfaire toute la chaine d'intervenants : du pharmacien au ministre en passant par les laboratoires et la recherche.
La finalité de la femme est donc relayée derrière les intérêts immédiats de chaque intervenant.
Illustration littéraire : selon Tocqueville, l'autonomie (et non l'anarchisme) est la pire ennemie des institutions car l'institution, faute de désordres, s'efface.
De plus, selon Semmelweis de Céline, rien ne saurait amender le confort du médecin.
À leur décharge, les médecins ne sont pas les seules personnes prétendument au service d'autrui qui soignent leur confort avant tout.
Avec Céline Alvarez, je peux voir que les professeurs seraient à l'instruction ce que le médecin est à la détox.

Horlogerie

Les trois infrastructures.

La femme en littérature

L'irréparable outrage :

Dans Athalie, Racine a écrit:
[size=85]Ses malheurs n’avaient point abattu sa fierté ;
Même elle avait encor cet éclat emprunté
Dont elle eut soin de peindre et d’orner son visage,
Pour réparer des ans l’irréparable outrage.[/size]

"Je viens"

Sweet Montague, be true. - Stay but a little, I will come again.

Molière

Racine, Corneille et Molière

Chez ces trois auteurs, un homme et une femme conversent ensemble alors que d'autres hommes et/ou d'autres femmes se promènent aux alentours de la conversation.

Intimité

Généralités sur la solution
- Je ne crois pas qu'il faille nécessairement un certain pH très précis pour la solution : un organe en bonne santé rétablira le bon pH.
  Il faut viser la détox, et non la solution au pH que devrait avoir l'organe.
  En fait, le pH de la solution pourrait suivre les saisons : alcalin en hiver et acide en été : construction et sculpture.
  Cela aiderait peut-être l'organe à faire ses mues.
  Mais, chez certaines femmes, il faudra peut-être croiser le pH et la saison, il faut écouter ce que le corps exprime dans la durée.
  Les changements stimuleront l'organe de façon à ce qu'il demeure au top.
  Le pH de la solution n'est certes pas à négliger, mais il n'est que du deuxième ordre après la qualité des liquides qui composent les tissus et après la quantité de mitochondries.
  Pour multiplier les mitochondries, il suffira d'injecter de l'eau froide.
  Pour rincer les minéraux non physiologiques, la solution devra être hypertonique, et la composition magnétique des sels devra permettre de détacher les métaux-lourds.
  Pour drainer les toxines organiques (pesticides, hormones non-métabolisées), le traitement est une pancha-karma locale (lavement à l'huile).
  De plus, pour réguler les micro-organismes, des huiles essentielles sont la solution efficace.
Micro-organismes
- L'avantage des huiles essentielles, c'est qu'elles sont sous forme d'huile.
  Ces huiles peuvent donc être solubilisées en nuage de façon à percoler dans l'ensemble de l'organe.
  Avec un minimum de principe actif (et donc sans aucun effet secondaire), il est donc possible de traiter tout l'organe de façon très efficace.
  De plus, les huiles essentielles entrent en action lorsqu'elles sont en nuage.
  En nuage, les propriétés des particules électrochimiques sont exacerbées, voir post sur les huiles essentielles ; exemple : orage dans un nuage, ou ml en nuage + ondes=ehs.
- Contre les mo, il n'y a pas que les he ou le vinaigre, il y aussi le jus d'ail frais, et de nombreux autres produits à solubiliser.
- En cas d'infection, il serait utile d'alterner la tonicité de l'eau (eau claire/eau saline).
  L'eau claire fera entrer les he dans les cellules pour atteindre les mo ; l'eau saline fera sortir les toxines (et certains mo) la fois suivante ; et ainsi de suite.
  Cette solution est une généralité, elle est valable pour presque toutes les muqueuses, bouche, intestins, sinus, ...
  Mais il faut que les dosages de sels soient adaptés (ex: sinus: 15g/l max de NaCl) et que les quantités d'he soient très faibles en privilégiant la fréquence.
  Sauf pour l'oreille, on ne met pas d'he dans les oreilles, on en met autour de l'oreille.
Composition de la solution
- Douche vaginale
  - Avec le froid, la lymphe sera envoyée vers la circulation générale et du sang sera apporté de la circulation générale.
    Avec le froid, les solutés physiologiques seront drainés jusqu'aux cellules.
    Les muqueuses seront donc nourries, oxygénées et désintoxiquées.
    Quand Ronaldo, en prime-time, se met des glaçons sur un bleu, il en est de même avec tout tissu : restructuration.
  - Les cellules légèrement déshydratées au cours du rinçage se renfloueront lentement pendant la journée.
    Il faut 48 heures pour rétablir un déséquilibre liquidien substantiel.
    Si la douche était quotidienne, il faudra donc une eau de rinçage juste assez peu hypertonique (de 1,1 à 1,5x l'isotonie) pour que les cellules retrouvent leur tonicité en quelques heures.
    Il faudra aussi faire varier les sels de façon à faire décrocher les ions et les parasites par compétition magnétique.
    Les sels majoritaires seraient 1 : le Na2SO4, puis 2 : le NaCl.
    Les sels de magnésium risquent d'être un peu irritant, mais il n'est pas inutile de les pratiquer occasionnellement.
    Un peu d'huile végétale fera solubiliser les toxines organiques de façon à les faire partir dans la circulation générale.
    Des huiles essentielles permettront de sélectionner les micro-organismes.
    Les campagnes d'huiles essentielles devraient être ponctuelles pour pallier à des infections de façon à ce que l'usage des huiles essentielles ne soit ni régulier ni répétitif.
    L'apprentissage des huiles essentielles peut s'étaler sur des années, mais cela en vaut la peine.
    Pour le mélange d'huile dans l'eau salée, il suffit de faire une bouteille d'huile végétale avec de la lécithine de soja et avec des he depuis laquelle est prélevée une cuiller à café d'huile. - à mixer.
    Voir préparation, au chapitre "pratico-pratique : Préparation de la solution solubilisée pour produits lipophiles : Ala, He, anti-mo,..." du post suivant : Crèmes salines : détox efficaces de la peau et des tissus.
    Et surtout : de l'eau froide (10°, voir même moins), elle déclenchera une hyper-vascularisation qui va oxygéner les muqueuses, qui va les régénérer et qui va les rincer dans toute leur épaisseur.
    Le froid intense n'est pas à pratiquer à chaque douche.
    Une petite série de 5 douches au froid intense devrait obtenir des effets durables.
    Cette petite série est à pratiquer en cas de faiblesse.
    Mais pour les douches courantes, il faudrait une eau fraiche de façon à activer la vascularisation.
    Pour le pH, un tissu en bonne santé ne devrait pas souffrir de l'eau à pH7.
    Cependant, si le pH7 posait problème, ou qu'il fallait absolument une eau acide (spermicide) de l'alcool à 15° ferait l'affaire en diluant de l'alcool de pharmacie.
    Des rinçages avec de l'alcool à 15° seraient autant efficaces et bcp moins irritants que du vinaigre (ou jus de citron) dilué.
    Cependant, à des fins d'efficacité, les 2 nanas de la sympto-thermie préconisent le préservatif masculin pendant la période de fertilité.
    Il me semble que le vinaigre (ou jus de citron) devrait être réservé à un ultime recours (infections persistantes).
    Si le pH7 posait un problème, c'est qu'il y aurait un problème plus important à résoudre.
    Plus la douche est fréquente, plus les dosages doivent être faibles (sauf pour celui des sels qui ne devrait pas être en-deçà de l'isotonie).
    Il me semble que des fenêtres régulières sans douche seraient préférables pour laisser la flore éclore.
    Ce qui est important, c'est de ne pas laisser de nombreuses toxines s'accumuler pendant des mois ou des années.
    Un organe en bonne santé devrait reconstituer sa flore très rapidement.
    Avec la sympto-thermie, ces douches pourraient être mutualisées avec les gestes contraceptifs de la période de fertilité.
  - Les douches vaginales à l'eau claire ne désintoxiquent pas les tissus dans leurs épaisseurs.
    Ces douches n'éloignent donc pas le risque de dégénération des tissus à terme.
    Et, avec ce qui s'y passe avec un homme au niveau du col , si l'homme était intoxiqué, les impuretés devraient s'y accumuler en profondeur. :gla:
    Ces impuretés vont provoquer des inflammations chroniques qui accentuent très fortement le risque de dégénérescence (cancers,...) à terme.
    Le col est donc très exposé aux toxines.
    Les douches vaginales à l'eau froide et légèrement hypertonique devraient recycler les toxines en permanence.
    Des douches occasionnelles un peu plus fortement dosées devraient également compléter la détox sans trop solliciter les tissus.
    Comme ce n'est absolument pas une pratique occidentale, j'insiste également sur des douches à l'huile végétale, ces douches vont faire recycler les toxines que l'hypertonie ne peut pas traiter.
    Un peu d'activité physique par la suite aidera à frictionner les tissus en profondeur.
    Avec le froid, avec l'huile, avec l'eau hyper-tonique, et avec les anti-mo, toutes les catégories de toxines sont traitées.
  - En cas de pathologie, il faudra peut-être garder la solution de la douche pendant 5 minutes afin qu'elle imbibe les tissus en profondeur comme dans un lavement.
- Dosages des sels à l'isotonie
  - édit 3juin 2020 : pour les sels, voir compléments : Natranium Régul'o.
- Autres organes/Autres besoins/Autres définitions
  - Je place ici quelques informations non-développées.
  - En cas de cystique, la vessie et l'urètre peuvent également faire l'objet d'un lavement avec des huiles essentielles solubilisées.
  - Les organes extérieurs féminins sont également exposés à des pathogènes, ils peuvent donc être toilettés avec cette même solution.
  - En dépit que je n'ai jamais entendu cela, il me semble que le vagin est également un émonctoire.
    En cas de dysfonction, cet émonctoire nécessiterait tout autant de lavements à l'eau saline que tout autre émonctoire.
    Pour prévenir une dysfonction à terme, le rythme d'entretien et de maintenance en base serait d'un lavement par jour pendant quelques jours par cycle.
  - L'apprentissage de la confection de crèmes (baumes, lotions,...) naturelles permettrait aussi de répondre à tout type de besoin.
    L'apprentissage peut prendre plusieurs mois/années mais la réponse serait plus durable, plus efficace, plus physiologique et plus économique que des produits industriels.
    Les produits industriels ne sont pas à bannir car ils sont efficaces et immédiatement applicables, mais ils peuvent poser problème à terme.
    Toute connaissance de prévention et de résolution de ces problèmes est utile.
    Les produits industriels peuvent prendre le relai (au démarrage ou surprise) pendant le temps de mise en place de l'atelier de confection de crèmes.
    Comme toute nouvelle connaissance, les usages nombreux de l'atelier apparaitront ultérieurement, soins, contraception.
    La meilleure protection non hormonale demeure certes le préservatif masculin.
    Mais il me semble utile qu'une femme sache maximiser la non-fertilisation en toute situation et sans impact physiologique à long-terme.
  - En cas d'accouchement sans risque, certains médecins conventionnels semblent accepter volontiers des techniques alternatives, ex : accouchement à la maison, ou dans l'eau (sans douleur).
- Lavement utérin
  - Le lavement utérin serait un traitement en ultime recours.
    La détox des ml par les solubilisations de chélateurs serait à appliquer au préalable.
    Les chélassos vont significativement dégrossir le problème.
    L'extra sera désintoxiqué, mais l'intra ne devrait pas être désintoxiqué.
    Après la fin des résultats par les chélassos, il faudra aviser sur l'opportunité d'un lavement utérin.
  - En outre du paragraphe du précédent post :
    Un encadrement professionnel avec un suivi après traitement serait hautement préférable.
    Mais je me doute que cela n'existe pas en France.
    Il faut réduire les lavements utérins au strict minimum, il est donc intéressant d'augmenter la force osmotique.
    La concentration de NaCl peut monter jusqu'à 40g/l sans aucun risque, soit 4 fois l'isotonie.
    Au delà (vers 100g/l), la muqueuse risque d'être brûlée sans qu'il y ait de gain de détox par rapport à 40g/l.
    Pour parachever la détox, il faudra recommencer plusieurs lavements (2 à 4, voir plus, par séries).
    Plusieurs lavements à l'eau saline peuvent être faits à la suite, mais il faudra éventuellement les alterner avec de l'eau claire pour renflouer la cellule de façon à permettre une nouvelle déshydratation.
    Le muscle utérin est très épais, il me semble que plusieurs séries de lavements seront nécessaires.
    Il faudrait laisser quelques jours entre deux séries de lavements pour que les toxines se répartissent par diffusion et qu'elles entrent à nouveau dans le rayon d'action de la solution.
    Le Na2SO4 semble être le sel approprié pour traiter rapidement le plus gros problème : les cations (et donc : les métaux-lourds).
    Le dosage est à tester.
    Le MgSO4 à 40g/l (2x l'isotonie) et surtout le CL2Mg peuvent être éventuellement (très) irritant, et ils ne me semblent pas indispensables en 1ère intention.
    Dans la cavité utérine, le volume d'eau va doubler en cinq minutes.
    Il est donc indispensable de protéger les trompes pour qu'elles ne soient pas crevées sous la forte surpression dans la cavité si le col était fermé.
    Le diamètre libre de la canule devrait donc être suffisant.
    Une position allongée sur le dos (pour que l'eau ruisselle jusque dans les trompes par gravité) avec le col ouvert (afin de donner une sortie libre au reflux) me semble nécessaire afin d'assurer la sureté et la sécurité.
    Les trompes présente une forme en bretelle, une rotation du bassin sur l'axe de la colonne, à gauche puis à droite permettrait de rejoindre les ovaires.
    Un encadrement professionnel me semble vraiment nécessaire.
  - Pour finir la séance : un lavement avec de l'eau claire (pour renflouer les cellules) puis un lavement avec de l'huile végétale.

Hormones, pendule acido-basique, huiles essentielles, et plantes phyto-hormonales.

En outre du paragraphe du précédent post :
La désintoxication de tout le corps (dont les glandes cérébrales) semble être la solution de fond.
Un jeûne et des bains froids peuvent être certes faits sans diagnostique.
Mais un test de provocation aux métaux-lourds permettra de clarifier définitivement une situation dont la résolution est fastidieuse.
Un test positif permettra de se considérer au pied de la falaise et de se lancer dans l'escalade de l'Everest.
Mais une fois en haut, on est content.
En parallèle de la désintoxication, la régulation nécessite une médecine (la moins interventionniste possible).
L'aromathérapie permettrait de réguler les hormones avec finesse et sur mesure.
L'aromathérapie est très efficace, mais elle nécessite une longue pratique pour sa mise en place, posologies, mode d'application, ...
L'apprentissage de l'autonomie en aromathérapie peut durer des années, mais cela vaut le coup.
En cas de surprise, une panoplie de solutions est à disposition.
Il existe une contre-indication d'utilisation d'he influentes sur les hormones en cas de cancer.
Mais, le traitement métabolique pourrait peut-être permettre de traiter le cancer sans que l'usage des he soit suspendu.
Il existe aussi des solutions de régulation avec les plantes phyto-hormonales, exemple : la tisane à la menthe fraiche.
La tisane à la menthe fraiche orienterait vers les hormones féminines.
La menthe serait donc utile pour les hommes qui ont un cancer de la prostate, mais c'est à éviter pour les femmes qui ont un cancer du sein.
La femme et l'homme possèdent les deux hormones (masculine et féminine) mais les dosages naturels sont différentiés.
Il y a donc une symétrie entre les traitements.
Les hormones sont également régulées par l'alimentation.
Voir post : Équilibre acido-basique, Physiologie rénale & Oxydes métallique :
- Les hormones mâles sont activées par l'alcalose, il en résulte une construction de tissus.
- Les hormones femelles sont activées par l'acidose, il en résulte une destruction des tissus.
Voir également post sur le pendule acido-basique.
En cas d'intox aux ml, aucun traitement n'aura autant d'effet qu'une détox.
De plus, la détox protégera d'une dégénérescence à terme.
J'ai trouvé quelques infos très intéressantes dans ce site : https://www.santeonaturel.com (ce site est non-marchand au moment où j'écris ces lignes).
Il existe plusieurs catégories d'hormones qui sont liées les unes au autres.
On peut certes jouer sur les niveaux d'une hormone, mais il y a un influence sur le (dés-)équilibre des autres hormones.
Plus les influences sont systémiques (alimentation, phyto-hormones, détox), moins il y aurait de déséquilibres.
Mais surtout, les réglages artificiels (médocs, y compris he) retardent éventuellement le corps à basculer vers son nouvel équilibre.
Les réglages artificiels peuvent être certes envisagés comme des béquilles, mais le risque est de retarder les mues.
C'est peut-être à cause des désagréments que le corps va chercher à aller jusqu'au bout de sa mue.
En accompagnement des éventuels réglages artificiels, il me semble que c'est justement le moment de "choquer" le corps avec des bains glacés courts, des bains frais longs, des jeûnes, et du sport d'endurance pour lui ouvrir une large capacité d'activation.
Cela devrait permettre au corps de faire son voyage dans le luxe, le calme et la volupté. :fume:

Roméo.

Puissance et fertilité

La puissance de l'homme étant liée à la vascularisation, et comme les bains froids sont la seule source d'angiogenèse et de biogenèse mitochondriale, le bain froid est donc la solution en première intention.
Les métaux-lourds inhibant l'atp, il faudra peut-être faire une cure de détox.
Fertilité. Des applications avec des crèmes salines et des massages d'huiles végétales avec he pourraient aider au processus de détox.
La peau des testicules est très fine, ces crèmes et ces applications seraient efficaces.
Si les testicules s'enflammaient lors l'application de la crème saline, c'est qu'il y demeure des matériaux inflammatoires.
L'intérieur des testicules étant non accessible depuis l'extérieur, il faudra peut-être désintoxiquer tout le corps pour rétablir leur fonctionnement : Bains froids, chélations, réforme alimentaire, jeûnes hydriques..
Mais, quant au jeûne sec, je doute.
Les testicules étant à la fois à l'intérieur et à l'extérieur, je me pose la question du comportement des ml pendant un jeûne sec.
Pendant un jeûne sec, les ml s'y accumulent-ils ? ou, s'y délogent-ils pour rejoindre les émonctoires ?
S'ils s'y accumulaient, il n'y aurait que les crèmes/baumes salins comme solution.
Peut-être que le jeûne sec fait que l'eau contenue dans les testicules se transfert dans la peau (scrotum).
Auquel cas, il faudra faire des jeûnes sec et des applications de crèmes salines pour assurer tout le processus de détox.
Les testicules étant à l'extérieur pour cause de température, le comportement des ml est peut-être à cheval entre les crèmes salines et les jeûnes secs.
C'est-à-dire que le mode opératoire pourrait varier d'un homme à l'autre.

[size=85]HORS SUJET[/size]
La femme et la littérature

Dans : "La mégère apprivoisée", de Shakespeare, l'homme fait la grève du sexe jusqu'à ce que sa femme cesse de le contredire en public.
Cela veut-il dire que, la femme, est-elle privée de s'exprimer ?
Illustration :
- Chez Shakespeare, seules les femmes en contact avec la France tiennent leur destin en leurs mains : Cordélia, Marguerite.
  Ophélia, qui n'est pas en contact avec la France, met fin à ses jours.
  Chez Shakespeare, la France est le centre du monde parce que la femme est placée en sérénité par le gaulois.
  Même si l'intrigue de ses pièces ne déroule pas en France, la chute de sa pièce est liée au destin de la femme.
  Par exemple, la troyenne Cressida change d'homme quand son homme lui demande d'être fidèle.
  De plus, elle s'accommode aisément à homme qui parvient de l'ennemi grec.
  Peu importe qu'il soit troyen ou grec, elle choisit un homme qui lui fait vivre sa fidélité de femme comme choix et non comme imposition de l'homme.
  La suite, on la connaît, Troyes tombe.
  Chez Shakespeare, la culture ou la nation est secondaire à l'amour de la femme.
  Ou, autrement dit, la vraie souveraineté est fondée sur les rapports qu'ont les hommes avec les femmes.
  Autre exemple shakespearien, dans des circonstances opposées : dans Henry VI, le roi, faible et non séduisant, compatit en privé à la mort de l'amant de sa reine.
  Chez Shakespeare, l'homme doit placer la femme dans l'amour.
  Chez Shakespeare, si elles scandaient qu'elles étaient amoureuses, les femmes infidèles condamnées à mort seraient graciées.
- Au sens plein de la fibre, Shakespeare se rapproche sur le fond d'un auteur gallo-français tel que l'était Racine.
  Dans Hamlet, Shakespeare ne dit-il pas que les anglais sont tous des fous ?
  Dans son Shakespeare, Victor Hugo fait l'éloge de Shakespeare ; selon Hugo, Shakespeare y fermerait le moyen-âge.
  D'ailleurs, Jean Valjean et Shakespeare partagent la même histoire : ce sont des hommes du peuple dont on ne sait pas comment ils sont devenus ce qu'ils sont :
  Shakespeare était un voiturier de cheval dans un théâtre (voir Hugo dans le W. Shakespeare) et M. Madeleine était Jean Valjean suite à la "tempête dans un crâne".
- Il n'en demeure pas moins que les trois auteurs classiques français, Racine, Corneille et Molière, sont des grands auteurs de la femme.
  Chez Shakespeare, c'est l'œuvre du comment l'homme ne doit pas être avec les femmes.
  Chez les 3 français, c'est l'œuvre du comment doit être un homme avec lui-même auprès d'une femme.

LA FEMME - GYNECO

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