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DETOX DE LA PEAU Empty DETOX DE LA PEAU

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 12:14

PLAN DU POST :
  1. PHYSIOLOGIE DE LA PEAU
  2. GÉL DESHYDRATANT
  3. ARGILE
  4. HYDROTOMIE PERCUTANÉE
  5. PEAU, RETOUR AUX PROTOCOLES DE BASE



      La série de déshydratation du mois de janvier à révélé que la peau était l'objet d'une accumulation persistante de toxines.
      Les symptômes qui se manifestaient étaient des picotements, la germination de grains de beauté, des frissons de surface, froid aux mains...
      À chaque fois que j'éternue, j'ai des fourmillements qui partent de la tête, qui parcourent la peau et qui perdurent 30 secondes dans les extrémités des membres.
      Comme d'habitude, il n'y a pas vraiment de symptôme aiguë mais c'est plutôt une foule de petits désagréments sourds.
      Lors de la déshydratation, les ML vont sortir des cellules pour se déverser dans le sang.
      Les ML vont donc parcourir les capillaires et, je ne sais pourquoi, ils vont s'installer dans la couche intermédiaire de la peau.
      Contrairement à la peau, les autres organes du corps ne présentent pas de couche cornée.
      Ces organes ne seraient donc pas concernés par cette accumulation lente et chronique.
      J'avais donc préféré arrêter les déshydratation et depuis, je recherche des solutions pour désintoxiquer la peau.
      Les marches, les jeûnes, les saunas, le pancha karma, les bains au sel d'epsom (2 tasses) - Sulfure de magnésium (MgSO4), et les bains de sel n'ont pas vraiment résolu le problème de façon satisfaisante.
      Je dirai que ces symptômes ont baissé de moitié depuis janvier, mais cela n'est pas assez rapide.
      La peau est un organe en contact avec l'extérieur, elle est particulièrement facile d'accès mais, étonnement, elle est totalement insensible à l'osmose.
      Je m'attendais à ce que les bains de sel désintoxiquent la peau par osmose de la même façon qu'il désintoxique les muqueuses, mais ce n'est pas le cas.
      Pour trouver une nouvelle piste, il faut que j'examine la physiologie de la peau de plus près.
      En attendant, l'accumulation de ML va alcaniser la peau.
      Il faudra donc préparer le terrain en baissant le pH par l'alimentation, les huiles essentielles, et bains des posts ci-dessus.


  • PHYSIOLOGIE DE LA PEAU
    • LES TROIS COUCHES DE LA PEAU
        DETOX DE LA PEAU File
        De haut en bas :
        1. Épiderme (protection)
        2. Derme (Structure, capillaires)
        3. Hypoderme (cellules adipeuses et vascularisation)

        On peut voir que la sudation est tirée de la lymphe circulante et elle est excrétée par les glandes.
        L'eau de la transpiration ne vient donc pas du derme.
        C'est donc peut-être une illusion que de croire que la sudation désintoxique la peau.
        Une sudation désintoxique la lymphe mais pas la peau.


    • L'ÉPIDERME
      DETOX DE LA PEAU File
      L'épiderme est la couche supérieure de la peau, il est lui-même composé de plusieurs sous-couches.
      Ces sous-couches sont générées depuis une ligne de cellules souches (au niveau de la couche basale) qui se divisent.
      Ensuite, les sous-couchent avancent comme un tapis roulant jusqu'à ce que les cellules meurent, qu'elles s'agglomèrent dans la couche cornée et qu'elles se détachent par desquamation.
      Ce cycle est de 45 jours, à comparer avec les 5 jours nécessaires pour le renouvellement rapide de l'épithélium intestinal.
      Cependant, il est possible que la couche lipidique de la cornée (voir paragraphes ci-après) piègent les ions métaux lourds dans le derme par effet de solvatation.
      Comme les ions ne se dissolvent pas l'huile, les ions seraient sans cesse recapturés par les cellules aqueuses.
      Le derme accumulerait ainsi les métaux lourds.
      Nota : on peut voir une cellule mélanocytaire (en foncé), qui forme un amas lors de la détox et qui est donc responsable des grains de beauté.


    • COUCHE CORNÉE
        DETOX DE LA PEAU File
        Contrairement aux muqueuses, la peau dispose d'une couche cornée qui forme une barrière physiologique avec l'extérieur.
        Cette couche est un multi-feuilles de lipides et de cellules aplatie, le tout revêtu d'un film hydro-lipidique.
        L'eau ne rentre pas depuis l'extérieur, et l'eau intérieure ne s'évapore pas.
        Entre la peau et entre l'extérieur, ces couches forment donc une étanchéité dans les 2 sens.
        L'eau hautement salée n'a donc pas d'effet sur cette barrière car, contrairement aux muqueuses, il ne s'agit pas d'une membrane semi-perméable par laquelle l'osmose peut agir.
        Pour couronner le tout, le derme est cerné par une sous-couche adipeuse : le tissu adipeux sous-cutané.
        Le derme est donc pris en sandwich par 2 couches de lipides, il est donc déconnecté du reste des tissus du corps.
        Comme il est distant des autres tissus aqueux, le derme a sa propre inertie en matière d'hydratation, il n'a donc pas l'occasion de s'écouler dans d'éventuels tissus aqueux voisins.
        Je suis vraiment convaincu que la solution ne peut se faire que par l'osmose parce que la mobilisation première a été provoquée par osmose.
        Seule l'osmose garantira donc le spectre adéquat de désintoxication de la peau.
        Je cherche donc à extraire l'eau de la peau comme il est possible de le faire avec les autres organes (bouche, intestins).


  • LE GEL DESHYDRATANT
    Comment donc désintoxiquer la peau par osmose :??: ? - Pourquoi pas ne pas inventer le gel déshydratant ? DETOX DE LA PEAU Smiley158
      C’est facile, c'est comme un gel hydratant mais avec du sel.
      Ainsi, le contenu des cellules du derme sera vidé dans l'extra par osmose.
      Ensuite, il faudra éliminer, par sudation, par capillothérapie, ou encore par transpiration (sport).
      Et enfin, on peut appliquer un gel hydratant.

    • Valeurs d'ensemble
        L'épaisseur du derme et sa surface sont de 1.5mm et de 2 m²environ, le volume est donc de 3 litres.
        En théorie, quel que soit le volume de l'excipient, il faudrait écouler 120g de sel pour arriver à un dosage de 40g par litre de peau.
        mais les muqueuses supportent un taux bien plus haut.
        Ce taux de 40 g/l sera très difficile à atteindre, il faudra donc pas hésiter à sur-doser le sel avant pénétration pour obtenir un effet non négligeable.
        Seuls 20 grammes environ de sel peuvent être dissous dans 5 cl d'aloé vera, ce qui fait du 400g/l (Nota : l'eau sature à 400 g/l de sel environ).
        C'est certes une valeur très haute, mais ça va se diluer dans 3 litres du tissu cutané.
        Il faut donc répéter l'opération 5-6 fois pour transférer 100 à 120 g de sel.
        Selon le cours sur les compartiments liquidiens, les liquides interstitiels représentent 15% du volume d'eau total et les liquides intracellulaires représentent 40% du volume d'eau.
        Soit, dans le derme : 30% d'eau interstitielle et 70 % d'eau intracellulaire, soit 1 litre et 2 litres environ respectivement.
        à 40 g de sel par litre dans l'extra avant transfert d'eau par osmose, il faudra qu'1.25 litre d'eau qui migre de l'intra vers l'extra pour que les concentrations soient équilibrées :
        soit à 17.5g/l pour chaque compartiment, et il ne demeurerait que 1,75 l dans l'intra.
        C'est-à-dire que la cellule cutanée perdrait 40 % de son eau à chaque déshydratation.
        En pratique, je crains que peu de sel ne franchisse la barrière cutanée.
        Si l'intra perdait 20% d'eau, ce serait déjà pas mal après avoir essayé d'écouler 120g de sel.


    • Préparation du gél :
      1. Se procurer du sel de cuisine très fin (supermarché)
      2. Passer le sel au mortier par passes de 5g pour le réduire en poudre, et jusqu'à obtenir 20 grammes
      3. Mélanger le sel très fin à 5cl l'aloé vera en gél, battre avec un fouet
      4. Quelques cristaux de sel devraient rester en suspension, l'aloé vera est donc à saturation
      5. Laisser reposer pour que les cristaux tombent dans le fond
      6. Ajouter éventuellement jusqu'à 2,5cl d'huile (coco ou olive) et battre au fouet
        [size=75](quelques infos générales et complémentaires sur http://www.esthetiquehomme.com/la-penetration-cutanee-des-cosmetiques/)[/size]


    • Application :
      1. Se brosser à sec pour enlever les peaux mortes,
      2. se laver pour enlever la couche hydro-lipidique,
      3. Juste avant l'application du gel, la peau doit être hydratée au maximum,
      4. elle doit également être la plus chaude possible,
      5. appliquer le gel salé et masser jusqu'à pénétration du gel.
      6. Une très fine pellicule de sel va peut-être se former sur la peau, il n'est pas indispensable de l'ôter.
      7. Répéter l'opération jusqu'à saturation de la peau, la peau doit " tirer ".
      8. Réhydrater au gel d'aloé vera si nécessaire.
      9. Renouveler l'opération occasionnellement.


    • Remarque :
        Pour le premier test, j'ai tenté de mélanger 100 g de sel avec 5cl d'aloé véra.
        Beaucoup de cristaux de sels sont restés en suspension.
        J'ai appliqué le gel au couché.
        Tout ce sel n'a pas vraiment été dilué dans l'aloé vera, je me suis retrouvé avec une pâte de sel sur la peau.
        La peau a un tout petit peu rougi sur le moment.
        (Si des symptômes apparaissaient, on peut toujours appliquer de l'aloé vera pure (sans sel) et de l'huile pour renverser le processus)
        J'ai fait plusieurs applications d'aloé vera très salée, avec et sans huile.
        Ça imbibe la peau quand-même sans huile, mais ça marche un peu mieux avec un peu d'huile (de noix).
        J'ai transpiré au cours de la nuit mais cela m'est déjà arrivé lors des nuits précédentes.
        J'ai quand même passé une bonne nuit.
        Je me suis réveillé avec la peau bien sèche et qui tire comme quand on va à la mer et au soleil toute la journée.
        J'ai pris une douche en faisait le chaud-froid pour activer la circulation capillaire.
        J'ai appliqué une crème nivéa
        La peau n'a pas été réhydratée.
        J'ai ré-appliqué le gel d'aloé vera (sans sel), la peau s'est ré-hydratée rapidement.
        De cette première expérience, je suis convaincu que le derme a été déshydraté mais je ne saurais pas dire si ça a désintoxiqué la peau.
        C'est-à-dire que le derme est un compartiment en vase clos ; avant la ré-hydratation cellulaire, il faut encore que l'ex-eau de l'intra contaminée ait quitté l'extra du derme.
        Ce sont des symptômes en creux, il faut du temps pour se faire un avis.
        - après la première application, j'ai la goutte au nez depuis trois jours.
        La pancha karma m'avait fait le même effet, le nez semble être ma voie de détox...
        En dépit de plusieurs tentatives, je n'ai pas réussi à répéter cette expérience qui a déshydraté la peau en un coup.
        Le climat semble influer sur l'effet souhaité : par temps humide, je n'arrive pas a déshydrater la peau en dépit de plusieurs applications du gel salé.
        Après une série de tests et de multiples applications, il est difficile de reproduire franchement la déshydratation de la peau avec seulement 20 g de sel.
        J'ai plutôt obtenu une franche déshydratation de la peau quand il restait une pellicule de sel sur la peau.


    • Quel sel choisir pour faire le gel déshydratant ?
        Il existe plusieurs sels à disposition :
        • le sel de table : Na+ Cl-, chlorure de sodium.
        • le sel d'epsom : Mg2+ SO4--, sulfate de magnésium.


        Comme ils ne perturbent pas l'équilibre électrique du potentiel de repos d'une cellule excitable, ces sels peuvent être ingérés en grande quantité.
        le premier constitue la majorité des ions de l'extra-cellulaire ;
        le second est présent dans l'intra-cellulaire mais il est minoritaire.
        rappel : le sel d’epsom est le sel utilisé dans la cure Clark du foie où il faut en ingérer 50 grammes.

        Composition ionique de l'intra et de l'extra-cellulaire:
          EXTRA :
          1. Sodium (Na+) 46% (masse moléculaire : 23)
          2. Chlore (Cl-) 36% (35)
          3. Carbonates (HCO3-) 9% (60)
            L'extra est nettoyé par le foie, il n'est donc pas contaminé par les ML.
            Je trouve que la prise alimentaire de ces éléments de l'extra n'aideront pas au traitement des intoxiqués dont la spécificité est que les ML résident dans l'intra.

          INTRA :
          1. Potassium (K+) 40% (40)
          2. Phosphates (HPO4--) 25% (96)
          3. Magnésium (Mg2+) 7% (24)
          4. Sulfates (SO4(2-)) 5% (96)
              En cas d'intox, il faut ajouter :
            • Mercure (Hg+) -% (200)
            • Plomb (Pb2+) -% (207)
            • Arsenic (As3+) -% (74)
            • ...


          Là, par contre, les éléments de l'intra sont en compétition avec les ML car les ML résident dans l'intra.
          Ces éléments seraient donc exploitables pour contrer les ML.
          Cependant, les ML sont des ions avec des masses volumiques et des valences assez élevées, ce sont donc de sérieux big boss difficiles à déloger...
          Pour changer le pH de l'intra, il faudrait le combiner avec un élément de l'extra avec un élément de l'intra.
          Par exemple, le phosphate de sodium va se dissocier, le phosphate va entrer dans l'intra et le sodium va rester dans l'extra.
          Autre exemple : du carbonate de magnésium, la carbonate reste dans l'extra, et le magnésium va rentrer dans l'intra.
          Mais là, le pH de l'intra va monter car le magnésium est +.
          Il faut donc faire attention à la polarité.
          Il me semble que des anions de l'intra sont préférables en cas d'intox car il devraient baisser le pH de l'intra.
          Les sulfates et les phosphates sont les anions de l'intra, c'est donc eux qu'il faudrait utiliser.
          Il faudrait donc du sulfate de sodium ou du phosphate de sodium pour les anions entrent dans l'intra et que le sodium (+) demeure dans l'extra.
          Tout cela, ce sont des réflexions à voix haute, je me le note ici pour en garder mémoire.

          • sel de Glauber : SO4-- Na+, Sulfate de sodium.
            J'ai essayé ce sel à deux reprises, ça dessèche très fortement la surface de la peau mais ça ne déshydrate pas l'épaisseur du derme.
            Le sel de table me semble encore préférable à ce sel.
          • Dans l'intra-cellulaire, il existe un autre sel majoritaire : le phosphate de potassium.
            Dans le cas d'une cellule intoxiquée, le potassium rentre en compétition avec les ions ML.
            L'intoxication peut donc revêtir des symptômes d'hypo- et/ou d'hyperkaliémie.
            L'excès de potassium dans l'extra cause des dépolarisations de cellules excitables, arythmies, ...
            En dépit que j'envisage que les phosphates et le potassium peuvent être éventuellement utiles contre l'électro-sensibilité,
            il est inutilement imprudent de s'orienter vers ce sel-ci dans le cadre d'une détox par osmose où les doses sont fortes.


        Le choix est donc à faire entre le sel de table et le sel d'epsom.
        Intuitivement, le sel d'epsom est intéressant car il va dilater les capillaires et donc, il va aider au renouvellement de l'extra par capillothérapie.
        Je n'ai pas trouvé de sel d'epsom fin, je l'ai donc passé au mortier à épices, et puis je l'ai tamisé à la passoire chinois.
        Mais il faut également tenir compte de la taille (masse moléculaire) des atomes.
        Sel d'epsom : 120, sel de table : 58.
        Plus un produit est petit, plus il traverse la couche cornée.
        Question taille, le sel de cuisine est imbattable.
        Comme c'est la déshydratation qui m'intéresse, il me semble préférable de se rabattre sur le sel de table.

        Cependant, il existe un troisième sel très intéressant.
      • SEL DE QUINTON
          L’Hydrotomie percutanée est une technique de soin qui consiste en l’injection d’une solution saline physiologique par voie intradermique ou sous-cutanée.
          Le but thérapeutique est d’utiliser un réservoir local thérapeutique à libération prolongée avec un minimum d’effets indésirables, créant un véritable « WASH OUT » lésionnel, particulièrement intéressant en pathologie dégénérative lésionnelle (Arthrose, Dysfonctionnement des muqueuses en pathologies ORL, Gastro-entérologie, Dermatologie…)
          Société Internationale d'Hydrotomie Percutanée
          Voici une technique de soin qui traite efficacement les pathologies dégénératives lésionnelles (arthrose, ...).
          Le principe est d'injecter un coussin d'eau de quinton dans les tissus.
          La solution est hypertonique (supérieure aux 10g/l physiologique).
          Elle va donc d'abord aspirer ("Wash out") l'eau des cellules de son voisinage ; le coussin sera ensuite dilué dans l'extra.
          Les sels qui ont, dans un premier temps, aspiré les toxines des cellules en souffrance, vont donc ensuite nourrir ces même tissus.
          Dans le cadre du gel déshydratant, il serait donc intéressant d'ajouter un peu de ce sel pour compléter les effets bénéfiques que n'a pas le sel de cuisine à lui tout seul.
          Le sel de quinton n'existe pas en version déshydratée, mais il est possible :
          -de réduire l'eau quinton en la mettant dans une casserole à feux doux,
          -de mélanger le résidu à l'aloé vera,
          -et de compléter avec du sel de cuisine.





      Je comptais résoudre ces problèmes de peau par osmose, mais la couche cornée a été créée de façon à empêcher l'osmose de s'appliquer sur la peau.
      Cela semble indispensable pour que le corps ne se délite avec l'extérieur.
      Après de nombreuses expériences, je constate que le gél déshydratant n'est pas assez efficace, mais il y existe peut-être d'autres méthodes.
      Il ne faut pas lutter contre un obstacle, au contraire, il faut s'en servir.

      Depuis, j'ai limé avec une lime à ongle une tâche d'encre que je m'étais faite sur la main.
      il a suffit quelques allers-retours de lime pour effacer la tâche.
      Dès que la couche superficielle est ôtée, la tâche disparait.
      Cela veut dire que l'encre ne s'imbibe pas dans la peau.
      Il n'y a donc peu de chance de passer par osmose pour régler le problème de la peau.

      Je me suis acheté un morceau de cuir pour faire des expériences.
      L'étanchéité de la peau est belle et bien efficace.
      Cela confirme que la transpiration passe par des pores et que la surface de la peau est très peu poreuse.




  • L'ARGILE
      L'argile a également un effet déshydratant.
      De plus, l’argile dispose d’une structure chargée négativement, elle va donc se lier avec les cations (ions+).
      [size=85]Voir la page suivante : Capacité de l'argile à retenir les cations[/size]
      Apparement, l’argile échange les ions +.
      Les ions + de l'argile sont mobiles et aimantés à une structures rigide négative -.
      L'argile est naturellement riche en minéraux par diffusion ionique, donc,
      quand elle est appliquée sur le corps, elle donne des minéraux Mg+, Ca+... et elle capte les Pb+,Hg+,... (les ML).
      "Apparement", l'argile "agirait à distance", c'est-à-dire qu'elle attirerait les ions + par magnétisme ou par polarisation de la zone où elle est appliquée.
      Par ce magnétisme, elle pourrait dissoudre des sels qui se sont cristallisés et qui se sont accumulés.
      Je comprends qu'elle soit efficace dans une plaie béante, mais mais encore faut-il que les ions traversent la couche cornée.
      Si je voyais la photo d'un tel exploit, j'en serai satisfait.
      En attendant la photo, je vais brosser la peau entre 2 cataplasmes pour activer son élimination.
      De plus, il est recommandé de ne pas mélanger argile et huile en ingestion,...
      Tout cela me dit que la couche cornée (qui est bien huileuse) va former une barrière ralentissante contre les ML.
      Je crains que dans les ML ne migrent pas vraiment depuis la peau vers l'argile appliquée en surface via la couche cornée.
      Il est possible qu'une argile sur la peau soit efficace parce qu'elle active les capillaires.
      Dans le cas d'un cataplasme sur une peau sans lésion, les toxines sont mises en mouvement par le système circulatoire des capillaires.
      La zone serait donc quand-même décontaminée en dépit que les toxines ne franchisse pas la couche cornée.
      Il y a des cataplasmes de 2 cm d'épaisseur qui se mettent toute une nuit à renouveler pendant autant de nuit qu'il faut.
      Le secret de cet exploit est peut-être dans ce délai-là.
      C'est-à-dire que les toxines vont être mises en mouvement par l'activité capillaire, puis elles vont se retrouver dans la lymphe et enfin sortir par les pores.
      Les toxines pourraient donc contourner la couche cornée par les glandes excrétrices de la lymphe.
      J'ai essayé un cataplasme intégral d'à peine 2mm, mais la déshydratation n'est vraiment pas franche.
      Je recherchais une déshydratation qui s'apparente à celle d'un bain de bouche au sel dans lequel un volume important d'eau sort.
      Il y a deux sortes de sensations pendant l'application de l'argile ;
      un : une sensation d'appui insistant comme quand on appui sur un bleu, ça "lance" un peu ;
      deux : des picotements.
      De façon troublante, ces picotements me rappellent les picotements lors d'une déshydratation ou du bain de bouche au sel.
      Ces picotements m'intéressent beaucoup car je soupçonne que ces picotements soient des ML qui franchissent la membrane cellulaire d'un nerf.
      J'avais également des picotements semblables lors des déshydratations, c'est pour cela que j'attribue les picotements à la migration d'un ML au travers d'une cellule nerveuse.
      Je vais donc tenter une série de cataplasmes intégraux alternés à un brossage minutieux de la peau.
    1. Préparation :
        Réceptacle en verre, ustensiles en bois (éviter métal et plastique, l'inox et le plastique seraient quand-même tolérés)
        eau minérale,
        Il y a trop de variétés de composition d'argile pour que je fasse une sélection éclairée.
        La couleur ne voudrait pas dire grand chose au niveau des propriétés, mais les argiles grands public auraient été sélectionnées selon des propriétés particulières de façon à les identifiée par la couleur.
        J'ai donc pris de l'argile verte illite, c'est la plus polyvalente, paraît-il.
        Argile concassée, il suffit de verser de l'eau minérale et d'attendre à peine une heure sans remuer, ça se conserve 12h à 24h sans problème.
        L'argile concassée convient pour l'extérieur.

  • ...Premiers retours
      Par contre, ça rigole pas,
      après 5 cataplasmes intégraux fin qui sèchent en 30 minutes sans symptôme particulier à part quelques picotements,
      j'en ai fait un de double épaisseur qui a séché en une heure.
      là ça piqué un peu de partout et en continu,
      et la majeure partie de la peau était rougie après le rinçage,
      quelques zones étaient même marbrées (mais non gaufrées), tout est revenu à la normale après 45 minutes.
      En dépit d'aucun signe extérieur d'activité (essoufflement, fatigue,...), j'ai remarqué une hausse du rythme cardiaque (de 60 à 90 jusqu'à 110) et de la pression artérielle (de 10-6 à 12-Cool.
      Les capillaires de la lame basale semblent énormément travailler par l'action de l'argile.
      Le sang est a fleur de peau.
      Dix heures après application, je commence à avoir de légers symptômes, comme des grésillements intempestifs sous-cutanés quand j'approche la main de la souris.
      J'ai également une recrudescence des grésillements occasionnels sur les hanches.
      Ce sont des symptômes que je traine depuis mon adolescence, je comprends maintenant d'où ils viennent.
      J'ai l'impression que les ML ont été tous attirés dans la couche cornée et qu'ils s'y sont accumulés.
      Je vais redoubler le brossage pour activer le desquamage.
      Je ne sais pas si ces manifestations ont un lien avec les symptômes qui s'accumulent de déshydratations en déshydratations.
      Mais en tout cas, la peau réagit.
      La théorie sur l'argile, qui attire les ions + (donc dont les ML), me séduit beaucoup.

  • ...Suite
      Ça fait une semaine que je fais un à deux cataplasmes intégraux par jour.
      Chaque cataplasme prend 1h00 environ (application, séchage et douche).
      Ça picote toujours autant à chaque cataplasme.
      Quand je fais des étirements prolongés pendant le séchage de l'argile, les picotements peuvent même devenir si nombreux et si intenses qu'ils en deviennent insupportables.
      Cependant j'ignore pourtant si les ML parviennent à franchir la couche cornée.
      J'ai parfois l'impression que les ML font du yoyo entre la cellule nerveuse et la cellule cornée.
      C'est-à-dire qu'ils migrent vers la couche cornée lors de la pose de l'argile, mais ils reviendraient dans leurs pénates lors de l'enlèvement de l'argile.
      C'est que quand je faisais les bains de bouches, j'avais des picotements au début, puis ils ont définitivement cessés au quinzième bain.
      Au début, j'ignorais qu'ils allaient cesser un jour.
      J'espère que cela fera la même chose pour la peau, ce serait top.
      Cela permettrait de signaler une présence de ML tant qu'il y a des picotements, et cela permettrait d'identifier une fin de détox lorsque les picotements cessent.
      Il y a toujours les symptômes de la peau rougie à l'enlèvement, mais je ne sais dire s'il y a un progrès de cataplasme en cataplasme.
      Il faut que je sois patient, l'osmose des bains de bouche avait nécessité une bonne quinzaine de séances avant que les picotements cessent.

  • ...Précautions, diagnostique et traitement
      Il ne faut pas que j'oublie que j'ai peut-être une grosse dose de ML dans la peau, il faut que j'y aille molo au début.
      Je rappelle aux lecteurs que j'ai peut-être une très grande capacité (& donc non commune) à m'intoxiquer et à me désintoxiquer.
      Je serais peut-être tombé dans la marmite de mercure quand j'étais petit Very Happy .
      Mes cures de détox me paraissent certes jamais assez puissantes, j'ai peut-être donc tendance à pousser les doses et les fréquences au delà des valeurs recommandables.
      Cependant, je dirai qu'il faut se désintoxiquer quitte à ce qu'il y ait quand-même une crise de détox.
      C'est justement à cette crise qu'on peut faire le diagnostique d'intox et de détox.
      Ensuite, c'est une affaire de dosage du traitement, d'écoulement des toxines et de fréquence de la répétition du traitement.
      C'est également à l'absence de crise après un traitement qu'on peut savoir si l'intoxication a bien pris fin.

  • ...Bonne tenue de la peau - Fatigue, mal au ventre
      Pour l'instant, la peau n'a pas vraiment souffert de toute la sollicitation que je lui inflige.
      Elle a certes un tout petit peu changé, mais ni en mieux ni en moins bien.
      Je vois un peu mieux son relief avec ses stries et son mini-gauffrage, mais c'est anodin.
      Par contre, je suis un peu fatigué, j'ai un peu mal au bide depuis quelques jours et je dors un peu moins bien.
      C'est encore trop tôt pour faire un lien de corrélation mais cela vient peut-être de la remise en circulation des toxines.
      Si c'était lié, ce serait une bonne nouvelle, ça voudrait dire que les toxines s'évacuent de la peau.
      Selon la conférence sur la capillo-thérapie, il faudrait chauffer le foie avec une bouillotte pendant l'heure de séchage de l'argile pour l'aider à traiter toutes ces toxines.
      J'ai une bouillotte qui devrait faire l'affaire.
      Sinon, je vais faire une pause pour voir si la tendance s'inverse.
      ... après une semaine, ça va mieux, il reste une petite fatigue fluctuante, j'ai dû saturer le foie.
      Ce serait une bonne nouvelle, ça veut dire que les toxines sont mobilisées.
      Comme les applications d'argile et dhydrotomie sont superposées, il est difficile d'attribuer ces effets à telle ou telle technique.

  • ...Rougeurs provisoires
      Il me semble que les rougeurs d'après enlèvement de l'argile sont justement le symptôme de ré-oxygénation de la peau.
      Il faudrait donc appliquer l'argile de façon à obtenir ces rougeurs.
      Ces rougeurs devraient reconstruire la peau comme la peau se reconstruit sous l'apparence d'un hématome.

  • Délais
      Je trouve que le délai de détox est un peu long.
      Avec tout cet argile (j'ai écoulé 7 kg en 2 semaines, 2 cataplasmes par jour), ma salle de bain est transformée en chantier.
      Je pense que la dose de ML qui s'est accumulée dans les tissus cutanés est assez importante.
      Il est difficile de savoir si c'est vraiment efficace, et à quelle vitesse de détox ça avance.
      Mon seul point de repère est le ressenti des nombreux picotements lors du séchage de l'argile.
      J'avais les mêmes sensations avec le bain de bouche salé, j'applique donc les mêmes conclusions :
      Cad : tant que ça picote à l'application, c'est que c'est intoxiqué.
      Dès que ça ne picote plus à l'application, c'est que c'est désintoxiqué.
      Pour l'instant, ça picote un peu moins mais ça picote encore.
      J'avais quand même l'impression que ma mâchoire était sur-intoxiquée car elle tamponnait la diffusion décennale depuis les amalgames.
      Quinze application de bain de bouche au sel montrent qu'il fallait appliquer une grosse dose de détox.
      Par intuition, la peau serait moins intoxiquée car elle est à distance de l'intoxication.
      Elle devrait donc être assez rapidement désintoxiquée, mais les picotements perdurent en dépit d'une longue série de cataplasmes.
      Il me semble donc que la vitesse de détox par l'argile demeure faible à côté de l'osmose.

  • ... À 15 jours :
      Après deux semaines d'application continue (2x/jour), la peau commence à être un peu sèche ... mais ça se stabilise.
      Quand je la gratte avec l'ongle, une légère trace blanche apparaît et quelques micro-pelures se détachent.
      De plus, deux ou trois plaques rouges très légères commencent à apparaître.
      Elles sont grandes comme la surface du poing et elles sont localisées au niveau des hanches, elles sont a peine sensibles.
      J'ai aussi des points rouges qui tapissent 1/4 du dos, 1 point par cm².
      J'ai aussi quelques mini-croutes (1mm²) sur le tibia.
      Le renouvellement de la couche cornée est d'environ deux semaines, il est donc peut-être normal que des symptômes commencent à apparaitre.
      Ce seraient les ML qui commencent à sortir au travers de la peau.
      Les ML ne traversent pas la peau, mais ils accompagneraient le cycle cellulaire et ils finiraient donc par sortir au bout de quelques semaines.
      Comme la détox doit passer par des symptômes, je vais donc continuer l'application de l'argile.
      Tout ces petits symptômes me laissent croire que l'application de l'argile est en train de payer.
      Cela fait 2 semaines que j'ai commencé.
      Cela correspond au renouvellement de la couche cornée.
      Le cycle complet du renouvellement de l'épiderme est de 6 semaines environ de la cellule basale génératrice à la desquamation.
      Je devrais donc attendre ces 6 semaines avant de poser les premières conclusions.
      ...Après 21 jours, ces symptômes se tassent.
      Ils ont demeuré très légers lors de leur apparition

  • ...Reprise mini-déshydratations
      J'ai aussi des micro-picotements qui se font sentir en plein milieu de la journée.
      Mais j'ai un peu repris des mini-déshydratations, grosso modo, je fais des séries de deux jours sans boire.
      Je n'ai quasiment pas la gorge sèche, ça me fait bizarre car d'habitude la gorge était sèche assez rapidement.
      D'ailleurs je n'ai même pas soif après 48 heures sans boire.
      Alors que lors des premières déshydratations, j'avais terriblement soif, et je souffrais terriblement de mal être pendant les trois jours.
      Tout cela veut dire que j'ai bien diminué la charge de toxines et que les mobilisations sont de moins en moins intenses...

  • ...Chronicité et gradient
      les rougeurs et le marbrage se font de moins en moins voir.
      Il faut désormais que j'applique une double dose d'argile pour retrouver la même intensité de rougeur après application.
      Il y a donc un effet de gradient sur l'activation des capillaires.
      Je ne sais pas encore ce que ça veut dire sur les ml mais ça semble aller dan la bonne voie. - wait and see.

  • ...Cataplasme 2 cm
      J'ai changé le mode d'application.
      J'ai abandonné le cataplasme intégral de 2 mm pour des cataplasmes locaux de 2cm d'épaisseur pendant toute la nuit.
      Comme il n'est pas sec au matin, je garde le cataplasme pendant la journée en le dissimulant sous un vêtement.
      J'ai mis 2 cm d'argile tout autour du tibia, puis j'ai appliqué deux bandes qui respirent bien (éviter le film plastique).
      Le premier cataplasme que j'ai fait était encore humide quand je l'ai retiré.
      Par contre, je n'ai pas ressenti de picotement de toute l'application, et il n'y avait pas de rougeurs au moment du retrait du cataplasme, cela m'intrigue.
      Prochainement, je vais faire l'épaule à l'argile où il me reste des sensibilités après l'hypertomie percutanée, puis membre par membre, puis j'aviserai.

  • ...J'ai commencé à faire des tests d'application pour voir dans quelles conditions apparaissent les marbrures d'activation sanguine sous-cutanée.
      Ces marbrures d'activation n'apparaissent peu quand j'applique de l'argile qu'à une zone localisée (bras) épaisseur : 2mm (il faut encore que je vérifie avec 2 cm).
      2mm d'épaisseur suffisent pour activer le bras mais il faut que la surface d'application soit étendue bien au delà du bras.
      Le moment le plus intense au niveau du ressenti est le pré-séchage.
      C'est-à-dire que c'est le moment où l'argile est encore un peu humide et que des plaques sèches commencent à apparaitre.
      Le moment de transition vers le séchage semble être le plus activant (picotements, sensations,...).
      Au niveau du visage, on peut sentir un phénomène d'étau qui palpite au rythme de la pulsation cardiaque, mais pas avant, ni après.
      L'étau se dissipe un peu au séchage, une autre sensation prend le relai, c'est la sensation de carapace rigide et qui colle à la peau.
      En séchant, l'argile se rétracte, puis elle forme des écailles ou des craquelures, mais elle reste collée à la peau.
      C'est peut-être cette rétractation qui active les capillaires ? - à vérifier
      Mais l'étau réapparait sous la douche pour rincer le cataplasme -cad quand l'argile sèche est ré-humidifiée.
      Il y a peut-être une reprise de l'activation sanguine quand l'argile séchée est ré-hudifiée.
      Il serait intéressant de pschit-pschitter ces zones une fois qu'elles sont sèches, ainsi, le processus d'activation serait relancé. - à vérifier
      Je soupçonne également que l'argile est moins efficace quand elle est trop humide au moment de l'application car il n'y pas de picotements.
      Encore faut-il laisser le temps de l'activation, mais les sensations et picotements n'apparaissent pas avec des cataplasmes locaux de 2cm pendant toute une nuit.
      Est-ce le manque de surface d'application ou la trop forte humification qui empêche les picotements ? à vérifier.
      Ce créneau temporel du pré-séchement semble être le pic d'activation, et il est possible de répéter cela avec le même cataplasme par de l'eau pschitt-pschittée.
      Le cataplasme le plus fin serait donc le plus approprié pour augmenter la répétition du créneau du pré-séchage.
      La surface d'application semble déterminante pour l'activation locale, ex: le bras est marbré quand le cataplasme est intégral et non local.
      Par ordre d'intensité, les zones activées (=rougies, ou =marbrée) sont localisées au niveau des bras, au visage, aux hanches, le dos, un peu sur le ventre, presque pas au niveau des jambes et des avant-bras.

  • J'ai fait un cataplasme de 2cm d'ép. sur le dos pendant une nuit.
      Ça n'a pas certes résolu les problèmes de dos mais je me sens quand même un peu mieux.
      Il faudra que je recommence pour consolider un avis.


    PROJET
    J'ajoute un projet pour quand je reviendrai sur le sujet : il faudrait que je teste des cataplasmes d'1cm d'ép. environ pour qu'ils soient secs après une nuit.
    La période pré-séchage définitif me semble le moment le plus actif de l'argile quitte à ré-humudifier au pschitt-pschitt pour multiplier les pré-séchages.
    Un cataplasme de 2cm d'ép qui ne sèche pas me semble pas trop efficace alors qu'un cataplasme d'1cm qui sèche 2 fois serait bcp + efficace.







    Je viens de faire un tour des livres de naturopathie en librairie.
    Ces livres évoquent des colles et des cristaux à éliminer.
    Ces deux mots ne sont pas bien défini, il semble que ce soit leur aspect qui leur a donné leur nom, mucus, kyste, calcul,...
    Ce qui n'est pas cristal est colle (liquide visqueux, éventuellement dur)... et ce qui n'est pas colle est donc cristal. :??: :crazy: Laughing
    Ce ne sont que des relevés visibles préalables à partir desquels on ne peut pas vraiment tirer des principes d'action.
    "Colles et cristaux" ne sont pas des définitions géométriques qu'on peut manipuler avec l'imagination.
    Je suis un peu pantois devant tant de médecines qui ne définissent pas de façon claire les catégories et les généalogies de toxines avec leurs traitements associés.
    Comment peut-on prétendre au titre médecine sans un discours clair et panoptique ?
    L'absence de définition en dit long sur la qualité du discours.
    Tout ce qui est médecine est un art de l'enfumage.
    La définition est le béaba de toute discipline, cela est autant valable pour la médecine moderne que pour les techniques empiriques.
    Pour l'instant, je reste donc sur les deux catégories : organique et inorganique (ions et lipides).
    Il existe peut-être une troisième catégorie, oxydes, qu'il faut encore vérifier.
    À partir des ces deux catégories, d'autres catégories filles peuvent naître : glaires, tumeurs, calculs, colles ou cristaux, ...
    Les livres de naturopathie évoquent donc l'argile sans bien dessiner son contour d'intervention.
    Mais il n'y a pas d'autres techniques qui concernent la peau.
    Les résultats par l'argile sont un peu longs à parvenir.
    Je me lance donc dans d'autres pistes tout en continuant l'application quotidienne des cataplasmes d'argile.




  • HYDROTOMIE PERCUTANÉE (HP)
      Après cette expérience d'argile, je demeure un peu insatisfait.
      L'argile semble aller dans le bon sens, mais ma dose de ML a été très importante.
      De plus, il me reste encore de nombreuses déshydratations à faire pour parachever une détox complète.
      Je risque donc de ré-intoxiquer la peau à nouveau, il faudra que je refasse une série de cataplasmes longs et fastidieux.
      Ce problème d'intox de peau me bloque un peu dans mon processus de déshydratations.
      Je souhaite trouver une méthode de détox de la peau un peu plus rapide.
      J'ai donc fait un test d'hydrotomie percutanée.
      C'est une technique qu'une ostéopathe énergéticienne, que j'avais consulté, s'était faite pour se sortir d'une intox aux ML.
      Je me le suis donc fait moi-même.
      En dépit que je trouve cette technique ultra-pertinente.
      Les promesses affichées sont certes très ambitieuses mais elles me semblent crédibles au regard du mode opératoire.
      Arthroses, hernies, néphrites..., guérison définitive de la cause, pas d'effets secondaire ... efficacité et innocuité.
      Cependant, je ne trouve aucun un exposé qui explique explicitement en détail ce qu'est que le "wash out" pour "les nuls".
      Et c'est pourtant l'osmose qui me semble être le noyau du retour à la grande santé.
      Il existe certes pleins de vidéos faites par des médecins.
      Mais en dépit de la pertinence ultime du processus, les présentations du procédé ont toujours un aspect volontairement non-détaillé qui masque le noyau d'action et qui jette donc le doute sur l'ensemble de la technique.
      Or, c'est dans l'aspiration de l'eau intracellulaire par osmose qui demeure le secret de la réussite.
      Ce que j'aime dans l'osmose, c'est qu'il n'y aucune réaction chimique et rien ne rentre dans la cellule.

      Pour le mode opératoire, il y a un article de Michel Dogna, hydrotomie percutanée
      Il faut se procurer de l'eau de quinton en ampoule (10ml), une seringue 10ml et une aiguille très courte.
      Mon aromatopathe m'avais prévenu que l'hypertonique était assez douloureuse alors que l'isotonique ne l'était pas.
      C'est pourtant l'hypertonique qui m'intéresse car il faut aspirer l'eau à l'intérieur des cellules vers l'extérieur pour garantir la détox.
      L'isotonique est à la même concentration que celle du corps, il n'y aura donc pas de "wash out".
      Au mieux, l'isotonique nourrit l'extra et un peu l'intra, cela est intéressant, mais c'est totalement insuffisant.
      L'aiguille et la seringue s'achètent en pharmacie, il n'y a pas d'ordonnance nécessaire.
      Cette technique serait interdite aux infirmières mais elle est autorisée à faire soi-même.
      Il faut casser un seul embout de l'ampoule, insérer l'aiguille et activer le piston, ça prend bien 5 minutes à se remplir.
      Avec une ampoule de 10ml, j'ai fait 75 % d'un avant bras et une bonne soixantaine de piqûres.
      L'ensemble des piqûres forment un quadrillage, mais il y a très peu de saignements.
      Il faut aussi tout le protocole d'hygiène, alcool à 90, coton, se laver les mains, ...
      L'aiguille et la seringue ne peut faire qu'une seule séance.
      La pénétration de l'aiguille dans l'intradermique est assez simple à faire.
      Il faut mettre l'aiguille de façon parallèle à la peau, en poussant un petit bourrelet se forme.
      En insistant, la peau finit par céder et elle laisse passer l'aiguille.
      Le bourrelet se détend et la peau remonte alors toute seule le long de l'aiguille sans avoir besoin de pousser.
      Il n'y a plus qu'à actionner le piston, attendre que le coussin se forme, puis reculer l'aiguille tout en actionnant le piston pour augmenter la dose à injecter.
      La peau retient l'aiguille lors du retrait, la peau est vraiment un organe de la cohésion, elle ne se laisse vraiment pas faire.
      En dépit de sa souplesse, cette expérience me montre ô combien la peau est serrée.
      Cela conforte l'hypothèse que l'osmose ne peut pas s'appliquer sur la peau.
      La piqûre n'est pas douloureuse dans la partie extérieure de l'avant bras, là où la peau est épaisse.
      Mais elle est douloureuse dans la face interne, là ou la peau est fine.
      En pressant sur le piston, il y a un petit coussin qui se forme.
      Selon l'évolution du coussin, j'en mets une à cinq goutes.
      Quand le coussin s'épaissit rapidement à la verticale, je ne mets qu'une goute.
      Si le coussin se diffuse largement, j'en mets bien plus.
      Parfois, c'est pas douloureux ; mais parfois ça douille un peu...
      La douleur se dissipe en 5 bonnes minutes, mais le coussin peut rester une bonne heure avant de se disperser.
      En une heure, l'osmose a largement le temps d'agir.
      Ça donne une bonne satisfaction de voir le coussin se dissiper...
      L'eau des cellules a donc été aspirée par osmose et elle a été recyclée dans les capillaires.
      Douze heures après la séance, 95% des marques ont complètement disparues, les coussins ont été complètement résorbés.
      Il reste 5% de marques encore à peine visible, et encore cela n'est visible que pour les personnes qui sont au courant de la chose.
      J'ai une légère sensation au niveau de l'avant-bras, mais rien d'inquiétant.
      48h après cette séance, il ne demeure quasiment aucune trace ou sensation.
      Depuis, j'ai refait un cataplasme à l'argile.
      Les picotements ne sont pas réapparus au niveau de l'avant-bras, mais il faut encore que cela se répète pour en avoir le cœur net.
        ... les picotements ne réapparaissent pas en dépit de la répétition des cataplasmes.
        Ça, ça veut dire qu'un nettoyage a eu lieu.
        Mais il faudrait que je recommence des injections sur une autre sur une autre zone, (le bras droit ou le dos mais je n'ai pas de picotements à l'épaule), pour m'assurer que ces effets se répètent.

      Je suis content de cette expérience, elle me donne une solution de secours de façon à ce que je puisse reprendre mes déshydratations.
      Il y a encore des problèmes à régler, il faut que j'exerce mon bras gauche pour couvrir le bras droit.
      Il y a aussi le dos, qui n'est pas accessible, c'est pourtant lui qui est le plus exposé aux ML.
      L'application générale n'est quand-même pas très réalisable.
      Mais, c'est une technique dont je me passerai bien car il y a le risque d'infection.
      De plus, les ML ne sont pas éliminés, il faudra encore les faire sortir par un moyen ou un autre.
      Il faut donc être en bonne santé et bonne forme pour se lancer dans cette aventure.
      La détox de la peau est un sacré défi.
      Sa particularité (sandwich de cellules aqueuses et lipidiques) pose une sacrée colle.
      En ayurvéda, il n'y a pas de pancha karma éclatante de la peau.
      Il y a l'udvartana, et une routine de brossage à sec en alternance à un auto-massage à l'huile de sésame.





    Bon, tout ça c'est super ; mais je n'ai toujours pas résolu ces problèmes de picotements.
    En tout cas, les résultats sont probants, c'est une piste très sérieuse.
    Cette piste me plaît beaucoup plus que l'argile car l'argile ne traite que les ions + alors que l'osmose ne fait pas de tri.
    Avec l'osmose, tout ce qui flotte dans la cellule et qui n'est pas indispensable sort.
    Cependant, avec l'argile, les toxines finissent par sortir à l'extérieur, alors que ce n'est pas le cas pour l'hydrotomie percutanée.
    Je souhaite filer la technique de l'osmose jusqu'au bout, cad du cerveau jusqu'à l'extérieur.
    Il faut donc encore convertir ces résultats pour traiter toute la surface de la peau.
    En attendant, je continue mes cataplasmes bi-quotidiens auxquels j'ajoute la prise de chélateurs.
    Entre l'argile, l'hydrotomie et les chélateurs, il sera difficile d'attribuer les effets à telle ou telle technique.




  • PEAU, RETOUR AUX PROTOCOLES DE BASE
      Ail des ours TM, coriandre TM, MSM, DMSA,...
      À l'époque où je prenais ces compléments, ces protocoles avaient été relativement efficaces pour nettoyer les tissus ordinaires.
      Je les avais délaissés parce qu'ils n'intervenaient pas vraiment dans le cerveau.
      Mais ils sont peut-être efficaces pour éliminer ces picotements sur la peau.
      D'ailleurs, il serait éventuellement judicieux de les restaurer pendant une déshydratation.
      Lors de mes premiers jeûnes sec, je prenais du DMSA, et je ne me plaignais pas de picotements.
      C'était peut-être ce DMSA qui protégeait la peau d'une relocalisation.
      Peut-être faut-il coupler l'argile et ces compléments ?
      L'association des 2 peut cibler la peau car l'argile active les capillaires intradermiques.

    ...



    Synthèse analytique provisoire.
    Quelques critères se dégagent pour apprécier une technique par rapport à une autre.
    • Spectre : spectre de toxines mobilisées (argile : ions +, HP: inorganique ( eau, ions + et -)
    • Recyclage : devenir des toxines (argile : éventuellement éliminées - à confirmer ; HP : déplacées un peu plus loin)
    • Temps de réponse (argile, très longue ; HP, très rapide)
    • Minéralisation : l'argile et l'HP apportent de nombreux minéraux
    • Application : argile, simple ; HP complexe
    • Prix, temps

    Pour l'instant, l'argile demeure la solution la plus raisonnable mais je ne sais pas si elle est vraiment efficace.
    Elle est très fastidieuse à appliquer (environ 2x1h par jour) pendant plusieurs semaines.
    Il existerait une alternative éclatante avec l'HP, mais l'application généralisée est un obstacle difficilement dépassable.

    ...

    Je ne suis pas satisfait du résultat de toutes ces recherches.
    Comme je ne sais pas ou en est l'intoxication, j'avance dans le brouillard.
    Il me semble que l'intoxication à bien baissé mais je ne peux être catégorique.
    De plus, il n'est pas certains que les picotements soient un indicateur exclusif des ML.
    Par contre, j'ai appris pas mal de choses, je sais désormais un peu mieux quels sont les obstacles qui se présentent pour la détox de la peau.
    Pour l'instant, je suspends mes expériences sur l'argile mais je voudrais revenir sur l'activation de la peau avec ces rougeurs.
    J'ai encore deux pistes à explorer : l'infra-rouge et la ionophorèse - mais je suis un peu dubitatif devant mes premières recherches sur le sujet.

    ...

    Je n'ai pas encore réussi à reproduire le dessèchement de la peau par le sel, il faudrait que je replonge sur le sujet.
    C'est une voie qui me plait car elle est assez radicale.
    S'il était possible de reproduire cette technique, je pourrai peut-être être assuré que la détox ait bien eu lieu.

  • Sophocle

    Messages : 444
    Date d'inscription : 25/07/2021

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    DETOX DE LA PEAU Empty Détox peau II : Crème déshydratante

    Message par Sophocle Mar 27 Juil - 12:32


    [size=110]Ça y est ![/size]
    J'ai peut-être réussi à faire une crème déshydratante. DETOX DE LA PEAU Smiley212 DETOX DE LA PEAU Smiley212 DETOX DE LA PEAU Smiley212


        Édit 23/07, Remarque importante :
          Le titre de ce post est un peu trompeur.
          Après de multiples essais, la peau n'est pas déshydratée, mais c'est l'intra des cellules qui est déshydraté.
          À priori, je m'attendais à ce que la peau soit très déshydratée, mais cela n'est vraiment pas le cas.
          Avec le NaCl, l'eau de l'intra se déverse certes dans l'extra mais l'eau ne quitte pas le volume de la peau.
          Au final, le volume de la peau ne perd donc pas d'eau.
          Il conviendra ensuite de faire circuler l'eau de l'extra comme une rivière souterraine par de l'activité physique ou par de l'argile.
          Ainsi, de l'eau s'infiltrera dans la peau par les capillaires, et poussera l'eau chargée en ML hors de la peau.
          J'ai du faire une bonne vingtaine d'applications, je pressens de bonnes améliorations de la situation.
          Je n'ai presque plus de frissons, ou autres symptômes bizarres.
          Surtout je ne sens plus de gros picotements lors d'une déshydratation, je continue donc a appliquer pour pallier aux nouveau arrivages de ML.




      Méthodologie provisoire :
    • 25cl Huile végétale de Jojoba, Macadamia, ou Noisette ou autre huiles pour peaux grasses (alcalines)
    • Mélanger l'huile avec 2g de lécitine de soja (tensio-actif, non ionique, non éthoxylé, non-irritant).
    • Chauffer à 50°
    • Ajouter jusqu'à 25cl d'eau salée (NaCl) et chaude (50°)
    • Les premières fois, commencer avec 2g de sel
    • Sans symptômes, ajouter 4g les fois suivantes, puis 6g et enfin le max avant saturation de l'eau : 9g (360g/l)
    • Mélanger à chaud
    • Laisser refroidir
    • Continuer à battre au fouet (ou au mini-mixeur) jusqu'à ce que ce soit froid.
      Au final, ça ressemble grosso-modo à une mayonnaise.

      Après application :
    • Boire une décoction de gingembre et faire une heure de marche rapide dans les 12 heures, ou appliquer un cataplasme d'argile fin (1mm) et intégral.
    • Selon une estimation sommaire, il faudrait une vingtaine de séances pour éliminer 90 % des toxines.

      Retours d'expérience
      • Précautions : Mettre des gants lors de l'application.
        Ne pas appliquer sur les paumes, pieds et mains.
        Éviter la peau là où elle est fine (visage, ...) ou fragile ou abimée.
        Pour ces zones, il faudrait des préparations avec une faible teneur en sel : 50 à 100g/l (éventuellement avec de l'eau de quinton 30g/l).
      • Préalable : Prendre une douche avant, cela va aider à la pénétration par le retrait de la couche hydro-lipidique et par l'humidification de la peau.
      • Après séance : éventuellement, activer la lymphe après application par du sport de façon à transpirer.
        Pour le sport en hiver, s'habiller chaudement de façon à transpirer.
        La transpiration ne desintoxique pas le derme, mais elle est le signe d'un corps qui chauffe et qui renouvelle l'extra du derme par diffusion calorique.
        Un cataplasme d'argile intégral et fin de façon à activer les capillaires (séchage en 1h) serait également valable pour recycler les toxines.
      • Rythme : En temps normal, il faut 48 h pour que les compartiments liquidiens aient un retour à la normale.
        Pour ma part, j'ai fait jusqu'à 2 applications par jour sans aucun symptôme.
        Mais par précaution, il serait prudent de ne pas excéder une fois tous les jours.
        Le plus raisonnable serait 1 fois tous les 2 jours afin que les niveaux soient bien ré-équilibrés.
        Je bois aussi beaucoup d'eau (peu minéralisée, mont rouscous ou volvic) pour que cette forte dose de sel soit fortement diluée et facilement éliminée par les reins.
        9 grammes de sel, ce n'est pas énorme mais ce n'est pas anodin.
        Le corps est fait pour gérer les excès, je ne donc suis pas inquiet mais pour les personnes faibles, il vaut mieux être prudent et patient.


    ...

    J'ai appliquée la crème et il me semble que j'ai un bon début de déshydratation de la peau au bout d'une heure.
    Il faut encore que je répète l'opération pour être sûr que la peau est déshydratée.
    Surtout, il n'y a pas de cristaux de sel qui se forment sur la peau après imbibition de la crème.
    Je ne sais pas encore si ça désintoxique la peau, mais en tout cas, là, le sel passe enfin dans la peau.
    Mais au bout de 6 heures, les phases de la crème faite maison qui reste dans le pot commencent à se dissocier.
    Il faudra donc ajouter un stabilisant et une cire.
    Ce n'est que mon premier test.
    Il est encore possible de faire varier tous les ingrédients à l'infini, huile, émulsifiant, sel, ...
    Il y a encore plein de paramètres a gérer, conservation, efficacité, type de peau, profondeur de pénétration, huile non grasse au toucher.

      Je place ici quelques pages qui m'ont aidé:

    • Administration de médicaments par voie cutanée (vidéo - cours d'université)
      [size=70][attachment=2]wouessi_djewe_denis_p07.pdf[/attachment][/size]
        Notes du cours: Tensio-actif (=émulsionnant) : stabilisant de 2 phases, huile, eau. émulsion = gouttelettes dispersées dans une phase. Ajouter épaississant, anti-oxydants (conservateurs), arômes, colorants. HLB du tensio-actif: balance d'affinité entre la partie hydrophile ou lipophile. Hydrophile = lipophobe, hydrophobe = lipophile. HLB > 7 : tendance hydrophile. HLB < 7 : tendance lipophile. mettre du HLB > 7 quand l'eau est le solvant. (tensioactifs anioniques : pas d'effraction de la peau). Chauffer et agiter.

    • Faire ses émulsifiants maison
        HLB 0 à 3 = antimousse. HLB 4 à 6 = émulsion eau dans huile. HLB 7 à 9 = mouillant. HLB 8 à 20 = émulsion huile dans eau. HLB 13 à 15 = détergents. HLB 10 à 20 = solubilisant. Les expériences ont montré qu’on obtient des émulsions ayant une meilleure stabilité en choisissant un mélange d’émulsifiants basse HLB et haute HLB plutôt qu’un émulsifiant unique. Agiter jusqu'à froid.

    • Émulsifiant Lécitine de soja
        Co-émulsifiant huile dans eau, non ionique, non éthoxylé. Emulsions "huile dans eau" surtout, mais aussi "eau dans huile" en utilisant une forte proportion de phase huileuse et une cire.
        • Ajouter la lécithine de soja à la phase huileuse, et bien mélanger pour la dissoudre.
        • Préparer la phase aqueuse en y ajoutant une gomme (Xanthane ou Guar) à hauteur de 0.3 à, 0.5% pour stabiliser et épaissir l'émulsion. Laisser le gel se former.
        • Verser la phase aqueuse gélifiée dans la phase huileuse et agiter vigoureusement pendant au moins 5 minutes.
        • Ajouter le conservateur et les actifs une fois l'émulsion bien formée.

    • Pénétration cutanée
        PÉNÉTRATION CUTANÉE
          Les mécanismes de pénétration cutanée d’une molécule active sont complexes et sans doute pas encore totalement élucidés à l’heure actuelle.
          Le grand obstacle auquel doivent s’opposer ces molécules est la barrière cutanée. Une fois celle-ci franchie elles peuvent diffuser dans les couches vivantes de l’épiderme, atteindre les zones plus profondes de la peau et éventuellement être absorbées par les capillaires sanguins pour rejoindre la circulation systémique. Cette absorption est recherchée pour certaines molécules thérapeutiques mais elle ne doit en aucun cas concernée les produits de cosmétologie.

        LIBÉRATION DES ACTIFS
          Tout d’abord, la molécule active va devoir se libérer de son véhicule. Pour cela elle va se dissoudre en son sein, si ce n’est déjà fait, puis elle va diffuser dans sa masse pour pouvoir être partagée avec la couche cornée.

        PÉNÉTRATION DES ACTIFS
          A ce niveau, l’actif doit impérativement se fixer sur la couche cornée pour pouvoir la pénétrer par la suite. D’une part, il va falloir le dissoudre parmi les composants du FHL de surface. D’autre part, il va falloir trouver un moyen de franchir ce mur que forment les cornéocytes. Plusieurs chemins sont alors possibles.
          Les différentes voies de passage transcutané
          -> La voie transcellulaire : les molécules diffusent passivement de cellule en cellule. Cette voie est plutôt réservée aux molécules hydrophiles qui vont se fixer sur les sites protéiques présents dans les cornéocytes.
          -> La voie intercellulaire : les molécules passent alors dans le ciment interlipidique puis dans le liquide interstitiel des couches vivantes. On retrouvera préférentiellement les substances lipophiles ou amphiphiles. La surface des espaces intercellulaires ne représente que 5% de la superficie de la couche cornée. Ce chemin n’est donc pas le plus emprunté.
          -> La voie de passage à travers les annexes : les particules lipophiles peuvent éventuellement pénétrer dans les follicules pileux pour rejoindre le derme réticulaire. Mais, elles peuvent se lier aux composants du sébum. Un réservoir folliculaire de molécules actives peut se créer dans la glande sébacée stoppant leur diffusion. Le passage par les glandes sudoripares eccrines est beaucoup plus rare car le flux sudoral tend en permanence à s’extérioriser. Ces voies (folliculaire, sébacée et sudoripare) représentent, globalement, 0,1 à 1% de la surface cutanée.
          Une fois la couche cornée franchie, les molécules vont diffuser plus ou moins profondément selon les propriétés dont elles jouissent, afin d’agir au plus près de leur cible.

        FACTEURS INFLUENÇANTS
          -> L’état de la peau :
          Certains états plus ou moins pathologiques vont faciliter l’absorption des produits cosmétiques (inflammations, poussées psoriasiques, lésions de grattage, etc.) par augmentation de la perméabilité cutanée.
          L’effet procuré après l’application d’un cosmétique sera différent d’une personne à une autre à cause de la variabilité qu’il existe depuis toujours entre chaque individu, en particulier avec l’âge.
          L’élimination d’une partie du FHL (Film Hydro-Lipidique) de surface par des détergents ou des solvants aide à la pénétration des actifs. De même, une hyper-hydratation de l’épiderme va accentuer l’espace entre les cornéocytes et donc la diffusion des molécules.
          -> La nature physico-chimique de la substance active :
          Une molécule hydrophile aura tendance à emprunter la voie transcellulaire, alors qu’une molécule lipophile passera plutôt dans les espaces intercellulaires ou les annexes cutanées. Mais pour diffuser dans les couches plus profondes, la molécule devra présenter un caractère hydrophile. Il est donc astucieux d’utiliser des molécules amphiphiles ou des tensioactifs qui possèdent une attirance à la fois pour les lipides et pour l’eau.
          Si la concentration de l’actif est à sa saturation, son dégagement du véhicule sera facilité. Moins il aura d’affinité pour ses excipients et plus il s’en détachera aisément.
          -> Le véhicule :
          C’est celui qui transporte, renferme la molécule active et la cède au film hydrolipidique de surface dans lequel il se mélange. Ce véhicule aura peu de possibilités de pénétration mais il peut faciliter celle des substances actives.
          Les émulsions de nature hydrolipidique favorisent l’intrusion contrairement aux gels hydrophiles qui ont tendance, suite au film polymère qu’ils déposent sur la peau, à ne pas favoriser la pénétration des principes actifs. Les véhicules anhydres sont lipophiles, leur action sera donc plutôt superficielle. Mais, leur pouvoir occlusif va augmenter l’hydratation de la peau et donc éventuellement favoriser le passage des molécules hydrophiles.
          La formulation d’un produit cosmétique fini et prêt à être utilisé dans son conditionnement est dite primaire. Lorsqu’il va être mis sur la peau, certains excipients aqueux et volatils vont s’évaporer tandis que d’autres vont être absorbés par la peau. La concentration de la molécule active, enfermée initialement dans ces excipients, va donc être modifiée : on parle de formulation secondaire. L’actif peut alors se retrouver à saturation dans l’excipient ce qui, comme on l’a dit ci-dessus, va augmenter sa pénétration.

    ...

    Je me suis rendu chez Aromazone, ils ont tout ce qu'il faut, petits pots, cires, tensio-actifs, conservateurs, huiles, mini-mixeurs, balances de précision, bêchers, pipettes, bain marie, bandelette pH, et un bouquin "cosmétique maison" pratico-pratique dans lequel tout est expliqué (dosages, matériel, mélanges, ...).
    Je vais donc pouvoir réaliser facilement ces préparations.
    J'ai ajouté un stabilisateur (alcool cétéarylique, 2g) et une cire (n°1, 2g) pour que les phases demeurent stables.
    Ça marche, la crème demeure stable mais l'effet sec sur la peau est bcp moins fort.
    Je vais devoir préparer 40g de crème tous les matins en attendant de trouver la formule qui permet d'obtenir l'effet sec tout en maintenant la stabilité.
    J'ai également fait la même crème mais sans sel pour re-hydrater rapidement, ou avec de l'eau de quinton diluée pour minéraliser la peau.
    Et j'ai également de l'aloé vera sous la main pour bénéficier d'autre méthode de ré-hydratation.

    ...

    Le jeu va être d'ajuster les dosages pour que la libération de l'eau salée se fasse dans le derme.
    Il faut donc traverser la couche cornée puis libérer l'eau.
    Il me semble que les cires, gommes et épaississants ont un effet retardateur.
    Il ne faudra pas que la libération de l'eau soit trop tardive, sinon, l'émulsion risque de passer dans le sang et la cible est manquée.
    Il faut encore que je vois comment on s'assure de cela.
    Pas trop tard certes, mais ni trop tôt non plus. Sinon, l'eau salée demeure dans la couche cornée.
    Il faut aussi tenir compte que la diffusion peut durer jusqu'à douze heures.

    ...

    Après 2 jours d'application, la peau de la main devient rapidement fripée sous la douche.
    C'est tellement rapide que je peux même plus faire la vaisselle sans gants.
    Sur la main, il y a de rares pelures sur les flancs des doigts qui sèchent et durcissent.
    Ça a l'air de bien marcher, un peu trop même.
    Mais il faut dire que j'ai manipulé bcp de sel ces derniers temps sans protection des mains.
    De plus, contrairement au reste de la peau, il n'y a pas de couche hydro-lipidiques sur les paumes (mains, pieds).
    La main n'est donc pas une référence et il faut veiller à la protéger.
    Cependant, je n'ai encore aucun symptôme sur la peau ordinaire.
    J'ai juste une légère sensation de sel et d'huile comme après une longue journée à la plage.
    J'ai eu aussi quelques coups de barre pendant la journée, et quelques fluctuations inattendues dans mes maux de tête mais rien de permanent.
    Il faudrait que je protège la peau de la main avant/après application avec du beurre de karité, aloé vera, crème hydratante.
    Ce phénomène de peau fripée est persistant, je vais donc appliquer avec des gants et une éponge végétale.

    ...

    Il faut aussi que je surveille s'il n'y pas un léger effacement des douleurs de fond à l'épaule.
    Ce serait top si ça pouvait parachever ce que l'hydrotomie percutanée a commencé à faire.
    Par précaution, je vais activer régulièrement la lymphe par des marches rapides car les ml vont sortir de l'intra pour aller dans la l'extra.
    Je peux également faire des cataplasmes fins (1mm) et intégraux pour activer les capillaires.
    L'application de l'argile après l'application de la crème semble très pertinente.
    Avec le cataplasme d'argile, l'extra du derme sera recyclé dans le sang et/ou capté dans l'argile.

    ...

    Le pH physiologique de la peau est de 5,5.
    C'est un pH un peu acide et donc anti-bactérien qui permet de protéger le corps des pathogènes extérieurs.
    En cosmétique, une peau dont le pH est au-dessus de 5,5 est considérée comme grasse (ex:, transpiration, pb sébum).
    Inversement, une peau dite sèche a un pH inférieur à 5,5.
    Le pH donne un ambiance de fond, cad qu'il impose une action lente et passive.
    Dans le cas d'un dérèglement du pH, les mécanismes actifs devront compenser une ambiance passive altérée.
    À terme, ces mécanismes vont se fatiguer car ils sont programmés pour compenser des déséquilibres forts mais ponctuels.
    Comme j'ai une peau un peu grasse, cela confirme l'hypothèse que les ML alcanilisent le terrain.
    Les huiles adaptées pour peaux alcalines sont jojoba ou noisette.
    Cela indique qu'en présence de métaux lourds, l'équilibre eau/huile est non physiologique.
    La tendance serait un déséquilibre en faveur de l'huile, cad un manque d'eau.
    Une telle tendance explique pourquoi les symptômes dus aux ML ne sont pas en rupture avec la physiologie mais ils sont plutôt dérivatoirs (qui dérivent comme un courant marin).
    Et les ictus apparaitraient quand le corps est fortement sollicité.
    Ex: j'ai tout le temps mal à la tête et si je fais un jogging, je tombe dans les pommes.
    C'est donc une ambiance de fond qui est légèrement décalée, et qui provoque des ictus quand les activités sont soutenues.
    Il peut également y avoir des ictus quand le climat ou l'environnement change, hygrométrie, température, émotion...
    Ces changements influenceraient des transferts liquidiens et ioniques à l'intérieur du corps.
    C'est un problème entre les équilibres passifs d'ions et les transferts actifs d'ions.
    Ces problèmes prennent la forme d'états semi-effectifs transitoires.
    Les concentrations ioniques sont provisoirement non physiologiques à cause d'un léger excès qui se concentre de façon contigente.
    Une maladie aux ML ne présentent donc pas de chocs physiologiques mais c'est plutôt une altération lente et chronique de la balance eau/huile.
    Il est donc possible qu'une intoxications aux ml se diagnostique par une anomalie faible et généralisée du pH dans le sens alcalin.

    ...

    Estimation du nombre de séances pour décimer les ML (réduire à 10%) avec la méthodo décrite en haut de ce post.
    L'extra du derme aurait 1 l d'eau à 9g/l, soit 9g de sels.
    L'intra aurait 2 l d'eau à 9g/l, soit 18g.
    Quand on ajoute 9 g de sel dans l'extra de la peau (via la crème), l'extra passe de 9 à 18g de sels par litre, ce qui est très peu à côté des 100 g/l pour une détox de la bouche ou des 40g de sel à avaler pour une cure du foie.
    Il y aura donc un transfert d'eau de l'intra vers l'extra pour rééquilibrer les concentrations.
    Il faut que 0,5 litre passe de l'intra vers l'extra pour que les deux compartiments se retrouvent à 12g/l.
    L'intra perdrait donc 25% de son eau à chaque application de la crème.
    Pour décimer les ml, en théorie, il faudrait log(1/10) / log(0,75) = 9 applications de la crème.
    Il s'agit d'un calcul qui nie les pertes en ligne, et qui nie la réintoxication car l'eau du derme est un peu en vase clos.
    L'eau, étant prise entre 2 couches lipidiques, devrait faire du yoyo entre l'intra et l'extra.
    La transpiration serait de l'eau qui ne vient pas de la peau mais qui passe à travers de la peau par des pores et des glandes connectées à la lymphe canalisée.
    De plus, je ne vois pas la peau se vider de son réservoir d'eau, elle serait sèche à chaque activité physique.
    Il me semble donc que l'activation des capillaires après l'application de la crème est indispensable pour conforter l'élimination des Ml hors du derme.
    En appliquant une efficacité d'élimination à 50% (valeur au pif), il faudrait donc log(1/10) / log(0,875) soit 18 séances pour éliminer 90% des ML de la peau.

    ...

    Dans le livre sur la cosmétique, il est écrit qu'il faut une eau minérale récemment ouverte (moins de 48h) pour réaliser les préparations.
    Il faut aussi que l'eau minérale soit conservée au froid.
    C'est pour éviter le développement des bactéries.
    Il est toujours possible d'ajouter un conservateur (1%) juste après ouverture pour doubler les précautions.

    ...

    La microcirculation cutanée
    Elles (anastomoses artério-veineuses) jouent un rôle dans la thermorégulation en permettant l’augmentation du débit sanguin cutané donc l’accroissement de la déperdition de calories au niveau de la surface cutanée. ...
    Au repos, le volume sanguin cutané représente plus de 9% du volume sanguin total et atteindre 12%, en période de vasodilatation. Le débit sanguin cutané global est de 0.5 l/mn au repos, de 0.9 l/mn lors d’un exercice modéré et peut atteindre 7 l/mn lors d’un exercice intense et des températures élevées.
    DETOX DE LA PEAU Microcirculation-cutanee-francais-web-70b40
    DETOX DE LA PEAU Circulation-dans-reseau-capillaire-web-francais-b5a74
    [size=70][attachment=1]La microcirculation cutanee.pdf[/attachment][/size]


      Commentaire : La crème déshydratante va certes vider l'eau des cellules cutanées. Mais La lymphe cutanée est stagnante si elle n'était pas activée. L'eau chargée des ML ne sera donc pas éliminée. À terme, les Ml vont re-rentrer dans l'intra. Dans le schéma ci-dessus, on peut voir que les capillaires cutanées s'ouvrent et se ferment par l'intermédiaires de sphincters. Au repos, ces sphincters sont fermés. Il n'y a donc que peu d'échanges entre le sang et le derme. Lors d'exercices physiques, ces sphincters s'ouvrent pour réguler la température du corps. Il y a donc un renouvellement accéléré de la lymphe cutanée à ces moments-ci. Il est donc intéressant de combiner les exercices physiques et la crème déshydratante afin recycler le contenu extra-cellulaire. En alternative aux exercices physiques, il est possible d'appliquer les cataplasmes intégraux à faible épaisseur (1mm) de façon à activer la micro-circulation. Pour conforter l'effet des exercices sportifs ou de l'argile, il est également possible de boire une décoction de gingembre car cela aura un effet vaso-dilatateur (augmentation de la largeur des vaisseaux sanguins).
      Il me semble que les ML de la peau ne sortent majoritairement pas par la peau. L'eau qui sort de la peau serait plutôt de la lymphe canalisée systémique et non de la lymphe du derme. Les ML du derme devraient regagner la circulation sanguine générale. Il faudra donc soutenir le foie et veiller à manger des légumes pour fixer ces ML. Sinon, les ML vont se diffuser dans le corps. Il convient donc que le système digestif soit déjà opérationnel avant de se lancer dans cette détox.



    ...

    Variante des ingrédiants
    • Question sel, j'ai essayé le sel d'epsom. Il n'y a rien à signaler.
      La peau est restée un peu plus grasse que d'habitude, mais c'est anodin.
      Il n'y avait pas de cristaux qui restaient sur la peau après imbibition.
      Donc le sel est passé dans la peau.
      Au final, je préfère rester sur le NaCl car c'est le sel physiologique de l'extra qui est présent en grande quantité.
      Ainsi le sel reste dans l'extra et il sera nettoyé lors de l'activation de la lymphe.
    • Huiles
      les huiles pour peau alcalines sont jojoba, noisette, dattier du désert, melon d'eau.
      Eviter les huiles de  coco, cacao, germe de blé, soja, qui sont pour peaux sèches.
    • éviter les ingrédients humectants (glycérol,...) , car ils vont libérer le principe actif dans l'intra.
      C'est justement cela qu'il faut éviter.


    ...

    Après une bonne semaine, j'ai un retour à la normale au niveau de la peau de la main suite à la protection par gants pendant l'application.
    Je préfère rester sur la préparation à faire tous les jours sans conservateur, ni stabilisant, ni épaississant.
    Ainsi, je suis sûr que la libération du sel est rapide et qu'elle ait lieu dans le derme (et non dans le sang).
    Après une bonne dizaine d'application, je n'ai aucun symptômes sur la peau ordinaire.
    J'ai plutôt une amélioration : je n'ai plus besoin de mettre de déo, j'ai l'impression que la transpiration a été régulée.
    Cela est à confirmer sur le long terme.

    ...

    Pour l'instant, je fais le mélange avec de l'huile de noix, elle se monte facilement en crème, elle s'imbibe rapidement, son toucher est très sec.
    Mais je vais opter pour de l'huile de Macadamia qui pénètre jusqu'au derme sans aller au-delà tout en ayant un toucher sec.

    HUILES VÉGÉTALES SÈCHES OU GRASSES, COMMENT PÉNÈTRENT-ELLES DANS LA PEAU ?
    Jusqu’où pénètrent les huiles végétales ?
    Les huiles végétales sont plus ou moins épaisses.
    Plus une huile est fluide, plus elle pénètre rapidement et loin dans la peau ou le corps. Une huile fluide atteint les muscles ou la micro-circulation sanguine alors qu’une huile épaisse agit sur les couches supérieures de la peau, couche cornée ou l’épiderme. Les huiles plus épaisses, plus nourrissantes seront souvent utilisées pour les soins du visage.
    Ainsi, les huiles végétales de :
    -Avocat pénètre jusqu’à la couche cornée
    -Argan, Rose musquée, Bourrache, Onagre, Jojoba pénètrent jusqu’à l’épiderme
    -Calophylle inophyle, Macadamia pénètrent jusqu’au derme
    -Noisette, Sésame, Noyaux d’Abricot pénètrent jusqu’à l’hypoderme, les muscles, la synovie
    -Tournesol, Pépins de Raisin pénètrent jusqu’à la circulation générale
    Quelles sont les huiles végétales grasses, sèches ?
    Sauf exception, les huiles végétales riches en
    -oméga 9 (AGMI) sont à sensation grasse : Avocat, Argan, Olive
    -oméga 3 ou 6 (AGPI) sont à sensation sèche : Chanvre, Onagre, Carthame
    Quelques exceptions :
    -le Jojoba, la Macadamia, la Noisette : riches en oméga 9 et toucher sec
    -la Nigelle : riche en oméga 6 et toucher gras
    Conseils pour diminuer la sensation de gras :
    Pour améliorer la pénétration dans la peau d’une huile végétale et ainsi diminuer la sensation de gras, diluez-la avec de l’huile de Macadamia, de Noisette ou de Pépins de Raisin à hauteur de 20 %.
    -80 % HV
    -20 % HV de Macadamia, de Noisette ou de Pépins de Raisin
    Quelles sont les meilleures huiles de massage ?
    -Huile de Macadamia : pénétrant jusqu’au derme, cette huile de massage majeure ne laisse pas de sensation de gras sur la peau
    -Huile de Noisette : pénétrant jusqu’à l’hypoderme, les muscles et la synovie, cette huile est une excellente huile de massage musculaire
    -Huile de Sésame : pénétrant jusqu’à l’hypoderme, les muscles et la synovie, cette huile qui assure une bonne glisse est une excellente base pour les massages revitalisants
    -Huile de Tournesol : pénétrant jusqu’à la circulation sanguine, cette huile est une excellente huile de support aux huiles essentielles




    ...

    Édit 2, 2 août
    J'ai fait jusqu'à quatre applications par jour pendant 2 ou 3 jours, et j'ai refait un incident intestinal.
    J'avais également des maux de tête qui se ré-haussaient.
    J'ai résolu ces maux de tête par une déshydration de 3 jours.
    J'ai totalement résolu l'incident par le lavement au sel et par une purge yogique à 40 g/l.
    Si cet incident était lié à l'application de la crème déshydratante, cela voudrait dire que la crème est très efficace.
    Il est possible que j'ai stocké énormément de ML dans la peau car j'ai réalisé environ 50 jours de déshydratation sans savoir qu'il fallait nettoyer la peau.
    Il y avait éventuellement, dans mon cas, une forte mobilisation à chaque application.
    Pour quelqu'un qui se lance dans la déshydratation, j'évalue qu'il suffirait d'une seule application de la crème salée à 9g après une déshydratation de trois jours.
    Cela devrait être suffisant pour désintoxiquer la peau au fil de l'eau sans exposer le système digestif.



    Édit 3, 27 août. Analyse rétrospective provisoire et projets
    Les picotements sont partiellement réapparus.
    C'est-à-dire qu'ils apparaissent et ils disparaissent de façon décorrélée à l'application de la crème salée.
    Cette technique n'est donc pas la panacée.
    Je ne saurais pas dire si elle désintoxique la peau, et si oui, à quelle hauteur elle participe à la détox.
    Depuis peu, mes symptômes ont beaucoup baissé, j'ai fait pas mal de déshydrations cet été, environ 10 de 3 jours chacune.
    Je n'ai donc plus trop de symptômes de mobilisation.
    Les picotements sont très faibles.
    J'ai donc cessé l'application de la crème déshydratante.

    J'ai essayé la crème avec du vinaigre, j'ai eu des rougeurs la 1ere fois qui ne sont pas ré-apparues à la 2eme application.
    Je pourrai également tester avec du dmsa et de l'ala.
    Je pourrai même ajouter de la glycérine (humectant) pour transporter les molécules vers l'intra.



    Édit 4, 13 oct 18. Notice détaillée de la fabrication de la crème
    [attachment=0]Atelier creme.JPG[/attachment]
    Voici, en vidéo, un exemple de la fabrication d'une crème : Crème chélatrice, YouTube, 5’.
    C'est une crème sans conservateurs ni anti-oxydant, elle ne se conserve pas.
    Il faut donc l'utiliser rapidement et jeter l'excédent.
    liste du matériel :
    • bain-marie,
    • béchers,
    • verre,
    • balance,
    • cuillère,
    • mixeur électrique,
    • gants,
    • éponge végétale,
    • eau minérale
    • huile,
    • lécithine de soja,
    • sel

    méthodologie :
    1. Verser 20ml d'huile bio dans le bécher. Verser le bécher dans le réceptacle du bain-marie. Allumer le bain-marie. Ajouter 1 cuillère de lécithine de soja.
    2. Verser 20ml d'eau minérale dans le bécher, verser le contenu dans un verre, poser le verre sur la balance, ajouter 5 grammes de sel, mixer, verser le contenu dans le bain-marie.
      S'il restait du sel en cristaux dans le fond du verre, éviter de le verser dans le bain-marie.
    3. Attendre que ça chauffe à 50°, mixer jusqu'à ce que ça devienne une crème. Attendre que ça refroidisse et continuer à mixer.
    4. Mettre les gants, appliquer la crème avec l'éponge en massant, éviter sur les peaux fragiles ou fines.
      Les sels doivent être choisis en fonction des minéraux qu'on veut renflouer. NaCl = extra (sauna hydraté) , Epsom = intra (sauna sec), ....
      Il faudrait se procurer des sels déjà composés de tous les minéraux physiologiques ( je ne sais encore pas si cela existe)
      La crème ne se conserve pas.




    Édit 5, Reprise des expériences avec les chélateurs classiques.
    Voir post suivant du 29 octobre : Détox Peau III, Crèmes chélatrices

    Edit 6 - 20 oct 2019.
    Je commence à croire que le froid de l'argile (et donc l'activation de la vascularisation capillaire) participe significativement aux vertus de l'argile.


    Sophocle

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    DETOX DE LA PEAU Empty Détox Peau III, Crèmes chélatrices et douche hyperthermique

    Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:09


    DETOX DE LA PEAU Smiley252
    Application de crèmes chélatrices oct2019
      
    • 15 Oct - Crème salée et chélatrice
      Suite aux bons résultats des chélassos, je me relance dans les crèmes chélatrices.
      Jusqu'ici, mes expériences de crèmes n'avaient pas apporté de résultats éclatants.
      En 2018, je n'avais pas vraiment fait de test avec les chélateurs chimique.
      Mais depuis que je me suis investi dans la combinaison de naturopathie et de chélateurs (chélassos), il en ressort des effets bénéfiques significatifs.
      Avec des pratiques intensives de naturopathie, on peut faire exprimer les chélateurs grâce à forte activation sanguine.
      Pour la peau, je pense donc appliquer une crème chélatrice, suite à laquelle je prends une douche alternée avec une deuxième passage très chaud (45°).
      Il est également possible d'enchainer avec un sauna.


    Fabrication de la crème - vidéo
      Pour la fabrication de la crème : voir post : Détox peau II : Crème déshydratante
      il suffit d'ajouter au sel 1 gramme d'edta et avec 2,5 grammes de BCS.
      Le sel va déshydrater et le chélateur va fixer le ml qui est sorti de la cellule.
      (On retrouve la méthode complète de l'hydrotomie percutanée : injection d'une solution hypertonique puis injection d'un chélateur.
      Voici, en vidéo, un exemple de la fabrication d'une crème : Crème chélatrice, YouTube, 5’..
      C'est une crème sans conservateurs, ni anti-oxydants, elle ne se conserve pas, il faut donc l'appliquer rapidement ou jeter l'excédent.


    19 Oct - Application d'une crème chélatrice,
      Là, j'ai mis du dmsa dans la solution aqueuse.
      La couleur de la solution aqueuse devient très laiteuse (avec une odeur de souffre).
      L'odeur de souffre disparait à 95% dès que la solution aqueuse est mélangée à la phase huileuse.
      Dans cet ordre : j'ai appliqué, j'ai massé (massage vers les ganglions), puis j'ai fait un sauna en étant badigeonné de la crème.
      En entrant dans le sauna, le badigeon à la surface de la peau était transparent.
      En sortant du sauna, la transpiration à la surface de la peau était laiteuse.
      En quelques dizaines de minutes, il me semble donc que le dmsa est sorti comme il est entré.
      La peau semble faire office de filtre qui retient l'huile et qui, par le sauna, relargue l'eau chargée de chélateur (éventuellement complexé avec le ml).
      Je n'ai pas de picotements à ce moment-ci, donc je ne peux pas dire si ça a éliminé les ml.
      Si je pouvais disposer d’une machine à spectrométrie de masse, ça m’aiderait bien...
      ...J'ai entendu (mais je ne sais plus où, éventuellement dans la conf. de Jauvais) que la peau est un troisième rein.
      Ce qui sort par les reins, sortirait également par la peau lors de la transpiration (mais en hypotonique).
      Cela conforte l'idée que le ml sortirait par la peau lorsqu'il est complexé par un chélateur.
      Cela est intéressant car il me semble que la peau soit très éloignée de la circulation générale.
      La peau fonctionnerait comme la bhe : une bhc (barrière hémato-cutanée).
      Cela fait de nombreuses fois que je plains que la peau soit plus difficile à désintoxiquer que le cerveau.
      Il serait difficile de désintoxiquer la peau par voie orale.
      Là, avec ces crèmes et le sauna, le chélateur entrerait avec la crème, puis ils sortirait avec le ml via la transpiration.
      ... 20 oct. il faut que je vérifie que la couleur laiteuse ne parvienne pas de l’huile résiduelle qui demeure en surface de la peau lors de l'application.
      ... la peau du visage est assez sensible à la crème salée. Et j’avais eu des problèmes à la peau des mains.
      J’ai donc déjà l’assurance que la crème imbibe bien le cuir.
      ... 21 oct. Vérification que le chélateur ressort.
      Pour m'assurer que le chélateur sortait, j'ai épongé la transpiration après un sauna avant lequel j'ai enlevé de le surplus de crème par une douche.
      Une fois l'éponge essorée dans un flacon transparent, l'eau était bien laiteuse.
      Le chélateur semble bien ressortir lors du sauna.
      Tout le protocole de vérification n'est certes pas bien ficelé mais cela me suffit pour envisager de faire tester cette eau chez MTM pour voir si du plomb sortait.
      là j'en aurait le cœur net. - en attente de programmation d'un test chez MTM
      ...23 oct. J'ai fait un sauna à blanc (cad sans crème chélatrice). puis j'ai épongé la transpi et épongé l'eau dans un flacon)
      La transpiration est sorti laiteuse - précédente application de la crème chélatrice : 21 oct.
      Je vais en tirer des hypothèse de conclusion car il faut encore que je vérifie que la transpi ne soit pas naturellement laiteuse.
      conclusions : la chélateurs demeurent dans la peau plusieurs jours.
      Les chélateurs ne rejoignent pas rapidement le système circulant ni ne sont rapidement éliminé par la transpiration.
      Cela est confirmé par l'absence d'odeur de l'urine après une application de creme chelatrice.
      Réponse : je ferai donc des saunas à blanc jusqu'à ce que la transpi retrouve sa couleur transparente.
      ... j’ai beau faire de saunas et des bains froids, la couleur laiteuse demeure.
      D’après des petites recherches, la sueur naturelle est translucide.
      ... Par prudence, il me semble préférable de faire des activités physiques à blanc afin de nettoyer l’organisme des chelateurs stagnants dans le cerveau.
      ... 10 nov, j'ai suspendu les crèmes chélatrices car il n'y a pas d'effet sur les picotements.
      Je m'oriente donc vers un traitement des micro-organismes.


    Huiles végétales pénétrantes
      Abricot, Argan, Coton, Jojoba, Nigelle, Noisette, Pépin raison, Sésame, Son de riz, Tournesol.







    Message original de 2018. - obsolète - A l'époque, je n'avais pas poussé mes expériences jusqu'aux chélateurs chimiques.
    ------------------------------

    [size=85]Nota, ce post fait suite au post Détox peau II : Crème déshydratante du 11 juillet.[/size]
    Je recherche encore à désintoxiquer la peau par des crèmes chélatrices.
    Au mois d'aout, j'avais réussi à faire des crèmes avec de l'eau salée (15 ml d'huile, 1c. léc. soja, 15 ml d'eau et 4,5 g de sel) pour essayer de reproduire le phénomène d'osmose sur la peau.
    Jusque-là, il me restait encore à faire des crèmes avec les chélateurs qu'on prend habituellement par voie orale.
    Il y a quelques avantages certains de la crème sur la voie orale :
    • c'est que le processus de digestion est évité.
    • Les principes actifs seront donc préservés, et leur efficacité accrue.
    • l'application est locale, et directement ciblée sur l'organe concerné.


    Voici la liste des produits :
    • Teintures mères (Alcool)
      • Ail des ours
      • Coriandre

    • Poudres :
      • DMSA
      • ALA
      • EDTA
      • MSM (hydrosoluble)

    • Cachet :
      • Chlorelle (à transformer en huile - voir paragraphe suivant)

    • Solvants :
      • huile d'ail
      • gingembre (pour faire des décoctions)


    huile verte : Transformation des cachets de chlorelle en huile :
    • Tremper les cachets dans l'eau une nuit
    • Chauffer (50°) de façon à évaporer l'eau
    • Ajouter de l'huile d'ail dans le résidu presque sec, mixer, l'huile devient verte
    • Filtrer avec un papier bio en fibre végétale pour écarter le résidu (comme du mare de café).
      L'huile est certes verte foncée, mais la couleur disparait quand elle est appliquée sur la peau.
      La chlorelle liposoluble va imbiber la peau.


    Décoction de gingembre :
      Le gingembre va permettre de dilater les capillaires sanguins lors de l'application de la crème.
      Il est donc intéressant de le mélanger à l'huile avec un tensio-actif (lécithine de soja)


    Chélateurs chimiques ALA, DMSA, EDTA en poudre.
      Ce sont des poudres liposolubles.
      Il faut les mélanger à la préparation tout à la fin, après que le mélange ait refroidi.


    Chélateurs naturels, TM ail des ours, Coriandre.
      Ce sont des alcools, ils sont donc solubles dans l'huile et dans l'eau.
      Mais ils ont un peu tendance à se séparer au bout d'une minute ou 2.
      Il faut les ajouter à la fin, quand la préparation est froide.
      Il faudra éventuellement aussi passer un coup de mixer électrique entre chaque application sur la peau.
      La crème va perdre son épaisseur, elle va devenir un peu liquide, mais elle imbibe quand même la peau.
      Cependant, l'alcool est un peu irritant, il faudra donc surveiller la peau.


    Pour l'instant, je n'ai fait que trois ou quatre applications.
    Exemple : 5ml huile verte maison (huile d'ail et chlorelle), 10 ml d'huile de noix, 1c de léc. de soja, 15 ml de décoction de gingembre, 5ml de TM (ail des ours ou coriandre), contenu d'une gélule de chélateur chimique soit : 100 mg d'ala ou dmsa ou edta.
    (Attention, je peux supporter des doses plus fortes que les autres intoxiqués, il conviendra de commencer avec des dosages légers)
    il est trop tôt pour espérer quelques résultats.
    Il faut que j'attende un retour sur plusieurs semaines.


    Édit 1 : Huile de ricin sulfatée
      Je cherche des produits pour solubiliser l'huile dans l'eau.
      L'huile de ricin sulfatée est très efficace mais elle est irritante.
      Cependant, elle peut être utilisée à toute petite dose pour disperser les huiles essentielles dans le bain.
      Ça fait un bon moment que je cherchais une huile avec du souffre car je souhaitais combiner l'élément de la peau (huile) et l'élément chélateur (le souffre) dans une même molécule.
      Évidement, ça devait être malheureusement de l'huile de ricin, c'est une huile connue pour ses propriétés corrosives et laxatives, il y aura peut-être des effets secondaires.
      Surtout ne pas avaler, ni gouter, ni même appliquer pure sur la peau car ça décape fortement, la fiche technique dit qu'il faut en mettre 4% max de la préparation.
      Wikipédia a écrit:Toxicité - L'acide ricinoléique altère la muqueuse intestinale et provoque des pertes importantes en eau et en électrolytes (sels minéraux), d'où son action purgative intense et irritante.
      Ce n'est pas pour les intestins que je m'intéresse à cette huile car la purge yogique à 40g/l résout le problème des ml sans irritation de la muqueuse.
      C'est pour la peau que je m'intéresse à cette huile, si elle avait les mêmes effets sur la peau que la purge yogique sur les intestins, ce serait top.
      La perte en minéraux est une propriété qui m'intéresse pour essorer un organe de ses ml.
      L'huile de ricin sulfatée est artificielle, et elle n'a rien a avoir avec l'huile de ricin naturelle, les usages et les propriétés sont un peu différentes.
      Cependant, il y a quelques propriétés communes.
      Ça aide les phanères (poils, ongles, barbes, cheveux) à pousser, c'est donc souvent utilisé en cosmétique.
      Il y a deux aspects qui sont intéressants, les vitamines qui enrichissent et le souffre qui désintoxique.
      Cela traitre ce qu'il y a en trop et ce qu'il a manque.
        Édit1-b, amphipolaire
        L'huile de ricin sulfatée est totalement miscible dans l'eau.
        Cela est extrêmement intéressant car les métaux lourds sont solubles dans l'eau alors que la peau est une barrière huileuse.
        Cette huile cumule donc les deux qualités nécessaires pour attraper les ml qui flottent dans l'eau et pour franchir la couche cornée.
        Évidement, cela n'est pas limites. Il faut donc apprivoiser son application dans le temps.


    Sophocle

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    DETOX DE LA PEAU Empty Sursaut avec le gel d'aloé vera

    Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:34

    Jusqu'ici, j'avais tenté le sel dans l'aloé vera pour déshydrater la peau, mais sans succès car les phases ne sont pas vraiment miscibles.
    Nouvelle piste pour le traitement cutané : le gel d'Aloé vera & chélateurs. DETOX DE LA PEAU Icon8
    L'aloé a un pouvoir pénétrant bien supérieur aux crèmes que je fabriquais jusque-là.
    Les chélateurs se mélangent assez bien dans le gel.
    C'est mille fois plus commode que les crèmes où il faut préparer, chauffer, mélanger et attendre.
    • C'est facile à fabriquer : 10ml d'aloe vera déjà conditionnée
    • Ajouter le contenu de gélules (dmsa, edta, Ala...)
        Peu d'aloé vera (10ml) peut contenir de une à deux gélules.

    • Mélanger au mini-mixer électrique.
        Le mélange est très homogène et il demeure stable.

    • Appliquer
        Il n'y a pas (ou très peu) de poudre qui ne pénètre pas la peau.
        La peau est sèche en à peine 3 minutes.

    • C'est fini.


    Il faut aussi penser à l'expulsion de l'eau.
    Pour l'instant je fais un sauna 12 heures après application.
    Bon maintenant, y'a plus qu'a voir si c'est efficace contre mes problèmes de picotements sur le court-terme.

    Il est possible de faire une variante totalement naturelle avec de l'ail frais écrasé et du gingembre frais écrasé au mortier.
    Il faut laisser l'ail écrasé 15' à l'air avant de le mélanger.
    J'ai également essayé avec de l'eau minérale et un gélifiant (pour remplacer l'aloé vera), ça marche presque aussi bien.

    Il faut que je tienne compte de la demi-vie du chélateur.
    Il est peut-être judicieux de faire le sauna 4h après l'application du gel chélateur.
    Pour améliorer la transpiration dans le sauna, je fais parfois une application d'huile et lécithine de soja (à chauffer, à mixer).
    Je continue à faire des marches pendant la demie-vie du chélateur pour brasser la circulation.
    Avant la marche, je prends une gélule chélatrice par voie orale pour faire le relai jusqu'aux émonctoires.


    Sophocle

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    DETOX DE LA PEAU Empty Flash Back sur le sel d'epsom

    Message par Sophocle Mar 27 Juil - 13:35


    Les picotements ont un tout petit peu baissé en fréquence et non en intensité.
    Ils se manifestent surtout sur les bras, jambes et les hanches quand je m'étire de tout mon long sur le canapé.
    C'est pénible, ça me gratte.
    La résolution avance tout doucement, trop doucement, j'y serai encore à la st Glinglin.
    Le gel d'aloe vera (av.) est certes épatant car il pénètre la peau avec une rare efficacité.
    La poudre de chélateur semble bien pénétrer la peau avec le gel d'av mais la résolution des picotements se fait attendre.
    Les ions des ml sont tranquillement tapis au bord immédiat de la couche cornés mais du mauvais côté, le côté intérieur.
    La couche cornée est un formidable bouclier anti-ions.
    Les ions ont beau être à la limite de la sortie, ils ne franchissent pas la couche cornée car ils sont du mauvais côté.
    La couche cornée est une pélicule d'huile qui remplit tellement bien son rôle qu'il y a peu à faire contre les ml par voie extérieure.

    Quand j'ai fait une application avec gel d'aloé vera et ail écrasé et gingembre écrasé, ça a vachement piqué sur le visage.
    Le gingembre est un peu irritant.
    Mais deux jours après, j'avais la barbe qui piquait.
    Il me semble que l'ail a mobilisé les ml de la peau vers les phanères.
    Après rasage, la barbe ne piqua plus, y compris après repousse.
    C'est un vieux symptôme que j'ai retrouvé-là comme un vieil ami.
    J'attribuais ce symptôme aux ml qui étaient éliminés par les phanères et qui font de la friture sur le poil comme sur une antenne radio.
    L'ail et le gingembre écrasés sont peut-être une piste efficace sur laquelle je dois peut-être insister.

    Mais ce vieux symptôme avait disparu pendant la période des cures du foie (vers la 5ème).
    C'était la période juste avant que je ne commence ce topic (et donc avant les déshydratations).
    Cependant, ces cures n'ont eu aucun effet sur les maux de tête.
    Ce n'est pas l'élimination des calculs qui a régularisé le symptôme mais c'est le sel d'epsom qui circule dans le sang.
    La cure du foie est une purge yogique sans lavement de façon à ce que le sel diffuse dans le réseau sanguin.
    Entre-autre, il dilate les vaisseaux dont les canaux hépatique et cholédoque pour que les calculs passent failement.
    Je vais donc reprendre ces purges yogiques qui sont associées à la cure du foie.
    Cela va peut-être régler le problème des picotements.
    Si je ne peux intervenir par l'extérieur à cause de la couche cornée, il faut alors intervenir par l'intérieur.
    Je vais aussi en profiter pour faire sortir les calculs du foie, c'est pas grand chose en plus à faire par rapport à la purge yogique.
    L'expérience montre qu'il faut faire des séries de 5 (purges yogiques, intestins) à 15 (bains de bouche au sel) applications.
    Je planifie donc une petite dizaine de cures du foie pour voir s'il y avait une fraction significative de la résolution du problème.
    Depuis le début, la solution saline me réussit mieux que la chélation.



    • Méthode de la cure du foie, Stéphane Tétart Naturopathe.
      DETOX DE LA PEAU File
      Cette version propose du sel en gélules, le goût amer est ainsi totalement masqué.

      Cependant, il est possible de s'endurcir à la naturopathie en buvant une eau dans laquelle le sel a déjà été dilué.
      Cela met un goût sur l'amertume qu'un intoxiqué possède contre la médecine allopathique.
      Il est bon de s'endurcir.
      Chez Shakespeare, le jeûne et la veille mènent à la vengeance et au combat.
      Voilà une nouvelle facette littéraire et combative du jeûne.
      Voici, ci-après, comment donc Marguerite transmet sa rage à Élisabeth par le jeûne contre les personnes perfides.
      Ces deux femmes ont été victimes de l'orgueilleux Richard.
      Enfants, maris, cousins ont étés lâchement assassinés.
      Elles se liguent donc en dépit que leurs maisons aient été ennemies.

      Shakespeare (Richard III, sc. xviii) a écrit:LA REINE ÉLISABETH :
        Ô toi, experte en malédictions, arrête un peu
        et apprends-moi à maudire mes ennemis.
      LA REINE MARGUERITE :
        Abstiens-toi de dormir la nuit, et jeûne le jour ;
        compare ton bonheur mort à ton bonheur vivant,
        représente-toi tes enfants plus beaux encore qu’ils n’étaient,
        et celui qui les a tués plus hideux qu’il n’est :
        exalter une perte, c’est en empirer l’auteur.
        N’oublie rien de tout cela, et tu apprendras à maudire.
        DETOX DE LA PEAU Combat-16 DETOX DE LA PEAU Combat-16 DETOX DE LA PEAU Combat-16

    • Exemple rougeur peau DETOX DE LA PEAU Smiley252
        Quand les picotements ont lieu, la peau est un peu rougie.
        Voir photo suivante de la hanche.
        Une très grande surface de la peau devient légèrement rouge.
        Je ne sais pas si c'est une mini-inflammation ou une mini-actiation spontanée des capillaires.
        ou un peu des deux ?
        Puis ça passe en quelques dizaines de minutes.
        Une inflammation a une certaine inertie (plusieurs jours), ces rougeurs ne devraient donc pas être d'origine inflammatoire.
        Je ne sais pas comment enclencher cet état, ni comment le désamorcer.
        Pour l'instant, ça a lieu grosso-modo une fois par jour pendant 1/2h.
        Le climat est un facteur perturbant et déclenchant.
        Ces mini-crises ont majoritairement lieu quand le convecteur toune à plein pendant une journée glaciale et sèche.
        Je soupçonne aussi la poussière de favoriser le déclenchement de ces mini-crises.
        Ce serait le nuage electrostatique dans la poussière car ces mini-crises apparaisse moins après que j'ai fait le ménage.
        La couleur normale de la peau est visualisable dans la petite tâche claire là où la flèche pointe, écueil de sérénité dans une mer un peu agitée.
        [attachment=0]Inflam.JPG[/attachment]



    • Suspension de l'exfiltration des calculs DETOX DE LA PEAU Smiley252
        Désormais, je fais les purges sans prendre le mélange d'huile et de pamplemousse.
        Ce mélange est très écœurant et il me rend un peu nauséeux une bonne partie de la journée.
        Toute cette huile pègue aux organes et les rends fonctionnellement visqueux.
        La journée se passe bien plus tranquillement sans ce mélange.
        Je commence le matin, cers 10 heures, puis je prends 4 verres, 1 verre de 200ml toutes les 2 heures.
        Le processus est fini en fin d'après-midi.
        Pour l'instant, j'en commence par une purge par semaine.
        Le sel d'epsom est déjà un peu écœurant, il n'est pas nécessaire d'en rajouter inutilement avec le mélange huile & jus.
        Mon objectif est l'effet que donne le sel d'epsom sur les tissus ordinaires : une déshydratation des tissus ordinaires et non la cure du foie.
        L'évacuation des calculs n'est pas prioritaire.
        Je le regretterai peut-être dans vingt ans mais mon régime alimentaire est déjà anti-calculs :
        je ne mange jamais avant midi, les petits calculs devraient donc sortir au compte-goutte le reste de l'année.
        Il me semble plus judicieux de faire cette une cure une fois tous les ans pour éliminer les gros calculs de façon régulière.
        La non-prise de petit-déj permet de faire monter la pression dans la vésicule biliaire de façon à augmenter l'expulsion des petits calculs.
        Le long terme le dira.
        De plus, je n'ai presque plus de problèmes digestifs au quotidien, je réjouis donc en soulageant la peine de la purge.


    Sophocle

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