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SOPHOCLE : Revue Historique 01 / Cycle ATP vs ML
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SOPHOCLE : Revue Historique 01 / Cycle ATP vs ML
- Dans une petite série de posts, je vais établir une revue historique, synthétique et analytique de mon parcours.
- Diagnostique personnel et état de la médecine.
- Après six années d'errance médicale, un médecin français m'annonce que j'ai une intoxication forte aux métaux-lourds.
Cette annonce est fondée par un test de provocation au DMPS.
Ce test détecte des intoxications dites "chroniques" dont la cinétique est différente d'une intoxication aigüe (par ex : inhalation de vapeurs).
Les tests officiels français (prise de sang) ne reconnaissent que les intoxications chroniques car les métaux lourds ont migré dans les tissus.
Les savoirs en matières d'intoxication chroniques sont récents (40 ans).
Les médecins généralistes ne sont donc pas formés.
De plus, la cinétique d'une intoxication chronique est anti-intuitive, y compris pour un médecin.
Par voie de conséquence, les médecins français ne soupçonnent même pas d'une intoxication des tissus puisse exister.
Par cette revue, je souhaite tenter de démêler l'écheveau des causes, des conséquences, des résolutions et des projets.
- Dans une conférence du Collège de France, le support de la conférence annonce que les métaux-lourds (cuivre, plomb, mercure) inhibent l'ATP.
Et, selon la même série de conférences, il est annoncé qu'un champ oscillant provoque une élévation de la température des métaux-lourds.
Les métaux-lourds inhibent donc la mitochondrie et ils se substituent à la mitochondrie pour la production de chaleur, cependant ils ne répondent pas aux cycles commandés par le cerveau.
- Or, la température physiologique est liée à la combustion du glucose et elle est régulée finement par un cycle : 36° la nuit, 38° le jour.
Et, par production de chaleur, un organe se maintient en activité.
Pour ralentir l'activité d'une cellule ou d'un organe et activer une période de repos, le corps lance un signal qui baisse la chaleur.
La nuit, le corps procède au drainage intensif de l'intoxination diurne.
Or, par intrication, les ML miment l'effet de production de l'ATP sans mener jusqu'à une fièvre.
Mais avec les ML, le cycle métabolique entre dans une perturbation intermittente et chronique.
Avec la chaleur générée par les ML, l'organe demeure en activité, la période de repos et de reconstruction est donc entravée.
Avec les métaux-lourds, l'organe entre donc en activité de façon chronique, durable aux moments où il devrait être au repos.
Des répercussions et des phénomènes d'emballement auront donc lieu en chaine à partir d'une intoxication modérée.
Exemple : Chaleur => activité => éveil => pas de sommeil => Pas de reconstruction cellulaire => Fatigue chronique.
- Symptômes principaux :
- Le cerveau : un organe à la limite.
Un seul potentiel d'action d'un neurone consomme environ 1 milliard de molécules d'ATP pour rétablir le gradient de concentration en ions (source).
Le cerveau consomme environ 10^25 ATP par jour (cad que le corps recycle 100 fois plus d'ATP en un jour qu'il n'existe de planètes dans l'univers).
De plus, le cerveau consomme 20% de l'énergie totale du corps pour 2% du poids, le cerveau est donc l'organe à la limite énergétique.
Avec d'une intoxication forte, les effets sont exacerbés : le pied est sur l'accélérateur et le carburant parvient au compte-gouttes.
L'inhibition de l'ATP provoque un effondrement chronique du métabolisme, du tonus et des fonctionnalités auquel se rajoute une réponse physiologique : un œdème chronique et une inflammation chronique.
Le peu d'énergie disponible va donc être alloué à des réponses au détriment des fonctionnalités des organes ; la fonctionnalité des cellules en sera donc réduite tout en ayant une cellule bousculée.
- Symptômes :
Dans la préface (1852) d'Aurélia, Alexandre Dumas rapporte que Nerval se plaint de douleurs à la tête ; avec ces témoignages, j'émets donc l'hypothèse que Nerval est un candidat à une intoxication aux métaux-lourds. Nerval deviendra un grand auteur en dépit que ses médecins soient impuissants, et en dépit que ses textes soient écrits en période de symptômes.Dans Aurélia (1855), Gérard de Narval a écrit: "Un de mes amis, nommé Georges, entreprit de vaincre ce découragement. Il m’emmenait dans diverses contrées des environs de Paris, et consentait à parler seul, tandis que je ne répondais qu’avec quelques phrases décousues."
Très jeune, Artaud était traité au mercure pour une syphilis qu'il n'avait pas, il était donc intoxiqué aux métaux-lourds avant de devenir celui qu'on connait. Artaud a fréquenté beaucoup de médecin dont aucun n'est parvenu à influencer ses symptômes.Dans ses correspondances (NRF) avec Jacques Rivières, Artaud a écrit: "Il y a donc un quelque chose qui détruit ma pensée ; un quelque chose qui ne m’empêche pas d’être ce que je pourrais être, mais qui me laisse, si je puis dire, en suspens. Un quelque chose de furtif qui m’enlève les mots que j’ai trouvés, qui diminue ma tension mentale, qui détruit au fur et à mesure dans sa substance la masse de ma pensée, qui m’enlève jusqu’à la mémoire des tours par lesquels on s’exprime et qui traduisent avec exactitude les modulations les plus inséparables, les plus localisées, les plus existantes de la pensée." (Aphasie). Pas de progrès par les médecins (1924). Lors donc que je peux saisir une forme, si imparfaite soit-elle, je la fixe, dans la crainte de perdre toute la pensée. Je suis au-dessous de moi-même, je le sais, j’en souffre, mais j’y consens dans la peur de ne pas mourir tout à fait (1923)."
Selon, le grand chef à plumes, l'examen de l'enfance ne semble donc pas traiter les états confusionnels...Dans Entretien et psychanalyse : Sigmund Freud et la technique psychanalytique” par Bernard Dantier, Freud a écrit: "Les psychoses, les états confusionnels, les mélancolies profondes — je dirais presque toxiques — ne ressortissent pas à la psychanalyse"
02 Revue historique / Littérature scientifique
- AUTEURSDans le chapitre 7.6, Thérapie par la chélation, il y a écrit:Les applications pharmacologiques et thérapeutiques des agents chélateurs ont été passées en revue par Catsch et Harmuth-Hoene (1976) et mises à jour par Aaseth (1983), Andersen (1999), Andersen et Aaseth (2002), Andersen (2004) et Aaseth, Skaug, Cao. et Andersen (2015).
- Les auteurs de cette revue sont donc des universitaires-hospitaliers qui réalisent des mises-à-jours de revues de littératures scientifiques sur les intoxications aux métaux-lourds depuis quarante ans. Dans cette revue, l'intoxication chronique est certes abondamment décrite, mais le fait qu'elle ne soit pas détectée par les protocoles en vigueur est sous-estimé. Cependant, sans affirmer de vérités scientifiques, les auteurs informent le lecteur que les protocoles officiels peuvent provoquer des faux-négatifs.
À partir d'une revue de littérature scientifique (Document Alpha) portant sur les traitements des intoxications aux métaux-lourds, je vais rassembler des paragraphes à partir desquels je peux dresser des enjeux.
Dans le chapitre 7.6.2, DMPS, il y a écrit:. Le DMPS a été synthétisé en 1956 et est utilisé depuis de nombreuses années comme antidote aux métaux lourds en Russie et, plus récemment, dans le monde occidental également. Le DMPS a été utilisé comme test de diagnostic pour l’exposition à de faibles concentrations de mercure, ce qui suggère que le mercure urinaire après le DMPS pourrait être un meilleur indicateur de l’exposition que l’excrétion urinaire de mercure non contestée (Aposhian et al., 1995).
Dans le chapitre 3.5, Analyses toxicologiques, il y a écrit:Dans certains cas, l'interprétation des analyses toxicologiques dans le sang ou l'urine est difficile. Dans le diagnostic de l'intoxication par le plomb, des difficultés peuvent survenir lorsque l'exposition a cessé il y a quelque temps et qu'une grande partie du plomb a été transférée du sang vers les os. Dans de tels cas, les concentrations de plomb dans le sang peuvent être revenues à l'intervalle de référence lors de la tentative de diagnostic.
- Voici la différence de cinétique entre une intoxication aigüe et une intoxication chronique : les métaux-lourds vont disparaitre du sang an dépit qu'une dose significative demeurera présents dans les tissus. Avec le test français (prise de sang), une intoxication tissulaire demeure donc invisible au diagnostique. De part les effets de compartiments, cela est anti-intuitif, y compris pour les médecins.
Dans le chapitre 4.14, Plomb, il y a écrit:Le plomb chélatable n'est toutefois pas une mesure précise de la charge corporelle, reflétant principalement les niveaux de plomb dans le sang et les tissus mous.
- Le Dmps étant une molécule hydrophile, il ne circule donc uniquement que dans l'extra-cellulaire, et non à l'intérieur de la cellule. Par voie de conséquence, le test au Dmps peut également provoquer des faux-négatifs et/ou ne pas désintoxiquer l'intégralité du corps.
Dans le chapitre 2.2.1, B.A.L., il y a écrit:Sa lipophilie explique sa capacité de pénétration intracellulaire.
- Le Bal est une chélateur lipophile, il chélate donc l'intérieur de la cellule, cependant, il peut se retourner contre le patient en transportant les métaux de l'extra vers l'intra. Le Bal nécessite donc des précautions d'emplois. Le Bal peut donc être une solution de parachèvement de la désintoxication après que le Dmps ait éclusé les métaux de l'extra-cellulaire.
Chapitre 1.3.2 : "Profils d'exposition et mécanismes de toxicité des métaux." Mercure : il offre un bon exemple de l'extrême variation des effets cliniques (Kazantzis, 1980).
Chapitre 1.6. Les effets chroniques de la toxicité liée aux métaux peuvent se manifester dans différents organes, notamment les systèmes respiratoire, cardiovasculaire, rénal et nerveux central.
Chapitre 3.3 : "Clinique". Des symptômes neurologiques d'encéphalopathie allant de maux de tête, irritabilité et légère somnolence à un dysfonctionnement plus grave comprenant confusion, convulsions et coma ont été décrits après une intoxication au plomb et l'inhalation de vapeurs de mercure.
Chapitre 3.7 : "Enquêtes physiologiques, radiologiques et ultrasonographiques." Diagnostique d'un œdème sur image.
Chapitre 4.16 : "Mercure". Les auteurs concluent que l'intoxication au mercure a provoqué l'hypertension intracrânienne.
Chapitre 4.14 : "Plomb". Une exposition élevée au plomb peut provoquer une anémie, problèmes de concentration, irritabilité, fatigue, anxiété, tension et problèmes interpersonnels.
Chapitre 1.6. : "Introduction". La chélation est indiquée dans le traitement des intoxications par les métaux et des maladies liées au stockage des métaux.
Chapitre 1.4 : "Base de la formation de complexes métalliques avec des ligands endogènes et exogènes." En raison de la disponibilité de nombreux petits ligands biologiques dans les organismes vivants, les concentrations de métaux toxiques excrétées sont souvent très faibles. La capacité d'un chélateur à pénétrer dans le compartiment particulier des dépôts métalliques et d'atteindre ainsi les sites moléculaires critiques peut constituer des déterminants importants de son efficacité clinique. Par exemple, l'enlèvement des dépôts de fer, de cuivre ou de plomb du système nerveux central s'effectue généralement lentement, car la pénétration des chélateurs ou des chélates à travers la barrière hémato-encéphalique est généralement limitée.
Chapitre 4.14.2 : "Études cliniques." Un défi à relever lors du traitement par chélation de l'intoxication chronique au plomb est un rebond du taux de plomb dans le sang qui se produit peu de temps après la fin du cycle de chélation, dans de nombreux cas, nécessite des calendriers de chélation répétés.
Chapitre 4.16 : "Mercure." Les symptômes neurologiques ont commencé à diminuer 6 mois après le début du traitement par chélation et avaient complètement disparu après 2 ans de chélation.
Dans le chapitre 4.16 : Mercure, il y a écrit: Herrmann et Schweinsberg (1993) ont observé une corrélation significative entre «l'indice de remplissage d'amalgame dentaire» et l'excrétion de mercure.
03 Revue historique / Salubrité et maladies neuro-dégénrativ
Comme les métaux-lourds sont un leitmotif des revus scientifiques sur l'Alzheimer, les intoxiqués devraient s'en soucier. Je n'ai certes pas l'âge pour me soucier déjà d'Alzheimer. Cependant, quand les symptômes parviendront éventuellement dans quelques décennies, ce n'est vraisemblablement pas avec la médecine moderne que je peux compter sur un remède à temps.
- Maladies neuro-dégénératives
- Notes des conférences d'Alain Prochiantz au Collège de France, 2018 sur les co-facteurs des maladies neuro-dégénaratives,Un syndrome : étiologies variées, causes variées, rien à voir avec les symptômes.
Maladies neurologiques : il n'existe pas de gène responsable de la maladie.
Il existe des marqueurs de l'état pathologique.
Facteurs communs aux maladies neuro-dégénératives: âge, environnement, tabac, sport, armée, champs électro-magnétiques, pesticides, métaux-lourds, modif chromatine.
Stress oxydatif : précipitation des agrégats protéiques.
Suspects : dysfonction mitochondriale, stress oxydatifs, protéine de l'auto-phagie atteinte.
[size=85](sources : Conférence sur "les données récentes sur l'étiologie de quelques pathologies neuro-dégénératives" dont un post a été dédié sur ce topic)[/size]
- Parmi les co-facteurs cités, une simplification par hiérarchie peut être établie. Par exemple, le stress oxydatif est la conséquence d'une situation pathologique. Le stress oxydatif n'est donc pas un levier sur lequel une intervention pourrait aboutir à une situation sereine et stable. Pour prévenir les risques en intervenant sur le stress oxydatif, il faudrait un traitement à vie dont l'issue n'est pas nécessairement garantie. Cela n'est pas vraiment anti-anxiogène à 100%. Le seul traitement fiable serait un traitement qu'il rétablisse un terrain durablement salubre quitte à ce qu'il soit ponctuel. Quant aux champs électro-magnétiques, leur pathogénicité s'exacerbe en présence des métaux-lourds. La chasse aux ondes n'est donc pas suffisante pour garantir une prévention totale car les métaux-lourds pourraient déclencher la dégénérescence à eux-seuls.
Parmi les co-facteurs égrenés par A. Prochiantz, il me semble que trois catégories de désordres se dégagent :
- La mitochondrie est suspectée de réveiller un terrain dégénératif car sa baisse de fonction est associée à l'âge et qu'elle provoque une acidification du corps. L'acidification ajoutée aux toxines déjà présentes devient propice à un stress-oxydatif dont les conséquences seraient une dégénérescence des tissus. Cependant, la baisse de la mitochondrie est suffisante pour déclencher un terrain cancéreux avec le basculement vers la fermentation (et donc la division) et en empêchant l'apoptose (et donc l'élimination). Les toxines ne sont donc pas nécessaires pour déclencher des dégénérescences. Au deux infrastructures que j'avais déjà évoqué dans les pages précédentes de ce topic, j'ajoute donc une troisième infra-structure : la mitochondrie.
- La salubrité demeure le meilleur terrain pour prévenir et pour traiter la dégénérescence. Il est possible de rétablir un terrain salubre et il est possible de revenir sur les co-facteurs en éliminant les toxines et en relançant la mitochondrie.
En dépit que nous disposons d'une recherche scientifique luxuriante, je n'ai jamais entendu aucune institution exprimer qu'il était préférable d'éliminer les toxines et de relancer la mitochondrie pour instaurer un terrain salubre et pour prévenir les maladies dégénératives. De plus, en dépit qu'elles confirment les cohortes statistiques sur la découverte de métaux-lourds à l'autopsie, les personnes victimes d'Alzheimer sont informées qu'elles ne sont pas porteuses de métaux-lourds de leur vivant. Mais il semble que l'excès de métaux-lourds qui provoque Alzheimer n'est pas nécessairement élevé. Pour prévenir au mieux cette pathologie, il conviendra donc d'éliminer les métaux-lourds en totalité de façon préventive.
04 Revue historique / Parcours personnel de soins
- 2011 : Arrêt du travail
- 2012-2014 : BELPOMME, Certificat EHS, Alzheimer évoqué en séance.
- 2013 : KOSKAS, Neurologue, IRM, EEG : R.A.S. (pas d'Alzheimer). Message un an après pour lui dire que c'était des métaux-lourds, il n'a jamais rappelé.
- 2014-16 : IV DMPS. P.A .0,25g, 5ml. Concentration : 50g/l. + DTPA. 1 x / mois max, analyses 1x an, Tendance de résolution tardive 2030, Stop en 2016.
- 2014-19 : Centre Anti-poison : 4 appels, 4 barrages dès l'appel téléphonique.
- 2017-18 : Jeûnes secs (déshydratations), 100 jours cumulés, tendance 2025, céphalées baissent peu à peu. Stop à cause effets secondaires.
- 2019 : Naturopathie haute intensité au quotidien : Bains glacés, Ayurveda, Saunas, hydrotomie percutanées, endurance dans le froid.
- Résolution express de l'Hypo-Tension chronique (Évanouissements occasionnels, pb escaliers, dévascularisation cerveau ) : 8 bains froids 15' à 15°,
Bio-génèse mitochondriale par thermo-génèse : Désinhibition du partie de l'ATP par relance de la mitochondrie.
Je peux remonter 300 marches 2à2 dans une même foulée.
Mais les maux de tête ne sont pas résolus.
- "Les agents chélateurs semblent être plus efficaces dans un milieu légèrement alcalin.", source : Microtrace, Newsletter N°10 - Novembre 2014.
Chélateurs en vente libre : EDTA, DMSA, poudre dans 1 litre d'eau avec du bi-carbonate de soude.
Conditions de solubilisation : pH8. Sang et reins à pH8 : fixation stable du ML de la mobilisation jusqu'à l'élimination.
+ hyper-vascularisation du SNC par le sport ou les bains froids.
Rythme : 1x fois par sem
Baisse de 75% des céphalées (œdème, inflammation)
En un poignée de semaines, j'ai eu bcp plus de baisse de symptômes qu'en 5 ans de traitements en tout genre.
Rythme de croisière : 1,5g PA 1 x/ sem.
Concentration PA : 1,5g/l (méthode d'herboriste : forte dose à faible concentration).
Mais des symptômes demeurent en dépit de la fin des effets bénéfiques => Rebond, il est impossible d'apprécier une tendance.
Ça peut durer des années => Limites des compartiments.
05 Revue historique / Conclusion
À quand des études expérimentales avec les chélateurs ?
Benchmarking et slogan
- J'ai établi cette revue à partir de nombreuses informations déjà connues, mais j'ai souhaité rapprocher quelques-unes de ces informations pour mettre en évidence une analyse la plus synthétique possible pour la personne que j'étais avant l'intoxication. La toxicité des métaux-lourds n'est pas ignorée par la population, elle est donc acceptée, ex : peinture au plomb depuis le XIXè, idem pour les amalgames. Cela est différent de l'amiante, qui fut interdite dès que la toxicité est apparue. En même temps, les Alzheimers en France sont au nombre d'un million. Ces personnes n'ont prétendument pas de ML de leur vivant, mais l'autopsie confirme la présence des ML. De plus, les savoirs médicaux sont disponibles dans les revues de littératures spécialisées, mais ces savoirs sont récents et la cinétique d'intoxication est totalement contre-intuitive par les interactions de compartiments. De plus, le DMPS, par lequel tout le monde jure et qui n'est pas autorisé en France n'est absolument pas indispensable pour traiter. Des produits alternatifs tout aussi efficaces sont légaux et moins chers. Avec une administration de type herboristerie, le traitement peut être géré par l'intoxiqué de façon autonome et performante. Les Ml ne sont pas les seules toxines. Les toxines en général sont un leitmotiv qui ressort dans la littérature dans de nombreuses pathologies chroniques. Selon le document alpha, l'autisme et l'intoxication chronique n'a pas encore fait l'objet de recherches scientifiques ; et selon le rapport de l'Anses, l'Ehs et l'intoxication chronique n'a pas non-plus fait l'objet de recherches scientifiques. Combien existe-t-il maladies dont on ne connait prétendument pas le remède ? Sep, cancer, parkinson, arthrose, ... : tout ce qui est chronique.
Benchmarking et slogan
- Sur chacune de ces trois infra-structures, le rétablissement de la salubrité est une médecine traditionnelle. Question mitochondrie, les romains n'avaient-ils pas des frigidariums dans leurs thermes à l'instar des pratiques de nos sportifs de haut niveau ? Les populations qui vivent dans des régions exposées aux épidémies ne pratiquent-elles pas le jeûne ? Les indiens ne pratiquent-ils pas la solubilisation des toxines par le ghee ? Les alimentations traditionnelles ne comportent-elles pas du soufre et un régime pauvre en sucres ? À toutes les pathologies que notre époque ne sait traiter, il est anormal que le patient qui souhaite s’investir dans le traitement ne soit pas informé de cela par la médecine officielle.
- Le serment des medécins devrait donc être requalifié avec le slogan d'hypocrites suivant :
"Couvrez cette salubrité que nous ne saurions voir".
Ce slogan est une adaptation d'une célèbre pointe :
L'adaptation de la réponse est donc :Dans "Le Tartuffe ou l'imposteur" (A3s2), Molière a écrit: de Tartuffe à Dorine :- ... Couvrez ce sein que je ne saurais voir.
Réponse de Dorine à Tartuffe :- Et je vous verrais nu du haut jusques en bas,
Que toute votre peau ne me tenterait pas.- Et je vous consulterais de jours jusques en nuits,
Que toute votre médecine ne me tenterait pas.
Complétude : trois tiers où chaque tiers est une unité et où les 3 tiers réunis sont également une complétude.- À l'heure où j'écris ces lignes, j'ai identifié trois tiers d'infrastructures : Huile, Eau & Énergie.
Pour demeurer en bonne santé, chaque tiers ne nécessiterait pas une engagement total mais simplement une surveillance à ne pas négliger.
C'est-à-dire que même si 2 tiers faisaient l'objet d'attentions absolues mais que le 3ème tiers était négligé, des désordres définitifs pourraient apparaitre en dépit des efforts sur 2 premiers tiers.
Pour obtenir un équilibre durable, il faudrait simplement ménager chacun des tiers à tour de rôle de façon à ce que l'unité des 3 tiers soit ferme.
En cas de pathologie chronique, il faudra prendre soin avec méthode du ou des tiers en souffrance.
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