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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 12:49

gogote a écrit:Bonjour Sophocle,

à nouveau merci pour tout ton temps et ces explications.

Je me permets de revenir sur ce passage :
" (D'ailleurs avec les bains de bouche au sel, je me demande s'il ne devient pas non urgent de se faire retirer les amalgames.
De plus, le retrait des amalgames ne m'a pas empêché de tomber très malade quelques années après.
Un retrait des amalgames ne protège donc pas d'une sévère intoxication ultérieure.
Il faut donc bien cibler la priorité, dans mon cas, c'était la contamination de la mâchoire et non l'amalgame.
De plus, le bain de bouche au sel répété multi-annuellement pourrait peut-être dispenser de se retirer les amalgames à terme.)


Étonnant que tu sois passé à côté de ça. Tu n'as jamais entendu parler du protocole Cutler, qui a passé une partie de sa vie sur le sujet notamment ?
La problématique du relargage du mercure par la dépose des amalgames est connue. C'est pour cela qu'il faut un ensemble de protection lors de la dépose, auquel cas, c'est une intoxication globale de l'organisme très violente qui va s'opérer, et se loger dans l'ensemble des tissus du corps, à la fois sur le court terme, pour enfin perdurer sur le long terme, et déclencher de la pathologie chronique et pire encore.

Donc le retrait des amalgames protège une sévère intoxication ultérieure, s'il est bien réalisé dans un premier temps, et surtout qu'il y a chélation dans sa continuité ou un protocole en ce sens pour capter les ML qui sont libérés lors de la dépose. Ta mâchoire a été contaminé via l'amalgame/les amalgames, qui s'y trouvant, au cours du temps, ont relargué du mercure un peu partout autour de celle-ci. Très commun.
Mais le mercure va se déposer un peu partout également... le problème c'est amalgames, c'est qu'ils ont un très fort taux de mercure, et donc on s'intoxique en permanence, sauf à considérer que tout a été relargué à un moment donné, ce qui paraît peu probable.

De plus, les amalgames créent un effet de galvanisme relativement important, et donc perturbent le champs électromagnétique global en bouche, et donc du corps. Tes problèmes de dos peuvent grandement venir de cela par ailleurs.
Le protocole Cutler vise à prendre des chélateurs captant le mercure par rounds, c'est à dire sur 3 à 4 jours, par micro dosage et toutes les 3h, pour permettre au corps d'adapter la détox à la mobilisation. Il y a aussi un certain nombre de compléments qui reviennent pour aider en ce sens. ( magnésium/vit C/vit E/zinc ) et autres soutiens hépatiques ( chardon marie et autres ). Dans mon cas, et très clairement, c'est à double tranchant avec certaines lipides et graisses, qui vont m'améliorer très fortement, quant d'autres vont me laisser l'impression de littéralement me tuer. Tu l'expliques pas mal via tes constatations sur la déshydration, rôle des graisses, transformations, ions etc etc.

Je t'invite à étudier le protocole Cutler si tu es passionné par la recherche scientifique, et la compréhension du processus de détoxification du mercure à ce niveau. Cependant, pas de chélation avec des amalgames ou toutes autres formes de métaux encore présent dans l'organisme - car on ne ferait que mobiliser tout ça en permanence. La problématique est aujourd'hui la même avec le cuivre, les stérilets, et bien d'autres encore dont le titane et j'en passe.
Je continue à te lire avec plaisir, et suivre tes théories avec grand soin. Cependant, n'hésite vraiment pas à te pencher sur Cutler pour la question du mercure, c'était l'expert en la question - même s'il convient toujours de poursuivre ses propres recherches et prendre du recul, et qu'on en apprend encore aujourd'hui sur le sujet.

Je te confirme pour avoir longuement jeûner, être tombé à 45 kilos, avoir fait du jeûne court/moyen, ou intermittent depuis des années, que ça n'a fait que m'endommager encore plus, sans me soigner la problématique des ML. Au contraire, cela a empiré mon électrosensibilité durant très longtemps. On remobilise les toxines et surtout les ML par le jeûne, et le corps ne les élimine pas. Ou du moins, il manque un soutien au corps hors jeûne pour se faire.

Au plaisir !

Sophocle

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 12:49

Salut Gogote,

Tout est une question de champs d’application, de rayon d’action, de dynamique d'intoxication, de zones intoxiquées ponctuelles et fortement concentrées, de systèmes circulants et diffus, et de voies et de vecteurs de diffusion de l'intoxication ou des chélateurs. Une séquence d’intoxication est complexe, il faut donc la décortiquer pour ordonnancer les interventions. J’ai pratiqué le protocole Cutler avant de me lancer dans les déshydratations. Avec ce protocole, j’ai eu des bons résultats mais les progrès ont fini par disparaitre en dépit que des céphalées étaient encore permanentes (cela est consigné dans le post de présentation). Bien qu’en dépit des mesures de préventions, ce protocole me semble opportun après une dépose d’amalgame. Des vapeurs ou des liquides intoxiqués pourraient être inhalés ou ingurgités au moment de la dépose. Le rayon d’action de ce protocole me semble efficace pour traiter le large et diffus compartiment liquidien qu’est l’extra après une contamination par voie extérieure. Il s’agit bien d’une voie extérieure car le mercure passe par l’extérieur (air ou salive) pour regagner ensuite les poumons ou les intestins. Bien qu'il me semble également préférable de désintoxiquer spécifiquement les organes qui ont reçu l'intox (poumons et intestins), ce protocole me semble donc pertinent quand l’intoxication parvient de l’extérieur et qu'elle gagne le système circulant. Mais, me concernant, le protocole Cutler n’a eu que très peu d’effet sur le cerveau et sur la contamination de la mâchoire elle-même. Là, il s’agit d’une diffusion par continuité intérieure sur laquelle le protocole Cutler semble impuissant. Je ne pense pas que ma lourde contamination générale ait été initiée par la dépose des amalgames, mais je pense que l’intoxication a migré depuis la racine des dents vers la mâchoire, de la mâchoire vers la zone buccale, de la zone buccale vers le cerveau et vers le reste du corps par diffusion intérieure (et donc sans nécessairement passer par la salive, l'air, les intestins ou les poumons). D'ailleurs, c'est pour cela qu'on retire les amalgames car le mercure risque de migrer de l'amalgame vers tout le corps par de multiples vecteurs de diffusion. La contamination générale a donc pu avoir lieu après la dépose des amalgames car le volume de mercure ayant migré dans la zone buccale était déjà significatif. Grosso modo, j'ai déposé les amalgames dix ans après la pose et les symptômes très lourds sont apparus lentement et progressivement dix ans après la dépose. Le protocole Cutler n’a rien pu faire pour contrer la forte contamination de la mâchoire. Le protocole Cutler semble ôter une légère quantité de ml de façon homogène dans tout le corps car le mode d'administration est lié au système circulant. Le rayon d'action du protocole Cutler semble porter à proximité immédiate du système circulant. Cependant, ce protocole semble non approprié pour effacer les hauts points de densité en ml, il semble même créer un appel d'air s'il existait des poches denses de mercure. Tant que je n’avais pas procédé aux bains de bouche, les symptômes globaux se rehaussaient pendant les périodes d’absence de détox, y compris après l’application du protocole Cutler. Il s’agissait d’une tendance à la hausse perpétuelle de symptômes qui s’effaçait uniquement en période de détox. Cette tendance de fond a été définitivement stoppée par les seuls bains de bouche. Cela fait six mois que j’ai fait ces bains de bouche, et j’ai enfin retrouvé une absence définitive de symptômes dans la zone de la mâchoire. Depuis ces bains, la zone buccale rentre toute seule peu-à-peu totalement dans l'ordre. Cette technique traite l’intra en profondeur. Il demeure préférable d’extraire les ml dans l’intra de la mâchoire directement vers l’extérieur avant que la contamination ne se dissémine dans tout le corps par un débit de fuite lent. Si la contamination générale a déjà eu lieu, le protocole Cutler reste l'un des rares traitement à la détox générale, mais le protocole Cutler ne récure pas systématiquement en profondeur les autres organes atteints en profondeur et non accessibles depuis l'extérieur (dont le cerveau). Le bain de bouche au sel prémunit donc de complications inextricables que ni le protocole Cutler ni la dépose d'amalgames ne peuvent pas totalement résoudre ou prévenir. En outre, le protocole Cutler (ou tout autre technique de détox générale) nécessite qu’il faille l'appliquer tant que le point de densité n'aura pas dédaigné se résorber par lui-même par diffusion au reste du corps. Cela est totalement déraisonnable devant l’efficacité des bains de bouche au sel. Les bains de bouche au sel sont d’une facilité et d’une simplicité inégalables à coté du protocole Cutler. Pour une petite quinzaine de bains de bouche au sel, on peut se prémunir d'une aggravation de la contamination générale et d’années de protocole Cutler. Sans oublier qu’on évite la contamination et tous les symptômes qui accompagnent une intoxication générale dont la perte de travail et la désocialisation. Les bains de bouche ne dispensent certes pas éventuellement de la sécurisation de la dépose d’amalgame et de l’application conjointe du protocole Cutler. Cependant, avec quelques bains de bouche répétés périodiquement, le retrait des amalgames me semble beaucoup moins urgent (voir éventuellement jusqu'à non-indispensables) car les ml pourraient être captés avant qu'ils ne diffusent dans l'ensemble du corps. De plus, l'absence de retrait d'amalgame est préférable pour éviter une contamination lors de la dépose et pour éviter tout le tintouin qui s'en suit sans compter l'économie du prix de l'intervention chez le dentiste.

Quant au jeûne hydrique, je confirme qu’il n’intervient pas dans le processus de mobilisation et d’élimination des métaux lourds ioniques qui provoquent les symptômes qui ont un impact plus ou moins directs sur la fonctionnalité de la cellule aqueuse. Tout cela est déjà écrit dans mon topic. Un jeûne hydrique intervient sur tous les methyl-ml et non sur les ml ioniques, mais le tissu adipeux va libérer ses Methyl-ml en ml inorganique (ions). Cela va donc activer des symptômes. Mais le tissu adipeux a des fonctions endocriniennes qui peuvent être perturbées par les methyl-ml. Pour certaines personnes, il est donc peut-être utile de se lancer dans l’élimination d’un tissu adipeux contaminé. Cependant, après un jeûne, il faudra ensuite traiter les ml ioniques dans la phase aqueuse. Il existe des solutions, jeûne sec, sauna, déshydratation, sport ; et il existe une alternative au jeûne hydrique pour traiter les méthyl-ml, qui intoxiqueraient éventuellement les cellules aqueuses, tout en évitant soigneusement de faire fondre le tissus adipeux : la Pancha Karma. Quant à mes problèmes de dos dont l'intensité des maux est bien réduite, je les traite avec l’hydrotomie percutanée et d'autres techniques déjà décrites. Mais peut-être que les bains de bouche ont aidé à résoudre mes problèmes de mâchoire qui se répercutaient dans mon dos. Qui sait ?

Au plaisir.

Sophocle

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 12:49

gogote a écrit:Salut Sophocle,

Content de lire tes améliorations et de savoir que tu as essayé le protocole également, et que tu peux donc en parler. Ceci dit, le protocole Cutler ne devrait pas se faire avec des amalgames en bouche en théorie. Wink
Personnellement, je constate que la majorité de mes améliorations sont venues des cures du foie, et d'un changement de lieu de vie qui me permettent aujourd'hui de mieux tolérer et d'effectuer le protocole Cutler - d’où mon évocation - mais aussi de manger quasiment TOUS les aliments, gluten & co compris sans être malade comme un chien, ou simplement créer de la frustration en me privant de tout. Ceci me rassure qu'un corps en homéostasie peut tout gérer.

Néanmoins, je ne suis pas guéri. Simplement, l'équilibre est mieux dosé. A cet égard, je te rejoins dans tes recherches, et les modalités d'application et de compréhension que tu mets en oeuvre, car j'opère le même procédé. D'ailleurs, un grand merci encore pour le temps que tu prends de partager tout ceci, je n'interviens pas à chacun de tes messages, mais je lis dans l'ombre avec grande attention. Je viens d'ailleurs d'intégrer les bains de bouches salés à mon quotidien pour voir comment ça se passe. ( sel d'himalaya dans un premier temps, et je suis passé au sel d'epsom... comme pour les cures de foie justement ) On sait qu'un foie, une vésicule et des organes en bonne santé vont naturellement détoxifier les différents composants. Le hic, c'est qu'on est relativement congestionné aujourd'hui, générateur d'un ensemble de résonances chimiques dans le corps. Et donc électrosensibilité, dans mon cas notamment.

Mon but est toujours de soigner, d'arriver à guérir cet EHS, ou devrais-je dire, une pathologie mitochondriale et cellulaire d'ensemble engendrant l'EHS, qui n'est autre qu'un symptôme parmi tant d'autres, mais des plus invalidants cependant ! Le doute encore présent chez moi concerne la captation des métaux lourds dans le cerveau et autres toxiques diverses qui s'y logent, ainsi que dans l'intracellulaire. C'est pourquoi j'ai repris l'ALA notamment, car clairement, l'effet biochimique des deux atomes de souffres ( thiol ) fonctionne pour passer notamment la barrière hématoencéphalique. Globalement aussi, je suis plutôt fervent de méthylation un peu pour les mêmes raisons... on a beau "détox" durant des années, en réalité, si la méthylation est dysfonctionnelle ( sur/sous méthyl ), le déséquilibre chimique restera proéminent et on ne guérira jamais. ( et donc troubles métaboliques, mitochondriaux, enzymatiques, PH sanguin qui déconne, dégradation et intox musculaire, cellulaire etc ) Quand on débute, on se détruit plus qu'autre chose en jouant aux apprentis sorciers...

D’où l'ineptie des régimes uniques et/ou extrêmes, quel qu’en soient leurs formes et appellations. ( quelle perte de temps, de faux espoirs, désillusions et mal-être durant des années pour moi avec cela aussi... )
Finalement, j'ai confirmé mes observations et ressentis ces derniers mois avec surtout une agréable surprise d'avoir regagné du poids au point d'en dépasser mon poids de base du haut pour la première fois de ma vie (impensable), sans augmenter les calories, au contraire... enfin, mon corps semble mieux métaboliser un ensemble de composants... parce qu'il respire, s'oxygène, et ne se fait plus étouffer par divers toxiques dont les ondes principalement ! Non pas grâce au jeûne, ni à un régime spécifique ou des cures de bourrins. Mais grâce à un ensemble d'améliorations par l'environnement électromagnétique, des pistes génétiques et épigénétiques mises en applications, et l'orientation vers la faiblesse de certains organes comme le foie/vésicule, mais surtout une problématique mitochondriale en lien avec certains besoins d'agir sur la méthylation. Néanmoins, vraiment et véritablement, l'environnement électromagnétique drastiquement diminué est une cure de jouvence pour l'organisme, comme je m'en suis toujours douté, comme je l'ai toujours désiré. Quelle tristesse d'avoir attendu si longtemps et de m'être sacrifié à presque en mourir et de tout perdre en prime avant d'agir... ! Attention, la réduction des ondes n'est pas la guérison, elle est simplement la représentation d'un énorme symptôme réactionnel, et une résultante incontestée qu'on peut améliorer grandement son état global, et donc les potentialités de guérisons réelles, en les évitant. ( et j'espère chaque jour que ce défaut du programme fortement corrélé à la génétique aussi, soit guérissable autrement que par une éviction totale des ondes artificielles nous entourant, ce qui sera demain impossible - auquel cas, nous grillerons à petit feu/ou plutôt de plus en plus vite avec 5g & co )
J'ai ajouté à ces améliorations le protocole Cutler pour voir vers ou cela mènera. Les rounds actuellement me font réagir énormément tant ça mobilise, mais surtout, je sens que ça sort, que ça affecte énormément le physique et l'émotionnel, mais contrairement à avant et grâce à cette nouvelle stabilité, j'arrive précisément à dissocier quand c'est du à la chélation, à mon état d'être, à l'environnement ou autres facteurs !

Par le passé, ni les lavements, ni les cures de cus, ni les jeûnes et autres ne m'avaient apporté de pareils résultats ou capacités de reculs sans s'éparpiller ou douter. En outre, les améliorations restaient éphémères sans me permettre de vivre normalement dans mon habitat au quotidien. J'en conclue que mon corps avait avant tout besoin de pureté tout autant que d'une supplémentation massive pour améliorer le fonctionnement global, à la fois des organes ET des tissus conjonctifs, du milieu cellulaire, et d'un ensemble plus vaste et complexe pour ensuite permettre un relargage efficient et régulé. Je crois de plus en plus que les électrosensibles ont une porosité d'ensemble sur le plan tissulaire, puis cellulaire, et sont donc tous des malades mitochondriaux en réalité. =) Et étrangement, dans mon cas, je suis porteur de mutations orientant vers les pathologies mitochondriales et d'étouffements cellulaires/perturbations du cycle respiratoire cellulaire. Qui dit perturbations des cellules énergétiques du corps que sont les mitochondries, dit forcément déréglement de l'ensemble des fonctions métaboliques de l'organisme et donc de toutes les maladies possibles et inimaginables. Surtout, et chez certains comme moi, les mitochondries vont donc " griller " en réaction à l'environnement et aux ondes électromagnétiques très rapidement, car non protégées. La fameuse fièvre des mitochondries > 50° qu'on ne sait pas mesurer, présente chez les EHS, mais qui ont toujours des valeurs de fièvre connue normales...

Cutler et tant d'autres sont donc loin d'être la panacée, on est clairement d'accord. Ce qui m'intéresse quand même particulièrement sur les ML, c'est leur effet de résonance créant en premier lieu une très grande perturbation des mitochondries et du milieu cellulaire. On dijoncte en quelque sorte le code, le programme cellulaire, comme des microprocesseurs en surchauffe. Les ML et principalement le mercure sont parmi les pires, mais nous sommes très loin de n'être intoxiqué qu'à cela, c'est bien le problème ! A force, le cocktail chimique d'ensemble crée une sorte de virus ou de malware gigantesques qui se décuplent un peu partout... dans mon cas, les ML sont surement une grosse part dans mon EHS et de l'effet résonance, alors je me suis lancé à nouveau dans le protocole Cutler pour voir ce qu'il en ressortira dans un environnement électromagnétique sain, qui évite aux mitochondries d'imploser à nouveau au moins relargage ou à la moindre surtension. Pour le jeûne et notre poids, je considère que ce n'est plus une bonne solution que de jeûner si ce n'est de manière intermittente, et éventuellement sur 2 jours max. En général, nous sommes déjà en manque de muscles, de nutriments, d'oligoéléments, nos mitochondries sont grillées et doivent se régénérer du fait d'un milieu surtoxique. Le jeûne va libérer et mobiliser énormément de toxiques qui ne vont pas permettre à l'organisme et aux mitochondries d'abaisser la température cellulaire... et donc dans ce genre de cas, on sécrète encore et encore de l'acidité cellulaire, ensuite renvoyée aux organes... le contraire des bienfaits du jeûne que l'on nous exprime souvent. Alors le jeûne chez quelqu'un dont les fonctions mitochondriales fonctionnent à peu près, et sous un certain nombre de conditions, oui. Mais pour ceux comme moi pour qui le milieu mitochondrial est probablement apocalyptique et complètement endommagé, faire du jeûne de quelques jours est beaucoup trop virulent. Surtout, l'électrosensibilité est à mon sens le reflet d'un étouffement cellulaire, et en relarguant les toxines par le jeûne, en prime dans un environnement avec ondes à la clé, c'est risquer de déplacer les toxines mitochondriales un peu partout au lieu de réellement les déloger.

J'insiste vraiment sur l'environnement électromagnétique, qui est dans mon cas, mais aussi beaucoup de gens, une clé ENORME dans l'amélioration et le retour à l'homéostasie. ( la guérison réelle sera lorsque je ne serai plus EHS ) Jeûner, détoxifier, supplémenter, faire une cure dans un environnement électromagnétique chargé est inutile à mes yeux avec le recul, et empire très souvent notre état. Mes améliorations sont immenses depuis que je suis dans un habitat régulé à ce niveau, avec un sommeil dans une chambre sans ondes, et un environnement sans wifi/4g/ondes/électricité sale etc etc... je l'ai toujours su en réalité, mais maintenant que je peux l'expérimenter, le changement physiologique se transcrit déjà avec de bonnes surprises. Je reste convaincu que c'est encore une corrélation cause/conséquence de troubles mitochondriaux s'améliorant sans être sujet à de nouvelles toxines permanentes, et qui permettent donc de contrecarrer progressivement la fragilité du foie/vésicule et d'une intox massive de l'organisme, en détoxifiant réellement tout en régénérant en profondeur ! Bien sur, tout ceci est en lien à un terrain génétique propre et une épigénétique greffée par dessus depuis l'enfance.

En réalité, je crois qu'à un moment, on tourne en rond avec tous nos protocoles de detox si on ne comprend pas sa mécanique propre profondément, et donc sa génétique, l'activation/désactivation de nos gènes préoccupants, en lien à tout notre environnement biochimique. Sans compter les toxines émotionnelles à minima aussi importantes que les toxines environnementales.

Preneur de ton retour sur tous ces sujets. Wink

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 12:50

Je te rejoins sur tous ces sujets. Je suis même d’accord à propos du jeûne. Protocole Cutler !icon_wink

L’electrosensibilité est en effet blocant, je confirme que mon parcours est semblable au tien et qu'il faut bien se mettre à l’abri de façon pérenne pendant des années et h24 pour pouvoir ensuite s'installer dans les cures. Tant que l'ehs n'était pas cantonné, j'avais un système dégradé stable avec des tendances fluctuantes à la hausse ou à la baisse. Il y a donc deux ères chez un ehs, l'ère de la transformation de l'environnement pour établir des lieux de vie sains où l'on peut enfin passer à la seconde ère, l'ère de la détox. Aujourd'hui, je ne suis plus hyper- mais juste électrosensible. Je dois encore couper le disjoncteur pendant la nuit. Il ne faut pas trop me demander de m'activer pendant le jour mais je peux passer des journées assez " bonnes ". Mais j'ai passé des années à bricoler mon habitat pour le blinder. Par exemple, la souris que j'utilise est à boule (donc moins émitive qu'une souris à point rouge) et elle est tapissée d'une feuille d'alu à l'intérieur de sa carcasse. J'ai également ouvert les plinthes et j'ai enroulé les fils de papier d'alu (qu'il faut relier à la terre des 2 cotés). J'ai viré les meubles en bois parce qu'il sont émitifs quand du 50hz passe à coté, et je les ai remplacé par des meubles en métal que j'ai branché à la terre. Il y a une époque, je ne pouvais pas approcher la main du clavier sans être sanctionné par des sensations de brûlures. J'avais également des maux de tête en décalé pendant 24h. C'est-à-dire que je pouvais m'approcher du 50hz sans nécessairement le ressentir immédiatement. Mais tant que je demeurais à proximité, les maux de tête s'activaient en douceur pour parvenir à un pic en 24h. Si je m'éloignais, les maux de tête persistaient et baissaient tout doucement jusqu'à disparaitre au bout de 24h. Il y a donc un effet de coulissé dans le temps. Cela milite pour un oedème qui se crée avec le 50hz et qui se disperse par micro-circulation quand la cause de l'oedème est neutralisée. Je n’aurais jamais pu pousser la compréhension des processus biologiques jusqu'au raffinement du métabolisme interne. J'ai essayé de nombreux compléments alimentaires pour pallier à tel ou tel problème, mais il faut parfois savoir les associer pour qu'ils fassent effet. Les combinaisons sont infinies, je n'ai jamais vraiment fait de progrès sur ce plan. De plus, les perturbations sont mouvantes, il faut donc ajuster les doses, et faire des tonnes d'essais et de tests sanguins. C'était trop de boulot et c'est aussi du temps perdu car la cause native n'était pas traitée. Les compléments atténuent le problème provisoirement, mais dès qu'on cesse de les prendre, les maux reviennent inlassablement. On arrive certes à obtenir des améliorations, mais si la source de ml n'était pas neutralisée, l'intoxication s'aggrave en silence jusqu'à ce que plus aucune béquille ne satisfasse. C'est-à-dire qu'on crée un mieux être qui laisse encore plus de place pour que les ml se déploient. Je suis peut-être passé à côté d'un complément qui m'aurait soulagé durablement mais ça s'est pas fait. Il est évident que le potassium était perturbé, il ne devait pas se trouver dans le bon compartiment ou ses taux devaient être anormaux. Mais une complémentation va-t-elle lui permettre de regagner l'intra s'il était chassé par les ml. De plus, les reins vont éliminer le potassium en excès dans l'extra. Dans ce cas, la complémentation est passée tout près de la solution sans l'atteindre. Les masses molaires et la valence des ions sont déterminantes dans l'équilibre ionique. Les ions légers sont mobiles mais ils sont chassés par les ions lourds. Les ions lourds sont comme ancrés dans l'intra et ils chassent les autres ions de l'intra vers l'extra qui se sera nettoyé par les reins. Il faut donc sortir les ml aux forceps. De plus, comme tu le dis, ils vont créer des sous-toxines qui vont encombrer les tissus sans parler des bactéries qui vont elles-mêmes générer des toxines. Il faut drainer, drainer, drainer, sans que la cause native ne soit traitée. C'est bcp d'efforts pour réduire le mal sans chercher la guérison. On peut donc faire des batteries de tests, taux de K/Na, et autres, sans pour autant comprendre que les anomalies relevées ne sont que des réponses physiologiques à la présence des ions indésirables. Tenter de redresser ces taux est éventuellement une erreur. Mais quand il y a des anomalies génétiques, là, les analyses sont effectivement précieuses pour cibler les chemins de méthylation et donc permettre aux cycles de bien faire leurs révolutions de façon à bien mettre en place une chélation efficace. À ce niveau là, on est dans l'orfèvrerie Protocole Cutler Tracker. Quand je vois le tableau détaillé du métabolisme, je suis comme un gamin devant un train électrique, je le parcours du doigt. Mais, comme j'ai déjà effleuré ce sujet dans un précédent message, il est trop compliqué pour mon petit cerveau à moitié autiste. Je me le serai bien coltiné à volonté mais j'ai encore des blocages cognitifs quand je me trouve devant un tel schéma. De plus, il faut dresser le tableau des correspondances entre les compléments, les gènes et les étapes des chemins. Le doute m'envahit par dépit, je suis totalement bloqué, il y a tellement de cycles, de molécules, de bifurcations... La méthode de déshydratation ne fait pas dans la dentelle, y'a tout qui sort, je ne me pose pas de question, advienne que pourra, je traite les effets secondaires à vue, je confirme qu'ils peuvent être bloquants mais il existe des technique pour prévenir et pour guérir. Contrairement à la déshydratation, le jeûne hydrique ne va pas réactiver un organe qui est atteint par des toxines inorganiques car le jeûne traite la phase lipidique et non aqueuse. Le jeûne sec est efficace mais je ne vois pas l'intérêt de superposer la privation de nourriture à la privation d'eau quand seule la privation d'eau aide à curer le problème de fond. De plus, le jeûne sec compromet la guérison car la crise de détox des débuts risque d'être inutilement trop intense sans compter le déplaisir à sauter (inutilement) des repas ni la rehausse des ions indésirables par la décomposition des méthyl-ml soigneusement remisés par les cellules. Je veux bien dire qu'un unique et petit jeûne hydrique de 3 jours est utile pour éliminer les encombrants et aider à préparer le corps pour des séries de déshydratations. L'assimilation pourra éventuellement être rehaussée. Mais les jours supplémentaires de privation de nourriture ne sont qu'un coup d'épée dans l'eau car cela ne travaille pas le plan majeur et dominant d'un intoxiqué : celui de la phase aqueuse montée en solution ionique. Un atome (ou un ion) est irréductible, il n'y a donc pas de processus métabolique qui puisse le supprimer. Une fois que les ions indésirables ont contaminé l'eau de la cellule, il faudra les transporter vers l'extérieur pour parachever l'élimination par chélation ou déshydratation. Au-delà de 3 jours de jeûne, il y a certes tout un tas de bénéfices mais ils ne sont absolument pas stratégiques pour bouter les ml hors de l'intra. Une fois que les ions ml auront été bien diminué et qu'une petite forme sera recouvrée, il sera alors judicieux de faire des jeûnes hydriques et secs.

    édit. J'ajoute que je prévois qu'il me faudra, au total, entre 100 et 150 jours cumulés de déshydratation pour en finir avec les ml (j'en suis à 70 environ). Au bout de 10 jours cumulés de jeûne hydrique, il m'a semblé obtenir toutes les améliorations que le jeûne hydrique pouvait apporter. Ensuite, j'ai refait quelques jeûnes supplémentaires mais ils ne m'ont apporté aucun bénéfice sur le plan des ml. Un jeûne est bcp + difficile qu'une déshydratation, il ne faut pas charger la mule pour rien, c'est déjà assez pénible comme ça. Je souhaite bien du courage à tous ceux qui veulent faire des jeûnes secs et donc se taper 100 jours de jeûne pour aucun bénéfice au niveau des ml.

    (Petits calculs. 125 jours cumulés donnent 40 rounds de 3 jours. 100%/40=2,5%. il y a donc 2,5% de ml qui sortent en moyenne par round. En fait, c'est plutôt 4,5% de la charge des ml du départ qui sortent au début des déshydratations et 0,5% de la charge des ml du départ qui sortent à la fin des déshydratations. Au total, j'aurai sorti 40x1,5=60 litres d'eau du corps, soit 2 fois le volume total de l'eau dans le corps ou 1 fois mon poids total. Et j'avais 8 fois (1/(0,95^40)) la teneur en ml du seuil à partir duquel les symptômes commencent à apparaitre.)

Sophocle

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