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Quels chélateurs choisir ?
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Quels chélateurs choisir ?
Quels chélateurs choisir ? En voilà une sacrée question. Voici une compilation de mes réflexions sur le sujet.
- Quant aux chélateurs, les fabricants ne proposent aucun tableau des affinités ni de solubilisation selon le pH. Cela est très étonnant. Mais pour guérir, il n'est absolument pas nécessaire de disposer du détail comparatifs des affinités par chélateurs. Des chélateurs à large spectre suffiront. Il suffira de faire autant de séance de chélations que nécessaire. Cad, qu'avec une faible affinité, les métaux-lourds finiront par être éliminés un-à-un. Pour compenser l'élimination des oligo-éléments essentiels, un régime riche en légumes les renflouera en excès. La chélations à large spectre n'est donc pas un problème. La multiplication des chélations pose la question du prix du chélateur. Mais, avec la solutbilisation, j'au obtenu en une séance ce que n'a pas obtenu trois années d'iv. L'Edta est très économique et très efficace. Il écrase donc tous les autres chélateurs. Avec la solubilisation, le prix n'est pas un problème. De plus, de nombreux métaux-lourds sont éliminés, on a donc pas à recommencer une deuxième campagne de chélation d'un deuxième ml par un deuxième chélateurs spécifique. Quant à la redépose, il me semble qu'elle se traite pas l'ingestion de BCS. Les affinités d'un chélateur est sensible au pH. En passant d'un organe à un autre, il peut donc y avoir un relargage. Pour pallier à cela, il me semble qu'il faudrait boire de l'eau avec du BCS pendant les 24h après la prise du chélateur. De plus, la prise du chélateur la matin évitera les acidités de la nuit. Selon Microtrace, les chélateurs sont plus efficaces dans un milieu alcalin. J'ai pu constater que les chélateurs ont tendance à se solubiliser à pH alcalin (cela est flagrant avec l'edta). Mais il faut tenir compte de la dispersion des ions + (Ml) et de la dispersion des ions - (Chélateurs). Cela est trop complexe pour le manipuler mentalement. Mais en buvant du bcs, on fixe le pH et on solubilise les chélateurs. Pour la sécurité, ces conditions sont préférables ; pour la solubilisation cela est indispensable, il n'est pas vraiment utile d'explorer au-delà les raffinements de leviers du pH pour augmenter les affinités par tel chélateur ou tel autre. Cela serait au détriment de la sûreté et de la sécurité. Il suffira de multiplier les chélations pour écoper. Je reviens de loin et je n'ai fait que 20 chélassos pour parvenir à la fin des effets éclatants de l'Edta et du Dmsa. Le dmsa demeure abordable mais il est dix fois plus cher que l''edta, je le prends parce qu'il est facile à ajouter à la solubilisation d'Edta. Le dmsa avec l'edta me semble préférable pour le test de provocation. Ainsi, on a un spectre large de chélation qui ressort sur le tableau des analyses. Cela conforte le résultat des ml qui sortiraient à zéro. Le Dmps est 100x à 1000x plus cher que l'edta, or dans mon cas, il ne chélate que tout doucement en iv ; je n'en vois donc vraiment pas trop l'utilité. Les iv sont chères, pas si efficaces, compliquées, contraignantes et non-sûres. Les solubilisations sont peu chères, efficaces, faciles, pratiques et bien plus sûres. La forte concentration d'une iv est problématique. on passe donc par une ivl pour pallier à la concentration, mais cela demeure du bricolage. Une perfusion est préférable, mais l'edta n'a pas de gout, il est donc inutile de se faire trouer la peau par un médecin. Le gout du dmsa pose problème pour les enfants, mais pour un adulte, ça passe. Sur le plan de la redépose, le dmsa est le plus sur. Il est donc préconisé pour les enfants et pour les personnes fragiles. Il demeure le problème de la réaction à tout chélateur. Jeûne et bains froids me semble être les pratiques préalables à la chélation de haute intensité. Mais ils n'en demeurent pas moins protecteurs sur les chélations à basse intensité. Sans compter qu'on peut diluer le chélateur à l'infini, les risques en sont autant diminués. La détox des toxines lipophiles par un unique jeûne de trois jours complété par le retour de la tension par une petite série de 5 bains froids de 15' à 15° augmenteront la force de chélation du nuage et diminueront les risques de réaction. Avec tous ces éléments, la sûreté et la sécurité sont bordées au mieux. De plus, avec l'ingestion de bcs pendant les 24h après le chélateur, le complexe devrait être fixe, la chélation devrait être sûre. En alternative au bcs, les légumes sont alcalins, ils devraient donc participer à la stabilité du complexe (voir post : Pendule acido-basique, Stratégie pH et détox). Une fois taris les effets bénéfiques des chélateurs hydrophiles, il sera ensuite possible de passer aux chélateurs lipophiles. Tout ça pour dire qu'une campagne de chélation à l'edta solubilisé pour un adulte me semble déjà un optimum haut la main que ne dépasse aucun autre chélateur.
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