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CDI-01 : Chélation de l'intra.

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CDI-01 : Chélation de l'intra. Empty CDI-01 : Chélation de l'intra.

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 15:41

Pour chélater l'intra, y'a deux difficultés.
Un : Les Dmsa et l'Edta sont plutôt hydrophile, ils ne franchissent donc pas la membrane cellulaire.
Deux : le chélateur lipophile (BAL) n’est pas aussi facilement disponible que le Dmsa ou l’Edta.
Mais comme dans un théâtre, il suffit de porter un costume pour franchir les frontières.
Pour faire entrer le DMSA et/ou l'Edta dans la cellule, peut-être suffit-il d'envelopper ces chélateur d'un voile lipidique.
Ni vu, ni connu, la cellule va peut-être gober la micelle de ghee à l'intérieur de laquelle se glissera le chélateur lipophobe (comme un cheval de Troyes)
Pour cela, je vais donc émulsionner directement le Dmsa et le l'Edta avec du ghee au moyen de la lécithine de soja sans phase aqueuse.
Grâce à la lécithine, la poudre hydrophile sera ainsi dispersée dans une phase lipidique de façon homogène.
Et y'a plus qu'à boire une mini-dose comme une pancha-karma.
Mais il reste à tester s'il y a des effets.

Ingrédients :
    * Ghee : 20 ml (ou +).
    * Lécithine de soja (LdS) en granulés : 0,5 gramme.
    * Dmsa et Edta : contenu de 1 gélule chaque (soit la poudre de 2 gélules au total).


Préparation :
    * Chauffer le ghee jusqu’à ce qu’il soit liquide.
    * Ajouter la LdS.
    * Attendre que le ghee imbibe la LdS.
    * Mixer avec un mini-mixeur à piles.
    * Filtrer.
    * Ajouter la poudre contenue dans les gélules.
    * Mixer.
    * Boire à jeun.
    * Ça n’a pas trop de goût du souffre grâce au ghee mais ça reste aussi dégueu que du ghee.
    Nota: je vais faire évoluer cette liste selon les résultats des applications futures, cette liste est donc provisoire.



Premier essai ce jour :
    Quelques légères variations de céphalées 4 heures après l'ingestion, mais c'est pas vraiment concluant si je tiens compte de l'effet placébo.
    Mais j'y vais molo sur les doses en cas de recontamination de l'intra, je verrai peut-être les effets à la longue.
    Remarques :
    -J'ai déjà nettoyé l'extra, le risque de contamination de l'intra par l'extra devrait donc être minime.
    -J'ai des réglages à tester pour les tests suivants : pH, hydratation.
    ...2ème essai, il est difficile de décortiquer les sensations car le ghee donne systématiques un coup de barre silencieux.
    Il faut donc comparer des états finaux dont les états transitoires font des haut et des bas... pas facile.
    Mais je me méfie de mon effet placébo.
    ... Pour récurer en profondeur, je me demande si des applications pendant un jeûne (hydrique ou sec) ne va aider l'émulsion à entrer dans les cellules.
    Je me garde cette info en cas de ralentissement tardifs des effets.


Cédéi-asso
    Suite à la neutralité des premiers essais dont les doses étaient faibles, j'ai fait une cédéi-asso :
    Beurre : 8 cl (demi-verre de vin), lécithine : 2 grammes, Edta : 0,75g (3gél), et Dmsa :0,3g.
    Puis j'ai fait une marche rapide (45min) avec une séance d'escaliers (300 marches).
    Je peux tout de suite dire qu'il n'y a pas d'effets aussi éclatants que lors des chélassos.`
    De plus, y'a un petit coup barre durable (3h env.) à cause du ghee.
    Il est donc très difficile d'apprécier si j'ai eu des bénéfices objectifs.
    Le lendemain matin, il me semble bien me sentir un peu mieux,
    mais,
    cela peut être attribué à l'effet placébo, au ghee, ou à l'élimination du rebond.
    Le ghee fait solubiliser les pesticides, les améliorations légères peuvent donc parvenir uniquement du ghee.
    De plus, entre deux chélassos, un rebond de céphalées a lieu, le chélateur a donc peut-être éliminé ce rebond.
    Par contre, il n'y a pas eu d'aggravation, donc pas de recontamination de l'intra par l'extra.
    ... 22 janv. De façon intermittence, j'ai parfois l'impression que des améliorations significatives au niveau des céphalées ont lieues.
    Autant les effets éclatants des chélassos se faisaient ressentir pendant la séance d'activités physiques, autant j'ai l'impression que les éventuelles améliorations d'après cédéi-asso ont lieues en douceur sur une plage de plusieurs demies-journées.
    Peut-être faut-il laisser le temps à la micelle de ghee se disloquer et au chélateur de ressortir de l'intra ? - ou effet placébo ? :??:
    ... Après écoute des fluctuations, il me semble que les effets de ce cédéi-asso ne devraient pas être comparés à ceux d'une chélasso.
    Par réflexe et éventuellement à tord, je surveille des effets similaires à ceux attendus par une chélasso, mais il est possible que les effets d'une cédéi-asso aient d'autres champs.
    À l'avenir, il faut que je laisse ouvert l'écoute des champs et que je me défasse de ce dont j'ai l'habitude.
    Au premier abord, les effets des cédéi-assos semblent peu payants, mais peut-être sont-ils silencieux et profonds?


Chélasso & Cédéi-asso
    Coup sur coup, ce we, je ferai une chélasso samedi pour nettoyer le rebond, puis je ferai une cédéi-asso le lendemain. Il me semble que des progrès ténus se manifestent avec les cédéi-asso, je vais prolonger le nombres d’essais de façon à en avoir le cœur net. Mais il me semble prudent d’en nettoyer l’extra juste au préalable.


Acide Alpha-Lipoïque
    Je l'avais oublié celui-là.
    Pour chélateur l'intra, peut-être fera-t-il le job ?
    Cependant, j'ai eu des prémisses d'améliorations intéressantes avec le ghee-lécitine-DMSA&EDTA sur l'épaule et sur le parfait achèvement de l'incident après l'allicine, cette recette est donc intéressante pour des résolutions encore à déterminer.



Sophocle

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CDI-01 : Chélation de l'intra. Empty CD1-02 : Chélation de l'intra, l'ALA.

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 15:43

J'avais oublié que l'acide alpha-lipoïque existait. CDI-01 : Chélation de l'intra. Smiley1 CDI-01 : Chélation de l'intra. Smiley27

Quelques infos de démarrage
    C'est une molécule avec deux soufres, cela est donc un bon signe de chélation.
    Il serait lipophile, il chélaterait donc l'intra.
    Il serait également hydrophile.
    Il se solubiliserait autant dans l'huile que dans l'eau.


Vérification de sa solubilité.
    Pour apprécier sa solubilité, je l'ai donc testé dans de l'huile et dans de l'eau minérale.
    Cependant, l'Ala que je détiens parvient d'un fournisseur en compléments alimentaires.
    Cet Ala est donc mélangé à d'autres ingrédients neutres, le tout placé dans une gélule.
    Il est donc difficile d'être catégorique sur les résultats car les résultats peuvent être attribués à un ingrédient et pas à un autre.


Protocole de test
    Mon protocole est simple.
    Je mets de l'huile dans un récipient, je mets de l'eau minérale (pH=6) dans un autre récipient.
    Je verse la poudre contenue dans la gélule au-dessus du liquide.
    Je regarde comment se comporte la poudre et si le liquide imbibe la poudre.
    Puis je mixe, puis j'attends et je regarde la cinétique de l'éventuelle séparation de phase.


Résultat avec l'ALA.
    Il apparait que l'ALA est bien plus lipophile qu'hydrophile (...à pH6 et à température - voir post suivant pour un démenti de ce résultat et donc des paragraphes suivant).
    Déjà, la poudre est visqueuse, contrairement à l'edta ou au dmsa, elle ne s'écoule pas comme du sel.
    La poudre que je dispose (donc l'Ala et ses ingrédients) se maintiennent moyennement bien dans l'huile, mais elle se reconstitue majoritairement en phase aqueuse.
    Elle n'est donc pas totalement hydrophobe, cad qu'elle se mélange quand elle est agitée dans de l'eau.
    Par contre, le poudre n'est pas totalement lipophile, cad qu'elle ne disperse pas de façon totale et durable et homogène dans de l'huile.
    Cependant, la forme de la molécule correspond à une belle chaine carbonée, 8 carbones, cela milite pour une bonne lipophilie.
    Et les deux oxygènes et les 2 soufres devraient conférer sa part hydrophile.
    D'ailleurs, la poudre est de couleur jaune, caractéristique du soufre, cela est également un signe de chélation.
    Quoiqu’il en soit, le caractère lipophile est certes difficile à manipuler pour assurer une chelation express mais cela est peut-être une possibilité peu courante de chélater l’intra quitte à cela soit fastidieux.


Analyse
    rappel préalable : j'avais pris des gélules d'Ala avec le Dmsa en round pendant deux mois (protocole Cutler) bien avant que j'ouvre mon topic sur le forum ; très peu bénéfices étaient au rendez-vous. idem pour l'Edta en gélules)
    Il me semble donc qu'il faudrait éventuellement aider l'Ala à pénétrer jusqu'au cerveau car, contrairement à l’Edta ou le Dmsa, sa solubilité n'est pas définitivement stable.
    Les moyens, pour aider l'Ala à arriver jusqu'au cerveau, sont 1: l'activité sportive, 2: la lécithine, 3 :dans du ghee, ou les 2 simultanément 2à2.
    L'ingestion de l'ALA au moment de l'activité sportive va forcer la solubilisation de l'ALA dans la phase aqueuse pendant tout le temps de l'activité physique.
    Je pourrai donc tester l’Ala solubisé dans l’eau (cad sans émulsion).
    Cependant, si nécessaire, la lécithine de soja devrait améliorer la solubilité de l'ALA dans la phase aqueuse (mais au risque que l'ALA ne s'exprime au moment venu car il sera caché par la lécithine).
    Par ailleurs, le protocole Cutler prescrit la prise simultanée d'ALA et de DMSA, cela laisse supposer que l’Ala n’est éventuellement pas suffisant tout seul.
    Peut-être faudra-t-il que je combine l’ala au dmsa à therme.
    Rappel, les bains froids sont une alternative aussi efficace aux activités physiques pour activer l'hyper-vascularisation du cerveau et donc d'emmener le chélateur jusqu'au sanctuaire.


Catégories et conditions des solubilisations, prélalable aux expérimentations
  • 1) Solubilisé dans une solution où la phase exclusive est de l'eau, combiné avec de l'Edta et du Dmsa
  • 2) Solubilisé dans une solution où la phase majoritaire est de l'eau (vraisemblablement avec un peu d'huile et de lécithine)
  • 3) Solubilisé directement dans du ghee
  • - Ingestion au milieu d'activités physiques qui font hyper-vasculariser le snc
  • - À jeun, toutes mes chélations se déroulent toujours à jeun




Élimination
    Les reins traitant les composés hydrophiles et le foie traitant les composés lipophiles, l'Ala devrait être majoritairement éliminé par la voie biliaire.
    Mais, jusqu'ici, les surprises ont été nombreuses, il faut donc pas prendre ce genre d'info à la lettre.


Références scientifiques

    Je ne retrouve pas l'ALA dans le site de Microtrace ni dans le document alpha.
    Contrairement à l'Edta, le dmsa, ou le dmps, l'Ala ne semble pas courant dans les services hospitaliers ni dans la littérature scientifique.
    Les références officielles ne semblent pas abondantes, mais il existe au moins un article "officiel" qui évoque la preuve que l'ALA chélate:

Le rôle des thiols, des dithiols, des facteurs nutritionnels et des ligands en interaction dans la toxicologie du mercure.
    NCBI a écrit: Centre de synthèse et de biologie chimique, Département de chimie pharmaceutique et médicinale, Royal College of Surgeons in Ireland, Dublin 2, Irlande.
    dans Toxicologie. 5 sept. 2007; 238 (2-3): 216.
    Le mercure est une substance toxique connue depuis des siècles. Bien que les caractéristiques cliniques de l'intoxication aiguë au mercure aient été bien décrites, l'exposition chronique à faible dose au mercure reste mal caractérisée et son rôle potentiel dans divers états de maladie chronique reste controversé. Les thiols de faible poids moléculaire, c'est-à-dire les molécules contenant du sulfhydryle comme la cystéine, apparaissent comme des facteurs importants dans le transport et la distribution du mercure dans tout le corps en raison du phénomène de «mimétisme moléculaire» et de son rôle dans le transport moléculaire du mercure. Les agents de chélation tels que les dithiols de 2,3-dimercaptopropanesulfate de sodium (DMPS) et l'acide méso-2,3-dimercaptosuccinique (DMSA) sont les traitements de choix pour la toxicité du mercure. Il a également été démontré que l'acide alpha-lipoïque (ALA), un disulfure, et son métabolite l'acide dihydrolipoïque (DHLA), un dithiol, ont des propriétés de chélation lorsqu'ils sont utilisés de manière appropriée. Alors que la N-acétyl-cystéine (NAC) et le glutathion (GSH) ont été recommandés dans le traitement de la toxicité du mercure dans le passé, un examen des preuves disponibles suggère que ces agents peuvent en fait être contre-productifs. Il a également été démontré que le zinc et le sélénium exercent des effets protecteurs contre la toxicité du mercure, très probablement médiée par l'induction des protéines de liaison aux métaux, la métallothionéine et la sélénoprotéine-P. Les preuves suggèrent cependant que la co-administration d'agents chélateurs au sélénium et au dithiol pendant le traitement peut également être contre-productive. Enfin, la question des tests de diagnostic pour l'intoxication chronique, historique ou à faible dose de mercure est envisagée, y compris une analyse de l'influence des interactions des ligands et des facteurs nutritionnels sur la précision des tests de «provocation par chélation». (Trad en ligne)
    Commentaire : Selon cet article, la capacité de l'ALA a chélater semble être prouvée.


Article connexe (TA=ALA) : L'acide thioctique (lipoïque): un antioxydant thérapeutique chélateur des métaux?
    NCBI a écrit:Département de médecine, University College London Medical School, Royaume-Uni
    L'acide thioctique (alpha-lipoïque) (TA) est un médicament utilisé pour le traitement de la polyneuropathie diabétique en Allemagne. Il a été proposé que l'AT agit comme un antioxydant et interfère avec la pathogenèse de la polyneuropathie diabétique. Nous suggérons qu'un élément de son activité antioxydante nécessitant une étude est l'activité chélatante des métaux de transition directe du médicament. Nous avons constaté que le TA avait un effet inhibiteur dépendant de la dose sur l'oxydation de l'acide ascorbique catalysée par Cu (2 +) (surveillée par absorption d'O2 et spectrophotométriquement à 265 nm) et augmentait également la partition de Cu2 + en n-octanol à partir d'une solution aqueuse suggérant que TA forme un complexe lipophile avec Cu2 +. TA inhibe également la peroxydation liposomale catalysée par Cu (2 +). En outre, le TA a inhibé la production intracellulaire de H2O2 dans les érythrocytes provoqués par l'ascorbate, un processus supposé être médié par Cu2 + chélaté de manière lâche dans l'érythrocyte. Ces données, prises ensemble, suggèrent que la réduction intracellulaire préalable de TA en acide dihydrolipoïque n'est pas un mécanisme obligatoire pour un effet antioxydant du médicament, qui peut également opérer via une chélation Cu (2 +). L'énantiomère R et le mélange racémique du médicament (alpha-TA) semblaient généralement plus efficaces que l'énantiomère S dans ces essais de chélation des métaux. (Trad en ligne)
    Commentaire : L'ALA semble se lier (au moins) avec le cuivre2+, il serait certes donc intéressant pour prévenir Alzheimer, mais cela est un bon présage pour qu'il chélate d'autres métaux.


Article connexe : Neuroprotection par l'acide alpha-lipoïque antioxydant métabolique.
    NCBI a écrit:Département de biologie moléculaire et cellulaire, Université de Californie, Berkeley 94720-3200, États-Unis.
    On pense que les espèces réactives de l'oxygène sont impliquées dans un certain nombre de types de conditions pathologiques aiguës et chroniques dans le cerveau et les tissus neuronaux. L'alpha-lipoate antioxydant métabolique (acide thioctique, acide 1, 2-dithiolane-3-pentanoïque; acide 1, 2-dithiolane-3 valérique; et acide 6, 8-dithiooctanoïque) est une substance de faible poids moléculaire qui est absorbée par le régime alimentaire et franchit la barrière hémato-encéphalique. l'alpha-lipoate est absorbé et réduit dans les cellules et les tissus en dihydrolipoate, qui est également exporté vers le milieu extracellulaire; par conséquent, une protection est accordée aux environnements intracellulaires et extracellulaires. Il a été démontré que l'alpha-lipoate et en particulier le dihydrolipoate sont de puissants antioxydants, qu'ils se régénèrent par cyclage redox d'autres antioxydants comme la vitamine C et la vitamine E et qu'ils augmentent les niveaux intracellulaires de glutathion. Ainsi, il semblerait qu'une substance idéale dans le traitement des troubles oxydatifs du cerveau et des neurones impliquant des processus de radicaux libres. L'examen des recherches actuelles révèle des effets protecteurs de ces composés dans l'ischémie-reperfusion cérébrale, les lésions cérébrales aux acides aminés excitotoxiques, le dysfonctionnement mitochondrial, le diabète et la neuropathie diabétique, les erreurs innées du métabolisme et d'autres causes de lésions aiguës ou chroniques au cerveau ou aux tissus neuronaux. Très peu de stratégies d'intervention neuropharmacologiques sont actuellement disponibles pour le traitement de l'AVC et de nombreux autres troubles cérébraux impliquant des lésions des radicaux libres. Nous proposons que les diverses propriétés antioxydantes métaboliques de l'alpha-lipoate soient liées à ses rôles thérapeutiques possibles dans une variété de pathologies cérébrales et tissulaires neuronales: les thiols sont au cœur de la défense antioxydante dans le cerveau et d'autres tissus. L'antioxydant thiol le plus important, le glutathion, ne peut pas être administré directement, contrairement à l'acide alpha-lipoïque. Des études in vitro, animales et humaines préliminaires indiquent que l'alpha-lipoate peut être efficace dans de nombreux troubles neurodégénératifs. (Trad en ligne)
    Commentaire : La capacité de l'ALA à chélater au-delà de la BHE semble être prouvée.


Commentaire de ces articles
    En dépit que l'ALA soit méconnu des circuits officiels, quelques études scientifiques (balbutiantes ?) confirme sa capacité chélatrice.
  • Cependant, je suis tombé sur des recommandation de la Haute Autorité de Santé qui préconise de classer l'ALA comme médicament uniquement disponible par prescription.
    Je ne sais pas où en est cette histoire, mais il me semble qu'il n'existe pas d'alternative en vente libre.
  • Entre l'ALA, et le BAL, je retrouve les mêmes infos, un chélateur lipophile qui semble se retourner contre l'utilisateur dans certains cas.
    Le nettoyage de l'extra au préalable est donc un pré-requis pour les chélateurs lipophiles.





Sophocle

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CDI-01 : Chélation de l'intra. Empty CDI-03 : Chélation De l'Intra, l'ALA(2). - Température et pH

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 15:44

Surprise CDI-01 : Chélation de l'intra. Baer
    ... La solubilité de L'ALA serait dépendante du pH et de la température (comme suggéré par Microtrace selon le pH et comme valable pour l'Edta et éventuellement pour le Dmsa).
    Voir article : Inclusion Complex of α-Lipoic Acid Containing Alkalizer.
    Le bicarbonate de soude aiderait à une bien meilleure solubilisation de l'ALA dans l'eau (à vérifier, ...)
    ... Après vérification, le contenu de la gélule se solubilise bien mieux (voir totalement) dans une eau à 37° dans laquelle un peu de bicarbonate de soude a été ajouté. CDI-01 : Chélation de l'intra. Smiley223


    Ça percolera certes de bien meilleure façon.
    Mais,
      CDI-01 : Chélation de l'intra. Icon3, le risque de re-contamination de l'intra est d'autant augmenté car le pH de l'intra est 7.2, l'ALA devrait donc relarguer sa proie en passant d'un pH8 à pH7.2, cad exactement au moment de franchir la membrane cellulaire.
      Pour minimiser ce risque, il faudra que l'extra soit totalement clean de chez clean CDI-01 : Chélation de l'intra. Icon18 et que je parvienne à obtenir une solution dont le pH est 7.2.
      Pour cela,

      • Je vais ajouter de l'edta et du dmsa dans la solution avec l'Ala (il faudra que je vérifie que l’Edta demeure solubilisé à pH7.2).
      • Quant à obtenir une solution calibrée précisément à pH7.2, ça me semble peu probable avec mes bandelettes dont le pas est de 0,5.



Ordonnancement général
    Si mes petites expériences aboutissaient à une chélation efficace, je rappelle qu'il est hautement préférable (cad impératif en langage diplomatique) de récurer l'extra au préalable et qu'il serait préférable de s'assurer de cela avec une analyse en laboratoire (les valeurs doivent absolument être revenues dans les valeurs de références).
    Ce n’est pas parceque la recontamination semble désamorcée qu’il ne faut pas être prudent. CDI-01 : Chélation de l'intra. Icon13


(...)
Stabilité en dépit d'ajout de vinaigre
  • En rajoutant du vinagre à la solution qui était déjà à pH8 et dans laquelle avait été solubilisée l'Ala, l'Ala n'a pas floculé, il s’est demeuré solubilsé en dépit de la baisse de pH.
    Il serait donc possible de solubiliser l'Ala à pH8 de façon transitoire, et de redescendre la solution à pH7.2 de façon à minimiser le risque de recontamination de l'intra sans réduire la percolation tant précieuse.
    La baisse de température n'a pas eu d'effet non plus, mais je ne vois pas l'interêt de faire baisser la température au risque de d’aggraver une altération de l'ALA (dont la sensibilité et dont l'instabilité est occasionnellement rapportée dans la littérature).
  • Lors de la confection de la solution à boire, le vinaigre sera remplacé par du jus de citron.


Rebaptisation de cette solution en "intrasso"
    "Intrasso" est un peu plus phonogénique de cédéi-asso.
    Il aurait été explicite que les chélassos s'appèlent des "Extrassos".


Solubilités selon différents états
    Pour en avoir le cœur net, j'ai testé la solubilité dans 3 cas.
    1. Eau à 20° et pH3
    2. 55° et pH8 - test de l'instabilité.
    3. 37° et pH8

    J'ai versé délicatement un peu de poudre à la surface et je regarde le comportement.
    La poudre sort en grumeau de la gélule et demeure à la surface de l'eau.
    1. Le grumeau demeure en l'état lorsqu'il touche l'eau, puis le grumeau se disperse lors du mixage.
    2. Le grumeau demeure en l'état à la surface de l'eau, il colle au mixeur, il devient gluant et ensuite il se solidifie.
    3. Tout seul, le grumeau se déploie en trois secondes sur toute la surface disponible. Waaou. CDI-01 : Chélation de l'intra. Smiley223
      Parfois, de tout petits éléments individuels s'agitent de façon frénétique comme un moteur moléculaire : épatant...


Eaux minérales
    Pour faciliter la confection de la solution, autant directement choisir une eau minérale au pH adapté.
    Eau pH ; Rouscous 6 ; Mont-blanc 7,6 ; Montcalm 6,8 ; Volvic 7 ; Vittel 7,6 ; Evian 7,2 ; Thonon 7,3 ; Contrex 7,4.
    Par prudence, il faudrait commencer avec l'Évian (7.2 à chauffer à 37°) - même pH que l'intra.
    S'il n'y avait pas de résultat, je testerai ensuite la Mont-Blanc (7.6).
    S'il n'y avait pas de résultat, je testerai la rouscous avec du bicarbonate de soude (pH8).


R-ALA et ALA
    J'avais versé les gélules de R-ALA et d'ALA dans la même boite.
    Bien qu'il est possible de faire la différence entre les 2 types de gélules, je ne saurais dire de quel type d'ALA il s'agit dans telle ou telle gélule.
    Or, le contenu d'une gélule se solubilise bien, mais le contenu de l'autre type gélule ne se solubilise absolument pas.
    Je vais essayer de faire le distingo en rachetant une boite...
    Je dirai que c'est l'ALA qui se solubilise mais, il vaut mieux que je vérifie cela.
    ...après recoupement, il s'agit bien de l'ALA qui se solubilise et c'est le R-ALA qui ne se solubilise pas.
    Je reviendrai ici pour dire quel type d'ALA se solubilise aussi bien de façon formelle.



Dosage de la première intrasso
    J'ai bu une mini-intrasso, un verre avec 250mg d'ALA, à pH8 et je n'ai pas eu de symptômes, peut-être une petite baisse de céphalées et de mes sensibilités liées à l'allicine, mais c'est l'effet placébo est certainement derrière.
    J'en aurai le cœur net avec une vraie intrasso suivie d'activités physiques.
    Je vais donc tenter la première intrasso directement à pH8.
    Sur guérir-du-cancer, j'ai vu que l'ALA était prescrit jusqu'à 1g environ.
    Pour les chélations médeicalisées, je retrouve souvent cette fourchette dans la littérature, entre 0,25 et 1,5g pour chaque chaque chélateur à combiner.
    Je vais commencer avec 1 gramme (4 gélules).
    Pour traiter le rebond de l'extra, je vais ajouter 1 gramme d'Edta (4gélules), et 0,3g de Dmsa (3 gélules).
    3,5g de BCS, Volume d'eau 3/4 de litre à 37° dans un thermos pour qu'elle demeure chaude pendant la marche.
  • Pour la première confection, j'ai versé toute la poudre dans un peu d'eau chaude, j'ai mixé, mais tout a floculé.
    Mais en mixant, gélule par gélule, dans un grand volume d'eau chaude, la solubilisation s'est très bien déroulée.



Pointage des chélassos et des intrassos
  • Extrasso #26 - 18 janv. Comme d'hab, rebond. Je continue donc mes chélassos. (rappel Exrtrasso = chélasso, suite à la confection de l'intrasso, il me semble préférable de rebaptiser la chélasso en extrasso de façon à ne pas tromper les éventuels futurs utilisateurs).
  • #01 - Intrasso. Prévue le 25 janv en fin d'après-midi.
    • Je rentre à peine de mes exercices physiques.
      Déjà, il n'y a pas de recontaminatation de l'intra par l'extra, et le goût est très spécial - il faut s'accrocher.
      Mais il n'y a pas d'effets éclatants pour l'instant, il faut encore que j'attende 36h pour éventuellement ressentir des effets lents.
      Il me semble que les sensibilités résiduelles de l'incident à l'allicine se sont estompées, mais il me faudra encore plusieurs jours pour m'assurer de cela.
    • Il y a avait un peu de résidus dans le fond de la bouteille, mais il suffisait de secouer pour faire disparaitre ce résidu.
      Cependant, la solubilisation ne semblait pas optimale.
      J'ai peut-être mis trop de poudre pour ce première confection d'intrasso, il faudra que je baisse les doses pour la prochaine séance : Dmsa : 1gél ; Edta ; 2 gél et Ala : 3gél.
    • 12h après la séance, il me semble que des fluctuations de sensibilités ont eu lieues, je ne saurais les attribuer à l'ALA.
      Les résidus persistants de l'incident à l'allicine ont certes baissé, mais,
      il faut que refasse encore quelques séances pour me faire une idée consolidée.


Sophocle

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CDI-01 : Chélation de l'intra. Empty CDI-04 : Chélation De l'Intra, H/E

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 15:44

ALA et R-ALA - édit 30 janv.
    J'ai expérimenté cette solution H/E avec du R-ALA.
    Mais, cette solution est tout autant valable avec l'ALA - voir même +.
    Pour la suite de mon traitement, je retiens cette solution H/E mais je substitue le R-ALA par l'ALA car l'ALA est moins cher et + soluble que le R-ALA.

Message d'origine :



Solubilisation d'un produit hydrophobe
    Le r-ala en poudre est totalement hydrophobe et totalement lipophile.
    C'est-à-dire qu'il se mélange à l'huile mais ABSOLUMENT pas à l'eau.
    Or le sang est majoritairement composé d'eau.
    Certes, le r-ala, comme tout lipide hydrophobe, serait mis en circulation dans le circuit lymphatique qui prend racine dans les intestins, mais il ne serait pas inutile d'aider le r-ala à se rendre soluble parmi les phases à dominance lipidique et parmi les phases à dominance aqueuse.
    En gélule, il me semble donc qu'il n'y ait que très peu de principe actif qui se disperse dans l'organisme.
    Pour que le contenu de la gélule se solubilise aisément dans le corps, il faudrait : 1 qu'il se mélange à de l'huile pure tout seul, 2 puis qu'il se mélange à un émulsifiant tout seul, 3 : qu'il regagne le réseau sanguin tout seul.
    Mais si le r-ala était présenté tel qu'il devrait être pour se solubiliser dans le sang, un maximum de principe actif atteindra les tissus ordinaires (tout sauf snc).
    Tel qu'il se présente dans la gélule, je doute donc que le r-ala ne soit pas vraiment accessible au sang.
    Le r-ala en poudre ne se présente pas comme il faudrait pour la façon dont fonctionne le corps.
    Pour rendre ce produit assimilable, il faut transformer la poudre avant ingestion.
    Pour cela, il suffit de verser la poudre dans un tout petit peu d'huile (qq fois le volume de la poudre 1 à 5ml), mixer, ajouter l'émulsifiant (lécithine de soja), attendre et mixer, verser dans un verre d'eau et mixer, et boire à jeun.
    Ainsi, le produit est présenté de façon à ce qu'il diffuser rapidement dans le sang.
    Pour atteindre le snc, il serait préférable de pratiquer quelques exercices physiques pour hyper-vasculariser de façon à propulser jusqu'au sanctuaire.


Dosages
    Le produit hydrophobe par excellence est l'huile essentielle.
    Par voie de conséquence, j'ajoute ce r-ala à mon he diluée à 10% dans de l'hv.
    À ce jour, je tâtonne au niveau des dosages.
    Je donne ici certes mes dosages, mais ces dosages pourraient être optimisés à l'avenir.
    Pour mutualiser mes confections quotidiennes, je verse la poudre de r-ala dans la préparation anti-MO ( mélange d'hv à 90% et d'he à 10%).
    He : 1ml, hv 9ml, R-ala 100mg dans un gélule qui pèse 450mg, lécithine de soja: 1g, eau tiède : 13cl - avec un mixage à chaque étape.


Activation du principe actif
    En théorie, la meilleure préparation pour se faufiler jusqu'au sang serait une préparation dans laquelle il n'y aurait pas de séparation de phase.
    Cependant, une telle préparation risque de masquer le principe actif derrière les éléments intermédiaires qui permettent la solubilisation.
    De façon optimale, une préparation devrait aboutir à une séparation de phase après 20 minutes après ingestion de façon à libérer le principe actif au cœur des cellules.
    Ainsi, pendant 20 minutes, les phases bien solubilisées pourraient accéder jusqu'au sang, et ensuite les phases devraient se séparer de façon à ce que le produit actif serait libéré au moment opportun, là où il faut.


Temps de déphasage.
    À jeun, il me semble qu'il faudrait 20 minutes environ au minimum pour que la solution franchisse l'estomac et les intestins, et qu’elle se retrouve dans le circuit sanguin.
    La température de l'eau ingérer va jouer sur le temps d'absorption ; 37° c'est l'idéal, il ne faut pas monter au dessus ne pas altérer les principes actifs (ex: ALA).
    Ensuite, il serait préférable de procéder à des activités physiques pour que le produit se disperse dans le fin fond des ramifications capillaires, cad jusqu'au snc.
    Et, il serait ensuite heureux que les phases du produit se séparent pour que le principe actif deviennent effectivement actif...
    C'est donc en jouant sur les dosages (PA, léc., huile v., eau, ... et température 37°) qu'on ajuste le moment de déphasage.
    À chaque étape, je regarde comment se comporte l'élément versé dans l'autre, je regarde comment se dispersent les éléments au moment du mixage et je regarde aussi comment les phases se reconstituent.
  • Pour l'instant, y'a de la mousse qui se crée au-dessus de mes solutions huiles dans eau.
    Il faut donc encore que j'apprenne à doser les ingrédients de façon à éviter cette mousse.
    Pour pallier à cette mousse, je bois la solution juste après l'avoir mixée de façon à réduire cette mousse.
  • Je ne chauffe pas mes préparations, mais à 37°, les changements d'états vont un peu plus vite.
    À tord, je néglige ce paramètre, mais ce paramètre complique la confection de la solution, il faut aussi que la préparation soit simple...


Pourquoi les médicaments sont-ils si peu efficaces ?
    Moins il y aura de conservateurs et moins il y aura de stabilisants, plus il y aura de chance d'activer le principe actif au moment opportun.
    Si le principe actif était activé trop tardivement, il serait déjà éliminé par les émonctoires.
    Or, les médicaments doivent demeurer stables pendant longtemps avant consommation.
    Les solutions industrielles et commerciales souffrent donc de blocage du principe actif à cause du temps stock entre la confection et la ventre.
    Les solutions artisanales seraient donc bien plus efficaces, mais elles nécessitent une confection manuelle avant chaque prise.
    De plus, la confection pâtirait d'un nombre élevé de rebus pour trouver le bon dosage.
    Les solutions industrielles ne peuvent jouer que sur la température ou sur le pH, or les solutions artisanales peuvent jouer une séparation de phases à retardement quelque soit la température ou le pH...
    Il y a donc mécaniquement plus de chances de parvenir à des résultats avec les solutions artisanales...
    L'industrie est certes un pilier de l'économie, mais quand on a un million d'Alzheimer éventuellement victimes des ml, l'industrie est-elle vraiment prioritaire face à autant de souffrance ?
    Quand à l'économie, elle se porterait mieux avec des artisans par milliers que des par des industriels par unités.
    Dans le fond, la question de l'industrie ne se pose même pas lors de question de santé publique.


Goût
    L'avantage de cette solution (huile dans eau), c'est qu'elle masque totalement le goût de l'Ala.
    Je vais donc la tester avec l'Ala lors de la prochaine intrasso.
    Quitte à ce que cela diminue des effets déjà non éclatants, il serait préférable de masquer ce goût.
    Cependant, 24 heures après la première intrasso, je sens un confort cérébral s'installer tout en douceur.
    Quand je secoue la tête de façon vigoureuse, je n'ai plus de sensibilité, or cela est tout nouveau...
    Mais je ne peux vraiment pas attribuer ces améliorations de façon formelle à l'ALA car l'effet placébo est franchement puissant.
    ... Après un test, il n'y a aucun goût, ce serait donc top qu'il y ait une chélation effective en dépit de l'émulsifiant.
    ... il me semble aussi qu'il serait préférable de boire de l'eau à pH8 (5g/l de bicarbonate de soude) pendant les demies-journées suivantes pour que l'Ala demeure active.
    Surtout, le pH des reins va baisser pendant la nuit jusqu'à 5.5, le bicarbonate de soude va donc éviter que l'Ala ne relargue ses ml au niveau des reins.
    ... Si mes progrès venaient de l'Ala, cela veut dire que la demi-vie est bien supérieure aux fameuses 3 heures.
    Il est possible que l'Ala demeure plusieurs dizaines d'heures dans la cellule avant d'être expulsée.
    De plus, la solubilisation dans l'huile devrait prolonger la durée de vie car le produit dans un cheval de Troyes, il faut donc attendre que le cheval se délite par lui-même pour libérer le PA.


Prix
    L'Ala coute environ 2e/g et le r-ala coute 4e/g.


Lundi 27 janv. à 9h00
    J'ai pris une mini-intrasso ce matin (0,25g d'Ala dans 10 ml d'huile et 1g de léc. dans 13 cl d'eau tiède).
    Une heure après l'ingestion, j'ai vraiment l'impression qu'un confort cérébral s'installe durablement.
    Ce n'est pas éclatant mais c'est une tendance qui s'exprime.
    Par précaution, il est encore trop tôt pour attribuer ces améliorations à l'Ala car il me manque une répétition du phénomène.
    De plus, les céphalées deviennent de plus en pus ténues, les variations sont donc difficiles à apprécier.
    Mais j'ai vraiment l'impression qu'il y a un soulagement à retardement dans les profondeurs du snc.
    Je sais Ô combien l'effet placébo est puissant, mais je préfère le noter car ces soulagements ne sont ni éclatants ni totalement imperceptibles dans la durée.



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CDI-01 : Chélation de l'intra. Empty 05 - Centre anti-poison - Menaces de porter plainte

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 15:45

Lun 27 Jan 2020 13:04
Rappel ce we
Sans nouvelle du centre anti-poison, j'ai rappelé samedi dernier pour savoir où en était mon dossier.Ils m'ont dit que mon dossier était accepté et qu'il m'appelleraient en début de semaine pour fixer une consultation.(il est 11h00, je n'ai pas encore eu d'appel de leur part).Même s'il m'ont dit que mon dossier a été accepté, cela m'a rappelé les fois où ils m'ont promis de me rappeler et qu'ils ne me rappelaient jamais (en 2015)

Préparation de la consultation
■ À la fin de la consultation, je devrais recevoir un acte de consultation.
Si je n'en avais pas, il faudra que je pense à le réclamer.
■ Je vais annoncer que mes analyses ont été faites juste après avoir pris l'antidote et que les analyses ressortent négatives si je ne prenais pas l'antidote.
Je vais produire les résultats d'analyses attestant de cela, et il me semble donc important de faire les analyses avant/après traitement pour bien justifier de cela.
■ Je vais annoncer qu'en dépit de la poursuite des traitements hydrophiles (Edta et Dmsa), le mercure à chuté et que je n'ai plus de soulagement de symptômes.
Or il me reste donc des céphalées, il me semble donc que l'intra est encore contaminé et qu'il me faudrait un chélateur intracellulaire.
Je demanderai à ce que le contrôle se fasse avant et après traitement.

Interstices et courtoisie.
En dépit de l'enfer qu'ils m'ont fait vivre, je vais demeurer courtois, factuel, souriant et rassurant pour l'avenir.C'est ainsi que j'aurais le plus de chance de faire aboutir mes demandes.L'important, c'est de sortir de ce bourbier.Si, face aux équipes, j'étais un peu moralisateur, la coquille va se refermer.Au cours de mes échanges téléphoniques anciens, j'ai remarqué qu'il y a avait des interstices.L'inefficacité du diagnostique officiel est un secret de polichinelle, or, par le passé, les personnels ont été accommodant avec mon diagnostique fait à l'étranger.Il m'avaient laissé entendre que je serai traité mais pas reconnu.Mais, par méconnaissance, j'avais suggéré que les amalgames étaient à la sources de mon intoxication, cela avait refermé la coquille sur le champ.Cependant, mes analyses récentes sont positives et elles ont été réalisées dans un labo français, il ne devrait donc pas avoir besoin d'interstice pour une consultation.    Mais, pour tente d'obtenir un examen positif au centre anti-poison, je vais solliciter que la prise de sang se fasse après une injection de dimercaprol...S'ils ne le souhaitant pas,  je prendrai une intrasso.


Analyses de l'intra
Il me faut encore assurer les analyses de l'intra.La cinétique des chélateurs lipophiles ne semble pas aussi éclatante que celle des chélateurs hydrophiles.Cependant, elle n'est peut-être pas moins inefficace.Même si la demi-vie de l'Ala est de trois heures (soit une heure de moins que le Dmsa), il me semble que le caractère lipophile joue à retardement.Il serait peut-être préférable de faire des analyses sur une urine de 24h.Pour vraiement bien faire, il faudrait faire des analyses comparatives sur un prélèvement ponctuel à 1h30 ou sur 24h pour arbitrer quelle analyse est la plus probante...

Menaces de porter plainte
■ J'ai rappelé le centre anti-poison ce jour à 18h00.
Il m'ont répondu que le dossier était parti en consultations et qu'il fallait attendre.
Ça fait une semaine que j'attends...
Il m'ont déjà fait le coup en 2014, il ne rappellent jamais.
J'ai menacé de porter plainte si je n'avais pas d'appel sous 24 heures.
J'ai rappelé qu'il m'ont raccroché au nez en 2014 et 2018, mais que j'avais désormais des analyses positives faites dans un labo français.
Mon interlocuteur m'a immédiatement lâché le numéro des consultations.
Il suffit de brandir des menaces pour qu'ils s'exécutent.
Cela veut dire que le centre d'appel se désolidarise des consultations.
De toute manières, les valeurs que je leur ai soumises sont positives, ils ont donc obligation à répondre.
Mais on peut voir qu'ils procèdent par une usure savamment orchestrée et systématisée pour refouler un maximum de patients, y compris intoxiqués.
Il est trop tard pour rappeler les consultations ce soir, je rappèlerai donc demain.
Je demanderai à savoir quand est-ce qu'ils me rappèleront.
Si la réponse était évasive, je remenacerai de porter plainte.
■ J'ai appelé les consultations, mardi matin vers 9h.
Contrairement à ce que m'a affirmé la plate-forme d'appel, la secrétaire m'a informé qu'il n'y avait pas de dossier me concernant (et donc pas de rdv prévu).
Elle m'a dit qu'elle se renseignait pour récupérer mon dossier et qu'elle me rappellera aujourd'hui ou demain...
Pendant ce temps-là, je prépare mon dossier de plainte.
... à 11h, ils m'ont rappelé, rdv en mars (2ème moitié de mars).
Ils ont franchement quelque-chose à se reprocher, j'hésite à quand-même porter plainte.  
Cependant, ils ont demandé de venir avec les urines de 24h : les personnes, qui ne font donc pas la chélation, ont donc des résultats négatifs... c'est désespérant.
Perso, je ferai la chélation de façon à ce que les métaux sortent.
Mais je me méfie de la prise de sang surprise, je prendrai une petite bouteille d'intrasso/extrasso avec moi (Ala et edta).
Mais d'ici mars, j'aurai peut-être parvenu à parachever une élimination complète...
[list]
■ Édit (30janv.) La date du rendez-vous me laisse perplexe...
Le rdv est dans 8 semaines, c'est un peu loin pour faire un contrôle d'une intoxication.
Avec 8 semaines, une intoxication à le temps de se cacher dans l'intra, elle a le temps de devenir invisible aux examens de façon à inculper le patient d'affabulateur.
C'est pas beau No
Ces saligauds travaillent à l'usure à chaque rouage.
Mes menaces n'ont certainement pas aidé à ce qu'ils facilitent mes démarches.
Si j'avais fait des analyses lors des toutes premières extrassos en septembre dernier, les valeurs auraient fait péter la cloche.
Avec de telles valeurs, j'aurai pu faire sauter le ministre car j'ai gardé le courriel que j'ai envoyé début 2019 avec mes analyses explosives de Microtrace et suite auxquelles ils m'ont raccroché au nez...
Cependant, en dépit de mes analyses qui reflètent un extra récuré mais en me rendant à leur rdv, je serai témoin de leur protocoles, et je les raconterai ici.
Ils ont certes demandé de venir avec des analyses de 24h (qu'on peut rendre positif avec les extrassos).
Mais vu comme ils sont tordus, je prévois qu'ils vont pratiquer une prise de sang surprise.
Là, si un intoxiqué chronique ne fait pas le nécessaire, l'hôpital accusera le patient de faux recueils avec le comparatif urines vs sang.
Jusqu'ici, j'ai été victime de toutes les zones d'ombres de l'intoxication chronique que l'hôpital emploie à user le patient.
Si l'hôpital ne peut pas traiter un nombre trop important de patients, c'est le rôle de l'état que de donner la notice pour le patient parvienne seul à faire sa détox.
Avec cette notice, on pourrait peut-être pu prévenir les 1 millions d'Alzheimer français.

Autre sujet : cinétique des effets versus doses
J'ai repris une mini-intrasso à 19h00 (cad sans activités physiques).Il me semble qu'il y ait des améliorations - mais j'ai des doute, je n'arrive pas arbitrer s'il y a des effets ou pas...... prochaine intrasso : 3/4l d'eau 37°, 3g de bcs, 1g de ALA mélangé dans 20ml d'huile végétale 37° et 2g de lécithine de soja, mixages et remixage... puis sport....Fait à l'instant. Au niveau du goût, y' a pas le goût du souffre, y'a juste le goût de l'huile végétale - ça c'est impec. Mais au niveau des effets, il faut que j'attende encore 24h pour voir s'il n'y a pas une tendance car il n'y a pas d'effet éclatant sur le moment.... Je commence à me faire une première idée de la cinétique des doses et des effets. Pour finir, je valide qu'il y ait des effets bénéfiques, mais il m'a fallu un peu de temps pour décortiquer la cinétique des effets. Après une petite d'expérimentation un peu désordonnée et chaotique, il me semble qu'il n'est pas utile de prendre plus que 0,25g d'Ala par séance. Au niveau des effets pour l'instant, il me semble qu'une grosse dose (1g) d'Ala avec sport ne chélate pas plus de métaux qu'une dose de 0,25g sans sport. Il me semble que prendre 0,25g matin et soir serait plus efficace qu'une seule prise de 0,5g ou 1g, mais il faut éviter la déminéralisation jours après jours.0,25g d'Ala 1 fois par jour me semble prudent sur la longue, cela fait 1,75g par semaine, cela rentre dans la dose cumulée que je prends pour l'edta et dmsa lords de la chélasso hebdomadaire. Il me semble que je peux cesser de prendre de l'Edta et du dmsa car l'Ala devrait prendre en charge le rebond.... il ne s'agit là que de premières évaluations que je réévaluerai au besoin...
...Par acquis de conscience, demain, j'essayerai 1g d'ALA dans 10cl de ghee, et j'y ajouterai 5g de lécithine de soja pour aider à la solubilisation. le ghee va peut-être aider massivement l'Ala a circuler parmi l'intra.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 15:45

Circuit lymphatique.
    Les lipides ne passent pas par le sang depuis les intestins mais par la lymphe.
    Ce circuit, qui prend racine dans les intestins, se déverse dans le sang en amont du cœur.
    Les médicaments lipophiles ne sont donc pas dénaturés par le foie.


Solvant lymphatique et chélateur lymphatique
    Dans le ghee, le chélateur aura une cinétique et un cheminement un peu différent que s’il est solubilsé dans une phase aqueuse.
    Il me semble donc utile de tester cette voie pour se servir de la voie directe des lipides jusqu'aux cellules.
    L’Ala étant lipophile, c’est donc le chelateur approprié pour cette voie-ci.
    Maintenant, y’a plus qu’à tester.


Os et cerveau
    Malheureusement, les os et le cerveau ne sont pas innervés par le micro-maillage dense des capillaires de la lymphe.
    Or, c'est justement là que s'accumule des réserves de métaux-lourds et qui provoqueraient le fameux rebond après chélation.
    Peut-être que cette raison-ci participe à l'accumulation des ml dans ces organes-ci :
    L'absence de micro-maillage ne permet pas de pallier à la résistance de la lymphe.
    C'est peut-être pour cela qu'il faut aussi passer par une hyper-vascularisation (bains froids ou activités physiques intenses) qui permettra d'atteindre les os et le cerveau.


Accompagnement physique
    Une marche lente et longue serait bien plus profitable pour faire percoler la lymphe dans les tissus ordinaires qu'un petit quart d'heure d'activités physiques intenses.
    Mais, j’ai occasionnellement un petit coup de barre (lourdeur et somnolence ) pendant une séance de pancha-karma.
    Comme la cigüe de Socrate, ce coup de barre prend des pieds, remonte jusqu’à la tête, et finit par passer tout seul.
    Comme certains témoignages, je préfère m’allonger en attendant que ça passe.
    Ça peut durer 2 à 4 heures, mais on sent les organes passer un à un par une phase transitoire de ramollicement.
    Mais, parfois, une seule dose ponctuelle de ghee passe comme dans du beurre...


Préparation de la toute première solution
  • 10 cl de ghee chauffé à 37°max (je vérifie avec un thermomètre, sinon l'ala se détériore)
  • 1 gramme de d'Ala (contenu de 4 gélules, je jette les capsules)
  • 1 gramme de lécithine de soja en granules
  • Mixer, filtrer, boire à jeun le matin ; ne rien manger pendant 3 heures.
  • Le reste de la journée, je sirote une bouteille d'eau minérale à pH8 (4g de bcs) - cela va permettre de solubiliser et de fixer les ml jusqu'aux reins.
    ... Résultat 2h après => pas d'effets éclatants mais quelques effets fugaces un peu plus perceptibles que les autres variantes de solubilisation.
      NOTA: J'ai écris ce post et sa conclusion pendant les 2 heures suivant l'ingestion de cette solution.
      ... Mais Résultat 12h après => il me semble qu'il eu des effets bénéfiques, je vais retester avec des activités physiques cette méthode pour m'assurer de sa relativité.


Bilan des variantes de solubilisation.
    Depuis que j'ai commencé mes essais avec l'Ala, je confirme que l'Ala procure des améliorations.
    Mais, suite aux effets des extrassos (=chélassos), je m'attendais à ce que les résultats de la solubilisation de l'Ala soient aussi éclatants qu'une solubilisation d'Edta et de Dmsa.
    Il me semble que j'ai essayé toutes les combinaisons possible de solubilisation, avec/sans huile, avec/sans eau, avec/sans lécithine,...
    Pour l'instant, je me résigne à un calendrier répété de chélations par l'Ala.
    Bien qu'elle puisse être hebdomadaire, la solution avec ghee semble un peu plus performante mais l'ingestion du ghee est un moment difficile.
    Je vais me reporter sur la solution H/E (voir post CDI-04) quotidienne avec peu d'huile (10ml), lécithine de soja (0,5 à 1g), 0,25g d'Ala et eau (13cl) qui ne semble pas moins efficace que les autres techniques.
    Quoi qu'il en soit, l'intrasso est bcp + poussive que l'extrasso (rappel extrasso = chélasso).
    Édit CDI-01 : Chélation de l'intra. Smiley252
      Au moment où j'écris ces lignes, les deux solutions suivantes :
      1 H/E (CDI-04), et
      2 Ghee, voie lympahtique (CDI-05),
      semblent l'une et l'autre certes peu efficaces mais suffisamment pour je les adopte quitte à cela soit chronique.
      La solution avec ghee est un peu + lourde mais elle semble un peu + efficace.
      J'aviserai et j'affinerai à l'avenir.



Premières réflexions à terme
    Parfois, j'ai la sensations évanouissante de n'avoir plus aucune céphalée (mais la majeur parti du temps, j'ai quelques céphalées).
    J'ai aussi retrouvé une facilitation de la concentration.
    Mais j'ai l'impression que je vais arriver à un arrêt des effets de l'Ala avant suppression définitive des céphalées.
    Il me semble que je devrai poursuivre les intrasso ou les extrassos à terme de façon éliminer le rebond.
    Je ferai une extrasso une fois par mois pour écoper les ml qui ressortent par le rebond.
    Même si les extrassos ne traitement pas l'intra, elles ont au moins le mérite de me faire ressentir que le rebond est éliminé.
    Je me sens un peu + rassuré avec les extrassos qu'avec les intrassos car je sais désormais que leur efficacité est redoutable.
    À la sortie de l'extrasso, l'extra est clean.
    Je ferai peut-être des extrasso sans Dmsa mais juste avec l'Edta pour enlever le goût soufré.
    Avec l'intrasso, les sensations ne sont pas explicites mais j'ai quand-même l'impression que la céphalée de fond est plus faible que le traitement de rebond.
    Avec les intrassos, je ressors avec un peu de dépit de ne pas être vraiment performant même si je ne ressens peu le rebond.
    À terme, il me semble que j'espacerai les séances et j'aviserai à chaque séance s'il faut une intrasso ou une extrasso.
    Cad que je comparerai entre la céphalée de fond et le rebond.
    Il est également possible que les lieux de chélation ne sont pas les mêmes, et que donc il faut un peu des deux.
    Selon Jade Allègre, l'alimentation traditionnelle des populations indigènes comporte toujours du soufre :
    il serait peut-être de salubrité publique de faire un petit bilan chez Microtrace tous les ans jusqu'à la fin de la vie car Alzheimer apparait sans que les symptômes des ml soient déclarés.
    ...Je voudrai bien essayer le dimercaprol car il est éprouvé dans la littérature scientifique.


Autre bénéfice de l'Ala : résolution des résidus de sensations des Amoc.
    Par contre, l'Ala a presque parachevé les résidus de sensations qui duraient depuis l'incident à l'allicine.
    De façon éclatante, les extrassos avaient certes participé à 50% de la résolution de l'incident.
    Mais je trainais des résidus de sensation quand je palpais le foie.
    Désormais, ces résidus de sensations ont disparu depuis le traitement à l'Ala.
    La résolution a été lente, progressive et intercalée à l'Ala, je ne peux certes pas attribuer cette résolution à l'Ala mais je peux noter une très forte concomitance.
    En dépit de ma demie-déception sur le snc, l'Ala semble avoir quand-même des résultats sur les ML que n'ont pas les chélateurs hydrophiles.
    Les 20 extrassos de l'automne 2019 ont effacé grosso-modo 85% des symptômes, je dirai donc 85% des ml demeuraient dans l'extra du snc.
    Les 15% restant sont certes peu par rapport à l'ensemble mais ils sont bien moins accessibles, ils seraient donc beaucoup plus lents à éliminer.
    La membrane des astrocytes est peut-être efficace contre l'Ala, les ml ne seraient donc pas trop atteignables en dépit du ghee ou des activités physiques.
    En pancha-karma, il faut prendre un sauna après l'ingestion de beurre, peut-être qu'un bain hyper-thermique va aider à faire entrer les produits lipophiles dans le snc car la température ouvre les espaces entre les membranes et augmente les échanges. À essayer...
    La douche alternée est peut-être ce qu'il y a de plus propice pour un PA lipophile en augmentant les échanges intra/extra-cellulaire et pour activer l'hyper-vascularisation... à tester.
    Je vais donc prendre mon intrasso au lever et enchainer avec une douche alternée...
    Je vais prochainement reprendre le traitement amoc, je ferai un post prochainement sur ce sujet.





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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 16:05

Adoption de l'Ala Chronique
    Après une grosse semaine de tests de l'Ala sous toutes les formes possibles, je confirme que de légers effets bénéfiques et chroniques se font ressentir.
    Ces effets sont poussifs mais durables.
    Au mieux, je n'arrive qu'à un effet de badigeon, mais, avec de la persévérance, cela sera peut-être suffisant pour aller au bout de la détox.
    Je m'installe donc dans une application quotidienne d'Ala décrite dans le post CDI-04.


MO
    Mais, Les intrassos ont fait également baisser les résidus de l'incident de l'allicine.
    De la même façon, cette baisse est poussive et non éclatante.
    Le traitement de ces sensibilités par l'Ala confirme que le débris des MO libèrent des ML.
    Ces résidus donnaient une sensibilité comme un point de côté évanouissant.
    Or, ce point de côté forcissait à chaque légère reprise d'HE non corrosives.
    Et, il m'empêchait durablement de poursuivre une application chronique d'amoc.
    Il me semble que, de façon asymptomatique, j'ai énormément de MO dans lesquels résident énormément de ML.
    Avec l'Ala, je vais donc pouvoir reprendre le traitement contre les MO.


Température et dosages
    En chauffant bien la phase huileuse à 37°,
    en ne plaçant que 0,5g de lécithine de soja,
    et en mixant, la sauce prend et
    j'obtiens une belle solution onctueuse que je n'ai plus besoin de filtrer pour écarter les granules non dilués.
    Il me semble que je tiens enfin les bons dosages entre éléments.
    Ultime Récap:
      10 ml d'huile (ou 100% végétale, ou à 5% d'he et 95% végétale en cas de traitement anti-mo) chauffés à 37° environ.
      Le contenu d'une gélule d'Ala (soit 0,25g d'Ala pur et autres produits ajoutés par le fabricant),
      0,5g de lécithine de Soja en granules,
      Chauffer, mixer jusqu'à ce que la phase se monte en crème.
      Verser dans 13cl d'eau à 37° environ.
      Mixer jusqu'à solubilisation et ingérer rapidement.
      important : pendant la demie-journée, je bois une eau avec 3g/l de bcs pour fixer les ml à l'Ala.


Combinaison AMOC et ALA
    Les 10 ml d'huile à 10% d'HE que j'utilise pour faire la solution d'Ala est trop puissante pour la dose d'Ala (0,25g).
    En dépit du traitement de l'Ala, le point de côté n'est pas tout à fait résolu avec une seule prise, il me faut refaire une deuxième prise à l'Ala tardive pour écluser ce point.
    Comme je n'ai pas vraiment de bénéfices supplémentaires si je doublais la dose d'Ala lors d'une prise, je dois donc baisser la dose d'HE pour éviter ce point de côté.
    Je vais doubler le volume d'HV dans ma bouteille de façon faire une huile à 5% afin de garder les dosages actuels de l'intrasso.


Douche alternée
    Théoriquement, la douche alternée me semble adéquate pour que les produits lipophiles solubilisés entrent dans la cellule.
    La froid va activer l'hyper-vascularisation de façon à faire percoler, et le chaud va augmenter les échanges entre l'intra et l'extra.
    Chaud-froid-chaud-froid : percolation-échanges-drainage.
    Le matin, je prends donc mon intrasso-amocasso à 37° de façon a faire passer la solution immédiatement dans le sang, puis je me dirige à la douche sans attendre.
    Dans la douche, ce ne sont pas les températures extrêmes qui vont aider, mais c'est plutôt la durée dans chaque température.
    En demeurant 5' à 41°, l'intérieur du corps va chauffer en profondeur alors que 1' à 43° ne fera pas grand chose.
    Il en est de même avec le froid, 5' à 12° me semblent bien + efficaces que 3' à 3° ou presque aussi efficace que 5' à 3°.


...Massage à l'Ala
    Dans 30 ml d'huile végétale (sésame) chauffé à 37° environ, je verse 1g d'Ala en poudre.
    Puis je fais un massage, puis sauna à 40° MAX (car l'Ala se dénature à 48° et qu'on transpire autant à 40°).
    Comme je fais occasionnellement des saunas, cette administration n'est pas fastidieuse.
    Cette version me semble la plus physiologique pour chélater l'intra-cellulaire des tissus ordinaires car l'huile est le solvant adéquat pour entrer dans la cellule.
    De plus, contrairement à la voie orale, l'Ala est bien dispersée par la voie cutanée.
    Cette solution me semble donc appropriée pour passer de fortes doses.
    Je n'ai certes pas d'effets éclatants, mais ça semble participer aux effets bénéfiques et lents.
    Mais cette voie résout mon point de côté naissant à chaque fois que je prends un AMOC.
    CDI-01 : Chélation de l'intra. Smiley252 j'ai enfin trouvé l'ajustement de la posologie de croisière :
    ...Depuis quelques jours, j'ai adopté cette méthode car la préparation est plus simple et que le sauna est relaxant.
    De jours en jours, j'apprends à doser l'Ala et les He dans la préparation huileuse.
    Je me suis fait une bouteille d'1 litre d'hv à 90 % (sésame) et d'he à 10% (a remuer avant chaque utilisation et a placer au frigo).
    Depuis cette bouteille, je verse une part (30a100%) dans un bécher et je complète avec de l'hv jusqu'a 40 ml de façon à doser les HE. je chauffe à 37°.
    Occasionnellement, j'ajoute jusqu'à un total 4 goutes max de he corrosives (cannelle, origan,...).
    Puis, selon mon point de côté, je verse le contenu d'une à 4 gélules d'Ala (1g max/j). Mixage, massage, sauna, douche alternée.
    Plus le point de côté est fort : plus je mets d'Ala et moins je mets d'He.
    Si le point de côté ne s'exprime pas, j'augmente les he et je baisse l'Ala.
    Quotidiennement, je fais donc un dosage entre les he, l'Ala et le point de côté.
    De jours en jours, j'ajuste ainsi la posologie dans une fourchette d'activation et de désactivation du point de côté.



...Non-déminéralisation et liaison ALA
    Ça fait presque 15 jours que je prends de l'Ala tous les jours et que je n'ai pas encore de déminéralisation.
    Je touche du bois, mais cela semble confirmer que la force de liaison de l'Ala n'est pas aussi soutenue que l'Edta et le Dmsa.
    Pour l'instant je dirai que la force de détox de l'Ala dans l'intra n'est que de 5 à 10% de celle de l'Edta et du Dmsa dans l'extra.
    Il faut que je rappelle que j'ai déjà récuré l'extra, par voie de conséquence, la force de liaison est peut-être forte mais dans mon cas, l'Ala doit traverser la membrane cellulaire pour capter un ml.
    La frontière de la membrane limite peut-être l'accès aux ml.
    Peut-être que l'Ala disposerait d'une forte liaison avec les ml si les ml étaient dans l'extra.
    Mais comme je n'ai plus de ml dans l'extra, je ne peux donc pas comparer strictement l'Ala, le dmsa et l'edta avec le même contexte.
    Après avoir récuré l'extra, l'edta et le dmsa n'ont pas eu eu autant d'effet que l'Ala...
    Cependant, je ne ressens pas les effets d'une déminéralisation, l'Ala semble donc un peu moins efficace que le dmsa et que l'edta.
    Il faut quand-même veiller a ce qu'une déséquestration (délitement des os) de minéraux ne pallie à une déminéralisation asymptomatique.
    ... 11 fév. J'ai une légère fatigue mais elle est durable.
    Je fait une pause thérapeutique pour voir si ça ne s'améliore pas.
    Je vais insister sur la minéralisation, compléments, soupes, ...
    En 48h, je verrai bien si j'ai un effacement de cette fatigue.







Sophocle

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Date d'inscription : 25/07/2021

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