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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS

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Message par Sophocle Dim 25 Juil - 14:41



Note de migration :
Tous les messages postés sur ce forum à la date du 27 juillet 2021 ont été migrés depuis le Forum Mélodie.
Sur le Forum Mélodie, ils ont été postés à partir de Septembre 2016 jusqu'à Juillet 2021.
Comme, entre forums, les éditeurs des messages ne correspondent pas à 100%, les affichages (mise en forme, smileys,...) ne sont pas parfois correctement représentés.
De plus, quelques liens sont rompus, ou renvoient vers le Forum Mélodie.
Mais, j'ai rapatrié les pièces attachées les plus essentielles, le contenu des écrits demeure donc totalement fiable.
Lien vers le topic du Forum Mélodie: Présentation de Sophocle.





EDIT : ABREVIATIONS
15°: 15 Degré Celsius
15' : 15 minutes.
ALA : Acide Alpha-Lipoïque
AMOC : Anti-Micro-Organisme Chronique.
BCS : BiCarbonate de Soude
BBS,BSB : Bain de Bouche au Sel ; Bain Salin de Bouche
BF: Bain Froid, bain frais, bain glacé
BEV : Bio-Electronique de Vincent
Cure sèche = Déshydratation
Clarification = période de réhydratation après une déshydratation
CdF: Collège de France
CAP : Centre AntiPoison
EHS : électro-(hyper-)sensibilité
h/e, e/h : respectivement : solution huile dans eau, eau dans huile
FM : Fabien Moine, naturopathe.
Jeûne à l'eau = jeûne hydrique
g : gramme, mais quand c'est pour des HE, ce sont toujours des goutes (1gramme HE = 20-25 goutes, ne pas se tromper).
g/l : grammes par litre.
Gél : gélule
Ghee : beurre clarifié
HE : Huile Essentielle
HV : Huile Végétale
JH : Jeûne Hydrique
LdJ, léc.soj. : lécithine de soja.
MO : micro-organisme.
MOC : Micro-Organisme Chronique
ML : Métaux Lourds
MTM : MicroTraces Minérals
mcg/gcréa = microgramme par gramme de créatinine.
NaCl : sel de table, de cuisine
PA : Principe Actif
PK : Pancha- Karma (Ayurvéda)
QQ : quelques
RAS : rien à signaler
SNC : Système Nerveux Central
Tissu ordinaire : tout tissu sauf SNC
TC, Thierry C. : Thierry Casasnovas - Régénère.
x : fois ; exemple : x5 = cinq fois.
WHM : Wim Hof Method
VS : Ventouse Sèche
VH : Ventouse Humide
FP : Foramens Pariétaux


Dernière édition par Sophocle le Mar 27 Juil - 20:34, édité 4 fois

Sophocle

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Présentation de Sophocle

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 21:25

Note de migration : posté le Lun 26 Sep 2016 15:36
Message de présentation personnelle (écrit en Septembre 2016 et complété quelques mois après) :


Liminaire
Après quelques années d'une descente inexorable des fonctions du corps dont l'origine a été tardivement identifiée par une intoxication aux métaux lourds ; puis, suite à un rétablissement encore imparfait, je parviens enfin à retrouver la capacité d'écrire. Tant de souffrances, encore inexpliquées à l'époque, ne m'avaient pas autant démoralisé que le jour où je me suis aperçu que mes mains ne parvenaient plus à tapoter correctement sur le clavier d'ordinateur. J'en supportais déjà beaucoup, j'aurais tout supporté, tout sauf cela. Comparé à cela, j'ai facilement supporté le délaissement du téléphone portable, j'ai aussi facilement supporté la sensation d'un faible incendie permanent qui couve et qui gagnait tout le corps peu-à-peu ; mais là, je perdais le langage et, par là-même, je perdais le peu qui me restait, et qui me faisait tant humain. Toute une batterie de symptômes cognitifs m'avait déjà atteint et de nombreux autres se pointaient à l'horizon, la bataille semblait perdue d'avance. Mais, me revoilà, grâce à la chélation, entre-autre.

Symptômes
Au plus fort des désordres, et donc avant les chélations, je portais de nombreux symptômes intempestifs qui se bousculaient : marche difficile ; tête lourde ; imprécisions dans les gestes ; articulation orale déficiente par intermittence ; sensations articulaires multiples ; mauvaise humeur ; impossibilité à planifier ; amnésies transitoires ; difficultés à se concentrer ; semi-évanouissements en montant des escaliers ; oublie de fin de la phrase en cours de prononciation ; difficulté à écouter durablement autrui ; impossibilité à faire du sport d'endurance ; impossibilité à lever des masses lourdes ; déséquilibres ponctuels ; sensation de brulures ; grésillements sous la peau ; sensation d'étirements osseux ; sensations de courbatures ; céphalées furtives, céphalées profondes, céphalées ineffables ; électro-sensibilité sévère ; confusion ; bourdonnements continus et virevoltants dans la cavité crânienne ; fatigues en tout genre, fatigues chroniques, fatigues aiguës, fatigues temporaires, fatigues transitoires, fatigues palpitantes ; mal au dos ; légère arthrite ; barbe piquante ; démangeaisons des ongles ; visage raidi ; méningite ; photophobie ; audiophobie ; agoraphobie ; sommeil court et non réparateur ; impossibilité de se projeter dans l'avenir ; déconsistance du temps long (ceux qui sont passés par là comprendront), anxiétés pour un rien, et tant d'autres pathologies encore...

Vicissitudes labyrinthiques
Parfois, je rêvais que j'allais spontanément guérir dans la nuit. Les symptômes étaient apparus si lentement que je ne les voyais pas s'installer, je me disais qu'ils allaient disparaitre comme ils étaient venus. Mais devant la masse de désordres, j'ai dû consacrer un mi-temps à la guérison. J'ai passé ma vie à mentir à tout le monde pour m'organiser, pour masquer les symptômes. Mentir, mentir, et mentir ; dire que ça allait mieux, dire vainement que j'étais en voie de guérison... Cependant, j'étais encore bien loin du protocole de la chélation à faire soi-même. J'ai perdu beaucoup de temps. Le traitement aux métaux-lourds est un labyrinthe au long cours dont les vicissitudes sont décourageantes pour qui a l'habitude d'une médecine qui obtient des résultats en claquant des doigts. Grâce à toutes ces vicissitudes, j'ai fini par devenir mon propre thérapeute, et comme le dit Montaigne dans ses essais, cela ne me tourmente pas.

Naturopathie, Justice et Ordre des médecins
Après des recherches sur les symptômes d'électro-sensibilité que je portais, je tombais sur la double grâce présidentielle du docteur Jean-Pierre Maschi. Radié de l'ordre pour charlatanisme dans les années soixante-dix pour avoir traité efficacement des SEP et des électro-sensibles, ce médecin avait été gracié par Mitterrand, puis par Chirac (Voir Alpes Maritimes L'incroyable procès en " sorcellerie " contre un médecin niçois).  L'ordre des médecins s'adonnait donc à une chasse à l'homme sur un médecin qui traitait mes symptômes. Dans ce cas, il est aisé de comprendre que la médecine officielle ne fournit ni diagnostique, ni reconnaissance, ni traitement. Il est également aisé de comprendre que la documentation en français est quasiment inexistante. Devant l'absence de solution à un problème croissant, mon électro-sensibilité gagnait du terrain, je me capitonnais de plus en plus chez moi. Je coupais le disjoncteur la nuit, et je m'éclairais à la bougie.

Belpomme
"Les électro-sensibles ne sont pas fous !", c'est par ces mots lancés par le professeur Belpomme sur France Info en 2011 que je me rue pour prendre un rendez-vous. Je suis passé par le Professeur Belpomme pendant deux ans, dont le traitement a été efficace pour atténuer la confusion. Le manque de sommeil a également été traité mais le mal n'était pas curé car il fallait prendre des médocs tous les soirs. De surcroit, son traitement ne traite pas les causes mais il ne traite que quelques effets. En dépit d'un formidable espoir, la lente descente aux enfers reprenait inexorablement son chemin. Les métaux-lourds, dont j'ignorais encore l'existence, se diffusaient.

Un dissident de l'intérieur
Dans l'épisode "Les ressorts du divan" de sa contre-histoire de la philosophie, Michel Onfray évoquait que Freud avait exclut les patients qui souffraient de confusion de la psychanalyse. En effet, dans "Entretien et psychanalyse : Sigmund Freud et la technique psychanalytique” par Bernard Dantier, Freud écrit : "Les psychoses, les états confusionnels, les mélancolies profondes — je dirais presque toxiques — ne ressortissent pas à la psychanalyse, du moins telle qu'on la pratique jusqu'ici". Le mot "Confusion" était certes bien là, mais surtout, Freud utilise le mot "Toxiques" comme si la personnalité de quelqu'un pouvait prendre la forme du mal dont le corps souffre. Freud était également neurologue ; quand il choisit les mots "Confusion" et "Toxiques", c'est également en connaissance du volet scientifique du cerveau. Les conclusions de Freud héritent donc de la double lecture scientifique et psychologique. J'ai l'impression que la psychanalyse enseignée à l'université est dans le déni des champs d'application définis par le praticien. Selon mon interprétation, la psychanalyse freudienne s'applique à une majorité de gens qui ont l'air plutôt normaux mais qui souffrent intérieurement de ne pas se dire des choses qui soient vraies à propos de l'historique de leur sexualité et à propos de l'éternelle échéance à la mort. La mort est une vieille histoire, elle est certes présente pour les intoxiqués au mercure, mais l'échéance à la mort transcende également l'humanité depuis la nuit des temps. Pour un sujet normal et courant, le déni de l'échéance de la mort est répandu et cela le rend dépressif. C'est en cela qu'un sujet est éligible à la psychanalyse, et c'est acceptant le terme de sa vie que le sujet renoue avec l'art de jouir de la vie. Or, pour un patient qui souffre de confusion, de psychose et de mélancolie toxique tel qu'un intoxiqué aux métaux lourds, Freud précise bien que selon les premiers éléments d'une discipline naissante, ces symptômes semblent ne pas relever de la psychanalyse. Soixante-dix ans après la disparition de Freud, les témoignages de guérison par la chélation suggèrent que, conformément aux pressentis de Freud, ces symptômes ne relèvent définitivement pas du déni, et donc ni de la psychanalyse. En comparant les effets des herxheimer et les symptômes de confusions, de psychose et de mélancolie, je suis frappé par une certaine proximité. Freud était-il tombé sur des intoxiqués ? Toutefois, Freud a bien pris soin de contrecarrer de façon préventive des interprétations d'époque et/ou ultérieures qui tenteraient de récupérer l'inconscient freudien pour lui affubler des pathologies dont on désespère résoudre. Il est d'ailleurs curieux que la psychanalyse émerge de façon concomitance à l'époque (1850-1950) de la sécularisation des religions dont la vocation première était justement d'élaborer un grand récit à propos de l'échéance à la mort. 

Médecine allopathique anti-physiologue
De mon coté, j'avais certes fait des prises de sang, des IRM, des électroencéphalogrammes, mais les résultats étaient négatifs, pas d'anomalie cérébrale, ni d'intoxication apparente, ni même une légère anémie. Mais en matière de toxicologie, j'ignorais encore que la médecine française était inopérante à coté de la médecine du reste du monde occidental. Devant tant de résultats négatifs aux tests classiques, mon médecin généraliste avait évidemment tenté de me prescrire des anti-dépresseurs sans me prévenir de cette initiative. Sans rhétorique argumentée sur ses actes, la médecine perd totalement sa part de professionnalisme. Il est aisé de comprendre que les médecins de ville s'orientent vers l'inconscient freudien dont la définition si prétendument si mystérieuse demeure commode pour se débarrasser des patients qui pointent l'impasse dans laquelle la médecine s'est placée. Il n'était donc pas suffisant que je me batte contre moi-même, il me fallait aussi délaisser une médecine officielle qui pourchasse les naturopathes et non les charlatans. Cela m'apprendra à avoir confiance en des médecins.

Cambayrac
Ensuite, je suis tombé sur le livre de Françoise Cambayrac et je découvre enfin une cause probable à tous mes symptômes dont les facteurs pourraient être attribués aux nombreux amalgames dentaires que j'avais porté. À la lecture de son livre, j'ai suivi le régime SGSC, avec de bons résultats.  Puis, je suis passé par du DMPS en IV pendant deux années. Par chance, les effets des traitements n'ont pas été négatifs mais les symptômes s'effacent lentement. Le prix est également prohibitif, pas d'acte, des conditions un peu clandestines. Mais le délai entre deux injections est d'un mois, ce délai est trop long pour mes incessantes céphalées handicapantes. De surcroit, le DMPS ne désintoxique pas directement le cerveau, il faut attendre une migration par osmose dont les premiers effets cognitifs se font ressentir au bout de six mois. Cependant, je dispose enfin d'un test qui annonce une intoxication forte aux métaux-lourds (Mercure, Plomb, Arsenic, &  cuivre)).

Centre anti-poison.  
J'ai passé un coup de fil à un centre anti-poison pour avoir le cœur net, j'ai expliqué mon parcours (plombages, intox chronique), ils m'ont expliqué qu'ils niaient cela et que pour cela ils ne me prendraient même pas en rendez-vous pour faire un contrôle par prise de sang. Depuis, j'ai fait une plombémie dans un labo, résultat négatif en dépit du résultat positif par le test de provocation des labos allemands.
Complément centre anti-poison (Cap)  (édit 2019)Au cours de ces dernières années, j'ai joint plusieurs fois les centres anti-poison au téléphone.Trois appels, trois  
[*]Les première fois, en 2014 et 2015. No
- 2014 : En dépit du récit de mes symptômes, mon interlocuteur m'a demandé si j'avais été l'objet d'un empoisonnement direct.
Comme cela n'était pas le cas, cette question a mis fin à la conversation sans qu'il y ait de suites.
Je me suis donc fait écarté dès la prise de contact sans qu'il y ait eu un examen de contrôle.
- Édit 27 janvier 2020.
J'avais oublié que j'avais rappelé en 2015. Je dis que je suis intoxiqué et que j'ai des amalgames. Mon interlocuteur me dit qu'il va me rappeler dans la semaine. Il ne rappelle pas. Je rappelle, il me dit à nouveau qu'il va me rappeler. Il n'a jamais rappelé.


La deuxième fois, en 2016. No
J'ai indiqué que j'avais des analyses positives avec le DMPS.Mon interlocuteur, après m'avoir dit que la médecine française ne reconnaissait pas les empoisonnements chroniques,  a également refusé de prendre un rendez-vous pour pratiquer un examen de contrôle.  En dépit des symptômes, de tels refus indiquent que les centres anti-poison ont une politique de barrage. Il me semble que pour que les centres anti-poison ouvrent le droit à un premier examen de contrôle, il faut leur apporter un récit avec une fiole et un coupable à la Lucrèce Borgia, et un acte direct d'empoisonnement extérieur. À contrario, un récit que s'apparente à un empoisonnement chronique (par ex : avec des implants avec de légers symptômes qui s'aggravent au fil du temps) est barré par les centres anti-poison. Comme le DMPS n'est pas autorisé en France, et comme le test officiel crée des faux-négatifs, le test au DMPS est donc un odieux importun qui met l'inavouable indigence des centres anti-poison en lumière. En effet, s'ils m'avaient reçu après le deuxième appel, j'aurai présenté mes analyses positives au DMPS au centre anti-poison alors que ce dernier serait forcé d'avouer que leurs analyses officielles seraient évidement des faux-négatifs. Contrairement aux empoisonnements ponctuels, les empoisonnements chroniques ne passent pas par le sang mais ils passent de cellules en cellules par proximité et par diffusion ionique. Si un peu de poison s'échappaient vers le sang, il serait immédiatement éliminé par le foie ; le sang est donc totalement nettoyé en dépit que l'intérieur des cellules est empoisonné. Or, les empoisonnements directs (à la Emma Bovary) passent nécessairement par le sang, on retrouve donc des doses substantielles avec le test officiel français. Les centres anti-poison refusent donc les patients dont les symptômes semblent chroniques afin de ne pas se trouver dans l'embarras de la défaillance de leur test.

La troisième fois, en mai 2019. No
Voir post dédié CENTRE ANTI-POISON.

Naturopathie hyper-douce
Par la suite, je suis tombé sur le site de Stéphane Tétart, naturopathe et ex-intoxiqué. Il délivre tous ses secrets de naturopathe sur internet. Grâce à lui, j'ai pu rétablir une digestion efficace. Cela m'a pris du temps, j'ai dû réorganiser mes courses et la cuisson. J'ai dû faire des expérimentations sur moi-même et attendre des éventuels résultats improbables qui parviendraient dans un délai inconnu au moment de la mise en place des expérimentations. À force de persévérance, le corps se reconstruit et il se rétablit en dépit de l'intoxication. J'y apprenais aussi que le circuit d'élimination est une chaine qui passe par le foie, la vésicule biliaire, puis les intestins. Si un seul maillon est défaillant, les métaux lourds ne s'éliminent pas ou peu.

Chasse aux sorcières et transmission de l'ignorance
Par l'association "Non au mercure dentaire", j'apprends récemment que le service de Détox au CHU d'Orléans avait été fermé par les centres anti-poisons suite à la diffusion du reportage "Alerte au mercure". Il est donc imprudent d'alerter sur le scandale. Je crains donc que la massification de l'ignorance des médecins ne se soit transmise par l'université. Espérons que la médecine officielle se ressaisira le plus rapidement possible, mais la récente radiation du Professeur Joyeux pour avoir dénoncé les métaux-lourds dans les vaccins me laisse assez dubitatif à propos d'une possible désaliénation rapide.

Forum Mélodie
Et enfin, j'arrive sur le Forum Mélodie, grâce auquel je découvre l' E-book. Par ce dernier, je comprends enfin un peu les rouages de l'effet des métaux-lourds sur les cycles de la cellule. Je comprends que la cellule biologique est porteuse d'une dévitalisation couplée à un état qui obstrue la retenue. C'est à dire que la pédale d'accélération est bloquée au plancher mais que les ressources énergétiques sont très faibles. Cet état se place dans un phénomène d'emballement. Grâce aux nombreux témoignages des mélodiens, j'opte pour le protocole Cutler tout en sachant bien à quoi m'attendre : du remuage et des Herxheimer. En dépit de m'y être psychologiquement préparé, les premières prises d'ALA et de DMSA ont bien déclenché des petites Herxheimer, j'ai un peu (mais pas trop grâce à la prévention) cru que le ciel allait me tomber sur la tête. Mais ces Herxheimer se sont dissipés peu à peu. J'ai fini par appliquer le protocole en continu quasiment tous les jours pendant deux mois, j'y ai même ajouté de la TM de Coriandre, de TM d'ail des ours, de l'EDTA, et du MSM. Je réduis les doses de façon à rétablir une bonne digestion. C'est en ayant une digestion impeccable associée au traitement de chélation que je ressentais quelques progrès. À terme, les améliorations sont bien au rendez-vous. Mais après cette cure de chélation non-stop, les améliorations ont néanmoins cessé de parvenir en dépit qu'il demeure encore des céphalées. Aujourd'hui, je ne suis pas tout à fait guéri, je suis certes mieux et je sais donc que je peux me rétablir mais que le chemin sera encore très long.


Édits, février 2019.
Les paragraphes suivants ont été écrits après deux ans de naturopathie.

Reconstruction de l'histoire longue
Grâce à ces deux années d'études intensives sur les métaux lourds, je vais pouvoir établir une hypothèse multi-décennale de la dynamique d'intoxication. Ma jeunesse a toujours été à la limite inférieure de la sociabilisation. C'est-à-dire que je pouvais être sociable mais cela était un effort qui s'évanouissait intempestivement et régulièrement. Surtout, cela s'évanouissait aux moments d'intensité. Du point de vue scolaire, j'avais des dispositions en sciences mais j'avais des difficultés en littérature. J'avais une frustration en littérature qui se transformait en agacement quand je tentais de combler cette frustration. C'est-à-dire que, en dépit que je m'investissais intensément, mes moyens cognitifs ne permettaient pas de satisfaire mon désir de littérature. J'attribue donc tous ces symptômes à une intoxication modérée, précoce et stable. Je n'ai donc jamais été diagnostiqué car j'avais une apparence de normalité 80% du temps. Le corps s'habitue aux métaux lourds. Surtout, avec cette intoxication dans la période développementale, le corps peut s'adapter à de fortes intoxication ultérieures. Avec l'adaptation biologique, cette habitude s'amplifie volontiers avec le temps de façon à pouvoir absorber une forte dose de ml sans choc. À vingt ans, on m'a posé des plombages (sans qu'il y ait aucun choc qui pouvait alerter).À trente ans, j'ai fait retirer ces plombages par intuition (sans rien connaître à l'époque l'histoire des métaux lourds).À quarante ans, j'ai lentement glissé dans cette état symptomatique décrit ci-dessus en trois années (progression lentement accélérée, sans choc).Avec les symptômes buccaux permanents (courants magnétiques dans la mâchoire, inflammation chronique des gencives,...) et les symptômes (forts et nombreux picotements, blanchissement pelure des muqueuses) lors de la première série de bains salés de bouche en 2018 et l'absence de symptômes à la deuxième série de bains salés de bouches, il est donc possible d'envisager que les métaux lourds ont d'abord migré des amalgames vers les mâchoires pendant dix ans de façon asymptomatique, puis, en dépit du retrait des amalgames, l'intoxication généralisée s'est propagée pendant les dix années suivantes de façon à dépasser la capacité d'absorption lors de la période symptomatique. Les bains salés de bouche ont également enrayé la lente et chronique rehausse des symptômes cérébraux. L'absence de symptômes à la deuxième série de bains de bouche montre qu'on peut facilement définitivement drainer la résurgence de ml. Mon histoire montre qu'on peut s'intoxiquer en dépit que les amalgames ont été enlevés et qu'il faudrait plutôt appliquer des bains salés de bouche pour prévenir une intoxication à retardement.
Au regard des symptômes après les bains salés de bouche, il est ensuite possible d'aviser sur la nécessité du retrait anticipé des amalgames.

Apprentissage de la désintoxication par la naturopathie
Mon intoxication a été très forte, et aucun remède disponible n'était vraiment efficace sur moi. Sans autre solution, j'ai dû m'engager en naturopathie à tâtons.
J'ai donc découvert qu'il n'existe aucune synthèse globale, ni ordonnancement, ni méthode, ni discours d'ensemble sur le corps. Les sites de naturopathie sont également rédigés de façon très approximative pour tenter le malade tout en l'obligeant à consulter. J'ai toujours eu l'intuition que ma situation était réversible mais il ne manquait que la méthode pour y parvenir. J'ai donc pris mon bâton de pèlerin. Je n'ai pas eu de maladies opportunistes habituelles en pareil cas (bactéries, Lyme, candidat), mon discours n'est donc pas exhaustif.
Mais l'intoxication a été si profonde, que j'ai eu le droit à toutes les complications de détox. J'ai donc pu expérimenter de nombreuses techniques dont des effets tardifs et accumulatifs ont surgi. De cela, je tente donc de dresser un discours de façon à prévenir, à guérir ou à désamorcer toutes ces complications pour désintoxiquer le cerveau.

Discours médicaux dénaturés et anti-physiologues
En dépit qu'on envoie des hommes sur la lune, les discours médicaux sont curieusement saucissonnés de façon à empêcher l'autonomie. Les techniques de guérison, leurs coûts et leurs taux de réussite ne sont ni étudiés ni annoncés aux patients. Il est anormal que des médecins annoncent à des personnes qu'elles vont mourir alors qu'elle peuvent être sauvées. Il est étonnant d'avoir à rappeler cela. Les marges de progression de la médecine allopathique sont significatives. La chimiothérapie est peu efficace, et, au vu du coût élevé à la société, elle donne l'illusion que tout a été essayé. Or, selon le Collège de France, le jeûne est redoutablement efficace contre le cancer. Je ne dis pas qu'il faut imposer une technique ou une autre, je dis simplement qu'il faut informer sur les taux de réussite. Cela fera déjà pas mal de ménage. La médecine allopathique est très inefficace à côté de la naturopathie. La naturopathie est propre et sans intervention chirurgicale. Sans essayer toutes les chances de guérison, les institutions médicales sont bâties sur une négligence organisée quitte à provoquer des décès et des maladies dégénératives de masse. En France, il y a 150.000 personnes qui meurent de cancers par an sans qu'il leur soit annoncé que le jeûne est une voie de guérison majeure. Quand j'entends que des ablations d'organes (VB, Thyroïde,...) sont réalisées avant de proposer d'essayer 4 jours de jeûne ou une cure d'organe, c'est que le corps médical est dénaturé.

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Message par Sophocle Lun 26 Juil - 21:26

le Mar 27 Sep 2016 11:09, beacam a écrit:Merci pour ton témoignage
Je crois en fait ce qui est compliqué est de mettre un ordre dans ce que l on fait
Pour orleans, habitant près ce que je peux te dire c c'est qu ils ont fermé par délation , on appelle ça sûrement de l abus de pouvoir

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Message par Sophocle Lun 26 Juil - 21:26

le Mar 27 Sep 2016 14:16, un_ptit_gars a écrit:Salut Sophocle,

Un grand merci pour ce long témoignage, qui j'en suis sur fera du bien aux nombreux mélodiens qui nous lisent (et aux anonymes qui nous encore plus nombreux a nous suivre) Smile

Ton parcours a été certes semé d'embuches, de désilusions, mais aussi et surtout de belles avancées, de clés de compréhensions majeures, tout cela t'ayant permis d'avoir foi en ta capacité a etre réellement acteur de ta propre santé.
Maintenant que tout cela est en place, il te reste certe encore des actions a mener et des paliers a dépasser, mais je ne doute aucunement que tu y arrivera, car la tache la plus difficile est deja derrière toi...maintenant ce sont des ajustements et de la patience a avoir, mais je sais que tu va y arriver sans aucun soucis Smile

Merci encore a toi et a très bientot!

Pti gars

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Médecine officielle

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 21:27

Mer 9 Nov 2016 15:57
Merci pour vos réponses.

En dépit de la récente interdiction du mercure par l'Europe, et en raison du risque de chômage encouru, les professionnels des amalgames ont donc obtenu une dérogation pour maintenir l'emploi des amalgames. Cependant, l'ordre des chirurgiens-dentistes français promeut depuis longtemps un prétendu amalgame inoffensif en dépit d'un consensus politique et scientifique au niveau mondial. On ne peut que demeurer perplexe quant à la sincérité des dentistes français qui clament l'innocuité des amalgames devant un avis négatif aussi mondialement collégial.

Comble du raffinement, l'article 85 du programme présidentiel de M. Mittérand annonçait déjà une solution radicale de l'ordre des médecins : "Le conseil de l'ordre des médecins sera supprimé." À ce jour, l'ordre des médecins n'est pas encore recadré. Celui-ci  bénéficie d'une énigmatique tolérance qui pointe la faiblesse des hommes politiques devant la toute puissance des médecins. À cela, s'ajoute l'interdiction du chélateur le mieux étudié (DMPS). À cela, s'ajoute la désinformation des médecins. À cela, s'ajoute la chasse au médecin qui tente de faire correctement son métier. Certes, on ne peut qu'accepter que la médecine soit imparfaite. Et, en attendant une panacée, il semble raisonnable de tolérer que des soins de santé publique pâtissent de cas défavorables. Mais il est totalement inacceptable que ces cas ne soient pas reconnus. Il est également inacceptable que ces cas ne soient pas traités par la médecine alors que des traitements existent dans des pays occidentaux ou autres. Il est également inacceptable que ces traitements soient interdits. Et, il est totalement inacceptable que des médecins soient radiés abusivement. En cela, je considère que l'ordre des  médecins relève des nombreux faits : désinformation, entrave à la cure et abus de pouvoir. Il apparait que la grande santé ne convienne pas à l'ordre des médecins, alors l'ordre des médecins joue à la chasse aux sorcières. Tant que la médecine officielle est dans le déni, la tolérance qu'il est possible d'attribuer à des traitements qui tournent mal ne sauraient être retenue en raison du mépris manifeste que l'ordre des médecins inflige à ses concitoyens. En cela, je considère que l'ordre des médecins laisse faire consciemment un empoisonnement sournois dont les effets majoritaires aboutiraient à de très nombreux troubles. Quant à leur discours sur les métaux lourds, le faisceau de méfaits est trop lourd pour que l'ordre des médecins puisse prétendre à une quelconque circonstance atténuante.

Mais il ne faut pas que les médecins soient le bouc émissaire de facteurs extérieurs. Il est nécessaire de décortiquer l'évolution historique récente qui échappe, y compris, aux hommes les plus honnêtes. Cependant, pour un médecin et, de surcroit, pour un ordre des médecins, l'accusation d'empoissonnement est assez lourde à porter en dépit que les traitements par métaux lourds et par électrochocs étaient des pratiques médicales courantes à l'ère moderne de notre médecine (voir post suivant du 6 nov). De tous ces désordres, je crains que la mauvaise foi de l'ordre des médecins ne parvienne de façon privilégiée par des accusations récurrentes de ce trop gros empoisonnement. Les médecins sont certes coupables de ne pas se prémunir de leur ordre, mais, il convient de prendre en compte la récente et récurrente hausse de la mal-bouffe, de la hausse des pesticides, de la hausse des ondes électro-magnétiques, de la hausse de la pollution, et aussi de la hausse de la consommation de médicaments. La combinaison de ces facteurs joue éventuellement un rôle majeur dans une sensibilisation accrue envers les métaux lourds. Il est envisageable que les seuils de tolérances d'une toxine prise individuellement peuvent significativement baisser en cas de multiples sources d'intoxication. C'est-à-dire que les métaux-lourds sont devenus massivement toxiques dans notre modernité en dépit que leur taux ne pas nécessairement plus élevé.

Il est également nécessaire de prendre en compte que, constitutionnellement, l'accusation d'empoissonnement ne tient pas au regard de la législation actuelle. Aussi inaudible que cela soit, constitutionnellement, il est totalement légal d'implanter des amalgames du fait d'une coutume historique en dépit des désordres à longs termes. Comme les amalgames existaient avant la législation des Autorisation de Mise sur le Marché (A.M.M.), à ce titre, les amalgames bénéficieraient d'une exonération en matière d'études préalables à l'Autorisation sur la Mise sur le Marché. Cependant, au regard de la littérature scientifique actuelle, si ces amalgames étaient représentés aujourd'hui pour une A.M.M., je crains que ces produits ne pourraient pas être commercialisés car il ne franchiraient pas les études drastiques requises pour un nouveau produit.

En matière politique, j'en viens donc à une opinion sur ce qu'il est possible d'obtenir ou de ne pas obtenir rapidement. Je crains que si une reconnaissance de l'état passé était envisagée, cela se heurterait constitutionnellement à des complications inextricables, donc à des procédures longues, fastidieuses et éventuellement inopérantes. Par une action groupée, cette reconnaissance du passé serait certes envisageable, mais afin de prémunir de nombreuses victimes à venir et de se sortir rapidement de la situation actuelle en impasse, il est humain de régulariser rapidement la situation actuelle quitte à blanchir les médecins et leur ordre. En effet, avec l'hypothèse de la résolution du problème du déni de l'ordre des médecins, j'aurai peut-être été sauvé avant même que le mal n'eût été si profond. Cette résolution serait néanmoins une forme de reconnaissance. Cette dernière serait certes sans compensation mais elle serait suffisamment entière car elle établirait l'intoxication en elle-même.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Fin des progrès par la chélation. Alternative : le jeûne

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 21:31

Ven 6 Jan 2017 12:55

Bonne année.

Je viens de réaliser que je devais être bien intoxiqué depuis mon enfance. Cela me donne une piste d'explication quant aux difficultés de concentration qui ont jalonné tout mon parcours scolaire. Avec la descente aux enfers des années 2010 à 2012 par les amalgames, j'ai l'impression d'avoir été le personnage d'un film de Pedro Almodovar dont les angoisses ont été redoublées par les mésaventures de la "Mort aux trousses" d'Alfred Hitchcock.

Je suis certes beaucoup mieux mais si je fais des écarts, lait, gluten, ordi, téléphone, et cætera, je rechute avec, entre-autre, le retour des troubles cognitifs. Après deux années de chélations qui ont rétabli une bonne tonicité, je vais me lancer dans les jeûnes. Les jeûnes sont à éviter pour les débutants en naturopathie, svp. Quand les métaux circulent dans les tissus, les chélateurs sont recommandés et le jeûne à proscrire car il provoque un tsunami de détox qui vont effondrer les organes émonctoires déjà fatigués. Mais quand les métaux lourds sont purgés des tissus, ils demeurent quand même tapis je ne sais où. Je viens de pratiquer quinze jours de jeûne intermittent sec de seize heures et ça ne s'est pas très bien passé vers la fin, voir même plutôt mal. C'est une bonne nouvelle, ça veut dire que j'ai encore plein de toxines profondément enfouies et qui veulent bien se déloger.

J'ai beau vider les compartiments liquidiens des métaux-lourds avec les chélations, et donc connaître un bien-être par la suite, les maux se reconsolident après deux semaines. Ces compartiments se rechargent donc avec un lent débit de fuite. J'émets donc l'hypothèse que mes os recèlent des métaux lourds. Puis le liquide céphalo-rachidien serait ainsi re-contaminé. Cela donnerait une lourde inertie à la guérison. Je vous avoue que je suis fatigué par les chélations fastidieuses (Cutler, iv), j'ai besoin de changer de méthode. Ce n'est pas un problème de vitesse de guérison mais c'est plutôt un problème de force de guérison. Avec les chélations que je pratique depuis deux ans, les progrès ont été certes significatifs mais ils parviennent de moins en moins. Je vais donc traiter le mal par le mal en renversant lentement et progressivement la pression osmotique sur des plages temporelles courtes et moyennes. Le jeûne sec est l'ultime recours. Les jeûnes longs et héroïques sont réservés aux gens qui se portent bien et qui veulent durcir leur mental, tels les sportifs. Le jeûne long se pratique également sous encadrement médical dans les pavillons pour cancéreux. Je reviendrai aux chélations ultérieurement si les jeûnes ne donnent pas de résultat. De toute façon, le jeûne, ça tue les cancers, donc cela ne sera pas perdu. En outre, cela ne m'étonnerait pas que les métaux-lourds soient cancérigènes.

Cela fait deux ans que je pratique toute sorte de régimes, SGSC, fruits à l'estomac vide. Je pratique aussi le jeûne intermittent humide. Ce dernier a été longtemps favorable mais mon état est désormais stationnaire. Des céphalées incommodantes persistent et, par prévention, je m'empêche toute sorte d'activité. Cette année, je vais donc tenter des jeûnes mixtes courts avec une périodicité mensuelle. Puis, je vais compléter cela par des jeûnes intermittents mixtes aux plages horaires réduites (entre huit et douze heures par jour) le reste du temps. C'est ma résolution de 2017.

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Message par Sophocle Lun 26 Juil - 21:32

le Sam 7 Jan 2017 10:45, un_ptit_gars a écrit:Très bonne année a toi aussi Sophocle! Smile

Je comprend très bien que tu sente a un moment donné le besoin de changer de méthode de fond, et basculer de la chélation vers autre chose...et en l'occurence ici c'est le jeune qui semble te correspondre. Tu as bien mis en avant par toi même les avantages, mais aussi les risques d'un jeune mal mené, ce qui montre que tu as du recul sur tout ça et que tu ne te jète pas la tête la première sans savoir ou tu vas..et c'est bien l'essentiel.

Le but ultime étant bien sur de se détoxifier au maximum de toutes les saletés accumulés depuis tant d'années, la chélation est une manière de faire, qui a fais ses preuves, mais qui présente aussi des limites et ne solutionne pas tout, on est bien d'accord. D'autres formes de détox peuvent etre mis en place, et je te souhaite d'obtenir de bon résultats avec le jeune...mais soit tout de même bien prudent et à l'écoute ton corps afin de ne pas entrer dans des phases de mobilisation excessives au regard de tes capacités de détox actuelles... trouver le bon compromis entre mobilisation et élimination réelle, et ne pas entrer dans la zone rouge qui stress bien plus le corps qu'il ne le soulage, c'est un aspect clé de la guérison.

A bientot!

Pti gars

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Rémission digestion

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:48

Mar 29 Aoû 2017 18:13
Là, j'ai un bon signal pour une rémission.
Ce n'est pas encore au top, mais c'est assez régulier pour éliminer quotidiennement.
J'attribue l'accélération de ce rétablissement aux marches quotidiennes hydratées. À jeun, ça aide aussi.
Hors de ces deux mois de marches quotidiennes, je patinais un peu pour obtenir des progrès.
La semaine dernière, j'ai fait deux crach-tests de déshydratations de 16 heures chacun qui se sont bien déroulés.
Je vais donc reprendre prochainement mes petites expériences de déshydratation.

Mais je vais d'abord faire une consolidation de mon topic sur le sujet.

- Il faut un système digestif fonctionnel.
- Une déshydratation lente (sans marche) est définitivement ce qu'il y a de plus sûr, car les déchets sont éliminés au fur et à mesure.
- Je ne ferai pas plus de trois jours de déshydratation par occurrence.
- Je commencerai par une petite déshydration intermittente.
- Je continuerai par des périodes 24h, 48h, puis 60h et enfin 72h.
- Dès qu'il y a un ralentissement du transit, il faut rompre la déshydration.
- Je me ré-hydraterai au moins pendant aussi longtemps que la période de déshydratation.
- Je ferai des marches hydratées entre deux déshydratations, de préférence à jeun.
- Dans le post du 3 mars, j'ai écrit que le système digestif s'améliorait à chaque déshydratation. C'est une tendance à conforter,
- je vais donc reprendre du Psyllium, de la chlorella, et du charbon végétal en alternance afin d'adoucir les effets du renversement de l'osmose.[/list]


Je continue avec le probiotique spécial biotine et butirate. Je ne sais pas si aide au schmilblick , mais en tout cas, le retour est là avec.
Je fais également des décoctions que j'ai acheté chez l'herboristerie pour dépurer le foie et pour les reins.

Mes céphalées ont malicieusement repris depuis que j'ai dû arrêter mes expériences de déshydratations. Je ne sais pas à quoi attribuer ce retour. C'est peut-être la résurgence de mon stock de ML hypothétiquement localisé dans la mâchoire. Ou c'est peut-être une réintoxication du Snc par les tissus ordinaires à cause de toute cette hydratation au cours des mois récents.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Rémission Digestion II, Candidose

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:51

Lun 11 Sep 2017 10:25
Pour aller un peu plus dans le détail par rapport au message précédent,
je crois que c'est la combinaison de marches quotidiennes et de jeûne hydriques qui ont accéléré le processus de rémission.
La transpiration par la marche désintoxique les organes, mais le jeûne hydrique répare également les tissus.
Ainsi, de marches en marches et de jeûnes en jeûnes, les intestins ont pu se désintoxiquer, puis se régénérer par paliers.
C'est-à-dire qu'il est peut être possible que l'un sans l'autre, il n'y ait pas de retour rapide.

La semaine dernière, j'avais encore une ultime douleur aux intestins dont la variation de l'intensité était rapide.
Ça se calmait certes en prenant des anti-inflammatoires, mais cette douleur pouvait également s'effacer brusquement par elle-même.
Il ne s'agissait donc pas d'une inflammation, mais cela semblait plutôt que ce soit une sensibilité au contact.
Les parois des intestins étaient donc encore sensibles.
J'ai donc refait un jeûne hydrique de six jours.
J'ai continué les marches pendant le jeûne, mais par contre, je ne pouvais pas aller au delà du rythme de la promenade.
Je pouvais certes marcher longtemps sans problème, une heure, deux heures, mais je ne pouvais marcher qu'au rythme du pas.
La douleur s'est totalement et brusquement tu au cinquième jour,
mais une léger durcissement dans l'ensemble des intestins est apparu pendant le jeûne.
À la rupture, toutes les sensibilités se sont définitivement dissipées.
Là, j'en suis au troisième jour après la rupture, et tout est normal.

Cependant, le muguet buccal, qui avait bien tari pendant le jeûne, a un peu repris en trois jours de reprise .
Pendant le jeûne, j'ai eu besoin de prendre une gélule d'ornithine tous les soirs pour m'aider à dormir.
Tout cela indique que j'ai éliminé du candida pendant le jeûne et qu'il s'est transformé en ammoniac.
Je dois être encore très candidosé. Il faut que je m'occupe de cela.

Après un jeûne, j'ai remarqué que je devais me forcer pour boire de l'alcool.
C'est que l'alcool apparait comme une acidité en bouche.
Le jeûne à l'air d'annuler l'habitude de l'alcool.
Je vais donc profiter de cette rupture pour ne pas reprendre l'alcool.
Ainsi, je vais pouvoir enfin démarrer le régime anti-cadidose sérieusement.
D'ailleurs, le régime contre la candidose est justement de le régime pour préparer la longévité.
Ce régime a donc un double bénéfice.
Cependant, il faut tenir un an sans alcool.
J'ai l'impression d'être un train qui va rentrer dans un tunnel obscur et sans fin.
Si l'on me demande pourquoi j'arrête l'alcool, je dirai que ça déplie l'Adn.
À chaque fois que je raconte cela, ça fait un sacré effet sur mon interlocuteur.
De plus, c'est pas faux en soi.
Mais je ne m'interdirai pas un petit verre en cas d'apéro.

Je vais récapituler mon projet de traitement anti-candidose :
Je fais déjà le régime sans gluten ni caséine.
Zéro sucre.
Viandes blanches. Éviter les viandes transformées, rouges, le porc à cause des conservateurs.
Légumes frais et verts. Pas de pomme-de-terre, ni carottes, ni maïs.
Le riz et les lentilles sont tolérés mais ils contiennent quand même du sucre.
Je vais donc tester un mois sans et un mois avec.
Ce sera le muguet qui fera le témoin et ce sera également le rétablissement du sommeil par l'ornithine.
+ Probiotiques pour le S.I. et prébiotiques pour les bonnes bactéries.
+ Huiles essentielles, j'en prendrai une fois par semaine sur le long terme.
Je vais passer chez l'herboristerie pour voir s'ils n'ont pas des décoctions anti-fongique.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Rémission digestion - Candidose - suite.

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:51

Ven 22 Sep 2017 15:07
Je n'ai pas encore repris mes expérimentations car la digestion n'est pas encore suffisamment robuste.
Les selles sont certes normales pendant les deux premiers jours après le rupture d'un jeûne.
Mais ensuite, la facture se dégrade.
Désormais, elles demeurent certes suffisamment volumineuses et régulières mais elles deviennent (presque très) molles.
Pour reprendre les déshydratations, j'attends donc que la digestion soit impeccable durablement.

Ce cycle s'est répété trois ou quatre fois au cours des mois précédents.
Le tube digestif est donc fonctionnel, mais
il perd sa robustesse dès qu'il est sollicité au-delà de deux jours alimentés.
Cela semble indiquer qu'Il s'agit d'un problème dans le ressourcement des cellules épithéliales.
Ces dernières se ressourcent correctement pendant un jeûne, mais
elles semblent pâtir d'une lenteur de renouvellement lorsque le tube digestif est en action.
Leur renouvellement est donc trop lent par rapport au mouvement péristaltique et à leur exposition à l'usure de la digestion.

En début de semaine, je suis donc passé à un repas par jour en veillant à ne pas augmenter pas la quantité de nourriture d'un repas.
Je mange donc deux fois moins qu'avant.
Cela donne aux cellules épithéliales plus de temps pour se renouveler, 21 heures au lieu de 15 heures, et
cela les expose deux fois mois à l'usure de la digestion.
J'ai déjà des prémisses d'une amélioration significative. Pourvu que ça dure.
Il faut que je surveille le poids car j'ai déjà perdu 2 kilos.
C'est pas bon, je ne vais pas pouvoir tenir ce rythme longtemps.

Le régime anti-candodise a l'air de fonctionner.
Le muguet s'est rétracté au tiers de sa surface habituelle depuis que j'ai arrêté le glucose au début du mois.
Mais il diminue tout doucement. Cela ne se voit pas au quotidien mais les progrès sont notables sur une semaine.
Mais il semble résister car son retrait ralenti.
Plus le muguet se réduit, plus il est persistant.
Le muguet est certes bien réduit, mais sa présence m 'obsède,
Va-t-il disparaître totalement ?
Il me donne l'effet d'une chose qui menace de se répandre au moindre écart.
Pour accélérer le retrait du muguet, j'ai arrêté toutes les formes de céréales, y compris le riz et les légumineuses.
Grosso-modo, je ne mange plus que de la viande et des légumes verts.

Par contre, j'ai des coups de barre en fin d'après-midi.
J'ai changé trop de paramètres pour identifier à quoi cela est dû.
Demie-alimentation ? arrêt du glucose ? arrêt de l'alcool ? déchet de la candidose ? libération des corps cétoniques ?
La reduction du muguet a peut-être un effet sur la digestion, trop de déchets peuvent peut-être créer une asphyxie du système digestif.
C'est peut-être un peu tout à la fois.
Je vais insister comme cela pour voir si une amélioration parvient.
Le coupe de barre parvient peut-être d'un effet transitoire dû à l'élimination du candida, du moins, je l'espère.
Dès que tout le candida qui peut se résorber sera éliminé, peut-être que le coup de barre se dissipera.

J'ai aussi de grosses fringales auxquelles je résiste.
C'est très difficile de résister à ces fringales.
C'est que le délai à jeun (24h) est trop court pour couper la faim.
Mais bon an mal an, j'arrive à tenir bon.
C'est beaucoup plus dur qu'un jeûne, car au la faim disparait après deux jours.

Le sommeil est un peu fluctuant mais il demeure correct.
C'est-à-dire que je n'ai pas besoin d'ornithine pour dormir.
Je m'attendais à ne pas dormir à cause des déchets du candida.
Cela m'intrigue, il règne une anomalie dans ma compréhension des symptômes.
Je vais laisser cela de côté, ce qui compte, c'est de continuer jusqu'au retrait total du muguet.
J'aviserai plus tard sur les hypothèses qui causent du maintient du sommeil.


Quand je vais reprendre les déshydratations, je commencerai par une déshydratation intermittente.
Cependant, je vais changer les horaires de la privation d'eau par rapport à mes habitudes précédentes.
La rupture quotidienne se fera le matin, juste après les selles.
Ainsi, le colon qui s'est vidé sera protégé par la ré-hydratation, et la migration des toxines se fera uniquement pendant que le colon est en charge.
La plage horaire de déshydratation sera donc de 16 heures à 8 heures, et
la plage horaire d'hydratation sera de 8 heures à 16 heures.
Le curseur est donc placé autour de 16 heures.
Si je veux un peu plus d'hydratation, je boirai au-delà de 16 heures, et
si je veux un peu plus de déshydratation, je cesserai de boire avant 16 heures.

Édit 1
Les coups de barre ont cessé depuis que j'ai rétabli un volume d'alimentation habituel.
Le midi, je vais m'orienter vers une alimentation facile à digérer - soupes, ...


Édit 2
Je continue à faire une marche de 7 km / jour environ.
Avec ce climat rafraichi, j'ai remarqué que je transpirais moins au cours des marches.
J'ai donc repris une séance de sauna sec.
Ça a bien marché, j'ai énormément transpiré.
Ça a fait beaucoup de bien.
Désormais, je m'hydrate abondamment la veille de ces séances de sauna.
Ainsi, je transpire abondamment pendant la séance et je ne souffre d'aucun désagrément.
La marche et le sauna ont  l'air de bien se compléter.
Je pense continuer à combiner les 2.
Marche : tous les jours.
Sauna : 1 x par semaine.

J'ai repris le psyllium et j'ai réintroduit le sel dans mon alimentation,
Ça m'a fait un léger mieux durable au niveau de la digestion.
Il faudrait que je vois ce qui se passe quand je cesse d'en prendre.

Il y a quelques semaines, je recherchais le délai moyen du transit d'un aliment dans les intestins (ce qui n'a rien à voir avec le délai entre 2 selles).
J'ai trouvé une réponse à la page suivante : Transit et constipation: normalité : 70 heures.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:51

Mer 4 Oct 2017 15:31
Voici un petit point sur ma candidose.

Depuis que j'ai évincé le glucose de mon alimentation, je n'ai pas beaucoup d'améliorations au niveau des symptômes.
Cela fait un mois que j'ai adopté ce régime.
Il n'y a que le retrait du muguet buccal que je peux attribuer ce façon certaine aux vertus de ce régime.
C'est déjà pas mal.
Cependant, mes céphalées demeurent les mêmes.
La tension, la concentration, et autres indicateurs sont stables.
De façon générale, je me sens quand même un peu mieux.
Mais je n'attribue pas encore cette amélioration au traitement anti-candidose.
Je l'attribue à l'arrêt de l'alcool car je me suis senti tout de suite mieux trois jours après avoir arrêté l'alcool et que je n'ai pas fait de progrès depuis.
En effet, après l'arrêt de l'alcool, je dors mieux, d'un trait et profondément.
Je ne suis plus fatigué en réveillant.
Il y a aussi le dépliage de l'Adn qui peut influer mais son effet devrait être plus tardif.
Il faut attendre encore un peu avant de voir les effets de ce régime se manifester.
J'ai aussi des progrès au niveau digestif, mais j'étais déjà dans une phase de progrès avant de commercer ce régime.
Il n'est donc pas possible de d'attribuer si ça aide ou pas.
Ça doit quand même y participer.
Mais des fois, je me demande si je suis vraiment candidosé et si je dois vraiment persévérer dans cette voie.

La troisième semaine, j'ai eu une petite série de mini-aphtes en grappe, mais rien de bien méchant.
La muqueuse de la joue était un peu rugueuse en passant la langue.
Mais c'est parti comme c'était arrivé.

C'est un tout qui se joue, il est difficile d'attribuer une cause première aux vertus de ce régime entre la rehausse du SI, l'asphyxie du champignon, la transcription de l'Adn.
C'est que ce régime intervient sur de nombreux tableaux en même temps.
Quoi qu'il en soit, pour l'instant, ce régime présente un léger mieux, et par les temps qui courent, je ne vais pas négliger cela.
J'ai prévu de continuer pendant un an, mais il est préférable que je sois très rigoureux tant que le système digestif ne soit pas impeccable.

J'ai, cependant, interrompu ce régime pendant quelques jours car j'étais obsédé que le muguet buccal n'explose si je faisais un petit écart.
Mais il ne s'est rien passé, le peu de muguet qui demeure est sagement resté à sa place.
Cela me rassure, je vais pouvoir continuer ce régime sans être angoissé par cette affaire.
Je serai désormais plus cool.
J'avais l'impression que ce muguet m'observait comme un oeil au fond de ma gorge car il est le premier informé de ce que je m'empiffre en secret.
J'avais l'impression qu'il se frottait les mains en attendant que je fasse un petit écart.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:52

le Ven 6 Oct 2017 23:24, ToManlai a écrit:
Sophocle a écrit:
Mais des fois, je me demande si je suis vraiment candidosé et si je dois vraiment persévérer dans cette voie.

Si tu as du muguet, ça paraît assez évident que tu as une forte activité fongique.
Après la question est : est-ce que le régime anti candida est un élément clé dans ton cheminement ou pas ? C'est tjrs très difficile de répondre à ce genre de question. Mais, de toute façon, la modération est tjrs utile ...

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:52

Sam 7 Oct 2017 18:30
ToManlai a écrit:
Sophocle a écrit:
Mais des fois, je me demande si je suis vraiment candidosé et si je dois vraiment persévérer dans cette voie.

Si tu as du muguet, ça paraît assez évident que tu as une forte activité fongique.
Après la question est : est-ce que le régime anti candida est un élément clé dans ton cheminement ou pas ? C'est tjrs très difficile de répondre à ce genre de question. Mais, de toute façon, la modération est tjrs utile ...

Qu'entends-tu par modération, et par utilité ?
Que doit-il être modéré ?

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:56

le Mer 11 Oct 2017 01:04, ToManlai a écrit:
Sophocle a écrit:

Qu'entends-tu par modération, et par utilité ?
Que doit-il être modéré ?

je pense que l'activité fongique d'une manière ou d'une autre concerne pas mal de monde (que l'on en soit conscient ou pas). Que le régime anti candida strict n'est pas forcément la réponse unique. Mais que d'y aller doucement sur le sucre est donc très utile en parallèle à d'autres actions.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:57

Mar 17 Oct 2017 12:34
ToManlai a écrit:
Sophocle a écrit:
je pense que l'activité fongique d'une manière ou d'une autre concerne pas mal de monde (que l'on en soit conscient ou pas). Que le régime anti candida strict n'est pas forcément la réponse unique. Mais que d'y aller doucement sur le sucre est donc très utile en parallèle à d'autres actions.

Tu vas rire, je crois que me suis fourvoyé en beauté sur le muguet.
Car j'ai eu une explosion du prétendu muguet après avoir un peu abusé des amandes.
En fait, ce que je prenais pour du muguet n'étais qu'un résidu de la bouillie d'amande après la mastication qui prend l'apparence de muguet.
La langue semble être tapissée de villosité entre lesquelles cette bouillie peut se cantonner de façon à simuler un muguet.
Ça fait des années que je surveillais ce muguet, et qu'il me narguait...

C'est la raison pour laquelle le prétendu muguet baissait pendant le jeûne et réapparaissait après.
La baisse du muguet que j'attribuais à l'arrêt du sucre parvenait de l'arrêt des aliments.
Il demeurait donc des anomalies d'évolution par rapport au régime sans sucres que je faisais.
Ces évolutions, certes du deuxième-ordre mais erratiques, m'exaspéraient...  

Dans mon post du 22 septembre, je me plaignait déjà d'une anomalie dans la compréhension du candida.Je m'attendais à ne pas dormir à cause des déchets du candida.Cela m'intrigue, il règne une anomalie dans ma compréhension des symptômes.Les amandes trompeuses me donnent donc la réponse cette anomalie-ci,et elles expliquent pourquoi je n'ai ressenti aucune amélioration après le régime hypo-sucré.

Merci pour tes réponses.
Je vais donc cesser les amandes définitivement pour déceler s'il n'y a pas un peu de vrai muguet qui se cache derrière.

Sophocle

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty La symptômologie psy des intoxiqués

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:28

lun 13 Nov 2017 13:30
J’ai longtemps recherché des descriptions par des professionnels de symptômes cognitifs à retentissement psy qui étaient congruents avec ce que je ressentais. Mais je n'ai jamais vraiment rien trouvé de probant. Cependant, il existe une foule de témoignages anonymes de ces symptômes sur internet. Certains de ces témoignages m'ont impressionné car ils étaient précis, complets, fins et cohérents. Je trouve qu'il y a un langage commun entre les récits des personnes intoxiquées que les professionnels de la psy n'ont pas encore cerné. J'ai donc ramassé en un post les symptômes des différents témoignages disponibles sur la toile. J'ai exclus tous les symptômes qui ne me parlaient pas et je n'ai retenu que les symptômes que j'avais ressenti.

Exemples :

  • Avoir le trac pour passer le sel et le poivre.
  • des fois un peu sarcastique, d’autre fois trop gentil, ou trop s'excuser.


Ce sont là deux exemples que j'ai vécu et qui éclaboussent l'ambiance de fond qui règne dans le cerveau. Dans le cas précis du sel et du poivre, ce n'est pas le sel ou le poivre qui pose problème, mais c'est qu'il règne un trac dans le cerveau qui fait qu'un tel geste demeure un pensum. Le cerveau sait qu'il n'est pas capable de saisir les codes sociaux, ex: un froncement de sourcil car le geste pour donner le sel ou le poivre est trop lent, un quiproquos nait alors car le demandeur s'étonne de ce retard et l'interprète cela comme une mise à distance et dont l'origine est incongrue. Tout cela fait que le cerveau se met dans un état de trac préventif si quelqu'un venait à faire une telle demande. Il est possible de nier intérieurement ce trac mais ce n'est pas une solution valable car il n'y aura pas de réponse adéquate de façon à désamorcer tout quiproquos. C'est là que je mettais à trop m'excuser, un sur-enrichissement d'étonnement s'installait. Il y a donc un phénomène d'emballement qui se propage de l'intériorité au groupe. La prophétie se réalise, mais ce n'est pas occasionnel contrairement à ce qu'une personne saine va penser, c'est que ça devient petit à petit récurent. Tout cela devient très envahissant car le trac, la réponse de la personne qui reçoit le sel et la réponse du témoin-confident, deviennent ultra-pesant. On peut certes, et on doit prendre sur soi car il n'y a pas d'échappatoire possible en dépit de la déclaration de la maladie. Mais la cocote se met sous pression.

J'ai souhaité procéder à cette petite étude car cela m'aide à mieux prendre conscience de moi-même. Ce ne sont que des prises de notes, le style est donc télégraphique. Je les place ici en vrac, cela donne une ambiance confuse proche de ce qui se passe intérieurement. Je ferai peut-être une synthèse ultérieurement dans un nouveau post. Les témoignages d’où je tire ces notes forment un petit résumé d'un tout. Je les ai donc retenues pour tenter de dessiner le contour de cette ambiance. Ce qui est notable, c'est que la méta-cognition ( la cognition sur la cognition qui permet la lucidité sur son propre état) demeure assez efficace mais on y peut rien pour tirer un enseignement du désordre qui vient de se dérouler. Dans ces situations ultra-simple, on est toujours pris par surprise. De plus, il y a un fort décalage entre ce qui est apparent pour autrui et ce qui ressenti intérieurement, on se rend compte soi-même du problème comme autrui s'en rend compte mais autrui croit qu'on s'en rend pas compte. Cela crée un énième décalage supra-agaçant.




  • Difficile d'en parler, très et trop personnel.
  • Des moments difficiles. D’autres moments ou l'apaisement est de retour.
  • L'émotion est conceptualisée intellectuellement mais elle n'est pas ressentie avec toutes l'épaisseur que les sens peuvent donner.
  • Il est possible de forcer un peu sur les émotions mais ce n'est pas naturel, cette solution n'est pas durable, elle se renverse.
  • Les émotions positives sont rares et présentes mais elles sont plates, sans richesse.
  • C'est un anéantissement intérieurement à long terme, non sur le moment, c'est comme une toute petite rivière souterraine qui qui creuse mécaniquement et chimiquement la roche.
  • Les émotions négatives sont exacerbées.
  • Le jugement d’autrui est désolant car ce qui est uniquement vu est le manque de compassion en dépit de la justification de la maladie.
  • À la destruction intérieure par le manque d’émotion s’ajoute donc la terreur du regard d’autrui. C’est très douloureux.
  • L’incidence de ce jugement d'autrui provoque le renfermement sur soi. Les douleurs s'accumulent.
  • Problèmes de concentration.
  • La pensée se met à cheminer normalement, puis elle s'évapore d’un coup, il n'est pas possible de retrouver la pensée qui vient de s'évaporer en dépit de tentatives de remémorations, il n’est même pas possible de retrouver la pensée de départ qui a provoqué le cheminement.
  • Lors d'une conversation, les conséquences de cela est de rechercher à abréger la discussion.
  • Quelque soit le contenu de la discussion, les réponses étaient formulées de façon à mettre fin à la discussion le plus rapidement possible.
  • Les conséquences de ces réponses inappropriées importaient peu sur le moment.
  • Le cerveau ne cherche pas à échapper à la rhétorique de la discussion, mais il cherche à échapper à la circonstance immédiate de la conversation car elle dépasse la capacité du cerveau à traiter un important volume d'informations qui déferle.
  • Une humiliation intérieure se fait ressentir, cela empire la bonne gestion de la conversation.
  • À cela s’ajoute les témoins qui ne comprennent pas et qui manifestent leur mécontentement.
  • À cela s'ajoute l'impossibilité de désamorcer le mécontentement des témoins.
  • Cela n’est absolument pas compris par autrui, la pathologie n’est donc pas prise au sérieux, le piège se referme indéfiniment sur soi-même.
  • Le désir qui vient est donc la volonté d’être pris au sérieux.
  • Le résultat est de ne pas pouvoir formuler des idées et qu’autrui ne le prenne pas au sérieux.
  • Il y a un phénomène d’emballement qui s’instaure, autrui se met à dire des sarcasmes sur soi auxquels il n’est pas possible d’y répondre.
  • Des angoisses, mais il n’y a évidemment pas de raison d’angoisser.
  • Mais l’angoisse s’installe en dépit de l’absence de raison de s’angoisser.
  • Re-belotte, autrui dit qu’il n’y a pas de raison d’angoisser. Cela crée une confusion circulaire, autrui ne prend pas ce qui est dit au sérieux. Mentalement douloureux.
  • Impossibilité d’exprimer la chose qu’on souhaite demander à autrui pendant des heures, rien ne sort.
  • Impossible de se remémorer de la veille alors que normalement il ne faut pas avoir à s'en remémorer pour s'en souvenir, ça devrait percuter instantanément.
  • Idem avec le nom des gens, ça ne vient pas y compris quand on lance une recherche dans la mémoire.
  • Tout l'empilement d'informations et d'hypothèses relatives à une situation présente s'effondre.
  • Comique au début, mais destructeur à terme.
  • Une apparence de dégénéréscence progressive, la réponse : l’isolement, cela permet d'éviter l'humiliation devant autrui.
  • Une apparence irréversible.
  • Souffrance par l’impossibilité de méditer, souffrance de ne pas pouvoir se reposer, de ne pas pouvoir ressentir de la bonne fatigue régénératrice.
  • La capacité à théoriser demeure intacte.
  • Sentiment d'infériorité, sous-estime de soi.
  • Du mal à comprendre immédiatement ce que font les gens, du mal à placer et à positionner les idées.
  • On radote parfois, ça fait du mal de se confronter aux autres y compris quand ils sont adopté un comportement de circonstance face à la maladie.
  • Avoir peur sans raison, la panique pour rien du tout.
  • Un peu trop sarcastique, ou un peu trop gentil, ou un peu trop s'excuser, ça se voit et ça gâche tout.
  • Jouer sur les faiblesses d'autrui.
  • Les autres disent qu'il va guérir alors que ça s'aggrave, cela annonce qu'autrui considère que l'on est condamné et que l'on se rend même pas compte alors qu'on est bien lucide sur la situation. La réalité est que l'on garde une très forte conviction intérieur que l'on peut en réchapper. C'est le bloc que forme autrui et les professionnels qui rongent cette conviction. Cela rend acrimonieux, ronchon, bougon.
  • La clairvoyance sur la situation rend inquiet de façon durable.
  • Des problèmes pour s'exprimer à l'oral.
  • Une volonté dans un sens, mais une action dans l'autre sens.
  • Mais ne pas se sentir comme un malade mental.
  • Pas proche des symptômes schizophrène, pas d'hallucination.
  • Toujours des idées volatiles, des choix qui apparaissent contradictoires en dépit d'une rare pensée qui a réussi à aboutir.
  • Se retourner, être conscient que la décision n'est pas bonne mais il n'est pas possible de suspendre l'application de la décision en cours.
  • Affaissement de la volonté.
  • Fuir quand des personnes arrivent.
  • Masquer maladroitement le changement d'ambiance cérébrale.
  • Se venger du mal passé, exacerber les désordres, une part de vérité qui devrait être niée dans le temps mais qui enfle.
  • Éternel retour de la même idée.
  • Ne pas arriver a faire quoi que ce soit, en plus la part d’exagération qui se rajoute.
  • Se sentir en danger, et finalement, c'est soi qui fait que ça se passe mal.
  • Penser à tord que les gens était contre soi, suspicion qu'autrui masque le désagrément généré par sa propre pathologie.
  • Mais comprendre in fine tout ce qui arrive.
  • Ne jamais craquer, se contenir, prendre tout sur soi tout le temps.
  • Besoin de bouger, de faire quelque chose quand c'est le moment de ne rien faire, de dire quelque chose au moment où il ne faut rien dire jusqu'à couper la parole.
  • Ou impossibilité à dire la chose qui est attendue par le groupe : les hypothèses d'intention d'autrui et de soi-même ne se présentent pas au cerveau.
  • Ou impossibilité à jouer le comportement adéquat quant aux intentions intérieures, des quiproquos naissent avec le groupe.
  • Tout d'un coup tout devient anormalement grave.
  • Beaucoup de mal à dire bonjour de façon conviviale et chaleureuse. Cela braque immédiatement l'interlocuteur.
  • Attiré par les drames mais des passages euphoriques.
  • Sensibilité à ce qui est dit, tu as dit ci et ça, et patati et patata, devenir une vrai concierge à potins.
  • Avoir le trac pour passer le sel et le poivre.
  • Mais l'intelligence, la pertinence, la finesse d'esprit demeure en profondeur, crève cette surface rugueuse et jaillit parfois de façon éclatante.



Édit 1
J'ajoute ici quelques troubles qui parviennent par le manque de sommeil et dans lesquels je m'y reconnais pas mal.  L e sommeil est normalement LE moment de la détox du cerveau. Donc le manque de sommeil accumule les toxines. Cela semble indiquer que la présence des ML provoque les effets du manque de sommeil en permanence.Source : Combien de temps peut-on rester sans dormir ?La privation du sommeil et la prolongation de l’éveil entraînent une accumulation anormale de substances hypnogènes toxiques entraînant différents troubles qui s’accentuent avec la durée de la privation.Les premiers symptômes qui se manifestent sont les troubles de l’humeur, comme une irritabilité et une irascibilité croissantes, la bipolarité et l’indifférence à l’environnement avec le désir de rester seul. Vient ensuite l’instabilité psychomotrice. La personne ne peut rester immobile, éprouvant le besoin de se déplacer, de changer de place, de position (debout, assis). De ce fait, elle a des difficultés à fixer son attention. Puis, apparaissent les troubles de la sphère visuelle (hallucinations, changement de forme des objets…), des troubles somoesthésiques (fourmillements, augmentation de la sensibilité à la douleur), auditifs (sifflements, bruits lointains…). Finalement, les chercheurs ont mis en avant des troubles plus graves et dangereux pour la santé : une désorganisation de la pensée (délai de réflexion augmenté, amnésies, confusion, désorientation), de nombreux troubles végétatifs (tachycardie, hyperthermie, sensation de faim…). De plus, la perception temporelle est modifiée.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Peau grasse en fin de déshydratation

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:32

Dim 19 Nov 2017 12:50
A chaque fin de déshydratation longue, j'ai la peau et les cheveux qui deviennent gras, et parfois très gras.
Au-delà des désagréments que cela cause, je trouve que cela suscite la recherche de quelques clefs de compréhensions qui me manquent.

Au bout de 12 heures, c'est comme si je n'avais pas pris de douche pendant deux ou trois jours.
La déshydratation semble mobiliser beaucoup de traffic que la peau accumule.
Je suis content que toute cette poisse sorte, ainsi elle est délogée de l'intra.
Je ne serais pas rassuré que tout ces corps gras demeurent dans la cellule.
La détox par la déshydratation permet donc d'éliminer un spectre large de vieux produits tout décatis.
Je vais donc répéter les déshydratations jusqu'à ce que cette poisse cesse éventuellement de sortir.
C'est peut-être un repère de détox définitive au delà de la fin des symptômes par les ML.

J'ai donc mis en place un petit protocole pour traiter le problème d'extraction de ces déchets.
D'abord, je prends deux douches par jour pendant la période de déshydratation, cela résout et prévient le problème.
Il faut que les douches ne soient pas trop longues, sinon, l'eau pénètre et ralenti le processus de la déshydratation.
Je savonne très énergiquement la peau de façon à ce que le savon fasse une écume bien fine et non une mousse avec de grosses bulles.
Il faut bien frictionner la peau de façon à ce que le gras dégorge de l'épaisseur du cuir.
Un simple passage au savon comme une caresse ne suffit vraiment pas.
Ensuite je passe le pommeau de douche en mode massage.
Ainsi, la peau est bien vibrée et le gras en profondeur remonte à la surface.
Je repasse une deuxième séance de savonnage énergétique pour bien me rassurer.
Ensuite, je passe de l'argile pour déboucher les ports.
Si une odeur corporelle apparaissait en fin de journée, je masse le corps avec du vinaigre dilué ou du jus de citron pour tuer les bactéries après être sorti de la douche et être séché.
Dans un jeûne, s'il n'y a que des  mauvaises odeurs, c'est bon signe, c'est que ça déménage.
Le tout, c'est arrêter quand de nombreux symptômes s'expriment, notamment gorge en feu, mal être, il faut donc reprendre une déshydratation par paliers 24/36/48h...
Pour diffuser le jus de citron ou le vinaigre, j'utilise un pschitt-pschitt.
Les odeurs corporelles naissent de 2 facteurs : présence de gras dans la peau/muqueuse + bactéries qui transforment le gras en gaz.
Pour se débarrasser définitivement de ces odeurs, il faut donc éliminer les deux facteurs.
Je fais tout ce protocole à la douche du soir car les bactéries ont tendance à se multiplier dans l'ambiance moite et tropicale du lit.
Avec ce protocole, je suis définitivement tranquille.
Le matin, je prends juste une douche avec un léger savonnage, pas plus, il ne faut corroder la peau par trop de traitement.

Je suppose que ce gras décati par les ans sera remplacé par celui qui est ingéré, il faut donc s'alimenter en produit de bonne qualité au moment de la déshydratation.
D'ailleurs je me réhydrate exclusivement en eau minérale car c'est cette eau-ci qui va reglonfler l'intra.
Je confirme que la réforme alimentaire que j'ai opéré  ces dernières année n'a pas renversé la tendance d'intoxication.
Je dirai qu'elle n'a fait que ralentir ou suspendre l'intoxication, c'est déjà pas mal mais elle est insuffisante à elle-seule.
Mais, cela a un sur-coût qui je trouve pas très bien placé.
Je préfère réserver les très bon produits après une détox de façon à remplir les sites en attente de remplacement.
À l'avenir, je vais donc considérer que les produits ordinaires seront suffisants lors d'une période sans détox car ils vont presque glisser comme de l'eau sur une aile d'oiseau du fait que les sites sont déjà occupés.

Concernant les clefs de compréhension,
il est possible que le mouvement de l'eau ne suffit pas pour expliquer à lui seul le mouvement des ions comme je l'ai fait jusqu'ici.
Je trouve que ce phénomène de libération de corps gras est intéressant car les ions ont également une affinité avec la polarité des lipides.
J'avais lu que les ions remontent aussi le gras au moment où ils sont exposés à des champs électromagnétique car la membrane cellulaire est très polarisée.
Grâce à l'agitation des ions par les champs magnétiques, les ions remontent les barrières lipidiques comme des saumons qui remontent la rivière de vasques d'eau en vasques d'eau.
Comme le cerveau est un organe très gras, cela expliquerait la raison pour laquelle le cerveau est la destination préférée des ions.
Le relargage de lipide au niveau de l'extra au moment de la déshydratation va peut-être offrir une nouvelle destination magnétique pour les ions.
Par la déshydratation, la libération du gras va peut être transformer toutes les vasques d'eau en un toboggan lubrifié vers la sortie. SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Smiley16
Ce n'est qu'une hypothèse simpliste, mais la combinaison particulière de l'eau et des lipides au moment de la déshydratation est peut-être une clef de compréhension du comportement des ions. Je pense notamment au jeûne sec, où les corps cétoniques (qui sont des corps gras) sont libérés massivement (x1000) par la privation de glucose.
Par rapport à une déshydratation seule, le destockage de corps cétoniques pendant le jeûne sec a peut-être un impact positif où négatif sur la sortie des ions.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Du sel, du sel et du sel...

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:32

Sam 2 Déc 2017 14:30
Les déshydratations avancent, et les améliorations au niveau de cerveau sont encore au rendez-vous.
Je sors d'une déshydratation de trois jours.
Ça s'est pas trop mal déroulé. Pas de troubles digestif.
Au contraire, le système digestif s'améliore.
Mais j'attribue ces progrès aux lavements au sel (entre 2 déshydratations et non pendant) car les résultats sont assez épatants.
Tout n'est pas encore réglé, mais là, il y a eu d'un coup une marche de progression assez forte.
Désormais, la facture des selles demeure correcte, je n'ai plus de selles molles qui surgissent épisodiquement.
J'ai également pris un peu (5 gélules) de la glutamine en parallèle, ça aide à resserrer les jonctions des cellules, mais je n'insiste pas.
J'en reprendrai si les selles molles réapparaissent pour voir s'il y a un lien entre les deux.

Avec ces nouvelles déshydratations, j'ai des nouveaux effets secondaires qui apparaissent.
J'ai mes maux de dos qui s'augmentent légèrement.
Ce sont des maux de dos assez sourds et profonds, au niveau des épaules.
Il y a aussi des picotements qui se manifestent sur la peau, surtout dans le dos, au niveau des hanches.
Là c'est franchement marqué par la déshydratation.
Ça apparait pendant la déshydratation, puis ça s'estompe.
Ça ne fait pas mal, mais c'est très désagréable.
J'imagine que c'est les ML qui sortent par la colonne et qui se relocalisent à proximité.
Pour les enlever, je passe de l'eau salée (50g/l) sur la peau à l'éponge pendant 20 minutes.
Le top se serait un bain de mer  SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Smiley202  SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Smiley202 ou une baignoire avec plusieurs kilos de sel SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Smiley177.
Je n'ai qu'une douche et y'a pas la mer là j'habite, mais je n'ai besoin que d'un demi-litre, de 25g de sel et d'une éponge de mer.
Par ailleurs, ça a réduit aussi un peu mes maux de dos.
Je viens tout juste de commencer cette technique.
Alors, pour l'instant, je répète cette technique pour voir si ça peut pas résoudre tous ces problèmes de dos.
Puis, je passe éventuellement de l'aloé verra après et je ne bois que de l'eau minérale exclusivement pendant ces périodes de traitements au sel.

Il y a donc pas mal de relargages avec une déshydratation.
Pour l'instant, à part le dos, je n'ai aucun autre désagrément. Le coeur, le foi, la fatigue, ...  ne sont absolument pas atteints par la déshydratation.
Si un de ces organes était atteint, je ferai alors des déshydratations intermittentes, ex, 16 à 20h par jour pour drainer les tissus ordinaires et non le cerveau.
Il faut certes traiter les relargages, mais avec le sel, on peut traiter les organes qui ont un contact avec l'extérieur, peau, intestins, ça se fait aussi avec le nez, la bouche.
Entre deux déshydratations, j'essaie aussi de faire des marches quotidiennes d'une heure.
De toute façon, j'attends que les symptômes qui sont apparus pendant une déshydratation disparaissent pour recommencer une nouvelle déshydratation.

Mon repère de rupture de déshydratation, c'est la gorge, dès qu'elle est déshydratée, j'arrête.
Quand le déglutissement devient un peu difficile, je n'insiste pas. Cela parvient entre le 3è et 5è jour.
Si j'ai trop de symptômes, picotements, ou autres, j'arrête aussi, je reprendrai plus tard quand les symptômes auront disparus.
Par contre, il faut que ça dure assez longtemps pour que les urines soient très peu volumineuses.
Sinon, il n'y a pas de déshydratation du cerveau.
Les urines éliminent le surplus d'eau pour maintenir la pression d'eau dans le cerveau.
Donc, dès qu'elles se réduisent, grosso modo au bout de 36h environ, la déshydratation profonde commence.
Cependant, il faut toujours commencer par étapes, 12h, 24h ...


Il y a deux types d'améliorations des symptômes du cerveau autour de la déshydratation.
Il y a en une qui se manifeste pendant la déshydratation mais qui disparait au moment de la rupture.
Puis, il y a en une autre qui se manifeste au moment de la réhydratation.
L'une prend le relai de l'autre.
J'ai l'impression que certaines de mes céphalées parviennent de la trop haute pression en eau dans le cerveau.
Des améliorations se font donc ressentir au moment de la déshydratation.
Mais les céphalées qui s'étaient atténuées pendant la période de déshydratation sont majoritairement rétablies à la réhydratation.
Cependant, à la réhydratation, il y a la baisse de concentration des ML qui soulage le cerveau par le foisonnement de l'eau minérale.
Il y a donc une deuxième vague d'améliorations qui apparait, mais durablement cette fois-ci.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Rounds de déshydratation

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:34

Lun 18 Déc 2017 12:59
Je me suis installé dans des rounds de déshydratations.
Grosso modo, je fais quatre à cinq jours continus par round.
Les symptômes qui apparaissent à la déshydratation commencent à s'estomper légèrement (-20%) mais il y en encore pas mal.
Les picotements qui apparaissent avec la déshydratation sont de moins en moins forts et s'en vont de plus en plus rapidement.
Le sommeil est assez erratique ; des fois, je dors très très bien, puis la nuit suivante est totalement blanche.
C'est la surprise à chaque fois mais ça se régularise après la réhydratation.

Ça se passe comme si les toxines étaient écopées à chaque round de déshydratation.
Il faut donc répéter les déshydratations pour éliminer le surplus qui veut bien partir en quatre jours.
Je pense que les os doivent décaisser avec un débit de fuite lent.
Cela voudrait dire que mon intoxication s'est diffusée de façon homogène pendant des années de façon à demeurer en-deçà de symptômes trop voyants.
Mais quand la dose est devenue intenable, là, il n'est plus possible de traiter rapidement le problème.

Il n'est pas encore temps de passer au cliquet suivant mais j'y pense déjà.
Je me prépare mentalement pour prolonger les déshydratations car je ressens des résistances au niveau du cerveau.
Au-delà d'un certain délai, la gorge devient trop sèche pour déglutir, je crains donc qu'il faudra passer en jeûne sec à partir du cinquième jour.
Je ne suis pas encore prêt pour pour le jeûne sec, mais je me lancerai après les fêtes si les améliorations ne parvenaient plus.
Je commencerai bien par une déshydratation alimentée pour éliminer le maximum de toxines avant de passer au jeûne sec.

Surtout, à partir du quatrième jour, j'ai l'impression que le processus de déshydratation ralenti car le corps arrive à capter de l'eau par tous les moyens possibles.
Il y a de l'eau dans l'alimentation qui pourvoit à un demi-litre environ (25% des besoins).
Comme le corps est sec, j'ai l'impression qu'il capte l'eau qui lui manque par la peau et les poumons.
Je crains que la douche renfloue en eau car la peau peut se comporter comme une éponge quand elle est sèche.
J'ai aussi l'impression que le climat humide permet également au corps de se ravitailler un peu en eau par la respiration.
Comme je veille bien à ne faire aucune activité physique pendant une déshydratation, il est possible que ce peu d'eau soit suffisant pour aboutir à un équilibre et suspendre la déshydratation.
Le corps reste certes déshydraté mais il ne se déshydrate plus.
Or, les ions sortent quand le volume d'eau se réduit.
Il semble donc qu'il n'est pas nécessaire de pousser les déshydratations au-delà du 5ème jour.
C'est peut-être pour cela que les symptômes baissent après quatre jours.

EDIT JUILLET 2021,  - Rappel
Des désagréments durables parviennent de la part sèche du jeûne sec.
Suite à des difficultés à traiter les relocatlisations des toxines par les jeûnes secs, je décommande donc le jeûne sec.
Cependant, je ne change pas d'avis sur les performances du jeûne humide, notamment pour traiter les cancers agressifs.
Il est à noter que, en dépit qu'elle soit abondante sur le jeûne humide, je n'ai jamais trouvé de littérature sur le jeûne sec.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Arborescence cognitive de la conversation

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:45

Dim 4 Mar 2018 11:40
Comme je retrouve peu à peu mes fonctions cérébrales, je vais décortiquer la mécanique cognitive sous-jacente à la discussion qui me faisait défaut.

Une vidéo d'arborescence de foudre peut illustrer cette mécanique de la façon que je la ressens au moment où je parle :
SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Hqdefault (Youtube, 20.000 vues)
Je n'évoque absolument pas l'électrocution, ni de douleur, ni de souffrance.
Il s'agit juste du foisonnement de chemins en choux-fleurs avant que l'impact ne vienne capter toute l'énergie d'un chemin par un pic au détriment des autres.
À chaque mot prononcé, à chaque mot entendu, le cerveau déclenche un pré-éclair arborescent.
Quand les conditions sont suffisantes pour trancher le sens, PAF, l'éclair éclate par l'une des branches de la forme en choux-fleurs.
C'est surtout cette forme en choux-fleurs qui permet une pensée pertinente dans un large panel de pensées plus ou moins adéquates.
Il faut également ajouter des sous-arbres avec chaque syllabes d'un mot, chaque son, les synonymes d'un mot, les variantes contextuelles, les corrections d'erreurs de l'interlocuteur à trancher avec une appréciation des erreurs de soi-même, ou la suspension d'informations attendues, et tant d'autres arbitrages.
Il faut également ajouter les arborescences sémantiques à la fin d'un phrase et la fin d'une tirade.
Il y a donc des éclairs à très petite échelle et à très grande échelle, sans oublier tous les formats intermédiaires.
Il doit avoir au moins 3 mots prononcés par secondes, toute une phrase peut donc faire des dizaines et dizaines d'arbres en saccade.
Toute une discussion peut émettre des centaines d'impacts et des milliers de chemins.

Désormais, je peux donc remonter au temps de l'intoxication forte et exprimer ce que je ressentais.
Les petites ramifications devaient être exposées à une résistance par les métaux lourds.
Elles avortaient avant qu'elles ne puissent faire éclater l'éclair.
Quand il avait lieu, l'éclair se faufilait donc sur une arborescence palichonne, étriquée.
Cependant, la méta-cognition ressent cela.
Le manque de foisonnement, de ruissellement, de profusion, de débordement de la pensée se ressent très fort.
Cela était permanent pendant des années...

Dans l'une de ses vidéos, Nicolah disait que parfois "Tout s'écroule",
et qu'il répondait oui/non n'importe comment pour en finir au plus vite avec la discussion en cours.
J'ai vécu cela pendant longtemps.
J'imagine que le "Tout s'écroule" est difficile à appréhender pour une personne saine,
je vais donc tenter de l'expliquer à ma façon.
Pendant une discussion, il faut réserver une importante quantité d'information contextuelle pour dresser le plan de la phrase à venir.
Ex: telle personne est venue à telle heure pour dire telle chose.
Au moment d'exprimer la phrase, ces informations (qui, quand, quoi) s'évanouissent comme si le peu d'énergie qu'il fallait pour exprimer la phrase captait l'énergie nécessaire au maintient de l'information.
Donc toutes les informations pertinentes s'écroulent, disparaissent.
Mais, ces informations réapparaissent aussitôt que de l'énergie est disponible.
C'est rageant, toute idée est sur le bout de la langue.
Et c'est très agaçant quand ça perdure pendant des mois.
Il est également difficile d'accumuler beaucoup d'informations au cours d'un discours d'autrui.
Donc ce problème d'intoxication impacte énormément l'écoute de son interlocuteur.
Comme Nicolah, j'ai souvent coupé court aux discussions pour ne pas avoir à souffrir de la manifestation de mon handicap.
Nicolah insistait sur le fait que les problèmes psy étaient d'origine biologique.
Quand j'ai entendu cela, j'ai compris que Nicolah avait là le slogan adéquate pour la situation.
Ce slogan permet de chasser tous les opportunistes qui se greffent sur des effets secondaires et qui masquent les causes premières.
J'ai donc orienté la tonalité de mon topic avec ce slogan.
Le discours de Nicolah est vraiment remarquable et épatant, il a mis des mots sur tout un tas de symptômes dont je n'ai trouvé aucune description ailleurs.
De très nombreux détails congruents fourmillent.
J'ai un tronc commun avec ses symptômes, je dirai au moins 60%, si ce n'est plus.
Cela a renversé les doutes entretenus par tout le tintouin de l'opinion publique et de la médecine officielle (psys, généralistes), il m'a conforté dans mes intuitions profondément enfouies.
Il y a une part universelle dans son discours qu'il faudrait retranscrire, c'est un témoignage précieux et inestimable.
Je lui dois beaucoup. Grâce à son témoignage, j'ai pu remarquer que j'avais perdu une partie de la profondeur des émotions et que je portais un ton sarcastique.
Il faudrait que je fasse un post sur toutes ses vidéos, mais pas pour l'instant, peut-être plus tard.
Ce qui ressort de son témoignage, c'est le mouvement collégial de la société qui pousse peu-à-peu vers l'aggravation de la maladie.
La méconnaissance du corps par toute la chaine institutionnelle évoque une aliénation diffuse et globale de chaque individu.
C'est en douceur, en conformité avec la morale atmosphérique que l'on prive chaque individu de la connaissance de ses propres ressources pour se traiter soi-même.
De plus, les médecins vont chercher à convaincre leurs patients qu'ils doivent se considérer comme irrémédiablement malades et non guérissables alors que les patients cherchent justement à s'en sortir en ne se considérant pas comme définitivement malades.
L'institution médicale est une véritable machine à broyer les individus.
Antonin Artaud disait que le seul moment où il avait envie de se suicider, c'était après une discussion avec ses médecins, comme si c'était la société qui suicidait les malades.
Cela m'évoque la lente disparition des indiens d'Amérique.
Leur lente disparition, qui est entretenue par la majorité des citoyens, est conforme à la constitution.
C'est un pays où la majorité est écervelée, elle délaisse/étouffe toutes les minorités, y compris quand elles sont historiques.
Je retrouve ce même élan d'aliénation avec le cancer, les médecins s'évertuent à ne pas informer les patients que le régime cétonique est le réflexe qui s'impose.
Une campagne de publicité par le gouvernent sur le sujet a-t-elle déjà été mise en œuvre ?

Je digresse un peu, je reviens donc au sujet du post.
Au moment de la discussion, le cerveau pulse en continu de très nombreuses fois par seconde.
À chaque syllabe entendue, le cerveau présente des familles de sens possibles pour finir la phrase en cours d'édiction par mon interlocuteur.
À chaque nouvelle syllabe, les sens impossibles sont éliminés et de nombreux nouveaux sens raffinés se présentent.
Il y a une actualisation récurrente et continue jusqu'à l'arbitrage sec et certain d'un seul sens de la phrase.
Cependant, tout un cheminement peut être révisé si un mini-détail contredit une conclusion qui semble insatisfaisante pour un ensemble.
Voici donc ce que je ressens depuis peu.
Ça pulse presque à toute vitesse et en profondeur.
De plus, la robustesse dans le temps se maintient, l'oxygénation est bien continue, c'est-à-dire que je ne connais pas de baisse de régime inopinée ( sauf quand je suis en crise d'électro-sensibilité).
Le cerveau recouvre sa capacité à ronronner comme il faut.
J'ai encore des progrès à faire car la grande fluidité n'est pas encore au rendez-vous mais je peux déjà rentrer dans un magasin et discuter avec un vendeur sans qu'aucun symptôme n'apparaisse.
Il suffit que je prépare un peu mon discours au préalable, ainsi le champs des possibilités est bien disponible avant de discuter.

Édit:
Il est également possible d'illustrer ce symptôme par le repérage en ville. C'est-à-dire que je pouvais, non pas me perdre en ville, mais être inquiet du manque de repérage dans mon propre quartier. C'est comme si les aires cognitives des sens, (là la vision des immeubles et des rues en l'occurrence) et si le plan en mémoire profonde de mon quartier n'arrivaient pas à se synchroniser en permanence. Il demeurait des informations visuelles qui décrochent avec des tronçons de rues, avec lesquels j'étais pourtant familier. Je n'étais donc pas sûr de moi. J'étais toujours dans le doute en dépit que les deux fonctions cognitives (mémoire et perception visuelle) étaient, indépendamment l'une de l'autre, totalement fonctionnelles. Il en était de même avec la construction d'une phrase. Pendant l'énonciation de la phrase, il y avait un décrochement entre le sens profond de la sémantique et la forme superficielle auditive d'un mot. Cependant, de façon périodique, toutes les 2,3,4 ou 5 secondes, il y avait un pont entre la sémantique et la forme qui se faisait puis qui se défaisait. Ça manquait juste de continuité et de fluidité.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Ordonnancement de l'écoulement des toxines

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:47

Jeu 22 Mar 2018 15:05
Avec tous ces jeûnes et ces déshydratations, je peux désormais dégrossir les enjeux spécifiques à chaque méthode de mobilisation de façon à envisager un ordonnancement général.
En l'absence de mobilisation, les toxines semblent s'accumuler dans les tissus "profonds", cerveau, cœur, reins, muscles, tissus adipeux, ..., cad des tissus en absence de contact avec l'extérieur.
Pendant une mobilisation (déshydratation ou jeûne), les toxines vont donc être relocalisées vers des organes qui veulent bien les accueillir.
Une mobilisation va donc re-ventiler la répartition des toxines.
Certains organes vont se désintoxiquer, d'autres vont recevoir des toxines.
C'est le principe des vases communicants.
Comme les toxines mobilisées vont remonter "en surface", cad plus en moins en contact avec l'extérieur, il sera donc possible de les intercepter et de les éliminer définitivement.
Selon les organes, l'élimination ne se fait pas automatiquement, il faudra donc l'activer pour pallier aux problèmes d'accumulation.
De mobilisations en mobilisations, les organes "en profondeur" vont donc résorber leur point de densité en toxines mais d'autres organes en surface vont accumuler les toxines mobilisées en excès.
L'intérêt d'une mobilisation réside dans le déplacement des points de densité enfouis dans des tissus profonds vers d'autres lieux de destination plus ou moins en contact avec la surface.
Il faut donc écouler les toxines des lieux de relocalisation "en surface" pour renouveler les opérations de mobilisations "en profondeur".
À chaque organe qui accumule les toxines, il existe sa méthode de résolution.
Il faudra appliquer un ordonnancement des techniques pour prévenir (ou résorber) les nouveaux points de densité.
C'est le moment d'être à l'écoute de son corps pour identifier les organes en souffrance afin d'appliquer la résolution de circonstance.
À force de répétition, on devient un virtuose des techniques et des dosages de façon à résoudre un site d'accumulation sans aggraver un autre site d'accumulation.
C'est un peu une jonglerie.


Récapitulatif des échanges selon la méthode de mobilisation

  • Organes DÉS-intoxiqués

    • par la déshydratation :

      • Cellules aqueuses

        • -Snc
        • -Cerveau
        • -Cœur
        • -Organes (Reins,...)
        • -Muscles
        • -Articulations
        • -...

    • Par le jeûne :

      • Cellule adipeuse

        • Tissus adipeux vicéraux
        • Tissus adipeux sous-cutanés


  • Organes RÉ-intoxiqués

    • par la déshydratation :

      • Eau des tissus ordinaires et des émonctoires
      • Peau
      • Capillaires
      • Intestins (selles)
      • Lymphe
      • Édit : les cellules adipeuses ne sont pas réintoxiquées par les déshydratations.


    • par le jeûne :

      • Peau
      • Reins (urines avec Dmsa)
      • Intestins (éventuellement)
      • Lymphe
      • Cellules aqueuses (-Snc, -cerveau, -cœur,...)


  • Actions de résolution de la ré-intoxication

    • Cellules aqueuses "en profondeur" (Intra, Snc, muscles,...) : Déshydratation
    • Tissus adipeux : Jeûne
    • Intestins : Les intestins doivent être fonctionnels avant une mobilisation. Il n'y a donc pas d'action à mener. Le mouvement péristaltique éliminera toutes les toxines accumulées. Pour rétablir la fonction intestinale, voir posts afférents.
    • Peau :  Saunas secs
    • Lymphe : Transpiration, sauna, marches rapides
    • Dos : Massages, saunas secs
    • Tissus ordinaires : saunas secs
    • Émonctoires : saunas secs
    • Le sauna est une méthode désintoxication globale du corps.

  • Nota, pour les (ex-)porteurs d'amalgames, il est préférable de purger la zone buccale au préalable avec des bains de bouche au sel.

L'alternance de déshydratation et de jeûnes va opérer un brassage quasi-exhaustif de toxines.
Certains organes se désintoxiquent alors que d'autres s'intoxiquent.
Cependant, de mobilisations en mobilisations, il demeure quelques points de densité qui vont se former.
Les émonctoires se désintoxiquent certes grâces à ces techniques mais ils reçoivent également les toxiques des organes profond.
Les émonctoires ont donc une dose qui va varier selon la dynamique de leur désintoxication et de la désintoxication du reste du corps.
En plus d'ordonnancer les résolutions des organes individuellement, il est possible de les ordonnancer en synergie pour aboutir à une résolution homogène et générale du corps.
C'est en écoutant son corps que cet ordonnancement peut être établi.

Peau
Ni le jeûne, ni la déshydratation semble la désintoxiquer rapidement. De mobilisations en mobilisations, la peau semblent se convertir en un site d'accumulation. Pour traiter la peau, les saunas secs vont éliminer les toxines des cellules cutanées par l'aspiration de l'eau. De plus, ce procédé me semble prometteur pour désintoxiquer une bonne partie du corps car la peau est une surface d'échange Int/Ext très grande. Je ne crois pas qu'il désintoxiquera les tissus adipeux, mais il peut éventuellement atteindre les muscles et les organes à proximité de la peau. Il y a donc la possibilité d'une bonne détox tout en douceur car la grande surface d'échange qu'offre la peau fait que la concentration de Ml au cm2 en mouvement est faible.

Tissus adipeux
Les tissus adipeux ne sont pas accessibles par l'extérieur. Pour éliminer les métaux lourds des tissus adipeux, il n'y a pas le choix, il n'y a que le jeûne hydrique. Les tissus adipeux semblent être un spot d'accumulation pendant une déshydratation. En dépit d'une faible recontamination du reste du corps pendant le jeûne, il conviendra donc de le faire fondre par un jeûne pour écluser une trop grande concentration. Des symptômes d'intoxication devraient apparaitre pendant le jeûne. Cependant, les symptômes de recontamination qui se manifestent pendant le jeûne ont tendance à s'estomper une semaine après la rupture du jeûne. Ces symptômes parviennent d'une accumulation de ml dans la lymphe. La lymphe sera automatiquement nettoyée après la rupture. Sans sport, il faut une bonne semaine pour la nettoyer. Ce qui est important, c'est la baisse des symptômes cognitifs de déshydratations en déshydratations sur le moyen terme. Il est toujours possible de prendre du dmsa pendant le jeûne pour intercepter les ml dans le sang et les extraire par les reins pour éviter leur accumulation dans la lymphe. Il semble qu'il n'y ait pas de symptômes directs à une intoxication des tissus adipeux. Mais comme ils agissent à retardement, les symptômes apparaissent à distance. Par exemple, des troubles peuvent apparaitre sur le système immunitaire car le tissus adipeux serait un organe endocrinien. Les lipides du tissus adipeux sont également employés pour la réparation des cellules, pour la réparation des milliers de brisures quotidiennes de l'Adn, ou pour la réactivation de la transcription de gènes. Il est donc absolument impossible de faire un lien direct entre les causes et les conséquences sauf à faire un jeûne et attendre quelques semaines si la progression des désordres cessait. Le jeûne hydrique désintoxique uniquement les tissus adipeux des ml. Aucun autre organe n'est désintoxiqué des ml. Le jeûne ré-intoxique partiellement le corps. Mais une partie des toxines mobilisées par le jeûne sera éliminée par les intestins et captée par la peau. De plus, il semble qu'il y ait un ordonnancement de la fonte des tissus adipeux pendant le jeûne. Le tissus adipeux sous-cutanés semblent fondre après les tissus adipeux viscéraux. Il faudrait donc prolonger le jeûne jusqu'à la résorption totale des tissus adipeux pour éliminer une contamination diffuse sous tout le tissu cutané. Le mieux est d'opter au préalable pour un régime qui fasse baisser son poids à la limite basse de la normale. Ainsi, il y a peu de tissus adipeux qui seront recontaminés lors d'une déshydratation. Des jeûnes courts seront donc suffisants pour éliminer tous les tissus adipeux en profondeur.

Intestins
Pour écouler les toxines des intestins, il est indispensable que le système digestif soit fonctionnel avant la tentative de mobilisation. Il est également nécessaire de maintenir les intestins en charge pour que les toxines soient définitivement éliminées. Il ne faut donc surtout pas faire de lavement avant une déshydratation ou un jeûne. Pendant les trois jours avant la mobilisation, il est préférable de manger beaucoup de légumes pour que les fibres végétales fixent les toxines. En cas d'incident, il est possible de traiter les intestins avec des purges yogiques au sel, voir post sur les intestins.

Dos
J'ai des maux de dos qui s'aggravent à chaque déshydratation. Je passe donc un appareil vibrant qui masse le dos pendant une heure par jour. Si mes maux de dos étaient dus aux Ml, il est possible que les bains de sels aident à l'élimination des maux par la détox de la peau. Comme je l'ai déjà mentionné plus haut, les bains de sel semblent avoir consolidé le bien-être des massages. Je ne saurai pas départager qui est à l'origine de ces améliorations, massages ou bains salés, ou c'est peut-être les deux. Les saunas secs ont substantiellement aidé à résoudre ces problèmes de dos.

Lymphe, milieu interstitiel
Lors d'une déshydratation ou d'un jeûne, le milieu interstitiel (entre les cellules) est le pivot des échanges en Ml entre l'intra et l'extérieur. Après un jeûne ou une déshydratation, je fais donc une heure de marche rapide quotidiennement de façon à transpirer un bon coup. Je fais cela une fois par jour pour activer la lymphe. Rappel, il ne faut surtout pas faire d'activité pendant une déshydratation. Mais il est possible de faire de longues promenades pendant un jeûne hydrique si cela aidait. De plus, j'essaie de faire mes bains salés juste après la marche rapide, car j'ai la peau qui se gorge d'eau en fin de course. C'est donc le moment de vider l'eau du tissu cutané.

Transpiration Vs Osmose
Je pense que la transpiration intervient de façon répartie sur plusieurs compartiments liquidiens et non spécifiquement sur la peau. Au moment de la transpiration, l'eau extraite sera prélevée un peu dans la peau mais une majeure partie parviendra de l'extra (sang, lymphe, milieu interstitiel).Sans hydratation juste après la transpiration, l'équilibre des compartiments liquidiens fera que l'eau contaminée de l'intra ira combler le déficit en eau de l'extra. Il y aura donc une décontamination générale de l'intra à retardement. Quant à l'osmose par le bain, elle semble être ciblée sur la surface de contact. Donc, ça sera donc la peau qui sera décontaminée en profondeur. Puis, en se rechargeant en eau auprès de l'intra après le bain, elle décontaminera les organes à proximité.

J'ai désormais une bonne supervision des actions à mener pour pouvoir enfin répéter les déshydratations de la façon la plus régulière possible.
Cependant, il me reste une méthode à éprouver.

Jeûnes secs.
Depuis le début de mes expériences, je crois que je n'ai fait qu'un seul ou deux jeûnes secs de 3 jours max chacun. Je n'ai donc aucun retour d'expérience sur les variantes de mobilisation et d'accumulation par rapport à une alternance de déshydratations et de jeûnes hydriques .Maintenant que j'ai bien décortiqué quels sont les mécanismes sous-jacents au jeûne hydrique et à la déshydratation chacun de leur côté, je vais pouvoir examiner ce qu'il se passe lors du cumul d'un jeûne et d'une déshydratation. De prime abord, je dirai que la déshydratation protège les cellules de la mobilisation du jeûne et que le jeûne protège les tissus adipeux de la déshydratation. Ce n'est qu'une hypothèse d'attente de résultat, il faut encore l'éprouver à la réalité. Mais pour que les tissus adipeux se déstocke, il faut qu'il n'y ait plus de glucose dans le corps. Pour que cela soit le cas, il faut faire un régime cétonique strict pendant les trois jours avant le jeûne sec. Au vu de toutes ces contraintes, il me semble qu'un jeûne hydrique long s'impose quand-même. Cependant, si je réduis les tissus adipeux au minimum, je pense que je pourrai presque m'affranchir des jeûnes (secs ou humides) longs.


26 Sept 2018, Édit :
Corrections et Amendement suite aux expériences avec le sauna sec.
- Les déshydratations n'intoxiquent pas le tissus adipeux car les ions sont incompatibles avec l'huile.
- Les séries de sauna secs traitent les symptômes qui naissent des déshydratations.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty M.L. organiques (Méthyl-ML) et M.L. élémentaires (ions)

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:50

Dim 1 Avr 2018 12:46
Jusqu'ici, je n'avais qu'à m'occuper des ML sous forme élémentaires car mon intoxication parvenait des amalgames.
Mais une intoxications aux ML peut revêtir deux formes, méthylée (organique) ou ionique (inorganique).
Chaque forme est spécifique, il convient donc d'aborder le comportement de chaque forme et les ponts entre-elles pour procéder à une élimination bien ordonnancée.
Voici, dans le post suivant, un article de synthèse analytique sur le mercure.
Il est disponible sur le site du NCBI (The National Center for Biotechnology Information advances science and health by providing access to biomedical and genomic information).
"Mercury Toxicity and Treatment: A Review of the Literature"
Il a été établi en 2012, en anglais, par un scientifique qui a compulsé et fait une revue d'une centaine d'articles scientifiques de la littérature spécialisée.
Cet article ne traite que du mercure mais en attente de confirmation, je vais présupposer que les autres ML (n')ont (que) également ces deux formes.
Les symptômes sont sans doute très différents, mais je vais faire comme si les sites d'accumulation, la métabolisation et les voies d'éliminations sont semblables à ceux du mercure.
Il s'agit de mécanique élémentaire, il ne devrait pas trop avoir de variation sur ces sujets-ci.

On y apprend rien de bien nouveau, mais ce texte a le mérite de brosser tout un éventail concis et exhaustif sur le mercure. Cela est utile pour bénéficier d'une supervision large sur les thèmes à prendre en compte. Le texte présenté au post suivant n'est qu'une traduction faite par un service en ligne gratuit, il y a donc quelques phrases un peu chaotiques. Un passage, qui m'intéresse, a été repéré en gras (chapitre 3).La structure originale de cet article a regroupé les formes de mercure par thèmes, Pharmacocinétique, Toxicité, Clinique, dans lesquels les sous-chapitres sont subdivisés par forme de mercure, inorganique, organique. Mais je trouve beaucoup plus intéressant de rassembler les chapitres par formes de mercure, organique, inorganique et de les subdiviser en thèmes, Pharmacocinétique, Toxicité, Clinique .J'ai donc réarrangé l'ordonnancement des chapitres 3,4 et 5 sans modifier le contenu des paragraphes. Ainsi, on a bien les deux champs d'évolutions du mercure rassemblés. Avec le post précédent, sur les différentes formes de solvatations, je suis enfin à l'aise pour tirer parti de cet article vis-à-vis du jeûne et des déshydratations. Il y a l'huile avec ses solutés d'un côté, l'eau de l'autre coté avec ses solutés, et des formes intermédiaires qui se marient à l'eau et à l'huile transitoirement. Les deux formes principales des ML sont organiques et inorganiques. Les sous-formes inorganiques donnent des métaux lourds sous forme d'ions, solubles dans l'eau. La forme organique est un atome de ML intriqué dans une chaine -CH3-CH3-..., elle est donc soluble dans l'huile. Cet article indique que la forme organique se dégrade lentement en forme inorganique, que la réciproque n'est pas valable et que la forme inorganique est progressivement éliminée. Les ML vont donc lentement changer de solvant, de l'huile à l'eau, avec tous les conséquences que cela implique sur les symptômes. La forme organique devrait donc se résorber et se convertir en forme inorganique par le métabolisme, et il suffirait d'attendre pour éliminer la forme inorganique. Or, cet article indique qu'il y a une bio-accumulation du mercure.
Pour résoudre cet apparente contradiction, je dirai que :

  • le mercure organique s'accumule dans les graisses tant que les graisses sont conservées,
  • qu'il n'est converti en mercure inorganique que quand les graisses sont métabolisées,
  • que le mercure inorganique issu du mercure organique métabolisé s'accumule dans les cellules aqueuses si le taux d'intoxication est plus rapide que le taux d'élimination.

Il y a donc deux sites d'accumulation avec un transvasage ordonnancé de la façon suivante : intox -> mercure organique -> mercure inorganique -> élimination. De plus, le site d'accumulation inorganique peut être alimenté en direct par le mercure inorganique des amalgames dentaires. Il y a donc des effets de sas, de barrages, de giratoire, d'intoxication en cascade, des débits de fuite à comparer à la vitesse d'intox, et éventuellement des relargages intempestifs. La variation du taux d'intoxication de certains sites d'accumulation vont passer par des pics si l'activation de l'élimination n'était pas ordonnancée en aval. Il convient donc de d'abord éliminer le site d'accumulation inorganique, puis d'envisager de vider le site d'accumulation organique vers le site d'accumulation inorganique, et enfin de revider le site d'accumulation inorganique. Concrètement, cela veut dire, d'abord des déshydratations, ensuite une résorption du tissu adipeux, et enfin des déshydratations à nouveau. Même si les ions n'iront pas recontaminer les tissus adipeux, il peut demeurer que d'autres toxines qui n'ont rien avoir avec les ML, recontaminent un peu les cellules adipeuses à chaque déshydratation. Pour me débarrasser définitivement du site d'accumulation organique, je vais tenter de me débarrasser de tout le tissu adipeux jusqu'à résolution du site d'accumulation inorganique. Pour éviter de reprendre du poids après, il faut que j'évite le sucre car il est le seul responsable de la création du tissu adipeux dont la constitution se fait majoritairement par du triglycérides qui est synthétisé à partir des sucres. Cependant, il est possible de consommer du gras, amandes, beurre, huiles, viandes sans reprendre du poids .Pour faire fondre le tissu adipeux, je suis actuellement au régime car le jeûne se déroule difficilement. De plus, les avantages du jeûne me semblent inutiles pour résoudre le problème des métaux lourds. En effet, le mercure organique du Tissu Adipeux (TA) est quand même métabolisé lors de la diète.

Je trouve la suppression du tissu adipeux est préférable car la conservation de ce tissu adipeux présente plusieurs inconvénients :

  • altération du rôle endocrinien du TA légers désagréments permanents
  • accumulation croissante de toxines
  • largages intempestifs
  • intoxication de la peau
  • symptômes chroniques directs et indirects
  • installation dans un cycle chronique d'intox et de détox.


C'est un petit mauvais moment à passer, mais à relativiser à côté des méfaits de la conservation de ce tissu adipeux, et c'est fortement adouci par la diète. De plus, avec l'élimination de la résurgence native des ML dans la mâchoire par les bains de bouche salés, je pressens que je suis dans les derniers cycles de jeûnes, diètes, déshydratation. Je n'ai donc plus qu'à finaliser l'élimination de la présence diffuse de ML. Après déméthylation, le mercure se retrouve sous forme d'ion, il devient donc élémentaire et inaltérable. Aucune réaction chimique du jeûne ne peut plus le transformer, il ne reste plus qu'à le transporter vers la sortie par le jeûne sec ou la déshydratation. Contrairement au jeûne, avec cette diète, j'ai le volume du foie qui est préservé, cela me rassure de ne pas forcer sur la machine. J'obtiens ainsi le résultat escompté sans m'exposer à des complications inutiles.[/list]

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Test sanguin simple - Mise en évidence de la présence des ML

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:50

Dim 22 Juil 2018 11:44

Pour mettre en évidence la présence de ML dans l'intra, il me semble qu'il serait possible de faire une simple analyse sanguine après 48 à 72 h de déshydratation.
Normalement, les métaux lourds devraient être sortis de leurs tanières et on devrait les voir apparaitre dans le sang.

Il serait également utile de suivre la dynamique de ML par des prises sanguines espacés de 12h pendant une déshydratation.
On devrait enfin pouvoir extraire ainsi une idée de la profondeur de l'intoxication.

Une valeur forte montrerait une forte intox.
Cependant, il faut se méfier, il peut y avoir un seul organe d'intoxiqué.
Une valeur faible peut donc cacher un seul organe fortement intoxiqué.


Édit 3 - 27 août:
J'ai été faire ce test après trois jours (66 heures pour être précis) de jeûne sec.
Je n'ai fait que la plombémie car les prix sont assez élevés (20e pour le plomb, 50e pour le mercure, 35e l'arsenic, à comparer avec les 30 métaux à 85e chez microtrace).
Je n'ai fait qu'un seul test car je voulais voir ce que ça donnerait avant d'aviser.
Résultat : 25 ug/L.
25 ug/L est une trop faible valeur pour faire valoir une intoxication mais on peut la faire parler au niveau de l'intra.
Pour cela, il faut la redresser.
Je considère que le taux est à zéro en période hydratée car les métaux lourds n'apparaissent pas dans le sang pour les intox chroniques (il faudrait que je fasse une analyse pour bien vérifier cela).
Au cours de ce jeûne sec de trois jours, 2,5 litres d'intra chargés en ml ont été déversés dans les 10 litres d'extra non-intoxiqués.
Pour obtenir la concentration dans l'intra, il faut donc multiplier la valeur par 10/2.5=4, soit 4 x 25 ug/L=100 ug/L.

Voici un petit schéma des symptômes selon le taux, source : Saturnisme - Intoxication au plomb - http://www.inserm.fr :
SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Effet-du-plomb-inorganique
Mes symptômes actuels correspondent aux valeurs de ce tableau.
Il est possible de remonter à la valeur avant les déshydratations :
Je considère que j'ai effacé 70% des ml par les déshydratations (5% retirés par round, 23 rounds environ, 95%^23 = 30%).
Et encore, je ne compte pas les mois de protocole cutler, ni les 20 IV, ni le sport, ni les 30 saunas.
100 / 3 x 10 = 300 ug/L. Il s'agit évidement d'une valeur indicative et très approximative, mais elle ne me semble pas trop déconnante.
Vers 500 ug/L, ce tableau indique une neuropathie périphérique, cela est concordant avec mes symptômes de l'époque.
Mais ici, il ne s'agit que du plomb, à l'époque je cumulais également de l'arsenic et du mercure (selon les tests de provocation).


Je trouve que ce petit test est très pertinent car il me donne une indication du stock de plomb.
Cela n'est pas le cas avec les tests de provocation qui ne donnent qu'un flux très aléatoire à partir duquel on ne peut pas extrapoler un stock.
J'aurais du faire ce test lors de mon premier jeûne sec pour calibrer les taux d'élimination des ml par déshydratation.
Mais je peux toujours en faire un autre après une petite dizaine de déshydratation.
Selon mes simulations, je devrais trouver 25 x 0.95^10 = 25x0,6 = 15.


Édit 1 changement de titre, ancien titre : Test sanguin ML
Édit 2 j'ai trop la flemme d'aller faire ce test.
Je devrais quand même le faire par acquis de conscience.
Mais j'ai trouvé une alternative encore plus simple, - voir post suivant sur l'alcalose.

Sophocle

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Progrès du système sympathique

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:51

Dim 6 Mai 2018 11:22

Il y a quelques jours, j'ai été surpris par moi-même car j'ai eu une action en réactivité.
Cela ne m'était pas arrivé depuis quinze ans.
Ça s'est passé dans la rue, au détour d'un angle de rue, j'ai vu un landau dévaler le trottoir en pente.
Un peu comme la scène de l'escalier dans le cuirassé de Potemkine ou dans les Incorruptibles sauf que là, la pente était très légère.
Mon sang n'a fait qu'un tour, j'ai bondi, et j’ai intercepté le landau sans heurt et à temps avant qu'il n'aille s'encastrer en douceur dans un platane.
Quand mon sang n'a fait qu'un tour, ça a été comme un flash dans tous les vaisseaux sanguins.
En un quart de seconde, les artères des jambes et des bras se sont contractées simultanément.
Un peu comme Astérix quand il prend sa potion magique.
Ça m'a fait bizarre, oh là là.
Cela m'a frappé, étonné.
C'est le retour inattendu depuis longtemps d’une première émotion débordante qui me poussait à agir.
Une telle action demande de prendre conscience de l'urgence, de cerner la dynamique du landau, de déclencher un sprint, d'ajuster la course selon son déroulement et d'éviter d'empirer la situation.
Ça paraît facile comme ça, mais chaque action, sans parler de l'ensemble, l'est beaucoup moins quand on est pris dans la déformation de l'espace-temps par les ML.
D'habitude, je ne réagissais pas, donc, en plus de m’en sentir coupable, je me prenais une remarque des personnes qui étaient témoin de la scène. À cela s’ajoutait parfois la pitié, c’était là la pire des situations.
Je n'aurais jamais pu faire un tel exploit l'année dernière.
De plus, ça fait 5 ans que je ratais tout, ET donc, j'avais pris l'habitude de me retenir d'agir pour ne pas aggraver la situation.
Il semble que la personne qui promenait le landau a eu un léger malaise passager, c'était peut-être dû à des ML,...

Je profite de cet anecdote pour faire un point général de santé.
J'ai totalement quitté la zone d'inconfort permanente.
Je suis désormais serein de façon permanente.
Cette sérénité est confortée par la fin de la résurgence de l'intoxication par les bains de bouche au sel.
Cette poche de ML, qui me recontaminait à faible débit, me menaçait comme une épée de Damoclès.
Elle était la source d'une angoisse perpétuelle.
Aujourd'hui, je suis débarrassé de cette faible résurgence, et donc je me sens libéré.
J'ai encore quelques maux de tête permanent et d'autres inflammations volatiles mais j'arrive à les oublier quand je suis concentré ou actif.
J'ai encore du mal dans les longues conversations, je commence à fatiguer au bout de trente minutes, et je laisse mon interlocuteur parler.
Mais avant cette fatigue, j'arrive enfin à déplier à l'oral tout le plan qui se présente au cerveau quand je me lance dans une tirade.
J'ai beaucoup moins le trac qu'avant, les ambiances astrocytaires se régularisent peu-à-peu vers le domaine de la normale.
Désormais, la pertinence de mes propos sont quasiment systématiquement au rendez-vous.
Avant, il y avait comme un court-circuit à mi-parcours de la confection du plan car il y a avait trop d'information à hiérarchiser d'un coup.
De plus, j'ai naturellement besoin de bouger, alors qu'avant, je me forçais à bouger car mon corps souffrait d'être peu mobile.
Je suis encore un peu electro-sensible, je dois encore couper les plombs tous les soirs.
J'ai encore des céphalées si je les laisse allumés une seule nuit.
J'ai encore du mal à me concentrer longtemps avec une bonne fiabilité.
J'ai retrouvé la capacité à exprimer beaucoup d'émotions sur le visage.
Il n'y a donc plus d'infinis quiproquos avec autrui car le visage prenait les émotions que les ml infligeaient au cerveau.
J'arrive désormais à tenir un sourire sincère (que je ressens intérieurement), chaleureux et de circonstance.
Désormais, l'intériorité et l'expression coïncident.
J'arrive même à doser et à moduler judicieusement cette expression selon le groupe de personnes immédiatement présentes.
Cela pose la question de l'intériorité amendé par la façon dont on est vu.
Avant, je ne ressentais pas ces émotions ou je n'arrivais pas à les exprimer, ou les 2.
Ou j'arrivais à voir que je ne les ressentais pas, ou que je ne les exprimais pas.
Il est difficile de décortiquer ces états, il faudrait que je m'appesantisse ultérieurement sur le sujet.
Des fois, je ne me sens pas bien au niveau du corps, je soupçonne que ça vient de l'intox du tissu adipeux.
De plus, je suis tracassé par ce tissu adipeux car je n'arrive pas à l'éliminer complètement, ça tourne au vinaigre dès que je suis à 54kg.
Je ne me sens pas bien pendant le jeûne, ce n'est pas normal, avant ça se passait bien et j'en trop fait pour qu'il y ait encore des problèmes, il faut que je le rompe.
J'ai pourtant encore un dernier bourrelé qui devrait permettre de continuer le jeûne, mais rien à faire.
J'ai calculé que j'avais encore 6 kg de TA à éliminer.
Pour l'instant, j'ai suspendu le jeûne le temps de finir la cure de panchakarma.
Je vais m'installer dans la cure de panchakarma à petite dose régulière.
Je n'ai quasiment plus aucune sensibilité à la tête quand je secoue la tête, il y a donc une amélioration cérébrale depuis que j'ai arrêté les déshydratations au mois de janvier.
Il y a donc quelques progrès au niveau du Snc avec la cure panchakarma mais ils sont un peu moins visibles que ceux qui parviennent par une déshydratation.
Ce n'est donc qu'une question de patience pour arriver aux mêmes bénéfices.

J'ai un peu perdu la motivation d'écrire de nouveaux post régulier car, il n'y a plus qu'à appliquer ces méthodes sans trop réfléchir et juste écouter le corps.
Le fait de maîtriser, enfin, un peu la théorie du fonctionnement du corps, ôte le besoin de construire un discours.
Je n'ai donc plus de motivation à relater les applications des thérapies à venir.
J'ai encore quelques posts en brouillon, mais je n'ai pas le courage de les rédiger dans l'immédiat.
Je me les garde sous le coude pour les publier ultérieurement.
Si d'autres recherches pertinentes se présentaient, je reprendrai le fil de mon discours.
Ce message n'est donc qu'une énième conclusion à mon topic.
Je tiens à remercier les personnes qui sont intervenues en mp et dans mon post, surtout Ptit-Gars pour sa grande humanité, et  Gogote pour ses discussions.  :jap:  :jap:  :jap:
Le fait de pouvoir m'exprimer m'a permis de ressasser et de dénouer les impasses, puis d'aller jusqu'au bout de mes expériences.

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SOPHOCLE : PRÉSENTATION ET PARCOURS Empty Test pH urinaire - Mise en évidence de l'alcalose

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:52

Jeu 2 Aoû 2018 12:58

J'ai récemment fait une série de tests pH urinaires pendant les périodes hydratées et déshydratées.

  • Pendant la période hydratée, le pH moyen est à 6 (valeurs jusqu'à 5,5) ;
  • pendant la période déshydratée, le pH moyen est à 7,5 (valeurs jusqu'à 8 ).


Ces tests montrent que les bases et que l'eau alcaline de l'intra sortent pendant la période de déshydratation.
Cela confirme que l'intra des organes est en alcalose.

Il faut cependant corriger la valeur moyenne du pH urinaire par l'influence de l'alimentation pour approcher le pH sanguin.
Un pH de 6 en période hydratée est probablement un reflet de l'alimentation, mais
un pH de 7,5 en période déshydratée est un reflet de l'intra qui a peut-être déjà adouci par une alimentation acide (-1,5 point de pH).
Le calcul de la valeur moyenne du sang serait transitoirement plus proche de 9.
Mais il faut aussi corriger l'effet de loupe des reins sur le pH sanguin.
Le travail des reins est de réguler les excès, le pH de l'urine ne donne donc pas la valeur du pH du sang, mais il donne la tendance.
Toutes ces corrections empêchent de définir une valeur précise.
Il faudrait une prise de sang pour définir précisément la valeur du pH.
Mais cela est encore insuffisant pour définir le pH de l'intra.

Quoiqu'il en soit de la valeur précise, l'alcalose de l'intra est mise en évidence par ces tests.
De plus, ces tests peuvent éventuellement donner un indicateur de fin d'intox quand le pH en période de déshydratation touche un seuil.
Cad que le pH moyen devait baisser de déshydratations en déshydratations tant que l'intoxication est présente.
Quand le pH cesserait de baisser, cela indiquerait que les équilibres seraient atteints.

L'alcalose induit une augmentation de l'activité des organes, mais je soupçonne que le Ml induisent également une hypokaliémie.
Cela expliquerait le mélange de fatigue et d'excitabilité que portent les personnes intoxiquées aux ML.


Édit 1, 6 août :
Suite à de nouveaux tests, je n'arrive pas à reproduire les résultats suivants (voir passage en gris).Les nouveaux résultats sont volatils, ils passent d'un pH de 5.5 à 8.Il est possible que j'ai mangé des pommes de terre pendant la période de déshydratation, cela a peut-être donné ces pH alcalins. Je vais donc établir un protocole qui semble fiable. Je vais faire un jeûne hydrique pendant trois jours et à la suite duquel je ferai un jeûne sec. Je mesurerai ainsi un pH qui est décoléré de l'alimentation au moment de la déshydratation. Le pH pendant le jeûne hydrique serait stable et uniquement influencé par le métabolisme du tissu adipeux. Au moment du passage au jeûne sec, il aura donc uniquement l'intra qui influera sur l'éventuelle changement de valeur de pH. Ainsi, j'aurai le cœur net de l'influence de l'intra sur le sang.

Édit 2, 27 août :
J'ai fait un jeûne hydrique de 2 jours suivi d'un jeûne sec de 3 jours.
Au cours du jeûne hydrique, le pHu (pH urinaire) a été stable à 5.5.
Au cours d'un jeûne hydrique, le pHu est influencé par celui de l'eau ingérée.
Au cours du jeûne sec, il y a une alternance de pH de 5.5 à 7.5 d'une demi-journée à une autre.
Grosso modo, le matin, le pH est à 5.5.
L'après-midi, le pH est à 7.5.
En jeûne sec, il y a donc bien une influence de l'intra sur le sang.
Mais les valeurs relevées ne sont pas assez fortes pour affirmer une franche alcalose.
Les variations de pH sanguin sont assez serrées, une variation de 0,2 point de pH est déjà assez forte.  
Le pas du testeur est de 0,5 points, cela est insuffisant quand les valeurs relevées sont proches du pH sanguin physiologique (7.3) .
Des valeurs relevées à 8 ou 8.5 auraient été bien plus déterminantes pour affirmer une alcalose.
J'aurai du faire ce test à mon premier jeûne sec pour éventuellement obtenir des valeurs bien plus marquées vers l'alcalose.

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