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Test de provocation récent et Synthèse des analyses
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Test de provocation récent et Synthèse des analyses
MAI 2021
CONTEXTE
METAUX DISPARUS
METAUX EN CARENCE
METAUX EN EXCES (en nombre de x la norme)
PAR RAPPORT A LA PRECEDENTE ANALYSE
Métaux disparus par rapport aux analyses précédentes :
1ER COMMENTAIRE
PREUVE :
CUIVRE :
ALUMINUM
ALIMENTATION
MERCURE, PLOMB et ARSENIC
MARS 2020
Débriefing
Analyses récentes de chez MTM
Tableau
Voici le tableau des valeurs du graphique ci-dessus.
Nota : Toutes ces valeurs (y compris françaises) sont rapportées aux références de Mtm. Cela permet une continuité de lecture des valeurs. D’un métal à l’autre, les références entre Mtm et entre le labo français fluctuent tant que l’apparence de discontinuité serait très étonnante.
Exemple : Pour le plomb, les références sont celles de Microtrace (5mcg/gcréa) car les références françaises sont très hautes (150 mcg/gcréa) du fait qu'elles sont prévues pour des intoxications aigües.
Autre exemple : Pour le mercure, la référence de MTM à 1 mcg/gcréa, mais la référence française est à 5 mcg/gcréa.
Pour obtenir une parfaite continuité des comparaisons, la valeur de mercure en mcg/gcréa de décembre 2019 est donc indiquée à 1,5 fois la référence de Microtrace.
Si elle était comparée aux références françaises, cette valeur serait à 0,3 fois la valeur de référence française, la continuité avec les valeurs antérieures serait donc perdue.
En dépit des alternances de laboratoires, les continuités des valeurs se maintiennent d'une analyse à l'autre dans une fourchette d'évolution au gradient vraissemblable.
Cela laisse supposer une fiabilité dans les techniques d'analyses et dans les changements de chélateurs.
Les analyses faites en France sont mitées car les métaux s'analysent à l'unité, et que les métaux non ordinaires (mercure, arsenic, ...) sont très chers (50e pièce).
S'il fallait les analyser en France, les trente métaux reviendraient à plus de 1000 euros.
Malheureusement, je n'avais pas pensé à faire des analyses de mercure ou d'arsenic en France dès les premières chélassos.
J’ai trop tâtonné sur c’t’affaire.
Je suis passé à côté d’analyses françaises révélant de fortes valeurs en mercure, d’arsenic.
Heureusement, du cuivre est sorti en excès par rapport à la référence française, j'ai donc un papelard français qui prouve que j'ai eu trop de métaux.
Des analyses positives en mercure et en arsenic auraient consolidé mon dépôt de plainte et mon éventuelle reconnaissance à postériori.
Surtout, ne faites pas la même erreur que moi, faîtes des analyses en France dès les premières chélassos.
Antériorité
Avril 2016 :
Métaux en excès :
mercure x30
cuivre x17
plomb x8
arsenic x6
nickel x4
manganèse x3
strontium x2
étain x1.2
Octobre 2015 :
mercure x30
cuivre x12
arsenic x8
plomb x6
manganèse x3
nickel x2
étain x1.3
strontium x1.2
Mars 2015 :
mercure x11
cuivre x5
plomb x4
manganèse x3
arsenic x1.3
bismuth x1.1
Septembre 2014 :
mercure x30
cuivre x8
plomb x6
arsenic x2
étain x2
manganèse x2
nickel x1.2
- MTM MAI 2021
ANALYSES POST-CHELATION
DMSA EDTA
CONTEXTE
- Analyse pendant un incident intestinal post-ventouses sèches.
Ces analyses donne donc une indication de la présence corporelle de métaux.
La chélation a certes diminué les sensations de moitié, mais elle ne l’a pas résolu.
Les ventouses mobilisent une sorte de gélatine peu pénétrable dans laquelle les chélateurs ne peuvent pas explorer. Cependant, des métaux, libérés par les ventouses, semblent accessibles aux chélateurs.
Cette analyse a été réalisée post-chélation et post-ventouses (= double mobilisation forcée)
METAUX DISPARUS
- Chrome (Carence)
- Aluminium
- Antimoine
- Argent
- Béryllium
- Bismuth
- Étain
- Platine
METAUX EN CARENCE
- Chrome (0)
- Molybdène (norme/2)
- Calcium (norme/2)
METAUX EN EXCES (en nombre de x la norme)
- Mercure 4,5x
Plomb 1,8x
Manganèse 1,2x
PAR RAPPORT A LA PRECEDENTE ANALYSE
- Taux relatif ( en nombre de x les résultats de l’analyse précédente) :
- Mercure : x4 (Rebond)
- Plomb : x4 (Rebond)
- Cuivre x2 (petit rebond mais dans la norme)
- Arsenic : /2 (passe enfin sous la norme)
- Nickel : /3
Métaux disparus par rapport aux analyses précédentes :
- Béryllium
- Étain
- Platine
Et 3 de + qui s’ajoutent aux 5 métaux disparus de la précédente analyse.
Je suis en train de devenir l’homme anti-métaux, mais j'ai encore des symptômes.
(Aucun métal n’est réapparu par rapport à la précédente analyse.)
1ER COMMENTAIRE
- Avec cette analyse, comment peut-on croire que je suis en excès de métaux:
la réponse est simple : à ce jour, aucune analyse ne permet de donner un charge corporelle.
même si le relevé annonçait une absence de détection, il est impossible d’affirmer scientifiquement une absence de métal.
Cependant, comme ces analyses sont réalisés post-ventouses au cours d’une accumulation dans les intestins, ces analyses donnent un tendance de ce qui se cache dans les matériaux visqueux du corps.
De plus, ces analyses ont été faites pendant un incident intestinal.
Cela indique qu’il suffit de peu de mercure pour bloquer toute la machine.
PREUVE :
- Avec ces analyses, après un an de ventouses à haute intensité, j’ai la preuve que les ventouses font encore sortir du plomb et du mercure.
Dans la précédente analyse, ces 2 métaux étaient passés dans la zone verte.
Là, leur présence est x4 et elle est repassée au dessus de la norme.
CUIVRE :
- En dépit que les chélateurs aient une grande affinité avec lui, le cuivre demeure dans la fourchette basse.
Cependant le calcium est en carence, je vais donc introduire de la salade verte dans mon alimentation.
ALUMINUM
- En dépit des ventouses, l’aluminium, qui sortait à des taux inquiétant de 2011 à 2018, n’apparait plus.
Je considère donc que l’aluminium à définitivement été éliminé.
Idem pour tous les autres métaux non essentiels qui n’apparaissent pas (Antimoine, Argent, Béryllium, Bismuth, Étain, Platine).
ALIMENTATION
- 1 Comme le plomb et le mercure réapparaissent, cela indique que l’alimentation n’est pas la cause de la présence de ce mercure.
2 Avec tout ce que je me suis envoyé comme chélateurs, le peu de carences indique que mon alimentation est pourvoyeuses de minéraux essentiels.
MERCURE, PLOMB et ARSENIC
- La réapparition du mercure et du plomb les place comme mon problème majeur.
Même s’il est dans la norme, l’arsenic continu de sortir.
Il serait intéressant que que je fasse une analyse préchélation pour voir s’il ne parvenait pas de l’alimentation.
MARS 2020
Débriefing
- Comme j’applique le protocole ci-dessus le plus fréquemment possible, je tombe chroniquement en déminéralisation.
Une fatigue assez lourde me saisi.
Ces crèmes me placent régulièrement en déminéralisation car je les applique 1xj tant que possible.
Je dois donc faire des fenêtres thérapeutiques pour me recharger en minéraux.
Cependant, en dépit que je stagne sur le plan des symptômes malgré mes applications, c’est justement le moment de faire une photo des minéraux.
Analyses récentes de chez MTM
- Je viens de recevoir des analyses de chez Microtrace (MTM) : les valeurs sont éloquentes.
La très grande majorité des métaux (sauf 2 métaux) est dans la référence : les chélassos ont donc récuré les métaux.
Trois (mercure, cuivre, plomb) des quatre métaux chroniques ont disparu des radars.
Et, le quatrième métal chronique (arsenic) est en passe de disparaître.
La question de métaux sous le radar s’ouvre donc.
Par rapport aux précédentes analyses, huit métaux ont retrouvé les intervalles de dosage de référence.
De plus, j'ai pratiqué 2-3 petites déshydratations avant cette analyse, ces valeurs devraient donc donner une indication de l'intra de façon indirecte :
cad, qu'en dépit que cette analyse reflète l'extra, l'intra devrait être également fortement décontaminé.
Cela demeure encore à consolider par la clinique.
Cependant, il demeure quelques symptômes, peau, épaule, concentration.
Même si ces symptômes sont légers, ils sont trop intenses par rapport à la valeur des analyses.
En dépit de ce résultat, j’acte donc que la détox des métaux n’est pas pour autant définitivement résolue.
Je dois donc désormais m’orienter vers le forçage de la mobilisation des métaux vers les tissus auxquels accèdent les chélateurs. - Deux petits métaux sont encore légèrement au-dessus des références :
- nickel x2
- arsenic x1.2
- aluminium
- antimoine
- argent
- bismuth
- chrome
- Je suis également rassuré par les rares carences (chrome) car je me suis envoyé un bon paquet de chélateurs.
De plus, le cuivre est tombé dans la fourchette basse de la référence, cela me plaît car, par précaution, il n'est pas nécessaire d'en avoir plus que juste nécessaire au risque d'un Alzheimer.
Dans les années à venir, je ferai un petit contrôle pour surveiller un éventuel rebond.
Pour traiter le chrome, je vais réintroduire du poivre noir dans mon alimentation.
Même si les valeurs de l'arsenic et de nickel sont proches de la référence, je ne serai pas satisfait tant que leurs valeurs à venir ne sont pas à zéro.
Des couronnes demeurent en bouche, le nickel parvient peut-être de ces couronnes.
Je vais reprendre une série de bains de bouche au sel, et je vais adopter une pratique périodique de ces bains de bouche au sel afin d'écoper en continu.
Quant à l'arsenic, les sols français (et donc les légumes) sont contaminés par les mines d'extraction et par les pesticides, il est donc possible que ces métaux parviennent de l'alimentation.
Mais j'ai fait un jeûne juste avant ces analyses, ces métaux sont éventuellement en excès dans les tissus profonds.
Cad que l'arsenic parviendrait certes de l'alimentation mais il se fixerait entre-temps dans les tissus.
Comme j'ai encore quelques symptômes, je poursuis donc mes traitements. - Nota : En dépit que je l'avais noté sur mon bon de commande, l'information clinique ne rapporte pas que j'ai également pris 1 gramme de l'Ala en complément du Dmsa et de l'Edta.
- Nota : ces analyses sont un test de provocation à partir d'une chélation orale, elles ont été réalisées sans aide médicale.
- Graphique
Pour mettre en évidence la cinétique des chélassos, voici un graphique qui récapitule les analyses des métaux en abondance au fil des années au regard des méthodes de traitements (iv, jeûne sec, chélasso) :
Ce graphique illustre la rapidité avec laquelle les chélassos ont parviennu à éliminer les métaux en abondance.
Nota : - Seuls les métaux abondamment en excès ont été représentés : cuivre, plomb, mercure, arsenic.
- Toutes les références sont à 1 fois la référence de Microtrace, c'est-à-dire, par ex, que le chiffre 20 indique une valeur 20 fois supérieure à la référence.
- Ces valeurs sont des flux et non des stocks.
- La périodicité des iv sous pratique médicale a été mensuelle.
- Les chélateurs n'explorent pas l'entièreté du corps, des valeurs basses indiquent qu'il n'y a avait pas de métaux par là où le chélateur est passé, des métaux peuvent donc demeurer tapis.
La présence de ces 2 métaux montre que, lors de ces analyses, les chélateurs ont fait effet.
Cela consolide que les métaux qui sont dans la fourchette de référence ne sont absolument plus en excès dans les tissus dans lesquels les chélateurs passent.
De plus, pour les prochaines analyses en France, grâce à MTM, je sais donc quels métaux sélectionner à l'avenir : arsenic & nickel.
Par rapport à la précédente analyse de chez MTM (déc 2018), cinq métaux ont disparu sans laisser de trace :
Mars 2020 :
Voici le tableau des valeurs du graphique ci-dessus.
Nota :
Exemple : Pour le plomb, les références sont celles de Microtrace (5mcg/gcréa) car les références françaises sont très hautes (150 mcg/gcréa) du fait qu'elles sont prévues pour des intoxications aigües.
Autre exemple : Pour le mercure, la référence de MTM à 1 mcg/gcréa, mais la référence française est à 5 mcg/gcréa.
Pour obtenir une parfaite continuité des comparaisons, la valeur de mercure en mcg/gcréa de décembre 2019 est donc indiquée à 1,5 fois la référence de Microtrace.
Si elle était comparée aux références françaises, cette valeur serait à 0,3 fois la valeur de référence française, la continuité avec les valeurs antérieures serait donc perdue.
Cela laisse supposer une fiabilité dans les techniques d'analyses et dans les changements de chélateurs.
S'il fallait les analyser en France, les trente métaux reviendraient à plus de 1000 euros.
J’ai trop tâtonné sur c’t’affaire.
Je suis passé à côté d’analyses françaises révélant de fortes valeurs en mercure, d’arsenic.
Heureusement, du cuivre est sorti en excès par rapport à la référence française, j'ai donc un papelard français qui prouve que j'ai eu trop de métaux.
Des analyses positives en mercure et en arsenic auraient consolidé mon dépôt de plainte et mon éventuelle reconnaissance à postériori.
Surtout, ne faites pas la même erreur que moi, faîtes des analyses en France dès les premières chélassos.
Antériorité
- Décembre 2018
Les analyses de chez MTM de déc. 2018 (iv dmps), d'avant les chélassos et d’après les déshydratations, dressent une liste de 10 métaux en excédent : - mercure x30
- cuivre x10
- arsenic x8
- manganèse x3
- plomb x3
- nickel x2.5
- argent x2
- étain x2
- strontium x1.5
- baryum x1.1
- Historique
- Voici les précédents rapports d'analyse de chez Microtrace.
- De ces analyses, il en ressort que le cuivre, l'arsenic, le mercure et le plomb sont en excès de façon chronique.
Cependant, les valeurs ne reflètent pas nécessairement l’intensité des symptômes.
Les valeurs peuvent être faibles avec des symptômes forts, et vice versa.
Par exemple, les premières analyses de 2014 et 2015 sont peu inquiétantes à côté de celle de 2018 mais les symptômes étaient bien plus forts 2014-2015 par rapport à 2018.
Cela s’explique par le fait que ces analyses sont un flux et non un stock.
Les affinités du chélateur impliquent une compétition entre les métaux.
Le flux ne reflète pas le stock, cela est illustré par l'arsenic et le nickel dont les flux sont certes faibles à chaque chélation mais dont la présence demeure au-delà de nombreux autres métaux. - Même si je ne l'avais jamais considéré comme tel, le nickel est à considérer comme un métal chronique car il apparait quasiment à chaque analyse jusqu'à l'analyse récente.
Par rapport aux analyses précédentes, le nombre de 10 métaux est en hausse.
Il est donc fortement possible que les déshydratations (100 jours cumulés - 2017) ont fait sortir des métaux de façon à se retrouver dans le champ d'action des chélateurs.
Cela indiquerait que les chélateurs n’explorent pas l’entièreté des tissus et que des métaux demeurent tapis.
Cela indiquerait que le jeûne sec fait sortir les métaux que les chélateurs ne peuvent aller chercher seuls.
Si les valeurs de chaque métal ne sont pas augmentées, c’est parce qu’il existe un plafond très bas d’extraction de chaque métal à chaque séance de chélation.
Métaux en excès :
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