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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 14:06

Ce sujet rassemble tous les post liées aux échanges avec les administrations :
Centre antipoison, APHP, Police, Défenseur des Droits, Justice, Parlementaires, Agences médicales, Agences environnementales...

J'ai dérangé de nombreuses administrations pour qu'elles m'expliquent la raison pour laquelle mon mercure n'était pas traité.

Finalement, ce sera le Centre antipoison qui dévoilera le coin du tapis après des menaces de plainte.

Sophocle

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 14:06

Mar 14 Mai 2019 11:34
3ème appel au centre anti-poison
(nota : les premiers appels sont narrés dans un paragraphe dédié au post de présentation)
J'ai rappelé hier un centre anti-poison (CAP) car je voulais avoir un papier de leur part comme quoi mes analyses sanguines étaient négatives.
Cela serait utile à l'avenir au cas où il y ait enfin une reconnaissance des empoisonnements chroniques aux métaux-lourds.
En cas de future reconnaissance, les tests de provocations sont certes nécessaires mais ils pourraient être insuffisants s'il n'y avaient pas de preuve que le test sanguin était négatifs.
En effet, si les tests sanguin étaient positifs, on aurait dû aller dans un centre anti-poison en dépit des tests de provocation.

Cette fois-ci, j'ai été reçu une bonne demi-heure au téléphone par un médecin.
Cela n'était pas le cas dans les précédentes prises de contacts, j'avais été rembarré dès l'accueil avant même de pouvoir parler à un médecin.
Cela est consigné dans mon premier post de présentation (1ère page, paragraphe Centre anti-poison) dont le contenu est recopié ci-après.

Hier, j'ai d'abord été reçu par l'accueil comme il se doit. J'ai donc pris une voix posée et ouverte aux moindres indices en expliquant que j'étais soigné au dmps en Allemagne. j'ai effleuré l'hypothèse qu'il y avait une hypothèse des amalgames. Mon interlocuteur m'a demandé d'envoyer par mail avec mes tests de provocation et d'attendre qu'on me rappelle. Cependant, il m'a confirmé que je pouvais peut-être être soigné chez eux, mais qu'il n'y aurait pas de reconnaissance. J'ai été un peu pris de court, je ne m'attendais pas à ce qu'ils me disent cela. De plus, mon objectif était d'obtenir leur papier avec le faux-négatif, je n'étais pas dans la stratégie de leur prise en charge. Vous allez voir que j'ai peut-être décelé qu'ils pratiquent des chélations clandestines.

Ils m'ont rappelé à peine 20 minutes après mon mail. Le médecin m'a invité à tout ré-expliquer de A à Z : les dix années de galère, les céphalées, l'électro-sensibilité, la fatigue chronique, ... Cela démontre qu'ils étaient dans une enquête de mon cas. Ils ne sont pas du genre à perdre du temps avec les personnes qui affirment que les amalgames sont la cause de tous leurs maux. Il me semble qu'une telle enquête est le signe d'une possible prise en charge. Le médecin m'a posé pleins de questions, étais-je fumeur, chasseur, ... (causes d'empoisonnements alternatives aux amalgames)... Sur le moment, je me dis qu'il y a deux options, soit ce médecin cherchait à discréditer mes tests de provocation, soit il cherchait à ce que je taise la possible cause des amalgames. La discussion allait bon train, mais comme je n'avais pas préparé la chose (et que je la décortique a postériori), j'ai donc répondu sincèrement qu'il n'y avait pas d'autre cause apparente que les amalgames. oups, j'ai peut-être commis la boulette sans m'en apercevoir. Après débriefing intérieur, jusque-là il m'a semblé que le médecin cherchait à m'aider, et qu'il cherchait à ce que je donne une ouverture à une autre hypothèse que les amalgames. Au bout d'une demi-heure de conversation, le médecin a changé de ton et il m'a expliqué qu'il fallait que je revienne avec des analyses sanguines faites dans un laboratoire français et prescrites par un médecin traitant. La discussion a coupé court en invoquant que j'étais sur une ligne d'urgence.

Voici donc un centre anti-poison qui demande à ce que des analyses contre les poisons soient faites ailleurs qu'au centre anti-poison.  :??:  :??:  :??: Étonnant ? non ? Je rappelle que les tests officiels français sont suspectés de produire des faux-négatifs (voir post C de la page 14 et sa revue de littérature scientifique sous le lien). En dépit que le test de provocation par dmps ressort positif, les modalités habituelles d'analyses (sang et donc test officiel français) ressortent négatives. Le barrage est en place : Le centre anti-poison demande donc une analyse qui revêtira une réponse négative de façon à barrer l'accès au centre anti-poison avant même que l'examen de contrôle ait lieu chez eux. C'est-à-dire que les cap refusent de faire des examens suite un récit qui ressemble à une intoxication chroniques au métaux-lourds dont le malade affirme que l'origine serait les amalgames. Je m'interroge encore sur les raisons pour lesquelles les cap ne veulent pas donner un examen, peut-être est-ce pour éviter la confrontation du patient avec un faux-négatif patent. Ils attendent peut-être une régularisation ultérieure, ils veulent donc éviter d'avoir donné des papiers avec la preuve du faux-négatif.

Il est possible que je me fasses des films, mais l'interlocuteur à l'accueil m'a bien stipulé que je pourrai peut-être être en charge en dépit que j'avais bien évoqué des amalgames, et il a bien que dit que je n'aurais pas de reconnaissance, et j'ai bien passé une demie-heure avec un médecin. Cela semble à une possible prise en charge clandestine. Si cela n'était pas le cas, ils m'auraient rembarré tout de suite dès l'accueil comme ils savent si bien le faire.
Je referais prochainement  une nouvelle prise de contact pour voir si leur tentative de me prendre en charge était réelle. Je vais attendre quelques mois avant de rappeler pour que ça se tasse afin que mon interlocuteur oublie mon dossier et mon histoire ...

Cependant, il faut vraiment que je pense à demander une analyse de mercure, arsenic et plomb à mes prochaines analyses sanguines.


Confirmation par France Culture
Dans cette émission de radio (LSD, France culture - nov 2016) Les pollutions invisibles : les mercuriens(1/4), une personne empoisonnée témoigne également qu'il a fallu qu'elle taise la source de son intoxication pour pouvoir être prise en charge. Dans ce témoignage, la personne intoxiquée n'était pas prise en charge tant qu'elle exprimait des informations qui lui semblaient judicieuses d'exprimer de façon à aider sa guérison par les médecins. Comme quoi, un diagnostique d'intoxiqué aux ml ou un diagnostique d'affabulatrice ne dépend que de l'intérêt strict des médecins. Je rappelle que les refus de prise en charge pour des questions de convictions sont interdit, y compris pour des convictions médicales. Les mêmes symptômes ont donc deux diagnostiques radicalement différents selon que le mot "amalgame" soit prononcé ou pas. Cependant, les CAP traitent quand-même les intoxiqués chronique en douce. C'est-à-dire que les toxicologues français sont des gens qui ont un grand cœur sous leurs pratiques de barrage. Tant de bonté m'émeut :ouin:. En ne prenant en charge que les patients qui taisent la probable source de leur empoisonnement pas les amalgames, les toxicologues expriment donc une forme de culpabilité de façon à plaider des circonstances atténuantes. Le jour où l'intoxication par amalgames sera reconnue, ces médecins clameront qu'ils ont été des "résistants" de l'intérieur. La multiplicité des intervenants permet habituellement d'échapper aux poursuites ; les intoxicologues comptent donc sur la pieuvre de l'ordre de médecins pour effacer leur "petit" tas misérables de personnes barrées par leur service. Quant aux médecins généralistes, ils n'ont certes pas participé directement au barrage, mais ils n'ont absolument jamais exprimé de discours d'ensemble sur la bonne santé tel que cela est listé par Descartes dans son discours de la méthode. En dépit qu'ils profitent de la manne de patients chroniques, les médecins généralistes échapperont donc au sort peu glorieux des toxicologues. J'insiste sur le fait que je ne demande pas aux médecins d'imposer la naturopathie mais je demande à ce que les patients soient informés sur les taux de guérisons et définitive par toute méthode. Quand aux personnes qui ne savent pas qu'elles doivent inventer un source d'intoxication pour avoir le droit d'être prise en charge, les toxicologues ne dépareillent pas du fameux passage nihiliste de Lucrèce :
dans Natura Rerum, Lucrèce a écrit: « Qu'il est doux, quand la vaste mer est soulevée par les vents, d’assister du rivage à la détresse d’autrui ; non qu’on trouve si grand plaisir de regarder souffrir ; mais on se plait à voir quels maux vous épargnent. Qu'il est doux aussi d’assister aux grandes luttes de la guerre, de suivre les batailles rangées dans les plaines, sans prendre sa part du danger. Mais la plus grande douceur est d’occuper les hauts lieux fortifiés par la pensée des sages, ces régions sereines d’où s’aperçoit au loin le reste des hommes, qui errent ici et là en cherchant au hasard le chemin de la vie, qui luttent de génie ou se disputent la gloire de la naissance, qui s’épuisent en efforts de jour et de nuit pour s’élever au faîte des richesses ou s’emparer du pouvoir.  »
 Adaptation personnelle : Sans contre-pouvoir, qu'il est doux d'être un médecin du service public et de refuser de prendre en charge un concitoyen pour ses convictions. Commentaire : Ce que j'aime avec les médecins français, c'est qu'ils sont une illustration trop parfaite de la littérature.


HISTORIQUE
Voici ci-après, l'extrait du premier post qui évoque les appels aux centres anti-poison.
Dans le post de présentation, j' a écrit:

Centre anti-poison.  
J'ai passé un coup de fil à un centre anti-poison pour avoir le cœur net, j'ai expliqué mon parcours (plombages, intox chronique), ils m'ont expliqué qu'ils niaient cela et que pour cela ils ne me prendraient même pas en rendez-vous pour faire un contrôle par prise de sang. Depuis, j'ai fait une plombémie dans un labo, résultat négatif en dépit du résultat positif par le test de provocation des labos allemands.
Complément centre anti-poison (Cap) Au cours de ces dernières années, j'ai joint plusieurs fois les centres anti-poison au téléphone.Trois appels, trois  

La première fois, en 2014. No
En dépit du récit de mes symptômes, mon interlocuteur m'a demandé si j'avais été l'objet d'un empoisonnement direct.Comme cela n'était pas le cas, cette question a mis fin à la conversation sans qu'il y ait de suites.Je me suis donc fait écarté dès la prise de contact sans qu'il y ait eu un examen de contrôle.

La deuxième fois, en 2016. No
J'ai indiqué que j'avais des analyses positives avec le DMPS.Mon interlocuteur, après m'avoir dit que la médecine française ne reconnaissait pas les empoisonnements chroniques, a également refusé de prendre un rendez-vous pour pratiquer un examen de contrôle.  En dépit des symptômes, de tels refus indiquent que les centres anti-poison ont une politique de barrage. Il me semble que pour que les centres anti-poison ouvrent le droit à un premier examen de contrôle, il faut leur apporter un récit avec une fiole, un poison, un coupable à la Lucrèce Borgia, et un acte direct d'empoisonnement extérieur. À contrario, un récit que s'apparente à un empoisonnement chronique (par ex : avec des implants avec de légers symptômes qui s'aggravent au fil du temps) est barré par les centres anti-poison. Comme le DMPS n'est pas autorisé en France, et comme le test officiel crée des faux-négatifs, le test au DMPS est donc un odieux importun qui met l'inavouable indigence des centres anti-poison en lumière. En effet, s'ils m'avaient reçu après le deuxième appel, j'aurai présenté mes analyses positives au DMPS au centre anti-poison alors que ce dernier serait forcé d'avouer que leurs analyses officielles seraient évidement des faux-négatifs. Contrairement aux empoisonnements ponctuels, les empoisonnements chroniques ne passent pas par le sang mais ils passent de cellules en cellules par proximité et par diffusion ionique. Si un peu de poison s'échappaient vers le sang, il serait immédiatement éliminé par le foie ; le sang est donc totalement nettoyé en dépit que l'intérieur des cellules est empoisonné. Or, les empoisonnements directs (à la Emma Bovary) passent nécessairement par le sang, on retrouve donc des doses substantielles avec le test officiel français. Les centres anti-poison refusent donc les patients dont les symptômes semblent chroniques afin de ne pas se trouver dans l'embarras de la défaillance de leur test.

La troisième fois, en mai 2019. No - (ce post).


4 ème appel, le 7 octobre 2019.
Ils ont retrouvé mon dossier avec nos précédents échanges, et ils m'ont répété ce qu'ils m'ont dit au précédent appel (test français obligatoire, patati et patata...).Cela indique que leur politique de barrage est donc informatisé.Je leur ai scandé que tout comme que de mauvais outils font de mauvais ouvriers, de mauvais diagnostiques font de mauvais médecins. :roi:  :roi:  :roi: Je rappelle que chez Victor Hugo, les personnages qui sont au service de l'état (Gauvain, Javert, Cimourdain, ...) et qui trahissent le peuple, se suicident.Tant de noblesse n'est pas malheureusement plus d'actualité dans la fonction publique.




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AUTRE SUJET : LITTERATURE (en lien avec le nihilisme)
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Nihilisme de Lucrèce vs Shakespeare
Contrairement à Lucrèce, chez Shakespeare, ce sont les meurtriers qui tombent dans le nihilisme.
Il me faut préciser que toute ressemblance entre les médecins français et les personnages de Shakespeare est purement fortuite.
Le personnage nihiliste de Shakespeare, c'est Macbeth.
Pour résumer très rapidement la pièce : Macbeth est un criminel que ses crimes rendent consciemment fou.
Chez Macbeth, Shakespeare sonde la conscience de son personnage dans une sorte de spirale intérieure désolante.
Le spectateur entend donc les pensées de Macbeth en même temps que la scène se déroule.

Voici le fameux passage nihiliste de Macbeth en version originale (a5) :

Shakespeare a écrit:Seyton : The queen, my lord, is dead.
Macbeth : She should have died hereafter;
There would have been a time for such a word.
To-morrow, and to-morrow, and to-morrow,
Creeps in this petty pace from day to day,
To the last syllable of recorded time;
And all our yesterdays have lighted fools
The way to dusty death. Out, out, brief candle!
Life's but a walking shadow, a poor player
That struts and frets his hour upon the stage,
And then is heard no more; it is a tale
Told by an idiot, full of sound and fury,
Signifying nothing.


Chez Shakespeare, il y a ces nombreux mots monosyllabiques : "Creeps in this petty pace from day to day"..
Ça donne une cadence de petits pas serrés au trot.
De plus, "Creeps" veut dire aussi un insecte à mille patte qui rampe ... le ton et le sens sont donc assortis.  cheers  
Au niveau du style, ce n'est définitivement pas la peine de chercher d'être fidèle à Shakespeare.
Mais ce qu'on perd, on peut essayer de le retrouver ailleurs.

Au préalable, voici deux versions par des grands auteurs, Guizot et FV Hugo.


François Guizot a écrit:Seyton :  La reine est morte, mon seigneur.
Macbeth : Elle aurait dû mourir plus tard :
il serait arrivé un moment auquel aurait convenu une semblable parole.
Demain, demain, demain,
se glisse ainsi à petits pas d’un jour à l’autre,
jusqu’à la dernière syllabe du temps inscrit ;
et tous nos hier n’ont travaillé, les imbéciles,
qu’à nous abréger le chemin de la mort poudreuse. Éteins-toi, éteins-toi, court flambeau :
la vie n’est qu’une ombre qui marche ; elle ressemble à un comédien
qui se pavane et s’agite sur le théâtre une heure ;
après quoi il n’en est plus question ; c’est un conte
raconté par un idiot avec beaucoup de bruit et de chaleur,
et qui ne signifie rien
.

Voilà bien la traduction d'un homme politique.
Cette version ne rechercher pas vraiment la poésie des mots, mais elle cherche plutôt la simplicité d'expressions sans double sens.
Les mots sont en général fidèles à l'original, mais parfois, ils sont infidèles et inutiles, qu'apporte ce "elle ressemble à" ?
Quand ils sont fidèles, les mots le sont un peu trop : Life's but a walking shadow : la vie n’est qu’une ombre qui marche.
Et pourquoi "qui marche", "marchante" est certes pas beau, mais cette tournure n'est pas parlante.
Et Guizot était académicien !?, décidément tout se perd.

Voici la traduction du fils de Victor Hugo :

François-Victor Hugo a écrit: Seyton : La reine est morte, monseigneur.
Macbeth : Elle aurait dû mourir plus tard ;
le moment serait toujours venu de dire ce mot-là !…
Demain, puis demain, puis demain
glisse à petits pas de jour en jour
jusqu’à la dernière syllabe du registre des temps :
et tous nos hiers n’ont fait qu’éclairer pour des fous
le chemin de la mort poudreuse. Éteins-toi, éteins-toi, court flambeau !
La vie n’est qu’un fantôme errant, un pauvre comédien
qui se pavane et s’agite durant son heure sur la scène
et qu’ensuite on n’entend plus ; c’est une histoire
dite par un idiot, pleine de fracas et de furie,
et qui ne signifie rien…

Là, c'est une traduction qui fait mousser l'écume des mots tout en restant très fidèle au texte original.
On ressent une forte économie des mots qui donne de l'intensité pour retrouver un style original.
François-Victor a traduit tout Shakespeare avec cette même rigueur.
C'est vraiment une très très belle traduction.

Voici ma petite traduction. Mais quel délice à faire !
Il me semble l'avoir bien ciselée, mais je n'ai pas le mérite des traducteurs qui ont traduit l'œuvre entière.
Mais traduire, c'est trahir, paraît-il.
Cependant, quand je tombe sur des traductions bien différentes, je suis frappé par l'apport de chacune.
Chaque interprétation donne un nouvel éclairage au texte.
Pour une pièce en anglais, on en donc plusieurs en français - mille fois tant mieux.
Avec les traductions, il faut un peu se défaire de la langue originale.
Autant trahir, autant le faire à fond de façon à revenir sur les images qui se dégagent dans l'original.
Au deuxième ordre, autant privilégier les consonnances que des bribes de styles, ex : quotidien au lieu de “jours en jours”.
J'ai donc recherché des tournures dont l'équilibre en français primait sur l'anglais quitte à éventuellement froisser un peu les puristes.
Par exemple, dans "Out, out, brief candle!", "Out" est répété.
Voilà bien un exemple qu'on ne peut absolument pas traduire de façon littérale, Dehors, dehors, brève bougie!.
Pour retrouver l'insistance des deux "Out", un petit "donc" fait tout à fait l'affaire : Éphémère bougie, souffle-toi donc !


Seyton : La reine est morte, monseigneur.
Macbeth : Le moment de tels mots est hélas enfin venu,
Elle aurait dû mourir une autre fois.
Demain, et demain, et demain,
murmurent au quotidien dans un importun refrain
jusqu'à l'ultime goutte de l'écoulement du temps :
et tous nos hiers ont ouvert le chemin des dupes
par le faisceau cendré de la poussiéreuse mort. Éphémère bougie, souffle-toi donc !
La vie n'est qu'une ombre errante, qu'un quart d'heure de gloire
d'un mauvais acteur nerveux se pavanant sur scène, avant de tomber dans l'oubli.
Elle est un tour joué par un clown, plein de rage et de bruitages,
ne signifiant rien.


C'est vraiment un exercice enrichissant.
À force de peser les mots et les tournures, j'ai fini par "rentrer" en moi-même et par "rentrer" dans les intentions de Shakespeare.
Les intentions priment sur la langue, ce sont les intentions qui font la priorité et non les mots ou le style.
Les mots français et le style doivent être au service de la transmission des intentions que l'auteur exprime en langue originale.
Tel que le dit Lucrèce à propos des sages, je confirme qu'il est vraiment doux d'occuper les hauts lieux de la pensée de Shakespeare...
Très souvent, les personnages blessés au combat ont le temps de faire leur propre oraison funéraire juste avant de mourir :
Il est donc de circonstance que Shakespeare et "J'expire" soient des homophone en français.
Je propose donc un rapt : que l'on fasse de Shakespeare un auteur français en langue anglaise car on a pas de pareil.
Lucrèce et Shakespeare sont les médecin des médecins.
Avec Shakespeare, les centre anti-poison renoueront avec la douceur de la vie ...

Sophocle

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 14:09

Lun 27 Mai 2019 22:00
Compte-rendu à chaud
Ce jour, j'ai eu une consultation à l'Aphp - Maladies professionnelles environnementales. - en vain.
Evidemment, je ne m'attendais à aucune aide à l'issue de cette consultation.
Je fais exprès de prendre ces rendez-vous pour consigner ici un compte-rendu des échanges avec les institutions.

J'ai préparé cette consultation avec le schéma récapitulatif qui est disponible  à la page 14, chapitre N.

J'ai également présenté le support du cours de médecine sur les compartiments liquidiens dont le contenu explique le phénomène d'osmose : "ingestion d'une solution saline concentrée : baisse du volume intracellulaire " (à l'avant-dernière page).


Ce médecin m'a immédiatement rétorqué que les échanges cellulaires ne relevaient pas de ce cours.
De façon implicite, ce médecin a suggéré que l'osmose n'existait pas dans le corps humain.
Ce médecin ignore donc que c'est grâce à l'osmose qu'il s'hydrate quotidiennement.
Je lui expliqué que l'intérêt résidait dans la concentration en minéraux et non dans la composition.
Ce médecin ne comprenait pas de quoi je parlais.
Les médecins français ignorent donc tout du phénomène d'osmose.
Il existe de nombreuses formes d'échanges au travers de la membrane cellulaire (canaux, transports actifs, passifs ...).
Mais l'osmose est trop vulgaire pour qu'un médecin bardé de diplômes ait cela en tête.
"Couvrez cette osmose que je ne saurais voir."
J'aurais dû faire une démonstration pour lui montrer, c'est facile à préparer et à faire en direct.
Un médecin qui nie l’osmose, c’est comme un physicien nierait la gravité terrestre.
En dépit que cela soit ridicule et grotesque,  cela est pourtant bien le cas.

Cependant, ce médecin a dû acquiescer la résolution définitive de ma gingivite, de mon electro-galvinisme et de mes problèmes digestifs avec des bains de bouche au sel et des purges yogiques.
Son visage exprimait une très forte contrition et il a tenté de dénigrer chacune de ces thérapies.
Il a rétorqué de façon automatique que tous ces progrès n'étaient qu'une illusion psychologique.
Quand un médecin dénigre des thérapies, c'est qu'il en panique, et c'est que la guérison est un danger pour sa profession.
Avec ce médecin, j'ai la preuve que tout le système est pourri de l'intérieur : toute maladie chronique diagnostiquée est donc un diagnostique superficiel masquant un manque de diagnostique profond.
Et je ne vous raconte pas l'expression de surprise qu'il a laissé paraître quand je lui ai dit que les bains glacés m'ont permis de faire un marathon pendant un jeûne.
je me suis proposé de lui faire une démonstration...
Là, il n'a pas osé me faire le coup du l'illusion psychologique...
Quand je lui ai parlé de l'hydrotomie percutanée, il a insisté sur le fait que ce n'était que du Na-Cl.
Pendant tout le long de la consultation, il était fixé sur la composition et non sur la concentration.
Il n'a absolument rien compris à l'osmose.

Ensuite, ce médecin m'a indiqué que la vitesse de libération des métaux de l'amalgame était trop faible de façon à ne pas contaminer le corps.
Cela serait « scientifiquement » prouvé, a-t-il insisté.
Je lui ai donc répondu que le sujet était débattu dans les pays frontaliers - il est resté impassible.
En dépit que la terre a été plate pendant 2000 ans, les médecins ignorent que les vérités scientifiques sont faites pour tomber.
Quand je vois qu’un scientifique obtient un prix Nobel pour le jeûne (sous l’appellation d’Auto-phagie), je ne doute pas qu’un autre scientifique obtiendra un Nobel pour la redécouverte de l’osmose (sous une autre appellation).


Ensuite, ce médecin n'a pas pu masquer son désappointement quand j'ai rapporté mes échanges téléphoniques (négatifs) avec le centre anti-poison Fernand-Widal.
Je lui ai indiqué que j'ai appelé trois fois ce centre anti-poisons et qu'ils m'ont systématiquement refusé de faire des examens de contrôle dès la prise de contact.
Il ignorait donc que les centres anti-poison font du barrage dès la prise de contact.

Au cours de la consultation, les certificats du professeur Belpomme one été dénigrés.
Le médecin a fait silence sur le DMPS.
J'ai été très insistant sur le dmps, mais il est resté définitivement muet, il était dépassé par ce mot.

Fin de la consultation.

Illustration littéraire de circonstance :
ce médecin "croit" donc en sa science comme le personnage de Dom Juan de Molière "croit" en 2 et 2 font 4 (et non "pense" que 2 et 2 font 4) .Je rappelle que ce Dom Juan finit dans un trou avec des flammes.

Édit 29 nov 2019
Grâce à un dentiste intoxiqué et invité sur une émission de radio, j'ai enfin découvert comment obtenir une reddition immédiate des médecins français, voir post : Comment parler à un médecin.

Compte-rendu de l'Aphp
Commentaire préalable au compte-rendu.
En dépit des nombreuses omissions, le compte-rendu comporte une erreur volontaire. J'ai bien une amie psychiatre mais je n'ai jamais eu de suivi avec mon amie, ni avec aucun psychiatre. En séance, le dc Bensefa-Colas m'a fait répéter cela plusieurs fois. Dès le début de la séance, dès que j'ai prononcé le mot électro-sensible, ce docteur a froissé son visage, puis il a tenté d'imposer une maladie psy. Je m'étais préparé a cette situation, j'ai réagi comme un éclair et je l'ai renvoyé dans ses buts en répondant : "et mon cul, c'est du poulet ! ". Cela l'a doublement froissé. On s'est donc pris le bec pendant les cinq minutes pendant lesquelles la consultation a duré. Mais il n'a pas tenté de recommencer jusqu'à la fin de la consultation. Le réflexe de ces médecins est donc de construire immédiatement une maladie psy. J'ai remarqué que tous les médecins essayaient d'obtenir le consentement du patient pour évoquer la psy. Il tâte le terrain pour s'y engouffrer. Si le patient se laisse faire, le médecin a gagné sa journée. Gérard de Nerval rapporte déjà cette technique dans la préface de l'un de ses textes les plus connus :"Avoue ! avoue !" : (voir post dédié : Le super-naturalisme de Nerval)

Dans Aurélia, Gérard de Nerval« Il [Alexandre Dumas] vous dira que j’ai recouvré ce que l’on est convenu d’appeler raison, mais n’en croyez rien. Je suis toujours et j’ai toujours été le même et je m’étonne seulement que l’on m’ait trouvé changé pendant quelques jours du printemps dernier. L’illusion, le paradoxe, la présomption sont toutes choses ennemies du bon sens, dont je n’ai jamais manqué. Au fond, j’ai fait un rêve très amusant, et je le regrette ; j’en suis même à me demander s’il n’était pas plus vrai que ce qui me semble seul explicable et naturel aujourd’hui. Mais comme il y a ici des médecins et des commissaires qui veillent à ce qu’on n’étende pas le champ de la poésie aux dépens de la voie publique, on ne m’a laissé sortir et vaguer définitivement parmi les gens raisonnables que lorsque je suis convenu bien formellement d’avoir été malade, ce qui coûtait beaucoup à mon amour-propre et même à ma véracité. Avoue ! avoue ! me criait-on, comme on faisait jadis aux sorciers et aux hérétiques, et pour en finir, je suis convenu de me laisser classer dans une affection définie par les docteurs et appelée indifféremment théomanie ou démonomanie dans le Dictionnaire médical. À l’aide des définitions incluses dans ces deux articles, la science a le droit d’escamoter ou réduire au silence tous les prophètes et voyants prédits par l’Apocalypse, dont je me flattais d’être l’un ! Mais je me résigne à mon sort, et si je manque à ma prédestination, j’accuserai le docteur Blanche d’avoir subtilisé l’esprit divin. »
Grâce à Nerval, j'étais paré contre l'attaque. Contrairement à Nerval, je ne me suis pas laissé faire. Ce que cherche le Dc Bensefa-Colas, c'est de faire reconnaitre par le moyen du compte-rendu un désordre qui n'existe pas. Une fois ce désordre reconnu par l'absence de remarque, ce faux-désordre devient un prétendu vrai désordre. J'attribue donc cette erreur de compte-rendu comme une démarche volontaire pour revenir à la charge. La riposte du médecin dans son compte-rendu me montre que c'est là que se situe son talon d'Achille historique. La faille est là : pas d'aveu de la part du patient : pas de maladie psy. Cela explique également sa stratégie d'adresser directement le compte-rendu au médecin traitant. Cette stratégie permet de rendre la rédaction et le cheminement des remarques très complexes de façon à faire valider ce mensonge par la grande difficulté à exprimer les remarques. Cela lui permet d'espérer de déployer son empire sur son interlocuteur en diffusant le compte-rendu hors des personnes présentes. Le machiavélisme de l'Aphp est rodé et très raffiné. C'est de bonne guerre. Avec ce mensonge, il tente de faire reconnaitre une maladie qui n'existe pas. Il tente de suggérer fortement que l'électro-sensibilité est une illusion due à une maladie psy dont le patient l'aurait reconnue par ailleurs. La ficelle est bien grosse. Le problème de la psy, c’est qu’il n’y a pas de prise de sang, il faut donc un aveu faute de mieux. Tout est bon pour obtenir l’aveu, par fourberie avec Bensefa-Colas, puis par usure avec Nerval, et enfin par torture à l’époque d’Artaud. Mais la ficelle se désamorce facilement : Un psy considère qu'une personne n'est pas malade si elle est lucide sur la finitude de la vie. On retrouve cela dans le Rouge et le Noir de Stendhal, où Julien Sorel est condamné à mort et déclare :"Il est pourtant singulier que je découvre l'art de jouir de la vie depuis que j'en voie le terme" (de mémoire).On retrouve aussi cela dans Shakespeare, "To be ...", et on retrouve cela dans tous les grands livres de la mort (Bibles, Coran, Égyptiens,...), la mort est une vieille histoire...Et voilà comment règne l'empire de la psy : c'est par le consentement du patient. Adaptation de circonstance avec La Boétie : "Soyez résolu de ne pas avouer et vous ne serez pas malade". Pour désamorcer la ficelle, il me semble donc qu'il suffit d'aborder le sujet sans trop paraître se justifier. Mais pour leur renvoyer l'ascenseur, je cite du Molière pour leur infliger une maladie de la pensée française.

Dans son compte-rendu, l'Aphp a écrit:SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Y4m7EUui1MLYvff2WrB-df0voZeRA5iXTRbpEWN5TAiswu4Gho9pIYfEiaXT8GqlIkOFs-POusYkoWv-8DJU7wDhFQ7KXhDqnfeXjMmO348ZYwTGwLJuepFkxgZ30Qf3sHZG0W8fjvgrOOV-AIWgDg-Nf0ggetxxsskEApj2LNhtmz9p6n5sDDa0AWA-ChVb5hJ?width=656&height=991&cropmode=none

Réponse de ma part à mon médecin traitant.
Remarque préalable : je n'ai vu mon médecin "traitant" qu'une seule et unique fois car il m'a redirigé vers les centres anti-poisons.
Dans sa réponse, Sophocle a écrit: Docteur X : ( docteur généraliste à qui a été adresse le courrier de l'Aphp)
le 8 juillet 2019,

Docteur,

Le compte-rendu de votre consœur Bensefa-Colas n’a pas été soumis au préalable à mes remarques. Ce manque de courtoisie est contraire aux bonnes pratiques de la rédaction et de la diffusion des comptes-rendus. J’ai des remarques à exprimer concernant le descriptif de ce compte-rendu mais elles sont anodines et elles ne concernent pas cette correspondance. Sans consultation préalable par votre consœur, je vous adresse donc directement mes remarques essentielles. Je rappelle que, tant qu’un compte-rendu de réunion n’a pas reçu les remarques des personnes présentes, ce compte-rendu est susceptible d'être frappé de nullité. J’exprimerai l’intégralité de mes remarques si votre consœur dédaignait me consulter.

À propos des symptômes d’électro-sensibilité, si vous désiriez entendre un deuxième avis institutionnel, voulez-vous bien visionner les conférences] du Collège-de-France du Professeur-titulaire Sanchez du 4 décembre 2013 et du 27 janvier 2016 disponibles sur le site du Collège-de-France. En dépit que vous le sachiez déjà, je rappelle que le Collège-de-France est une des plus hautes institutions universitaires et que ces conférences sont de larges et profondes revues de littératures scientifiques établies par les plus grands scientifiques.

Dans ces conférences, vous y trouverez que les nanoparticules de métaux-lourds magnéto-sensibles en nuage élèvent la température des organes quand elles sont soumises à un champ magnétique alternatif. Cette technique est utilisée en cancérologie pour tuer les tumeurs. Par voie de conséquence, vos confrères savent déclencher des phénomènes que votre consœur nie. Avec ces conférences du Collège-de-France et en dépit de l'éloquence de votre consœur, je suis donc désormais très à l’aise pour faire un lien institutionnel entre mes symptômes et l’électro-sensibilité.

Quant aux métaux-lourds, leur toxicité est décrite en détail au cours du 28 janvier 2015 par ce même professeur. L’inflammation chronique et l’œdème chronique sont des réponses à une forte intoxication aux métaux-lourds. Cela explique également de nombreux symptômes hors électro-sensibilité.

Outre le Collège-de-France, le professeur Belpomme a présenté ses conclusions concernant l’électro-sensibilité à l’Assemblée Nationale. De surcroît, certains pays membres de l’Europe reconnaissent l’électro-sensibilité. J’ajoute que MM. les Présidents Mitterrand et Chirac ont gracié votre confrère, le Docteur Maschi, qui traitait les électro-sensibles et qui a été radié par l’ordre des médecins - voir article de presse joint. Ces grâces présidentielles suggèrent très fortement que les plus hauts représentants des français ne partagent pas le point de vue de l’Ordre des Médecins sur l’électro-sensibilité. Contrairement à ce que sous-tend votre consœur, il existe un vaste débat scientifique, politique, national et international sur l’électro-sensibilité. En dépit de l’arbitrage précoce de l’Anses, le consensus scientifique n’est absolument pas établi.


Quant à l’empoisonnement aux métaux-lourds par les amalgames, la littérature scientifique internationale est très abondante et les dentistes allemands ont aujourd’hui l’obligation d’informer leurs patients sur le risque d’un empoisonnement par l’amalgame dentaire. Quoiqu'il en soit, la France et les pays membres de l’Europe se sont politiquement engagés depuis plusieurs décennies dans un vaste programme supra-national d’interdiction du mercure, y compris des amalgames pour des raisons de pollution. Quelque soit l'avis de votre consœur, tôt ou tard, le législateur français mettra fin à l’imprudence du maintien de la pratique des amalgames dentaires au mercure. Les premiers bénéficiaires de cette disposition seront vos confrères dentistes dont l'état de santé est alarmant.

Au cours de la consultation, j’ai informé votre consœur que le mot « Amalgame » fermait toutes les portes des centres anti-poison français. J’ai été refoulé trois fois dès la prise de contact par téléphone, donc avant contrôle, par les centres anti-poisons. Vous trouverez un rapport de ces pratiques courantes dans une émission de France Culture « Les pollutions de l’invisible, les mercuriens », de La Série Documentaire, disponible en podcast. J’ai également indiqué que le diagnostique allemand était positif alors que le diagnostique français était négatif. Je joints donc une revue de littérature scientifique qui confirme que la prise de sang (diagnostique officiel français) ne corrèle pas avec la charge corporelle. Toutes ces informations sur mon parcours de santé sont essentielles mais elles n’ont pas été consignées par votre consœur dans son compte-rendu. Je vous informe que si j'appelle un centre anti-poison en invoquant les amalgames, ce n'est pas pour faire de la politique mais pour donner une information qui me semble essentielle de communiquer.

Au cours de la consultation, votre consœur a déclaré que les échanges cellulaires n’étaient pas régis par la loi d’osmose. Je vous invite donc à suggérer à votre consœur qu’elle annule à jamais tous ses rendez-vous avec les visiteurs médicaux et qu’elle reprenne le chemin de la formation. Sur le site du Collège-de-France, elle découvrira comment éviter ou guérir 50% des cancers en France. Sur internet, elle découvrira des témoignages de personnes auxquelles vos confrères ont affirmé qu’elles allaient mourir du cancer ; cependant, suite à l’application des préconisations du Collège-de-France, ces personnes ont été l'objet d'une rémission de cancers de phase 4.

À la fin de la consultation, j’ai demandé avec insistance à votre consœur si elle souhaitait exprimer une idée sur mes symptômes. Votre consœur a factuellement répondu : « Non ». En séance votre consœur a donc consenti qu’elle était totalement dépourvue de solution devant mes symptômes. Cependant, je confirme que si je remarche, si je reparle et si je réécris, c’est grâce à la médecine allemande et à son traitement chélateur de métaux-lourds. En dépit que la médecine allemande me désempoisonne de façon continue et salvatrice, votre consœur écrit un compte-rendu dans lequel elle indique qu’elle se tient à disposition mais où elle fait également comprendre qu’elle est toujours autant dépourvue de solution. Sans solution, une mise à disposition perd un peu de son intérêt.

Le compte-rendu de votre consœur est rédigé de façon à omettre les débats scientifiques, à omettre les conférences du Collège-de-France, à ignorer les avis présidentiels, à ne pas consigner des informations importantes que j’ai exprimé, à masquer l’impuissance de la médecine française devant la puissance de la médecine allemande, à masquer la défaillance des diagnostiques français et à ne pas rapporter les pratiques de vos confrères toxicologues.

En conclusion, pour parachever mon désempoisonnement, je vous confirme que la médecine allemande opère peu-à-peu une rémission intégrale sur mes symptômes. Devant tant de négligences de votre consœur, devant son manque d’intérêt pour les débats scientifiques et pour les conférences du Collège-de-France, devant ses lacunes, devant son aveu à peine voilé de manque de solution, et devant la réussite éclatante de la médecine allemande, mon calcul bénéfice/risque me suggère de ne pas donner suite à sa proposition de mise à disposition.

Veuillez agréer, Docteur, l’expression de mes salutations bien cordiales.
(Sophocle)

Original : Docteur X.
Copie : Docteur Bensefa-Colas, par R.A.R.

Correspondance au docteur de l'Aphp.
Sophocle a écrit:À : L. Bensefa-Colas
Paris, le 12 juillet 2019.
Docteur,
Je vous adresse les remarques que j'ai adressé à votre consœur. Prenez ces remarques comme si je vous les avais adressées directement.

La duplicité que vous affichez à vous échanger des informations entre médecins sans consulter vos patients m'éclaire sur le contrat de défiance que vous instaurez entre vous et vos patients. Je vous rappelle que le 14 juillet 1789, les français se sont réunis pour instaurer le droit d’expression sur ce qui les concerne. Je vous invite à surveiller avec beaucoup de zèle que vos comptes-rendus demeurent conformes aux bonnes pratiques. Les bonnes pratiques sur le droit à l’expression sont des valeurs que les français aiment à faire respecter. Le service public se doit de montrer l’exemple, et il s'en dégagera un contrat de confiance.

Avec la présente, j'ajoute une remarque qui ne concernait pas directement votre consœur. Votre compte-rendu comporte également une coquille : je n’ai jamais été suivi par un psy ni à titre amical ni à titre professionnel. Je vous ai indiqué que j'avais une amie personnelle qui est psychiatre et chef de service à l'hôpital. Cette amie était le témoin de mes symptômes de fatigues. J'avais jugé utile de vous en informer pour donner de la force à mon témoignage. Cependant, j'ai déclaré en séance que je n'ai jamais évoqué aucun de mes symptômes avec mon amie. Avec mon consentement, mon amie se tient à votre disposition pour témoigner dans la plus grande confidentialité entre professionnels.

Si je ne consulte jamais de psy,

  • ce n’est pas parce que, selon la mythologie grecque, Œdipe est le seul homme à ne pas avoir le complexe d’Œdipe (il n'y avait pas de désir chez Œdipe mais de l'ignorance),
  • ce n’est pas non plus parce que dans «Entretien et psychanalyse : Sigmund Freud et la technique psychanalytique” par Bernard Dantier, Freud écrit : "Les psychoses, les états confusionnels, les mélancolies profondes — je dirais presque toxiques — ne ressortissent pas à la psychanalyse." »,
  • ce n'est pas non plus parce que Deleuze a forgé le concept d'anti-Œdipe.
  • ce n’est pas non plus parce que,  selon la technique existentialiste de Sartre, on peut suggérer que Freud couchait avec sa mère,
  • ce n’est pas non plus parce que Shakespeare, Molière et Hugo (et tant d’autres grands auteurs) sont très sévères envers la médecine française,
  • ce n’est pas non plus parce que les grands auteurs français et anglais contribuent significativement à la défiance des français contre leurs médecins allopathique,
  • ce n’est pas non plus parce que je suis un traducteur de Shakespeare,
  • ce n’est pas non plus parce que plusieurs grands auteurs empoisonnés (Artaud, Nerval, van Gogh) ont écrit sur leurs symptômes et sur l'impuissance des médecins français,
  • et, ce n’est pas non plus parce que les êtres humains sont des mortels.



En off : si jamais on me demandait pour quelle raison je ne consultais pas de psy, je répondrais alors que c'est parce, dans le Cid, Rodrigue tue son beau-père et non son père. L'épée trempée dans le sang du père de Chimène et brandie sur scène devrait aider les psy à comprendre ce qu'il y a à interpréter. Le théâtre confère une légitimité que les disciplines psy ne peuvent atteindre. Dans Cymbeline de Shakespeare, il y est dit qu'il ne manque que le souffle pour qu'une statue soit belle...Cela veut dire que tout discours qui ne reçoit pas le succès des planches n'est pas vraiment reconnu par le public.

En complément des remarques dressées dans le courrier du 8 juillet, j'ajoute un point de détail :
Si j'évoque les amalgames, ce n'est pas pour faire de la politique médicale, mais c'est pour exprimer des information qui me semblent essentielles. Seule la grille de symptômes d'un empoisonnement aux métaux-lourds correspond à mes symptômes. En quoi me répondez-vous par des revues de littératures scientifiques ?
Selon la méthode de Nietzsche, je me suis donc demandé de quelle maladie votre besoin de répondre par une revue de littérature était le symptôme.

Et, pour étayer mon calcul bénéfice/risque, j'ajoute un extrait d'une pièce de Molière qui illustre votre démarche :
Médecin Diafoirus : A vous en parler franchement, notre métier  auprès des grands ne m'a jamais paru agréable ; et j'ai toujours trouvé qu'il valait mieux pour nous autres demeurer au public. Le public est commode. Vous n'avez à répondre de vos actions à personne ; et, pourvu que l'on suive le courant des règles de l'art, on ne se met point en peine de tout ce qui peut arriver. Mais ce qu'il y a de fâcheux auprès des grands, c'est que, quand ils viennent à être malades, ils veulent absolument que leurs médecins les guérissent.
Toinette : Cela est plaisant ! et ils sont bien impertinents de vouloir que, vous autres messieurs, vous les guérissiez. Vous n'êtes point auprès d'eux pour cela ; vous n'y êtes que pour recevoir vos pensions et leur ordonner des remèdes ; c'est à eux à guérir s'ils peuvent.
Il s’agit d'un extrait du « Malade Imaginaire », c’est-à-dire de l’histoire d’un homme dont la maladie est inventée par le médecin.

Veuillez agréer, Madame, l’expression de mes salutations citoyennes.
(Sophocle)

Original : Docteur Bensefa-Colas - par RAR.
Copie : Docteur X.
Annexe : correspondance du 8 juillet 2019 au Docteur X.


OCTOBRE 2020
Suite à la découverte que les références des métaux stockés n'avaient pas été établies par les sociétés françaises de toxicologie (voir : STC), j'ai repris rdv avec Bensefa-Colas pour lui expliquer la chose.Avant même que je n'ai pu m'exprimer, elle m'a expliqué que mes hautes valeurs de mercure sur mes tests de provocation ne signifiaient pas une problématique sur le mercure, elle a ensuite ajouté qu'elle ne pouvait rien pour moi.J'ai rétorqué en lui expliquant que les tests de provocation étaient "tombés" parce que les taux augmentaient chez tous (sic STC, voir : CAP).j'ai ajouté que mon diagnostic n'était qu'une page blanche faute de référence en population générale.Elle est resté muette, elle a acquiescé que je l'avais confondue.Elle a ensuite essayé de me déstabiliser, mais je suis resté stoïque et la fixant sans instance dans les yeux, cela l'a coupé net.Puis, elle a reconnu la chose à demi-mot, elle a dit : "c'est le besoin de comprendre".Fin de l'entretien.Le fait de lui montrer que je connaissais les ressorts du divan a effacé la précédente entrevue où je n'avais pas réussi à la confondre.

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty Re: SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 14:10

le Jeu 30 Mai 2019 17:15, un_ptit_gars a écrit:Et bien quel épopée Sophocle!
Content en tout cas de lire régulièrement tes longues proses et ton parcours, y a tjrs de bonnes infos a prendre et le ton humouristique n'est pas déplaisant a lire Wink

Au plaisir et merci de contribuer au forum de part tes réflexions Smile

Pti gars

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 14:10

Ven 31 Mai 2019 11:19

:hello:  
Merci pour ton soutien, Pti-Gars.  :jap:

Je m'amuse à écrire comme un pti-fou.  
Il est à craindre que je sois atteint d'un "cancer" de la prose : les mots se divisent sans contrôle et se multiplient ...   :sarcastic:
Ça a l'air incurable, je suis shooté au forum mélodie.  :hic:
Ça me fait beaucoup de bien, ça fait parti de la reprise de confiance en soi...

Avec grand plaisir de contribuer au forum.
Au plaisir.  

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty Comment faire reconnaitre l'intoxication ?

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 15:42

22 Janv 2020 09:40

Ces démarches sont vaines. - 6 oct 2020
Seule l'obtention des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale permettre d'obtenir la reconnaissance.
voir post toxico en toc.


Devenu obsolète, je désactive donc ce post.

Proposition de méthode :
■ Faire une chélation (iv ou chélasso).
■ Faire un échantillon d'urines (demander un récipient en pharmacie ou en laboratoire).
■ Faire une analyse chez Microtrace (bouquet de 30 métaux d'un coup ou plus pour un prix de gros : +/-100€).
■ 7 jours après la première chélation au plus tôt, refaire une chélation (iv ou chélasso).
■ Faire une prise de sang ou refaire un échantillon d'urines (1,5h ou 2heures max après la fin chélation).
Nota : Il est plus simple de gérer un prélèvement d'urine 2 heures après une chélation plutôt qu'une prise de sang pour laquelle il faut se rendre au labo et que le personnel fasse la prise de sang dans les délais.
■ Chez un laboratoire français, faire une analyse des métaux sortis positifs selon Microtrace car se commande à l'unité.
Si possible : faire une ordonnance au préalable et demander au médecin traitant de prendre contact avec le centre anti-poison.
le dossier est ainsi bien mieux bordé, puis le centre anti-poison prendra contact dans les jours suivants.
■ Sinon, appeler un centre anti-poison par soi-même, ils vont demander d'envoyer les résultats français par fax ou par mail.
Surtout, même s'ils frôlent le sujet sans l'évoquer explicitement, ne jamais parler d'amalgames dentaires, absolument (voir annexe du post sur la peinture au plomb), prétexter de vieilles canalisations avec une eau acide, ou des vacances à proximité d'une ancienne mine désaffectée,  (mines de France - wiki), ou un thermomètre cassé.
■ Le jour de l'examen avec prise de sang, boire une chélasso deux heures avant le rendez-vous.
■  Préparer une bouteille de secours à siroter au cas où la prise de sang ait lieue tardivement.
■  faire quelques exercices pour bouger la lymphe (marcher, monter des escaliers,...).
Répéter la chélation juste avant chaque examen.


Remarques
° Pour les personnes qui ont porté des amalgames, il est possible de passer directement à l'étape d) en ciblant le mercure et le cuivre, mais si négatif, il faudra reprendre en a).
° À ce jour j'ignore s'il faut dire qu'il y a eu une chélation, il reviendra donc à chacun d'exprimer ou de ne pas exprimer si une chélation a été réalisée pendant la prise de sang.
° Pour les personnes pour lesquelles le goût de souffre est rédhibitoire, Il est peut-être possible de faire des chélassos uniquement avec l'Edta- à voir selon analyses.


Références pour le plomb
Avec une chélation juste avant la prise de sang, les concentrations des métaux dans le sang devraient suffisamment augmenter pour passer au-dessus des références françaises.Cependant, les valeurs de références françaises pour le plomb sont très très élevées (200mcg), il me semble que la moyenne des chélations ne parviennent pas à telles valeurs.Mais il est toujours possible de discuter avec les centres anti-poisons.Il est peut-être possible que la multiplication d'analyses dont la valeur de plomb est intermédiaire pourrait aider à une prise en charge.De plus, le prix d'une analyse pour le plomb est peu élevé et, selon les périodes, c'est remboursé.Pour le plomb, il sera peut-être préférable d'indiquer qu'il s'agit d'une chélation de façon à mettre en évidence que les valeurs faibles ne parviennent pas d'une intoxication aigüe.


Extra
Avec cette méthode, le centre anti-chélation est ainsi placé dans un fût.  Twisted Evil

Centre anti-poison
J'ai appelé le centre anti-poison, ils m'ont ressorti mon dossier en quelques secondes, je leur ai dit que j'avais des analyses positives faites en France.Comme si j'étais un menteur, ils m'ont demandé dans quel labo.Avec leurs médecins abusivement radiés et graciés par les présidents de la république et avec leurs médecins condamnés en justice pour attouchements et non radiés par l'ordre, ils ont tout pour plaire. Ils m'ont demandé d'envoyer une copie des analyses par mail et ils m'ont dit qu'ils me rappelleraient.La valeur du cuivre n'est pas aussi forte que les résultats de Microtrace, mais elle est au-dessus de la norme française.S'ils me refoulaient, je porterai plainte pour non assistance à personne en danger.      Quand j'ai fait mes premières chélassos, je n'ai pas pensé à faire ces analyses, cela est une erreur car je ne peux pas justifier de l'intoxication forte avec un labo français.Cependant, mes analyses chez Microtrace sont éloquentes pour démontrer la véracité de l'intoxication.De plus, il me semble opportun de faire des analyses sans traitement de façon à montrer, lorsque cela sera nécessaire, que l'intoxication est cachée derrière le sang.

Analyses de l'intra.
Après avoir nettoyé l'extra avec une vingtaine de chélassos, les analyses de mercure montrent un taux faible, mais il me reste à vérifier que l'intra n'est pas intoxiquer.Je ne sais pas encore trop comment m'y prendre.Les Cédéi-asso de lécithine et de DMSA et EDTA n'ont pas vraiment d'effet éclatant, mais les iv de DMPS donnaient des analyses positives en dépit qu'elles n'avaient pas d'effet éclatant. Il faudrait donc quand-même que je tente des analyses au cas où.Des analyses après l'antidote BAL semblent plus pertinentes pour tenter de démontrer cela.... J'avais oublié que l'ALA était lipophile...Je vais donc mettre de côté ces expériences avec la lécithine et les chélateurs hydrophiles.

Sophocle

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty CENTRE ANTI-POISON - 06 - RDV

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 15:47

Ven 31 Jan 2020 19:07
Voici la lettre de rdv au centre anti-poison.
J'ai pu obtenir ce rendez-vous grâce aux extrassos (ex-chélassos) et aux analyses dans un labo français.
Mais d'ici mars, je serai peut-être totalement désintoxiqué. hahaha

Edit : je dois préciser que je n'ai pas eu d'entretien avec un médecin lors mes échanges récents avec le centre anti-poison.
Remarque : j'ai attendu la 20è extrasso pour faire mes analyses, cela est tardif car les ml de l'extra ont été éliminés, les valeurs de mes analyses sont certes basses mais elles ont été suffisantes pour  bénéficier d’un rdv .
Si ces valeurs sont juste au-dessus des normes, j'attribue cela au rebond faute de meilleure explication.
À cause des faibles valeurs, il me semble que j'ai peu de chances d'obtenir une reconnaissance, mais je vais quand-même tenter le coup.
Je rapporterai ici les demandes du médecin, prélèvements sanguins ou autre...




SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Y4m7Dw0TdUkQIDb0HYqs002ifHUCQ-V5iNTyg_-53XbWfy-Go56eooQOPiQ82IlQF_YF5LPiKICe7mif8ufBL3CbnqC9mqEcAduvoVQ1-ZLCKVwRzNt3GFQ7DYrMBTvPoNK3q2OKqDrvgaOnc_s-jWq8TinL_WyssX3LmrFg7zMRbQ4MmL5GEtgTLFST37qsgUsBlbMqwHlqbgK82FFosooAQ?width=377&height=543&cropmode=none


Édit 16 avril 2020 - report et annulation

Suite à ma plainte, j'ai reporté ce rdv de consultation en avril pour réfléchir à ce que je devais faire.Suite au Covid, le service d'intoxication a annulé le rdv et reprendra rdv après le confinement.Mais, j'ai décidé de ne pas reprendre rdv pour trois raisons :
[*]Avec la plainte, il me semble qu'il est interdit de voir la partie adverse.
Si je m'y rendais, cela pourrait entraver la plainte.
[*]Il a fallut menacer de porter plainte pour avoir ce rdv.
Le médecin ne sera donc pas serein.
[*]De plus, j'ai énormément avancé sur le traitement de l'intoxication.
En dépit que des symptômes de ml demeurent, mes analyses récentes sont négatives.
Je n'ai donc aucune chance d'être reconnu y compris si je parvenais à imposer le test de provocation...


Édit 3 fév.
Autre sujet : grosse intrasso le 2 fév.


1,2g d'Ala ; 20cl d'hv ; 1,25g de léc. soja ; 3g BCS ; 0,75 l + activités sportives.Pas d'effets éclatants, mais il me semble qu'il y quand-même quelques soulagements à distance.J'ai envoyé un échantillon pour analyses (mercure, cuivre, plomb) dans un labo français.Je souhaite un peu voir ce que donne l'Ala.Je m'attends à des valeurs basses mais je pourrai les comparer à des analyses sans traitement de façon à apprécier l'efficacité de l'Ala. Résultats entre 1 et 5 semaines (question délais, les allemands sont imbattables).

Consultation avec le Docteur LABORDE CASTEROT. - Édit 16 juin.
Entre un premier report et entre le confinement, la consultation prévue au 17 mars a lieue par téléphone ce jour 16 juin à 11h30.Le docteur avait pris connaissance de mon dossier passé (diagnostiques MTM, mercure, plomb, arsenic, cuivre) et de mon intoxication récente au cuivre via le diagnostique français.Je lui ai indiqué que j'avais déjà porté plainte contre son service.Je lui ai annoncé que, en dépit de mes traitements, j'étais encore porteur de symptômes, problème concentration, pb conversation, pb épaule, pb peau.Il m'a demandé la cause de l'intoxication, j'ai répondu amalgames (chose qui ne faut faire pour qu'il traite, mais je déterminé à passer par voie juridique)Avec insistance, je lui ai indiqué que j'étais demandeur de son aide.Le docteur m'a fermement annoncé que les centres antipoison ne traitent jamais les intoxications qui ne sont révélées qu'après l'antidote.Il m'a formellement annoncé qu'il ne reconnaitrait pas mon intoxication ni passée, ni présente.Je lui ai répondu que j'allais chercher à obtenir cette reconnaissance par voir judiciaire, cela ne l'a pas fait céder.La consultation a duré 12 minutes. ...17 juin. J'ai fait un complément de plainte contre ce médecin ce jour pour raconter son refus de traiter.... Avec mon diagnostique positif établi dans un labo français, ce médecin semblait quand-même très géné.Au niveau juridique, ce document (diagnostique français) l'a forcé à me dire qu'il ne traitait pas l'intoxication parce qu'elle était révélée par la chélation.Or dans mes échanges précédents, les cap me demandaient de revenir avec un diag français comme si un papelard était nécessaire pour traiter.Avec ce petit bout de papier, ils craignent les plaintes.Même si les centres anti-poison m'ont refusé, ce bout de papier est une arme juridique.Faîtes donc vos diagnostiques en France, svp.Encore quelques coups de butoir, et ils tombent.J'ai vu des centaines de personnes se faire faire de iv.Avec une dizaine de diagnostiques français, ils vont peut-être céder... ... De plus, ce médecin a joué son va-tout en essayant grotesquement de m'embobiner : "Qu'allez-vous faire d'une reconnaissance ? - cela ne sert à rien ..." C'est-à-dire qu'il a tenté de minimiser l'intoxication comme si son refus de traitement était anodin.En dépit de ma fermeté et de ma retenue, il n'a eu de cesse de tenter de me faire renoncer.Pour qu'il me prenne au téléphone après m'avoir jeté en dépit de 4 années de diagnostique allemand, c'est qu'il était coincé....Suite à une avis juridique, il faut exiger un compte-rendu de consultation de façon à le transmettre au dossier de plainte.Si pas de CR, faire un RAR en exigeant le CR.

Défenseurs de droits
J'ai pris rdv avec le service de défenseur des droits.Rdv fixé le 30 juin 2020....Rdv. L'interlocuteur n'était pas étonné que les centres anti-poison pouvaient refuser de traiter les personnes intoxiquées dont l'intoxication ne rentraient pas dans les bonnes cases.Selon l'interlocuteur, il suffirait que cela soit écrit dans un document pour que cela soit valable.Mon interlocuteur a demandé à ce que j'envoie mon dossier par mail.J'ai raconté l'histoire des menaces publiques envers le service de chélation de l'hôpital de Rouen.Bien qu'il m'a fait comprendre que cela ne concerne pas mon histoire personnelle, il a quand-même demandé à ce que je joigne ce document à mon envoi.Je vais bien ciseler cette histoire : menaces, fermeture du service de rouen, impossibilité de traiter ailleurs sauf à l'étranger ou chez des médecins qui ne font pas d'acte.Il me faut encore collecter quelques pièces, cr de consultation, règlement intérieur...

Représentante des relations avec les usagers de l'hôpital Lariboisière. - 30 juin 2020
J'ai raconté le refus de traitement par le docteur Laborde.Mon interlocutrice à répondu qu'un médecin, qui refusait de traiter, avait obligation de donner le nom d'un médecin qui traite.Comme les centres anti-poison profèrent des menaces publiques envers les médecins qui traitent, le docteur Laborde ne m'a évidement pas donné de nom de médecin qui pourrait traiter.J'ai demandé à connaitre le règlement qui permettait au docteur Laborde de me dire que les centres antipoison refusaient de traiter tous les intoxiqués dont l'intoxication était uniquement révélée par l'antidote.Mon interlocutrice s'est proposée de poser la question au docteur Laborde et de revenir vers moi.... en attente du retour.

À la représentante, j' a écrit:Madame, Suite à notre échange téléphonique d'hier concernant ma demande d'information à propos du règlement qui permet au Docteur Hervé Laborde Castérot de me répondre que les centres antipoison ne traitent jamais les personnes intoxiquées dont l'intoxication n'est révélée que par un dosage urinaire des métaux-lourds post-chélation, j'adresse une demande complémentaire.Cependant, auparavant, lors de notre échange, vous m'avez indiqué que le médecin, s'il refusait de traiter, avait l'obligation de donner une adresse de médecin qui traiterait.Je vous confirme qu'il n'existe plus, en France, de médecin qui traite les intoxications aux métaux-lourds hors centre antipoison. Sans la nommer, en pièce jointe, je vous adresse les menaces publiques que le centre anti-poison de Marseille à proféré, en 2015, à l'égard du Docteur Marie-Christine Boutrais du CHR de Rouen qui traitait les cas comme le mien.Suite à ces menaces, à cette page : « https://toute-la.veille-acteurs-sante.fr/48452/lhopital-public-abandonne-plusieurs-centaines-de-patients-qui-frappaient-a-ses-portes-communique/ », est rapporté le fermeture de l'unique service de traitement des métaux-lourds (hors Centres antipoison).De plus, il n'existe pas de médecin en ville qui traite officiellement.Je vous confirme que les intoxiqués se rendent à l'étranger ou s'auto-traitent.Comme évoqué en tête de message, voici ma demande complémentaire : Je souhaiterai bénéficier du dossier complet que l'hôpital détient sur moi (consultations, échanges téléphoniques, et toute autre information).À cette fin, je dresse, ci-après la liste exhaustive de mes échanges avec l'hôpital.- 2014 et 2015  : appel à la plateforme téléphonique du CAP de Paris.Par quatre fois, la plateforme a promis de me rappelé mais elle n'a jamais rappelé.Il me semble qu'aucun dossier n'a été ouvert.À tout hasard, voici le numéro de téléphone avec lequel j'ai appelé : 06 xx xx xx xx.- Novembre 2018. xxxxx xxxxx (médecin-généraliste à Paris) a  contacté le centre anti-poison suite à une consultation.Le centre m'a rappelé pour convenir d'un rendez-vous, j'ai indiqué que j'étais intoxiqué mais que le test sanguin était négatif.Après confirmation auprès d'un médecin, la secrétaire m'a informé qu'il n'y aura jamais de traitement car le sang était négatif, puis la conversation a pris fin.- Mai 2019 : Appel et envoi de diagnostiques allemands par mail du 13 mai 2019 à 10:23 à l'adresse : cap.paris.lrb@aphp.fr - dossier xxxxxx.Un médecin m'a rappelé, il a demandé à ce que j'explique ma situation.Après 20 minutes de consultation, il m'a demandé si j'étais fumeur, ou chasseur, j'ai répondu non, j'ai dit que mon intoxication parviendrait des amalgames dentaire, le médecin a dit au revoir et il a raccroché.- Octobre 2019. J'ai rappelé le centre anti-poison, je me suis présenté et mon interlocuteur a retrouvé mon dossier informatique.Il m'en suite demandé de revenir avec un diagnostique établi en France.- Janvier 2020 : appel et envoi de diagnostique français par mail du 22 janvier 2020 à 9:33 à alertes.rtu.lrb@aphp.fr - dossier xxxxxxxx.En l'absence de rappel pendant 72 heures, j'ai rappelé et j'ai menacé de porter plainte.Suite à quoi, j'ai obtenu un rendez-vous de consultation sur le champ dont la copie est placée en pièce attachée.Pour diverses raisons (demande personnelle de report puis Covid), la consultation prévue le 17 mars 2020 a eue lieue le 16 juin 2020 à 11:30 par téléphone.C'est à cette consultation que le médecin m'a adressé une fin de non recevoir.En l'absence de compte-rendu, j'ai adressé, hier, une demande de compte-rendu au secrétariat. Je me tiens à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.Je vous prie, Madame, de bien vouloir recevoir mes meilleures salutations.SophoclePièces attachées : - article du CAP de Marseille dont la publication en line est encore disponible : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352007815000645 (centreAntipoison.pdf)- confirmation de rendez-vous par l'hôpital : CAP28janv2020.pdf- diagnostiques allemands et français : Diagnostiques.zip - pièce d'identité

En copie aux équipes du CAP, la fameuse représentante m' a écrit:Je viens vers vous suite à notre discussion d’hier relative à votre demande concernant le règlement intérieur où serait stipulé les modalités de prise en charge du patient par un praticien et sur le plan du droit, il n’est pas possible d’apporter une réponse générale : tout refus de soins ne pourrait légitimement être opposé à un patient qu’au cas par cas, au regard des circonstances particulières de chaque espèce. La loi prévoit en effet que « le droit du malade au libre choix de son praticien et de son établissement de santé est un principe fondamental de la législation sanitaire » (article L. 1110-8 du code de la santé publique).  Le médecin ne peut se dégager de sa mission que dans des cas très particuliers, en invoquant des raisons personnelles ou professionnelles, mais il doit alors en avertir le patient, et transmettre au médecin désigné par celui-ci les informations utiles à la poursuite des soins (articles L. 1110-3, L. 6315-1 et R. 4127-47 du code de la santé publique). Cela étant, j’ai contacté le Docteur LABORDE qui m’a indiqué qu’il n’y a pas eu refus de soin puisque vous  avez bénéficié d'une téléconsultation de pathologie environnementale avec lui mais que vous avez souhaité obtenir une prescription pour traiter une intoxication par des métaux selon des modalités contraires aux recommandations de bonne pratique médicale française, ce qu’il a refusé. Je rajoute en copie de nos échanges le Docteur LABORDE afin qu’il prenne connaissance de votre témoignage et qu’il donne suite à votre demande de communication de dossier médical.

En réponse, Sophocle a écrit: Quitte à passer par des menaces publiques, les prétendues bonnes pratiques des centres anti-poison consistent exclusivement à interdire des diagnostiques d'urine suite à l'injection de l'antidote de facon a produire un faux-négatif sanguin.Semer la terreur sur les médecins français et interdire un diagnostique d'urine sont très singuliers.Cela n'est vraisemblablement pas de bonnes pratiques médicales.Ces prétendues bonnes pratiques sont en indélicatesse avec le visage de l'humanité.J'ai donc demandé à la justice que les centres antipoison nous expliquent leurs bonnes pratiques dans le détail.En attendant, je vous adresse le jugement de Victor Hugo sur le métier du Docteur Laborde : Une science tout entière peut tomber en somnambulisme. La médecine est particulièrement sujette à cet accident. ... Cependant mourait qui voulait. Les malades avaient la fièvre et les médecins le délire.  source : Chapitre Promontorium somnii, Victor Hugo dans le William Shakespeare.Je vous rappelle que selon le Collège-de-France, le million de personnes porteuses d'Alzheimer sont toutes intoxiquées aux métaux-lourds dont le diagnostique sanguin est négatif et dont le diagnostique d'urine après traitement est positif. Liens des conférences du Collège de France :

Avec ces deux conférences, il me semble très fortement que vos « bonnes » pratiques sont dans le collimateur du Collège-de-France. En consultation, Monsieur Laborde m'a indiqué qu'il souffrait de mon manque de courtoisie ; par voie de conséquence, je profite de ce message pour indiquer à Monsieur Laborde que, s'il ne répondait pas à mes demandes (CR + dossier), je tenterai à ce que la justice lui fasse courtoisement la demande.Madame,  pour être clair :Avec ces conférences, et avec l’interdiction du diagnostique urinaire post-chélation, aux très nombreuses personnes porteuses de métaux-lourds, les médecins les informent qu'elles n'ont absolument pas de métaux-lourds. J’accuse donc les prétendues bonnes pratiques médicales françaises d’être, au moins, les coupables de tous les malades d’Alzheimer. Madame, je réitère ma demande : Avez-vous, OUI ou NON, un texte qui dise que mon diagnostique positif aux métaux-lourds n’est pas recevable ?Merci d'avance. En souhaitant une bonne santé aux français.
Meilleures salutations
Sophocle


En réponse, la représentante a écrit:Lors de nos échanges, il n’a jamais été question de remettre en cause le diagnostic, le Docteur LABORDE pourra compléter mon message.

En réponse, Sophocle a écrit:Je confirme votre déclaration : il n'a jamais été remettre en cause le diagnostique.En dépit que vous ne répondez pas à ma question, je prends note que vous n'avez pas de texte qui encadre les refus de traitement en dépit de diagnostique positif.À défaut de réponse, la réponse à ma question est donc NON.


Au docteur Laborde (+copie représentante et secrétaire), Sophocle a écrit:Bonjour MONSIEUR.

Suite à vos déclarations à Madame la représentante,

Je vous prie de bien vouloir m’informer des textes réglementaires qui prescriraient les modalités conformes aux bonnes pratiques médicale française dans lesquelles il serait prétendument interdit de faire une analyse de métaux-lourds après une chélation dont l’acte est constitutionnellement libre de droit pour tout citoyen.
En dépit que cela n’est pas dans la constitution, je vous rappelle que j’ai le droit de faire pipi quand je veux, y compris au moment opportun pour révéler une intoxication tissulaire (= non sanguine).

Vous demandez un diagnostique pour traiter, je vous l’ai fourni.

À ce jour, pour me refuser un traitement, vous n’avez rien proposé de mieux que des bonnes pratiques chamaniques (=non consignées par écrit).
De plus, il n’existe pas de meilleur texte qu’une vulgaire page internet dans laquelle des pseudo-interdictions publiques sont proférées par des prédicateurs-intoxicologues marseillais suivies par des menaces de mort voilées : « Il faut agir », envers une médecin française d’un CHR qui pratique des analyses post-chélation.
Ces menaces démontrent que vous n’avez pas de recours juridique pour imposer vos prétendues "bonnes" pratiques.

Je vous confirme qu’il n’existe pas de texte qui interdise de traiter une intoxication quelle que soit les modalités de la preuve. Un tel texte serait une trahison à la bonne santé, une trahison à la médecine, et une trahison à la réunion des français qui a eu lieue le 14 juillet 1789. Heureusement, un tel texte n’existe pas. Un tel texte nécessiterait une validation du conseil constitutionnel. La réponse que vous faite à tous les français, dont moi, fait de vous le portier de l’enfer.

Je vous confirme que j’ai bien demandé à être traité pour une intoxication. Vos petits chichis concernant les modalités de la preuve vous disqualifient du visage de la médecine et du visage de l’humanité.

En souhaitant une bonne santé aux françaises, aux français, et aux médecins.


Par Rar, Au Docteur Laborde, Sophocle a écrit:Docteur,
(Copies représentante et secrétariat)
Je vous prie de bien vouloir m'adresser un compte-rendu de la consultations du 16 juin (initialement prévue en mars).
Je vous prie également de bien vouloir m'adresser mon dossier complet, dont des détails sont placés en pièce attachée.
Suite aux échanges avec Mme la représentante, je vous prie de bien vouloir m'adresser les textes réglementaires encadrant les bonnes pratiques médicales françaises.
Au cours de la consultation, vous m'avez indiqué que le centre anti-poison ne traitait pas les intoxications dont le diagnostique était établi post-chélation. Je vous fait part de mon plus grand étonnement d'une telle politique médicale. Faute de solution alternative en France, je vous annonce donc mon souhaite d'engager un recours.
Veuillez agréer, docteur, l'expression ...
Sophocle

COMPTE-RENDU de la main du docteur.
SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Y4mBib3FrlFkiJzrcrTfRB8EXDfAdvvPaNp0UXKQdgWNboRONCFMIbcrjvptJ7UwJw6eJ1bdvwRyoyXvCIRq90xaCr1rb5fybq297PEY5hoVcPOfe1JfdFFeerxJBz3cGzFag3FEULZ1y3bknFGt44PVGCL33aqdxBTO6t5xmcBoNKHr8AVvWAJnoLBo3vvRBu_?width=541&height=1024&cropmode=none

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty CENTRE ANTI-POISON - 07 - Dépot de plainte

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 16:02

Mar 4 Fév 2020 17:58

Suite à mes nombreux échanges avec le centre anti-poison depuis 2014 qui n'ont pas abouti et fort des analyses réalisées en France, j'ai porté plainte ce jour au commissariat pour mise en danger.L'agent de police a été très très aidant. Il a consulté un juge pendant la plainte, le juge a confirmé que la plainte était recevable.Les analyses réalisées en France ont été décisives pour conforter le dépôt.À la vue des analyses françaises, l'attitude de l'agent à changé du tout au tout, son attitude est passée du devoir de réserve   à l'étonné.    Cependant, l'agent a été prudent sur les suites de la plainte car ils n'ont jamais eu à faire à une telle histoire.Et, il faut encore que la plainte passe par de nombreuses commissions...Je serai informé de la suite que le juge donnera, mais l'agent a précisé qu'on ne peut pas savoir quand.


FEV 2021
REPONSE DU TRIBUNAL : DEFAVORABLE
SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Y4mmUFGjcequIV8GTyDywAlo9uk6uw0J_hvMt2XZF1I9F31NsoUc453jv67dvJdSjpIxFNpdN3cfghUSgnCvZS7r694wKkYF9NKk5IAZjv6N9De7vG_79rp1ZQr6Ncnl1455IYTxorezzKSMPMIVS-d87n0aHdJO52_QsrpnYmDTHAMluk4F5l1oJzsBj-SEnrX?width=760&height=1024&cropmode=none

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty Centre ANTIPOISON - 8 - Comment forcer la prise en charge ?

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 16:11

Sam 15 Fév 2020 12:54

Ces démarches sont vaines. - 6 oct 2020
Seule l'obtention des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale permettre d'obtenir la reconnaissance.
voir post toxico en toc

Préalable  
En dépit que les centres antipoison ont pour vocation de diagnostiquer les empoisonnements, un résultat d'analyse réalisé dans un laboratoire français selon le test de provocation est nécessaire pour faire valoir ses droits auprès du centre anti-poison et auprès de la justice le cas échéant.  :??:  :??:  :??: Un encadrement de ces analyses par un médecin de ville demeure préférable mais cela n'est pas indispensable. Selon mes échanges avec la policière, il m'a semblé comprendre qu'un médecin ne peut pas refuser d'adapter le traitement aux spécificités d'un patient. Pour forcer les centres anti-poison à nous prendre en charge, il suffirait donc d'exiger que l'antidote soit appliqué juste avant que le diagnostique soit  réalisé par l'hôpital. Cela est d'autant plus nécessaire parce que c'est ainsi que l'intoxication a été révélée. Le talon d'Achille serait justement là.  J'adopterai cette démarche lors de mon rendez-vous prochain au CAP.

Démarche prévisionnelle
Enregistrer les conversations téléphoniques avec le centre anti-poison (- optionnel).

■ Appeler le centre anti-poison, une plate-forme d'urgence répondra.
Évoquer les diagnostiques (allemands, français, autres...).
Le CAP devrait demander à envoyer les diagnostiques par mail.

■ Un médecin devrait rappeler.
S'il ne rappelait pas, rappeler la plate-forme sous 24h et menacer de porter plainte en scandant le diagnostique français.
Demeurer ferme mais toujours courtois - cela est très important.  

■ Au médecin, raconter l'historique.
Ne pas évoquer les amalgames, cela n'est pas nécessaire et cela risque de sur-tendre inutilement le médecin.
Il n'est pas indispensable de donner une cause à l'empoisonnement mais indiquer qu'il semblerait qu'il s'agit d'une source chronique.

Mais exiger que l'échantillon du diagnostique soit établi 1h30 après l'antidote, sinon, le résultat serait faux-négatif.
S'il refusait, menacer de porter plainte.
En dépit des protestations du médecin, exiger le protocole qui fasse sortir les métaux.

■ S'il refusait à nouveau, porter plainte au commissariat en expliquant bien que les métaux ne sortent qu'après le traitement.
Insister sur le fait que cela a été signalé au CAP.  
Avec le diagnostique français positif, la plainte est recevable.
Cependant, il est possible de porter plainte dès le premier refus en dépit que la menace de plainte ait fait céder CAP et qu'il a donné un Rdv de consultation.
En cas d'un premier refus, mais même si le CAP cédait par la suite, il serait préférable qu'une plainte soit quand-même déposée.

(CAP = Centre AntiPoison)

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty CAP 09 - Déclarations d'obscurantisme

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 16:21

Mer 4 Mar 2020 10:13

Un article à propos des analyses post-chélation a été publié par le centre anti-poison de Marseille (voir encadré).
Selon cet article, les analyses post-chélation relèvent du charlatanisme ("pseudo-science", "escroquerie", "bande organisée",...).

L'interdiction du diagnostique des métaux-lourds par les centres antipoison est un viol en réunion du serment d'Hippocrate.

:hurle: Cachez donc ces métaux-lourds qui sortent uniquement avec l'antidote !  

Tant de zèle m'émeut.  :ouin:

Cet article est autant étonnant qu'imprudent.
Quand des institutions prétendument scientifiques et médicales déclarent que la connaissance est un abus, ils contribuent à leur propre condamnation.
Avec cet article, les CAP ont fournit les armes pour les abattre.
Cet article est un appel à une démarche malveillante : il appelle à s'interdire la connaissance de ce qui sort avec la chélation. C'est pas beau.  No

Selon le Collège de France, les métaux-lourds sont un co-facteur des maladies dégénératives.
De plus, on retrouve des métaux-lourds chez les personnes Alzheimer.
Or, les personnes Alzheimer ne sont pas dépistée par les centres anti-poison.
Avec cet article, en dépit qu'ils ont été informés que l'intoxication peut avoir lieu sans que le sang soit positifs, les centres antipoison insistent pour interdire une exploration au-delà des tests officiels.
Une telle démarche est manifestement très malveillante.

De plus, dans la conférence évoquée au post sur l'Alzheimer, il apparait que, en dépit qu'elles ne soit pas dépistées de leur vivant, les personnes victimes d'Alzheimer ont un cerveau lourdement chargé en métaux-lourds à l'autopsie.
Par voie de conséquence, les médecins annoncent aux français gavés de métaux-lourds qu'ils sont totalement dépourvus de métaux-lourds.

Comme des terroristes qui scandent leurs forfaits, ces prétendus scientifiques du centre anti-poison (et auteurs de cet article) scandent une interdiction d'examiner les métaux qui sortent post-chélation.
Cela empêche un patient de connaitre son état d'intoxication tissulaire comme co-facteur de sa dégénérescence.
Par une négligence organisée et avec un million d'Alzheimer, ces "scientifiques" ont donc mis en place un génocide médical.

Sans la nommer, le Dc Marie-Christine Boutrais (interniste hospitalier- voir post sur la veille média), qui avait ouvert un service de chélation à l'hôpital d'Orléans, a fait l'objet de menaces publiques par les centres antipoison. Son service a fermé quelques semaines après la diffusion d'un reportage. Le diagnostique officiel occidental est une simple prise de sang. Par exemple, les médecins du travail annoncent à des ouvriers qui ont fait 30 ans dans le recyclage de batteries au plomb qu'il ne sont pas plombés parce que le test sanguin est négatif. Or, ces ouvriers tombent les uns après les autres à partir de 50 ans dans d'affreuses souffrances sans que les raisons soient connues. Aujourd'hui, les médecins français annoncent, à tord, à des millions de français (Alzheimer, arthrose, autisme, sep, ehs, cancers, Parkinson ...) qu'ils ne sont absolument pas intoxiqués aux métaux-lourds.

Par leurs menaces, les centres anti-poison font le nécessaire pour le secret des ml tissulaires ne soient pas divulgués. Il y a aura toujours un médecin qui découvrira les ml tissulaires et qui, de bonne foi, alertera. Les centres antipoison veilleront a passer le rouleau compresseur. La volonté de ces centres est que les français doivent croire que si le sang était négatif, les tissus sont négatifs.

En 2015, sur sa plateforme scientifique, le Centre Anti-Poison a écrit:M. Glaizal, R. Torrents, A. Descamps, L. de Haro, N. Simon,
Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir !,
Toxicologie Analytique et Clinique, Volume 27, Issue 2, Supplement, 2015, Pages S29-S30, ISSN 2352-0078,
https://doi.org/10.1016/j.toxac.2015.03.035.
(http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352007815000645)

Abstract: Contexte
Les termes « métaux lourds » et « détoxication » exercent une fascination dépassant de loin la toxicologie médicale. Les centres antipoison (CAP) ont toujours été sollicités sur divers traitements ou diagnostics « alternatifs », mais un type d’appels émerge récemment, concernant des analyses hors consensus réalisées à l’étranger mais prescrites et justifiant la prise en charge par des praticiens français d’« intoxications aux métaux lourds ». Nous rapportons 3 cas récents pour interpeller autorités sanitaires, médicales, et scientifiques.

Description des cas
En 4 mois (novembre 2014 à février 2015), le CAP de Marseille a été interrogé par trois patients (hommes de 54 et 56ans, femme de 55ans) pour avis sur les résultats inquiétants de dosages métalliques urinaires post-chélation (respectivement par DMSA oral, DMPS iv et ZnDTA+DMPS iv). Réalisées en Allemagne par le laboratoire M, ces recherches ont été prescrites par des généralistes naturopathes consultés depuis 4 à 18 mois, après des années d’errance thérapeutique dans la prise en charge d’un état chronique aspécifique (asthénie, douleurs et tensions musculaires, insomnie, anxiété, etc.) et de plus en plus handicapant. L’« analyse minérale » comporte le dosage en μg/g de créatinine de 33 éléments, sans indication de méthode, comparé à des valeurs « de base » (gouvernementales) et « d’orientation » (issues de l’expérience du laboratoire) et 2 pages de commentaires mal traduits. Des notions de « littérature », « accréditation » (ISO 17025) ou « contrôle qualité » sont mises en avant. Comme le matériel de prélèvement, les chélateurs ont été obtenus via Internet, et pour certains injectés au cabinet. Si 2 patients se sont montrés ouverts à la remise en cause de ces résultats et ont accepté de voir un interniste (jamais consulté jusqu’ici), la 3e, persuadée du « génie » de son thérapeute, a refusé toute critique et autre avis médical.

Discussion
La similitude des profils de ces patients comme celui de leurs médecins est frappante. Elle souligne l’existence d’une population de malades mal pris en charge autant que le ciblage mercantile dont ils sont l’objet. En France, pays marqué par des scandales sanitaires décrédibilisant toute parole officielle, un des prétextes à ces « dosages » est la controverse sur le mercure des amalgames dentaires et ses effets différés chez l’adulte. Aux États Unis, c’est la peur pour l’enfant qui est exploitée, avec la mise en avant d’un lien entre métaux lourds et troubles autistiques, pour justifier d’un recours massif à la chélation [1]. Face à ce phénomène, dès 2010 les autorités sanitaires et sociétés savantes américaines se sont clairement positionnées [1], [2] et ont alerté professionnels et grand public sur des pratiques officiellement qualifiées de frauduleuses. À ce jour, malgré les enjeux scientifiques, éthiques et légaux, rien en France ne vient contrer les pseudo-scientifiques relayés sur Internet et dans les médias, où un documentaire récent montrait un interniste hospitalier baser à son tour sa consultation sur les résultats du laboratoire M. Le 25/02/2015, le site institutionnel de son centre hospitalier régional se targuait même d’être « reconnu par le Conseil international de toxicologie clinique de métaux lourds », organe pro-chélation auto-proclamé accréditeur.

Conclusion
Le besoin d’approfondir les connaissances, notamment sur les expositions chroniques, et surtout d’améliorer l’écoute et la prise en charge de certains patients, ne doivent pas être niés. Mais d’abord dans l’intérêt des malades, et aussi au nom de leurs disciplines dévoyées, les toxicologues, analystes et cliniciens, doivent réagir et dénoncer des pratiques que certains qualifieraient d’abus de faiblesse et d’escroquerie en bande organisée.
Source : Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir ! Copie PDF
WEBARCHIVE : https://web.archive.org/web/20201113210653/http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352007815000645
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Commentaires phrase à phrase. - édit 10 mai 2020
À y regarder très de près, les intentions énoncées du centre anti-poison recèlent d'une très grande mal-veillance dont la concomitance avec la situation sanitaire de millions de français est préoccupante :Le nombre de personnes atteintes d'Alzheimer en France s'élèverait à un million. De plus, selon le Collège de France, ces personnes porteraient un excès de métaux-lourds.Or, les centres anti-poison ont déployé une politique qui menace tout médecin (yc hospitalier) suivie de faits qui établit un diagnostique post-traitement des métaux-lourds. Le service fermé suite à ces menaces est celui du Docteur Marie-Christine Boutrais du CHU d'Orléans. Ce service a fait l'objet d'un documentaire "Alerte au mercure " diffusé sur France 2 le 1er février 2015.Curieusement, le CHU de Rouen a fermé ce service quelques semaines/mois après ce reportage. En dépit que les autopsies des cerveaux Alzheimer par le CNRS constatent un excès significatif de métaux-lourds, les centres antipoison français font donc le nécessaire pour qu'aucun français ne dispose d'un diagnostique fiable de son état tissulaire. Ainsi, en dépit que la certitude de faux-négatif soit connue, les hôpitaux français affirment en toute connaissance de cause aux millions de français intoxiqués qu'ils ne sont absolument pas intoxiqués. Cet article indique que l'établissement d'un diagnostique fiable nécessite un accord. Faute d'accord, le diagnostique post-chélation serait donc prétendument frappé de pseudo-science. Je crains que telles déclarations soient très fortement susceptibles d'être frappées de trahison à retardement par la justice. Comme le Tartuffe de Molière, c'est en pleine lumière qu'on couve la trahison. Mais, la trahison de toute une population est nécessairement sursitaire. Fort de leur trahison durable en pleine lumière, les centres anti-poison ont donc cru qu'il pouvaient publier leur politique mal-veillante de façon à faire des menaces sur des médecins qui font correctement leur travail. Les centres anti-poison vont tomber par excès de zèle. La morale de cette histoire est qu'il faut ne pas se soucier des personnes qui vous contre-disent. Si les centres anti-poisons n'avaient pas publié cet article, on aurait jamais pu leur reprocher quoi que ce soit...

LIVRE BLANC SUR LES ANALYSES
Des analyses complètes avec un éventail large d'éléments suspects à pas cher devraient être proposées en laboratoire.
■ Pour les toxines inorganiques, il suffit de boire un verre de chélateur et de prélever un échantillon d'urine pour analyses.
■ Pour les toxines organiques, il me semble qu'il faudrait boire 1 verre de ghee par jour pendant trois jours et de faire des analyses de selles au 3è jour.

AUTRES SUJETS
Edit : Le soufre et les populations traditionnelles.
Dans cette interview, Jade Allègre, médecin naturopathe, annonce que les populations traditionnelles consomment du soufre au quotidien : Jade Allègre - Vivre et Survivre (à 20:40).Cela suggère que l'intoxication chronique aux métaux-lourds est une histoire vieille comme le monde dont le traitement culinaire est vieux comme le monde. Or, les chélateurs modernes sont quasiment tous composés de soufre (sauf l'Edta). En dépit qu'elle soit répandue, la chélation est donc une tradition de longévité qu'un occidental ignore.

Nouvelle synthèse à la page 14 :
 Anti-dégénérescence

EHS - édit
Complément sur l'Ehs au post sur : Toxicité des M.L. selon le Collège de France - 1/2 - sources - Voir passage sur les Notes (en vert) du cours du 4/12/2013   : "Magnéto-sensibilité - CHAMP MAGNETIQUE ALTERNATIF". Sans le nommer, le phénomène d'Ehs est décrit en détails (causes et conséquences) dans la vidéo. Pour les électro-sensibles, ce passage est absolument à voir. Illustration de la diapositive exposée sur le phénomène magnéto-sensible :

Traitement naturopathique du syndrome respiratoire aigüe.
En cette période d'épidémie virale, j'ai fait un petit exercice pour tenter de réduire partiellement le symptôme qui cible les poumons. Je préfère faire une simulation afin d’être opérationnel en cas de besoin. Cet exercice n'est qu'un petit accompagnement qui participe à la régulation du mucus excessif dans les poumons, il ne se veut absolument pas suffisant. Cet exercice consiste en une séance d'inhalation d'une infusion dans laquelle je mets quelques goutes d'he anti-virales et quelques plantes anti-inflammatoires. Pendant l'inhalation, je fais de l'hyper-respiration : ouverture large des poumons. Les huiles essentielles sont certes maltraitées par la chaleur, mais c'est mieux que rien. L'he anti-virale participe à la destruction des virus en même temps que l'anti-inflammatoire fait son effet. La vapeur va fluidifier le liquide, qui cause la congestion, de façon à faciliter sa mobilité. Sur le dos et autour du thorax, j'ai mis une serviette mouillée et froide. Une petite hyper-ventilation s'amorce, puis diminue. Le froid active l'hyper-vascularisation autour des poumons de façon à évacuer le mucus des alvéoles. Ensuite : petite douche alternée, puis bouillotte sur le foie pour recycler le mucus. Cet exercice serait à répéter tant que du mucus demeure. ...Édit : voici une proposition de méthode et de synergie proposée par un naturopathe : Prévention coronavirus grâce aux inhalations. Cependant, afin de bien fluidifier le mucus, j'insisterai sur l'inhalation de la vapeur jusqu'à la limite du confort (ne pas se brûler...)Autre exemple de discours : Eucalyptus (Eucalyptus globulus) : bronchites, cystites, plaies infectées.


Prévention par les huiles essentielles
Les he électrocutent les virus et autres micro-organismes, elles sont donc efficaces pour se protéger durablement en situation d'exposition.
Il est possible de traiter les voies nasales avec des sprays vendus en pharmacie (menthe poivrée, ou citron, ou autre ... et solution hypertonique).
La molécule est chargée négativement, elle va donc faire éclater les membranes (très sensibles) des micro-organismes.
Les cellules humaines sont bien plus grandes, elles ne succombent donc pas mais elles sont égratignées, il faudra donc veiller à la préservation.
Avec les he, les muqueuses seront protégées pendant plusieurs heures (6 heures environ).
Un petit coup de spray dans la bouche désinfectera les futurs postillons...
Un petit coup sur les cheveux peut aider (attention aux yeux, en cas de brulure sur les yeux : verser de l'huile végétale sur les yeux)
Pour traiter  les mains et le visage (éviter les he dermo-caustiques, ex : menthe poivrée), il est aussi possible de mettre des he dans de la crème hydratante (et mixer avant application).
La menthe poivrée colore (définitivement ?) la peau si elle était exposée au soleil pendant les 12 heures après application (ou appliquer le soir).

■ Pour désinfecter l'intérieur du corps : placer 10% d'he dans de l'huile végétale.
Masser l'intégralité du corps avec 50 ml.
Ou préparer une solution h/e avec la lécithine de soja à boire, voir précédents posts MOC .
Puis  petit sauna, et douche alternée...

He : Immunisation par temporisation ?
Il est possible que l'application chronique des he en période d'exposition permette de lisser l'infection de façon à ce que le système immunitaire puisse s'entrainer face à de nouveaux virus tout en abaissant l'ictus. Les he n'éliminent pas toutes occurrences de virus mais elles en éliminent la majorité. Cela devrait donc permettre au système immunitaire de construire une mémoire de réponse sans avoir à faire face à une situation aigüe.  Je suis certes un doux rêveur mais ce se sont là des hypothèses à ne pas négliger, que je consigne pour d'éventuelles études scientifiques...

Ablaltion d'organe
Je me demande combien d'organes font l'objet d'ablations (utérus, Vb, intestins,...) faute de diagnostique de ml ou faute d'information sur les techniques de naturopathie (cure foie).Les médecins me font penser au dragueur de supermarché :  Il est sympa et attirant. Mais méfiez-vous : c'est un truand...

Sophocle

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty CAP - 09 - RECOMMANDATIONS BONNES PRATIQUES

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:10

Jeu 9 Juil 2020 18:00

Suite à ma demande : voici les recommandations des bonnes pratiques que le centre antipoison m'a transmit.
Ce sont donc recommandations sans auteur et avec consensus : donc pas de responsabilité car dilution des responsabilités.

Ces recommandations évitent soigneusement le sujet des métaux qui ne sortent qu'avec le chélateur, mercure, arsenic, ...
Ces recommandations évitent soigneusement le sujet de l'EDTA et du DMSA : des chélateurs assez sûrs, performants et en vente libre.


Extrait des recommandations :
La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée.

Ce que dit que cet article, c'est que le diagnostique post-chélation n'est pas recevable car les conditions de diagnostiques ne sont pas conformes aux conditions dans lesquelles les normes ont été établies.
L'élimination significative des métaux-lourds est un donc un affront aux normes.  Laughing  Laughing  Laughing
Les métaux-lourds sont sortis hors des normes, cela n'est pas recevable.
C'est pour cette raison-ci que les centres antipoison refusent de traiter.

Pour que ce diagnostic soit recevable, il faut que ce test fasse l'objet d'un étalonnage de la charge en métaux-lourds stockés dans la population générale.

Pour un médecin du centre antipoison, le retrait des métaux toxiques est du second ordre derrière la norme.
À la Eichmann : sa défense consistait à dire qu'il n'a fait qu'appliquer la règle.
Hannah Arendt a philosophé sur le sujet : c'est le totalitarisme de l'idée.
Le réel a tord s'il donne tord à l'idée.
Dans le cas des centres antipoison, c'est le totalitarisme de la norme.
L'individu et le traitement des éléments toxiques sont superflus devant la méthodologie inaliénable de la norme.
Épatant. :sarcastic:


Pour illustrer la démarche des centres antipoison :  
Hannah Arendt et le totalitarisme, texte : Les Origines du totalitarisme
Voici quelques notes de ce court texte :
Une idéologie se veut expliquer le monde. L'idéologue ne se souci jamais du ici et maintenant. L'idéologie réduit le complexe du réel. L'idéologie se passe des hommes. Obéir à la loi même si elle est immorale. Quand il y a terreur, il y a totalitarisme. Quand il n'y a plus d'opposition, il y a totalitarisme. Quand il y a constitution d'une philosophie scientifique, il y a totalitarisme. La vraie pensée est la distinction entre le vrai et le faux ; le totalitarisme efface cette pensée.

Commentaire sur la politique médicale occidentale
Ce que montre le texte suivant, c'est que toute la médecine occidentale est basée sur une lacune des intoxications tissulaires. La lacune est trop scandaleuse pour être publique, elle est donc tue.De plus, cette lacune nécessiterait de recalibrer les normes, or cela est le dada de la science. Dans ce cadre, une telle procrastination est coupable.

Recommandations transmises par le CAP :
Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs
CONSENSUS
MOTS CLÉS Mercure ; Métal ; Empoisonnement ; Agent chélateur
Mercure, plomb, arsenic, aluminium, cadmium, cobalt, chrome... L’inquiétude sur la présence dans notre environnement d’éléments approximativement désignés sous l’intituléde « métaux lourds » est de plus en plus répandue, relayée et amplifiée par les médias et par internet (commentaire perso de sophocle : j'ajoute le Collège de France  Laughing ). Cette peur est exploitée, y compris parfois dans la communauté médicale, chez un nombre croissant de patients en errance thérapeutique et sert de prétexte à de pseudo-diagnostics d’intoxication puis à divers et coûteux traitements non validés voire dangereux. Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées. À l’image de leurs homologues américains [1] et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de toxicologie clinique et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs.

Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le PLOMB, le MERCURE et l'ARSENIC. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association :

• de signes cliniques et/ou paracliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ;
• et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal.

L’exposition chronique à certains métaux ou métalloïdes est associée à un risque élevé de certains cancers (par exemple, l’exposition à l’arsenic est associée à une augmentation des risques de carcinomes cutanés, de cancer broncho-pulmonaire, de cancer des voies urinaires et de plusieurs types de tumeurs hépatiques), mais les tumeurs surviennent longtemps après le début de l’exposition et souvent, longtemps après qu’elle a cessé ; l’administration de chélateurs n’en est pas un traitement et il n’y a pas, à ce jour, de preuve qu’elle les prévienne. Contrairement à ce qu’affirment certaines publications para-scientifiques (et avec elles, certains praticiens), il n’y a pas de preuve suffisante d’une association causale entre une contamination par un élément métallique et certaines affections, telles que l’autisme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la goutte, les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence maculaire ou la myofascite à macrophages. Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ou plusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.

Les indicateurs biologiques d’exposition ou de la dose interne utilisés pour le diagnostic de l’intoxication par un élément métallique sont des paramètres scientifiquement validés. Des indicateurs de référence sont identifiés pour la surveillance des expositions et le diagnostic des intoxications par les principaux métaux et métalloïdes[size=85](1)[/size]. Des bases de données nationales et internationales permettent d’identifier ces indicateurs et les valeurs de référence utilisables pour chacun d’entre eux (par exemple, en France, la base Biotox, publiée par l’Institut national de recherche et de sécurité [INRS]).

Les indicateurs biologiques d’exposition ou de dose interne qui ne sont pas validés ne peuvent être utilisés pour le diagnostic d’une contamination par un métal. Leur emploi dans ce but par un praticien ne peut traduire que l’ignorance de ce dernier [2]. Les exemples les plus fréquents de tests non validés improprement employés pour démontrer une contamination par un élément métallique sont la mesure de concentrations salivaires (éventuellement, après mastication), le dosage simultané d’un grand nombre d’éléments dans divers milieux et les tests de provocation. Ces derniers consistent à mesurer la quantité ou la concentration d’un élément dans les urines après l’administration d’un chélateur. Il existe des tests de provocation validés pour un nombre limité de métaux et qui sont applicables dans des conditions précisément déterminées : nommément, pour le cuivre (dans le cadre de la maladie de Wilson), pour le fer (dans le cadre de l’hémochromatose) et pour le plomb (pour décider du traitement de l’intoxication saturnine, à certains niveaux de plombémie). La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée. Plusieurs sociétés savantes nord-américaines ont publié des mises au point destinées aux praticiens et au public sur l’emploi abusif de ces tests prétendument diagnostiques[3—5].

Pour que les résultats des analyses soient interprétables, les dosages de métaux doivent être réalisés dans le respect de règles strictes visant les conditions du prélèvement, de son transport et de sa conservation, ainsi que la qualité de l’analyse par le laboratoire. Celui-ci doit se conformer aux bonnes pratiques de laboratoire et avoir mis en place des procédures de contrôle de qualité internes et externes [6]. Le prescripteur doit s’assurer du respect de l’ensemble de ces procédures de contrôle de qualité. Une dizaine de laboratoires français des secteurs public et privé répartis sur le territoire national sont en capacité d’effectuer des dosages de qualité de tous les éléments métalliques d’intérêt. Le choix d’un laboratoire doit toujours être motivé et le recours à un laboratoire situé en dehors du territoire national doit être fondé sur des arguments techniques et/ou économiques précis.
Le dépassement de la valeur de référence en population générale d’un indicateur biologique d’exposition (ou de la dose interne) n’implique pas automatiquement l’indication d’un traitement chélateur. Les chélateurs efficaces ne sont pas dépourvus d’effets indésirables et leur emploi doit s’appuyer sur une évaluation des risques pour la santé, prenant en compte les relations dose—effet de la substance toxique et la tolérance du médicament. Les indications des traitements chélateurs sont, en pratique, bien codifiées dans tous les traités de toxicologie médicale.

L’usage abusif de chélateurs, en l’absence d’indication validée, est une pratique rapidement croissante en Europe et en Amérique du Nord. Qu’elle traduise une dérive commerciale exploitant l’anxiété et la fragilité de certains patients ou seulement l’ignorance de l’état actuel des connaissances par les prescripteurs, c’est une conduite inacceptable. Elle est assez souvent aggravée par le fait que les mêmes praticiens proposent de fournir à leurs patients (et à des prix prohibitifs) :

• des médicaments qui ne sont pas commercialisés en France, en prétextant d’une plus grande efficacité (en France, c’est le cas du dimercaptopropane sulfonate[DMPS], dont le pouvoir chélateur n’est pas, dans la plupart des indications potentielles, supérieur à celui d’autres médicaments présents sur le marché et qui peut être responsable d’accidents thérapeutiques sévères ; c’est la raison pour laquelle, il n’est, en principe, pas disponible dans notre pays) ;
• des médicaments « naturels » sans effets thérapeutiques démontrés : ail, bentonite, chlorelle et autres algues, coriandre (cilantro), chlorophylle, cystéine, spiruline, vitamine C.
Aux États-Unis, après des essais inefficaces d’information des prescripteurs au cours des années 2000, certains organismes professionnels recommandent de pénaliser les prescriptions abusives [7].

(1) Par exemple, pour :

  • le plomb : la plombémie ;
  • le mercure inorganique, la concentration sérique ou urinaire du métal;
  • le mercure organique, la concentration du mercure dans le sang total ou dans les cheveux ;
  • l’arsenic inorganique, la somme des concentrations urinaires d’arsenic inorganique, d’acide mono-méthylarsonique et d’acide diméthylarsinique ou d’arsenic dans les cheveux.


Références
[1] McKay Jr CA. Introduction to special issue: use and misuse ofmetal chelation therapy. J Med Toxicol 2013;9(4):298—300.
[2] Seidel S, Kreutzer R, Smith D, McNeel S, Gilliss D. Assessment ofcommercial laboratories performing hair mineral analysis. JAMA2001;385:67—72.
[3] Ruha AM. Recommendations for provoked challenge urine testing. J Med Toxicol 2013;9:318—25.
[4] American college of medical toxicology. American college ofmedical toxicology position statement on post-chelator challenge urinary testing. J Med Toxicol 2010;6:74—5.
[5] Goldman RH, Woolf A. http://www.pehsu.net/documents/chelation therapy guidance general public goldman woolf2012.pdf
[6] Wang RY, Caldwell KL, Jones RL. Analytical considerations inthe clinical laboratory assessment of metals. J med toxicol2014;10:232—9.
[7] Burton BT. ACMT chelation position adopted by Oregon medicalboard. J Med Toxicol 2014;10:244.

ARTICLE : MESUSAGE CHELATEURS

Page web (non publique, article payant 30e en 2020, puis sur abonnement 55e 2021 - achat à l'unité indisponible) : https://www.em-consulte.com/article/1003121/diagnostic-des-intoxications-par-des-metaux-ou-des
Archive de la page web 25 mars 2021 : https://web.archive.org/web/20210325102553/https://www.em-consulte.com/article/1003121/diagnostic-des-intoxications-par-des-metaux-ou-des
Le fait que cet article soit payant le rend invisible sur internet. Or, les centres antipoison me l'ont transmis avec mon dossier médical.
S'ils l'opposent aux appelants, il siérait que cet article soit publié sur le site des centres antipoison. Or cela n'est pas le cas, cela est louche, très louche.
page web : http://www.centres-antipoison.net/
Webarchive : https://web.archive.org/web/20210227070048/http://www.centres-antipoison.net/




Autre sujet.
Liste de mes appels au centre antipoison (si ce n'est pas du harcèlement, ça ?)
SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Y4mDUhyfEKVuUSXtfSARnBorOqWZPT9x-GAB8D-miasSLpMjwuJSL38Z0y8-QKeHYxav4HHF6Iof0K11TjqNn0Ob6MeV4qCfJFC2BO8PL4FneoF6CG6advORB7Ei21oK2ypAfc1N0GehCl5wofbmfL6SKMxgm_AMhrEi6qV3sU_Q3Ze2mAoTBRHfr6yx7BOXiZE?width=700&height=1000&cropmode=none


Suite à la relecture, le mail suivant est obsolète.

Au CAP, le 9 juillet, j' a écrit:
Bonjour Madame (Secrétaire du Dc Laborde).

J’ai bien reçu des éléments et je vous en remercie.

Suite au RAR, je vous prie de bien vouloir m’adresser un bordereau avec la liste des documents transmis.
Quand ça fait dix ans que j’urine des métaux-lourds, la moindre des choses, c’est que le médecin signe son compte-rendu dans lequel il annonce que mon diagnostique n’est pas recevable parce que les trop hautes valeurs de métaux-lourds n’ont pas été établies dans les conditions d’établissement des normes.

J’ai demandé un compte-rendu, je veux un vrai compte-rendu avec les formes du compte-rendu revêtu de la signature de son auteur.
Je ne reconnais donc pas le document adressé comme un compte-rendu de la consultation demandé au RAR.
Au mieux, ce sont des notes manuscrites.
Pour qu’un compte-rendu soit recevable, je rappelle que les personnes présentes ont le droit d’émettre des remarques.

De plus, un article est adjoint.
Cet article n’est pas des recommandations aux bonnes pratiques.
Dans cet article, aucune recommandation n’est faite.
De plus, cet article n’est pas présent sur le site de promotion des CAP.
Je ne reconnais donc pas ce document comme les recommandations cités par le docteur Laborde.
Je fais une copie papier de ce courriel avec les pièces reçue et je l’envoie par RAR au Docteur Laborde.

Meilleures salutations
Sophocle



Voici mon commentaire sur l’article que j’ai reçu:

Pour un médecin du centre antipoison, le retrait des métaux toxiques est du second ordre derrière la norme.
À la Eichmann : sa défense consistait à dire qu'il n'a fait qu'appliquer la règle.
Hannah Arendt a philosophé sur le sujet : c'est le totalitarisme de l'idée.
Le réel a tord s'il donne tord à l'idée.
Dans le cas des centres antipoison, c'est le totalitarisme de la norme.
L'individu et le traitement des éléments toxiques sont superflus devant la méthodologie inaliénable de la norme.


Pour illustrer la démarche des centres antipoison, Voici quelques notes d’ Hannah Arendt et le totalitarisme, texte : Les Origines du totalitarisme :
Une idéologie se veut expliquer le monde.
L'idéologue ne se souci jamais du ici et maintenant.
L'idéologie réduit le complexe du réel.
L'idéologie se passe des hommes.
Obéir à la loi même si elle est immorale.
Quand il y a terreur, il y a totalitarisme.
Quand il n'y a plus d'opposition, il y a totalitarisme.
Quand il y a constitution d'une philosophie scientifique, il y a totalitarisme.
La vraie pensée est la distinction entre le vrai et le faux ; le totalitarisme efface cette pensée.

À la représentante des droits des patients, j' a écrit:
Bonjour Madame (La représentante).Suite à la diffusion du listing d’appel échangés avec le CAP, il me semble qu’il existe un compte-rendu de l’appel du 13 mai 2019 à 11h57.Cet appel parvient du CAP suite à mon envoi de diagnostique par mail. Cet envoi était une demande de mon interlocuteur au cours de mon appel du matin à 9h51.L’appel de 11h57 a été passé par une secrétaire qui m’a proposé d’être traité à condition que j’acceptais de ne pas être reconnu. J’ai dit oui. Puis la secrétaire m’a passé un médecin qui m’a fait parler pendant environ 10 à 20 minutes. Au médecin, j’ai raconté la fatigue, les maux de tête, …Au bout d’un échange de 10 à 20 minutes, le médecin m’a demandé si j’étais fumeur ou chasseur, j’ai répondu non. J’ai ajouté que cela venait peut-être des amalgames. Mon interlocuteur m’a dit : « vous êtes sur une ligne d’urgence, au revoir » et il a raccroché. Le 7 octobre 2019, après une minute de présentation, mon interlocuteur m’a mis en attente pendant plusieurs minutes. Puis, il m’a dit qu’il a retrouvé mon dossier et qu’il fallait que je revienne avec des diagnostiques français. Il existerait donc un compte-rendu de l’appel du 13 mai à 11h57.Je fais donc une demande de transmission du compte-rendu de l’appel du 13 mai 2019 à 11h57.Pour ce compte-rendu-ci, une copie de notes manuscrites me conviendra. Si elle n’existait pas, il n’est pas nécessaire d’en faire une mise au propre. Je fait également une demande à ce que le temps d’appel de cet échange téléphonique me soit adressé.
Meilleures salutations
Sophocle

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty CAP - 10 - LE GAG

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:11

Mar 14 Juil 2020 07:21

CORRECTION
Je désactive ce post car j'ai fait une erreur d'interprétation

28 OCTOBRE - actualisation
Pas de nouvelles de la justice. Bien que les centres antipoison m'ont raccroché au nez et qu'ils n'ont pas procédé à des contrôles d’intoxication aux ml, la situation n'était officiellement pas urgente (voir post du défenseur des droits). je m'attends donc à ce que les centres antipoison soient acquittés avant qu'il y ait jugement. J’avais engagé ces démarches administratives car je n’avais pas encore compris que les références n’avaient pas été établies. Même si les médecins sont en indélicatesse avec l’art de la médecine, l’absence de références dédouane les centres antipoison juridiquement. Les centres antipoison français sont des Al Capone : ils échappent légalement à la justice. Grace à une absence de références, ils peuvent refuser de traiter car le diagnostique post-chélation n'est qu'une page blanche faute de références officielles.

GEORGES CLEMENCEAU a écrit:
« LA GUERRE ! C'EST UNE CHOSE TROP GRAVE POUR LA CONFIER À DES MILITAIRES »

Adaptation politico-littéraire :
La santé ! C'est une chose trop grave pour la confier à des médecins.


Oh le Gag ! :gla:  :gla:  :gla:
Après avoir écrit le post précédent et après avoir échangé avec le CAP, j'ai relu le texte des recommandations transmis par le CAP. Je l'avais mal lu, et j'étais resté (à tord car j'étais intoxiqué par les infos du CAP) sur l'interdiction du diag post-chélation (2ème partie du texte).Or, ce texte, en première partie, affirme qu'il est indiqué de faire un diag post-chélation pour le mercure, plomb et arsenic, voir passage en rouge dans la citation du post précédent. La 2ème partie concerne uniquement les métaux physiologiques, cuivre, fer, à faible dose...Oh la blague, le CAP a mal lu le texte des recommandations... :hurle: SCANDAL SCANDAL !Pour les ml, ils ont inversé le protocole. En dépit des recommandations de la STC, le CAP a conservé sa politique anti-test de provocation crié sur tout les toits lors de l'affaire Marie-Christine Boutrais. Comme pour Dreyfus, le pot-aux-roses a été livré par les coupables.       Oh, les pieds-nikelés... j'y crois pas...J'ai appelé le CAP pour qu'il relise le texte. Au moment où j'écris ces lignes, je suis en attente de leur relecture.

Diachronie
Ce texte est daté du 17 août 2015, il est publié par la Société Française de Toxicologie Analytique. Il est co-écrit avec la STC, citée dans les notes de consultation. Dans les dates, il fait suite au texte des prédicateurs toxicologues marseillais des CAP du 6 mai 2015 :Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir ! (publié sur la même plate-forme.)Dans son texte; la SFTA évoque la polémique. Fait-elle également référence à la fermeture du service de Rouen, MC Boutrais ? Les CAP se sont donc fait souffler dans les bronches, et ils ne s'en sont même pas aperçu...  

Petit résumé des bonnes recommandations transmises par le CAP (le bon cette fois-ci)
Dans ce texte de recommandation, la provocation par chélation est indiquée pour le plomb, le mercure et l'arsenic. waouuu. Il me semble que le cuivre et le fer peuvent avoir des taux de provocation élevé et non pathologique. Pour certains métaux (cu, fe) physiologiques, la comparaison avec les taux sanguin de la population n'est donc pas valable.[/list]

Voici les notes manuscrites de ma consultation par le Docteur Laborde :
SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Y4mBib3FrlFkiJzrcrTfRB8EXDfAdvvPaNp0UXKQdgWNboRONCFMIbcrjvptJ7UwJw6eJ1bdvwRyoyXvCIRq90xaCr1rb5fybq297PEY5hoVcPOfe1JfdFFeerxJBz3cGzFag3FEULZ1y3bknFGt44PVGCL33aqdxBTO6t5xmcBoNKHr8AVvWAJnoLBo3vvRBu_?width=541&height=1024&cropmode=none
Retranscription :


Télé-consultation téléphonique
Car pas de matériel vidéo patient
CF Appels CAP
16/06/20 LABORDE CASTEROT
Intox "métaux-lourds" : mercure ?
m'informe qu'il a porté plainte contre notre service
Taux élevés de métaux après chélation
Dit être amélioré par la prise d'EDTA à 75 % puis acide a lipoïque
Tb (trouble) concentration
Souhaite être - chélaté par dimercaprol
(Souhaite être) - reconnu intoxiqué par les métaux-lourds
livre 'chélation thérapy'
Source évoquée = amalgames dentaires, qui ont été retirés
Fait des bains de bouche "plus" (ou "salin', j'ai dit salins)
dosage 12/2019 a été fait après chélation
-> J'explique comme précédemment que nous ne pratiquons pas de chélation dans des situations similaires conformément aux recommandations de bonne pratique (STC).
Le patient me dit qu'il obtiendra ses "droits" par voie juridique.



Petit Commentaire perso
Selon le CdF, les excès de de cuivre, le fer, et le zinc sont concomitants à l'Alzheimer.Comme le cuivre physiologique est séquestré dans des protéines, il me semble opportun de chélater jusqu'à ce que le taux rejoigne le plancher.Un métal peut se confiner en forte concentration dans un seul organe, son diag peut donc passer sous une référence valable pour tout le corps.Contrairement à ce propose ce texte en attendant la fin de la polémique, il me semble préférable de chélater jusqu'à tous les niveaux soit au plus bas.Un régime alimentaire en légume pourvoira aux minéraux essentiels.

Édit 1
Plainte
J'ai été apporter ces nouveaux documents à la plainte initiale. Plainte.pdf


Edit 2
ANSES et Collège de France
Avec ces recommandations, il est possible de recommander des études tissulaires concernant les EHS à l'ANSES.Avec les conférences du Cdf (maladies dégénératives), il va également être possible de tester toutes maladies chronique...

Édit 3
Trahison
■ Les médecins es CAP appliquent donc volontairement le contraire de leurs recommandations de façon à laisser pourrir des personnes qui sont éligibles au traitement.
Dans l'histoire de l'humanité, ça ne fait que peu de temps qu'on dispose des molécules pour traiter une intoxication incurable.
Mais, les médecins, dans l'orgueil de leur empire, ont réussi à priver les intoxiqués des traitements.
Les médecins sont très singuliers.
■ Tout comme de mauvais outils font de mauvais ouvriers, de mauvais diagnostiques font certes de mauvais médecins.
Mais quand des avocats maintiennent volontairement de mauvais diagnostiques au détriment de bons diagnostiques recommandés par les bonnes pratiques, cela fait d’eux des traîtres.
Il en est de même avec les médecins.
Sans scrupule, les médecins français se foutent de notre gueule.
Je n'avais pas besoin de ce texte pour savoir que les CAP étaient des traitres :
Un texte qui interdit aux pompiers d'éteindre un feu peut-il exister ?
Il en est de même avec les médecins.
Un texte qui interdit de traiter du mercure, du plomb, de l'arsenic ne peut pas exister.[/i]

Sophocle

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty Demande au Défenseur des Droits

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:13

Jeu 16 Juil 2020 19:24

Ce jour, j'ai adressé une demande au défenseur des droits.


Le 16 juillet 2020.
À Monsieur X, défenseur des droits.
De Sophocle.

Cher Monsieur,

Comme évoqué au cours de nos échanges, je vous adresse mon dossier de demande concernant le refus de traitement des métaux-lourds par les centres antipoison français.


Dénouement
9 juillet 2020 : Transmission des éléments d’information par le CAP.◦ Compte-rendu de consultation (notes manuscrites). Dans son compte-rendu, la médecin a écrit : «  (...) Intox "métaux-lourds" : mercure ? (...) Taux élevés de métal après chélation (…) -> J'explique comme précédemment que nous ne pratiquons pas de chélation dans des situations similaires conformément aux recommandations de bonne pratique (STC). »◦ Recommandations de bonne pratique (Article : "Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs"). Dans ces recommandations, il y est écrit : " Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées. À l’image de leurs homologues américains [1] et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de Toxicologie Clinique (STC) et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs. Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure et l’arsenic. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association : • de signes cliniques et/ou para-cliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ; • et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal. "


Commentaire :
Dans son CR, le médecin indique que la recommandation est de ne pas traiter dans des cas similaires aux miens (hauts niveaux de métaux post-chélation,  mercure, plomb, arsenic). Or, dans le texte des recommandations cité par le médecin, la provocation est indiquée pour le mercure, le plomb et l’arsenic. Les recommandations de bonne pratique mobilisées par le médecin stipulent donc explicitement le contraire de ce qu’affirme le médecin.

Polémique scientifique :
Le test officiel est une simple prise de sang (sans provocation par chélation) à partir de laquelle a été établie les normes en vigueur. Un test de provocation est un test qui force l’excrétion des métaux, les taux sont donc élevés à l’analyse, les conditions des normes en vigueur ne sont donc pas reproduites. Depuis quelques décennies, le test de provocation est devenu une mode. Faute de consensus sur l’étalonnage, la question des normes se pose car les normes hors chélations sont parfois récupérées par les tests de provocation. Selon les recommandations de la STC, l’excès de certains métaux, fer, cuivre, n’indique pas nécessairement une intoxication. En 2015, les CAP ont vigoureusement pris position en indiquant que les tests de provocation relevaient de la pseudoscience (voir article « Il faut agir »).  Selon les CAP, le test de  provocation ne serait donc absolument pas recevable pour indiquer une intoxication sur tout métal. Quelques mois plus tard, la STC a publié cette mise au point scientifique dans laquelle elle indique que la provocation de quelques métaux (mercure, plomb, arsenic) est indiquée. En dépit que le CAP ait adopté ce texte comme recommandation, il semble que le CAP n’a pas lu les recommandations.


Listing des échanges avec le CAP de 2014.
Autre document transmis par le CAP le 9 juillet 2020 : Certificat médical avec la liste de mes appels pour alerter sur ma situation. Depuis 2014, j’ai passé 13 appels au CAP.  Aucun appel n’a abouti, sauf celui du 27 janvier 2020 au cours duquel j’ai menacé de porter plainte si je n’obtenais pas une consultation.Consultation avortée : Le 13 mai 2019 à 9h51, mon interlocuteur m’a demandé d’envoyer mes diagnostiques, chose que j’ai faite immédiatement. Le CAP m’a rappelé  à 11h57 ; cet appel a avorté après dix minutes d’échanges avec un médecin.  Le médecin m’a demandé si j’étais fumeur ou chasseur, j’ai dit non ; j’ai ajouté que les amalgames étaient la source de l’intoxication. Le médecin a répondu : « vous êtes sur une ligne d’urgence, au revoir » puis il a raccroché.

Symptômes en 2013
Au plus fort des désordres, et donc avant les chélations, je portais de nombreux symptômes intempestifs qui se bousculaient : marche difficile ; tête lourde ; imprécisions dans les gestes ; articulation orale déficiente par intermittence ; sensations articulaires multiples ; impossibilité à planifier ; amnésies transitoires ; difficultés à se concentrer ; semi-évanouissements en montant des escaliers ; oublie de fin de la phrase en cours de prononciation ; difficulté à écouter durablement autrui ; impossibilité à faire du sport d'endurance ; impossibilité à lever des masses lourdes ; déséquilibres ponctuels ; sensation de brulures ; grésillements sous la peau ; sensation d'étirements osseux ; sensations de courbatures ; céphalées furtives, céphalées profondes, céphalées ineffables ; électro-sensibilité sévère ; confusion ; bourdonnements continus et virevoltants dans la cavité crânienne ; fatigues en tout genre, fatigues chroniques, fatigues aiguës, fatigues temporaires, fatigues transitoires, fatigues palpitantes ; mal au dos ; légère arthrite ; barbe piquante ; démangeaisons des ongles ; visage raidi ; méningite ; photophobie ; audiophobie ; agoraphobie ; sommeil court et non réparateur ; impossibilité de se projeter dans l'avenir ; anxiétés pour un rien, et tant d'autres pathologies encore...

Plainte :
Depuis 2008, j'ai eu plusieurs symptômes telles que fatigues maux de tête,   insomnies, apraxie, aphasie, agnosie, hypo-tension, électro-sensibilité de manière chronique. Ces symptômes se sont aggravés depuis 2008. J’ai dû arrêter de travailler en 2011. J'al consulté plusieurs médecins généralistes, mais je n'ai eu aucun diagnostique. En 2012, Un médecin cancérologue, le Docteur BELPOMME m'a diagnostique comme électro-sensible. En 2014, une amie m'a contacté pour me dire que son dentiste lui avait dit que les symptômes que j'avais pouvaient venir des amalgames.  Elle m'a conseillé d'acheter un livre "la vérité sur les maladies émergentes" de Françoise CAMBEYRAC. Dans ce livre, tous mes symptômes correspondent à une intoxication aux métaux-lourd. Dans ce livre,  il écrit de contacter l'éditeur pour avoir une liste de médecins qui sont sensibilisés aux questions relatives à l'intoxication aux métaux lourds. J'ai contacté le premier médecin que j'ai pu consulter. Il m'a expliqué que pour révéler une intoxication tissulaire chronique il fallait faire un test de provocation.  Une intoxication tissulaire chronique ne peut pas être révélé par une prise de sang  classique. Il faut prendre un traitement Chélateur avant de faire des tests. Ce traitement permet de faire sortir les métaux lourd des tissus. J'ai pris ce traitement puis j'ai fait un test urinaire. Ce test a été fait dans un labo en Allemagne. Ils font une analyse de 30 métaux et sur les résultats, j'ai un taux trop élevé de mercure, de plomb, d'arsenic et de cuivre. Le mercure et le cuivre proviennent des amalgames. Lorsque j'ai eu ces résultats en septembre 2014. J'ai contacté le centre antipoison ils m'ont indiqué qu'ils allaient me recontacter, ce qu'il n'ont jamais fait. J'ai pris le traitement pendant 2 ans. Il s'agit du DMPS. En 2015. J’ai rappelé le centre anti poison suite à de nouvelle analyse. Mais de nouveau ils m'ont dit qu'ils allaient me rappeler, ce qu'ils n'ont jamais fait.  J'ai appelé 3 ou 4 fois de nouveau le centre antipoison, à chaque fois on m'indique que l'ont va me recontacter mais cela n'abouti jamais. En mai 2019, j'ai de nouveau appelé j'ai pu leur envoyer mes analyses par mail. Un médecin m'a appelé, et pendant 20 min, il m'a demandé de lui expliquer.  Le médecin m'a demandé si j'étais chasseur ou fumeur, ce à quoi j'ai répondu non. J'ai alors dit au médecin que cela provenait des amalgames le médecin m'a alors répondu "vous êtes sur une ligne d'urgence, au revoir''. Le 30/12/2019,  j'ai fait des analyses d'urines dans un labo Français.  Mon taux de cuivre est trois fois plus élevé que la normale. J'ai rappelé le centre antipoison. Ils m'ont demandé de transmettre la copie des analyses par mail et ils m'ont dit qu'il allait me rappeler, ce qu'ils n'ont Jamais fait. Le 27/01 vers 18h00. J'ai de nouveau appelé le centre antipoison. Je les ai menacé de déposer plainte et on m'a alors communiquer le numéro des consultations. Le 28/01 vers 8h30. J'ai appelé le numéro des consultations pour avoir un rendez-vous, mais la secrétaire m'a indiqué que je n'avais pas de dossier chez eux. Elle m'a indiqué qu'elle allait me rappeler. Lorsqu'elle m'a rappelé plusieurs heures après, elle m'a indiqué que j'avais rendez-vous le 17/03/2020 à 10h00. Ils m'ont demandé de venir avec des urines de 24h sans avoir pris le traitement, ce qui va faire un faux négatif. Je voudrais modifier certaines déclarations. à savoir : Ils m'ont demandé de venir avec des urines de 24 heures, sans avoir précisé de prendre le traitement. Ce qui va faire un faux négatif. Je voudrais aussi rajouter des déclarations. à savoir : qu'en novembre 2018. Je consulte un médecin. Le docteur X qui appelle le centre antipoison Pour qu'ils prennent contact avec moi afin de convenir d'un rendez vous. Ce centre antipoison me rappel pour prendre rendez vous. J'indique que j'ai une intoxication aux métaux lourds, et que mes analyses sanguines sont négatives. La secrétaire me répond qu'il n'y aura pas de traitement. Je demande, à ce qu'un médecin confirme cela. Après un moment d'attente. Elle me dit qu'un médecin a confirmé. La discussion prend fin. Le février 2020, je suis venu à votre service afin de déposer plainte contre le centre Antipoison qui n'a pas voulu faire l'examen de mon intoxication des métaux-lourds et qui refuse de prendre en charge mon dossier. Suite à mes démarches j'ai réussi à obtenir un rendez-vous téléphonique auprès du Docteur LABORDE Casteret Hervé le 17/03/2020. La consultation téléphonique a eu lieu le 16/06/2020. Durant notre conversation téléphonique, je lui ai annoncé que j'ai une intoxication des métaux lourds, il avait mon dossier sous les yeux, j'ai demandé une reconnaissance et le traitement. Le médecin a répondu par la négative.Je veux joindre à ma procédure, une prise de note et une argumentation, établi par le médecin, qu'il m'a envoyé à ma demande. Dont je vous remets copie. Je précise que dans son argumentation, le médecin refuse de me traiter, en précisant qu'il agit conformément aux recommandations de bonne pratique. J'ai donc demandé les informations sur les recommandations de bonne pratique. Le médecin m'en a envoyé suite à ma demande. Ces recommandations stipulent explicitement le contraire de ce qu'il affirme. Je joins également la liste de mes 13 appels depuis le 21-07-2014, au centre antipoison de l'hôpital SAINT LOUIS. Au cours desquels ils ont refusé de me prendre, et en dépits des recommandations de bonnes pratiques qui recommandaient de me prendre.

Diagnostiques  personnels des métaux en excès en nombre de fois la norme
(exemple : x2 = 2 fois la norme)Nota : les valeurs représentent des flux et non des stocks. Les valeurs n’indiquent donc pas une quantité totale du métal dans le corps.

Décembre 2018 :
• mercure x30
• cuivre x10
• arsenic x8
• manganèse x3
• plomb x3
• nickel x2.5
• argent x2
• étain x2

Avril 2016 :
• mercure x30
• cuivre x17
• plomb x8
• arsenic x6
• nickel x4
• manganèse x3
• strontium x2

Octobre 2015 :
• mercure x30
• cuivre x12
• arsenic x8
• plomb x6
• manganèse x3
• nickel x2

Mars 2015 :
• mercure x11
• cuivre x5
• plomb x4
• manganèse x3

Septembre 2014 :
• mercure x30
• cuivre x8
• plomb x6
• arsenic x2
• étain x2
• manganèse x2

Mon intoxication aujourd’hui.
Suite à de très nombreuses chélations en automédication, à ce jour, mes analyses sont négatives. L’urgence est écartée, cependant des symptômes demeurent : troubles de la concentration. Les chélateurs en vente libre n’explorent pas tous les recoins du corps, notamment l’intérieur de la cellule. Selon la littérature scientifique, les métaux-lourds demeurent dans le corps après les campagnes de chélation, puis ils ressortent au compte-goutte tardivement. Je demande donc un traitement qui est sous prescription. Ce traitement est plus puissant, il explorerait l’intérieur des cellules : le Dimercaprol.

Pièce annexes
• 2012 01 31 BELPOMME CERTIFICAT EHS
Certificat d’électo-sensibilité. Les symptômes d’électrosensibilité se manifestent par des désagréments immédiats et/ou à retardement à proximité d’un source électrique alternative (téléphone portable, électricité 220V, …).
• 2014 09 18 Microtrace Diag Metaux Allemagne
Diagnostique post-chélation dans le laboratoire allemand.
• 2015 05 06 Centre AntiPoison - Article publique – « Il faut agir »
Article « scientifique » publié par le CAP de Marseille. Le CAP de Marseille annonce un refus de reconnaissance des tests de provocation.
• 2015 07 14 Veille Acteurs de Santé  - Fermeture Orléans
Communiqué de presse. Le service de chélation du CHR de Rouen ferme de façon précipitée suite à la publication du CAP de Marseille.
• 2015 10 15 Microtrace Diag Metaux Allemagne• 2016 04 11 Microtrace Diag Metaux Allemagne• 2018 12 10 Microtrace Diag Metaux Allemagne• 2018 03 13 RAPPORT ANSES EHS
Rapport de 2018 de l’ANSES sur l’éléctro-sensibilité (Ehs). Les métaux-lourds sont une piste de recherche pour la cause de l’Ehs. Les études pratiquées avec le test conventionnel indiquent qu’il n’y a pas de corrélation. Il est également indiqué que les études avec le test de provocation sont manquantes (p203/359) Remarque : le test conventionnel est frappé de faux-négatifs systémiques. Cela est ignoré par les auteurs du rapport de l’ANSES.
• 2019 05 13  CAP Dossier 778554 diagnostiques All
Courriel d’envoi des 4 diagnostiques allemands au CAP.
• 2019 12 30 Biomnis Diag Cuivre France
Diagnostique français positif au cuivre.
• 2020 01 22  CAP Dossier 1910005083 Diagnostique Cuivre Fr
Courriel d’envoi du diagnostique français positif au cuivre
• 2020 01 28 CAP RDV de consultation 17 mars
Lettre de consultation pour le 17 mars 2020. Report pour des raisons personnelles puis Covid, la consultation a eu lieue le 11 juin 2020 à 11h30 par téléphone.
• 2020 02 04 Plainte + compléments
Copie de la plainte initiale et de ses 3 compléments.
• 2020 07 09 CAP APPELS certificat
Listing des échanges téléphoniques avec la plate-forme du CAP. À chaque appel, j’ai alerté sur ma situation. Aucun appel n’a abouti sauf celui où j’ai menacé.
• 2020 07 09 CAP COMPTE-RENDU CONSULTATION 16 JUIN
Compte-rendu de la consultation transmis par le CAP.
• 2020 07 09 CAP RECOMMANDANTIONS BONNES PRATIQUES
Article des mésusages des chélateurs écrit par la STC , texte des recommandations de bonnes pratiques
• 2020 07 09[CAP][gmail.com][+]transmission éléments dossier médical
Courriel (au format informatique original) du CAP avec le CR (notes consultation), les recommandations, et le listing d’appels.
• Carte identité



Les métaux-lourds et le Collège de France
Conférences disponibles sur le site internet du Collège de France, cliquer sur le lien.• ‪Nano-objets magnétiques pour l'imagerie médicale‬‬‬
Conférence par Clément Sanchez dans le cycle des applications médicales.59:42 à 1:07:00 Magnéto-sensibilité (= électro-sensibilité). – Champ Magnétique Alternatif . Sur la diapositive, il est écrit :◦ "Électro-stimulation neuro-musculaire" à une certaine fréquence.◦ Séquences d'une heure sans désagrémentLe phénomène d'Ehs y est décrit, il est d'ailleurs produit et reproduit pour traiter les tumeurs. Les métaux-lourds en nuage chauffent lorsqu’ils sont exposés aux ondes. Cependant, les métaux-lourds injectés aux patients sont arrangés de façon à ce qu'ils soient éliminés à terme. Des cancéreux sont volontairement traités aux métaux-lourds de façon à ce que les métaux se dirigent vers les tumeurs. Application d'un champ magnétique de façon à faire chauffer les métaux-lourds, et donc tuer la tumeur avec précision et maitrise. Fréquences, désagréments, absorption, nature des nps, hyperthermie, taille, travail magnétique...Commentaire perso, sur les causes de l'Ehs, tout est dit. Or, l’ANSES prétend que les causes de l’Ehs ne sont pas connues.

• ‪Oxydes métalliques et stress oxydant
Conférence du 28/01/2015 dédié à la toxicité des cations (ions positifs): à 5:40 activité red/ox qui génèrent des ROS (radicaux réactifs). Dissolution des métaux, formation cationiques, double problème :1 : nombre important de cations, problème de lyse, pompe à protons parce qu'il va y avoir énormément d'échange d'ions,2 : le potentiel d'acceptance dans la solution, des effets secondaires du cuivre en solution.... les métaux divalents (Hg2+, Pb2+) sont coupables de problème d'éclosion des embryons (changement de valence, surtout les bi-valents). à 9:15 Hiérarchie du stress oxydant : ROS: espèces oxygénées réactives liées aux nps, NOS espèces nitrogène oxydantes liées aux nps. Ces espèces (ROS et NOS) existent dans le vivant, mais les quantités sont petites, et elles sont éliminées.Les nps créent des surplus, naissance de problèmes.Réponse de niveau 1, réponse normale de l'organisme (aux doses physiologiques et courantes) : enzymes, anti-oxydants, gluthation.Réponse de niveau 2, excès de ROS et NOS, signalisation en cascade, inflammation, cytokyne, tnf alpha... nécrose tumorales.Réponse de niveau 3, (à ne pas atteindre), le flux de calcium touché, les mitochondries touchées ( le moteur est touché, baisse ATP, perméabilité membranaire, caspases, apoptose ) maladies du stress-oxydant : vieillissement, athérosclérose, cancer, neurodégératives, inflammations chroniques.à 9:05 Sur la diapositive : Principaux mécanismes de toxicité des nps.-Cu, -Ag, Pb, Hg2+ ->

• ‪Ros, cations toxiques,o endommagement lysosomes,o dépliement des protéines,o ADN dégâts / Stress oxydant,o inhibe ATPo et enzymes respiratoires.
(Commentaire perso : Inhibe ATP = Défonctionnalisation de la cellule ; par échelle Inhibition de l'ATP = défonctionnalisation généralisée du corps = fatigue chronique)à 21:15 diapo : paradigme prédictif en toxicologie permettant l'évaluation des risques présentés par les nps.à 22:09 diapo cellule en niveau 3à 41:30 Selon certaines familles de nps, le fer est oxydé : il passe de Fe2+ à Fe3+, conformation et liguant changés.à 44:47 diapo : rupture lysosomale par effet pompe à protonsà 46:10 le fer baisse la solubilité de nps, donc baisse de la toxicité. Aspect toxique sur la solubilité (la solubilité baisse la toxicité).
• ‪Quand aurons-nous des traitements efficaces pour traiter la maladie d'Alzheimer ?‬‬‬‪ ‬‬‬
‬Conférence tenue par Bernard Meunier, directeur au CNRS.à 27 :00 les traitements actuels d’Alzheimer sont toxiques et inefficacesà 27 :25 lien entre excès de cuivre, excès de fer, excès de zinc et Alzheimer.Ces métaux apparaissent en excès à l’autopsie du cerveau.Sur la diapo : le taux de ces métaux dans le sang est normal.
• ‪Modèle de maladies psychiatriques‬‬‬
Conférence tenue par Alain Prochiantz, neurobiologiste et directeur du Collège de France‪à 12 :50 Facteurs communs des maladies neuro-dégénératives: âge, environnement, tabac, sport, armée, champs électromagnétiques, pesticides, plomb, métaux-lourds, modification chromatine.‬‬‬


Mes deux demandes sont les suivantes :
Suite au dévoilement des recommandations de bonne pratique dont la date de publication est de 2015,- en dépit des refus des centres antipoison, je demande un traitement médical contre une intoxication aux métaux-lourds, mercure, plomb, arsenic.- je demande également une reconnaissance rétroactive de mon intoxication à la date du premier diagnostique.Extension de demande : les premiers symptômes sont apparus en 2008. J’ai pu travailler jusqu’en 2012,  une reconnaissance à partir 2012 m’arrangerait. Je dispose d’un certificat d’électro-sensibilité établi par le Professeur Belpomme. Dans le rapport de l’ANSES de 2018 sur l’EHS, la piste des métaux-lourds est évoquée. Faute d’études par provocation, la piste d’intoxication tissulaire de métaux-lourds est encore en suspens.  Cependant, des conférences du Collège de France rapportent que les médecins savent produire et reproduire le phénomène d’électro-sensibilité avec des métaux-lourds. Ce certificat sous-tend donc que l’intoxication était déjà présente en 2012.


Autre information, indication d’un cahier
Sur Internet, je tiens un cahier personnel sur l’intoxication. Je ne place pas ce cahier ce dossier. Je ne demande pas à ce que ce cahier soit lu. Je l’indique pour montrer que mon histoire est déjà écrite. Page : ‪La Détox ultime par la naturopathie et par la littérature.‬‬‬‪ ‬‬‬


Glossaire :
CAP : Centre AntiPoison.Chélateur : antidote, produit médical qui traitre spécifiquement les métaux-lourdsChélation : acte de traiter par un chélateurEhs : Électro-sensibilitéMétal : ion positif , cationNps : Nano-ParticulesSTC : Société de Toxicologie CliniquePost-chélation : juste après chélationProvocation (=test de provocation) : analyse d’urine post-chélation (métallurie provoquée) ; analyses  à partir d’un échantillon d’urines prélevé précisément 1h30 après l’injection du chélateur (moment du pic de charge).  Ce test provoque la mobilisation des métaux lors de l’analyse.

1er OCTOBRE
En réponse, le défenseur des droits m' a écrit:
Le  Défenseur des droits a décidé de ne pas engager une médiation avec le CENTRE ANTI POISIN Paris Lariboisière- Fernand  pour les motifs suivants. Les Centres anti poison sont régis par le Code de la Santé Publique  articles D 6141-37, 38, 39, 41. Les missions sont définies comme suit : information du public, pose d’un diagnostic pour répondre à une urgence d’intoxication, identification du traitement adapté. Le  Siège du défenseur des droits considère que le CAP est l’équivalent du Samu pour les cas graves mettant en danger immédiat la santé du patient, ce qui n’est pas le cas dans votre situation.

3 OCTOBRE
Sophocle a écrit:... Ces articles de loi me font surgir le même sentiment que celui rapporté par Stendhal dans ‘Racine et Shakespeare’ à propos de l’Académie Française : "Ce sont des fers couverts de fleurs" (de mémoire), à ceci près : je n’ai pas trouvé de fleurs. Depuis notre dernier entretien, j’ai enfin compris la raison pour laquelle les centres antipoison m’ont refusé :C’est parce que la prestigieuse médecine occidentale n’a pas établi les références de la charge corporelle en métaux-lourds stockés en population générale.Par voie de conséquence, elle ne sait pas statuer si mes taux inquiétants sont toxiques ou pas. Faute de référence, tout diagnostic n’est qu’une page blanche. Il me semble que les Défenseur des Droits ne peut être saisi et j’ai adressé une demande au Ministre de la Santé .Je vous prie de bien vouloir lire cette demande (qui est placée au post suivant : ÉCRIRE AU MINISTRE DE LA SANTÉ (post du 2oct- page 27).S’il vous semblait que le Défenseur des Droit pouvait être utile dans l’accompagnement de cette demande, voulez-vous bien me le signaler....

23 NOVEMBRE
Le Défenseur des Droits m' a écrit:
Pour répondre à votre souhait, j' ai transmis au  service juridique du  Siège de la Défenseure des droits l'ensemble des pièces que vous m'avez transmises. J 'ai proposé que la Défenseure des droits se saisisse du problème de santé publique que vous soulevez. La décision qui sera prise vous sera communiquée directement par le Siège de la Défenseure des droits.

13 déc, Pas de nouvelles
15 janvier, je relance par mail.
le 25 janvier 2021, le DDD m' a écrit:... J'ai l'honneur d'accuser réception de votre correspondance par laquelle vous appelez mon attention sur votre situation. Je vous précise que la référence XXXXXXX lui a été attribuée. Je vous remercie par avance de bien vouloir rappeler celle-ci dans tout échange de correspondance concernant cette affaire.
Mes services vont procéder à l'examen de votre réclamation et vous informeront des suites que je pourrai lui réserver, au regard des différentes compétences qui m'ont été attribuées par la loi organique du 29 mars 2011 relative au Défenseur des droits.
Si, à propos de cette affaire, vous aviez présenté une demande semblable à quelque organisme que ce soit, ou engagé une procédure devant les juridictions, ou encore si une décision de justice a été rendue et que vous n'y avez pas fait référence dans votre courrier, je vous remercie par avance de bien vouloir le préciser et faire parvenir les documents utiles à mes services.
Si durant l'instruction conduite par mes services la situation pour laquelle vous m'avez saisi trouve sa solution, je vous remercie également de bien vouloir m'en informer.
Enfin, j'appelle dès à présent votre attention sur le fait que la saisine du Défenseur des droits ne vous empêche pas, si vous le souhaitez, de saisir toute juridiction compétente, dans le respect toutefois des délais de prescription applicables.

15 AVRIL 2021
Réponse certes défavorable mais le Défenseur exprime une sensibilité à la situation.
Cela indique que la situation choque.
L'émotion contre la filière de toxicologie gagne donc du terrain.
SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Y4mW1CncbPUJ47Eo6phXkhJKojYfrckSDn4ppGEQMprTjYN1uoPyhgaVJDsTzVoos-TQ0Qz5VbIkB0TeTPzPiMF6LNufPx-2bWrb7PMwkSnWHbLaQr-RhFpCLM8Ug0_bhnaphi-LFUVEw06Szkb8tnSVE2cdwh2qZRND-V-vwDsOntKGKDf1oKyotA-rEbxXrJc?width=693&height=1024&cropmode=none

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty FORÇAGE DES C.A.P. ET R.A.R.

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:14

Sam 18 Juil 2020 11:44

6 nov 2020 :
Je désactive ce post car cette démarche est inappropriée.
Le seul recours est d'obtenir les valeurs de références de la charge corporelle en métaux-stockés en population générale.
Voir post : toxicologie en toc.



AUX INTOXIQUÉS
Il n'existe donc pas de texte qui permette aux CAP de refuser les diagnostiques post-chélation.Pour être désintoxiqué par un CAP, ce n'est pas la peine d'attendre un procès à l'issue tardive et hasardeuse.Pour ceux qui le souhaitent, ils peuvent déjà appeler le centre anti-poison de leur région et demander une analyse post-chélation conformément aux recommandations de bonne pratique de la STC.Je dois prévenir que la situation risque d'être un peu tendue, mais les CAP s'habitueront.       Il est donc préférable de réaliser cette démarche avec un médecin généraliste. (EDIT : Pour les médecins généralistes récalcitrants : donnez-lui le texte des recommandations de la STC.   )En cas de refus des CAP et pour faire valoir la date d'une reconnaissance au moment d'une éventuelle régularisation, il faut envoyer un RAR.En cas d'acceptation, au moment des urines à prélever, il est peut-être intéressant de prélever un deuxième échantillon à envoyer chez Microtrace afin d'établir un listing large de métaux.Modèle de RAR en cas de refus  :Faire une photocopie à conserver, et conserver le papillon de retour.


RAR n° : xxxxxxxxxxA : Centre Antipoison de la ville de (à compléter)De : Nom, Prénom, adresse, téléphone.Ma ville, le aujoud'hui.Madame, monsieur,Je suis porteur de symptômes chroniques (fatigue, à compléter...) depuis le mois de (à compléter).Je soupçonne une intoxication chronique au mercure, ou au plomb, ou à l'arsenic, ou aluminium, ou autre (uranium, à compléter).J'ai appelé la plateforme le (date) avec tel numéro : (à compléter) et j'ai reçu un refus.Conformément aux recommandations de bonne pratique de chélation jointes, je vous mets en demeure de m'octroyer une consultation avec compte-rendu pour effectuer une analyse post-chélation.Veuillez agréer, madame, monsieur, l'expression de mes salutations sincères.NOM + Signature.Annexe : recommandations de bonne pratique de la STC (télécharger).Annexe (le cas échéant pour ceux qui déjà fait des analyses chez Microtrace) : analyses médicales post-chélation

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:14

Sam 18 Juil 2020 12:07

COUP DE GUEULE  
• Quand des métaux toxiques sont détectés, il n'est pas la peine d'attendre une polémique de scientifiques boutonneux pour savoir qu'il faut traiter.
Il n'y a pas de besoin d'un débat d'experts pour savoir qu'il faut éliminer le plomb, le mercure, l'arsenic ou autres éléments toxiques dès le premier atome.
Les recommandations indiquent certes que les études existent déjà pour affirmer que le chélateur est nécessaire, mais cela est une précaution intuitive.
• Quand je vois que des médecines conventionnelles ou alternatives qui traitent avec des éléments toxiques, je suis dubitatif.
Vaccins, homéopathie, ... On ne soigne pas le mal par le mal.
Tout se traite par le retour de la salubrité.
Cependant, si des patients sont informés des méthodes de retour à la salubrité, mais qu'ils demandent à être traités par des éléments toxiques, ça les regarde.
Mais, une alternative consisterait à retirer les éléments toxiques.
Encore faut-il que ce retrait soit efficace à 100% car cela ne semble pas le cas chez moi.
Cependant, que ces personnes, qui optent pour la facilité, ne viennent pas pleurnicher si un cancer ou un Parkinson se déclenche trente ans plus tard.  

Méthodologie d'analyse : Traitement des ML
• Les ml doivent être traités jusqu'à ce que le taux post-chélation rejoigne le taux sans chélation.
Ce n'est pas une histoire de normes, c'est une histoire de parfait achèvement du traitement.
Il ne faut pas oublier qu'il faut commencer par le chélateur le plus sur jusqu'à ce que les analyses soient négatives puis passer au chélateur un peu plus efficaces suivant.
Voici une liste de chélateur par ordre : DMSA, EDTA, (DMPS), ALA, BAL.
Cependant, pour maximiser la sureté au moment du passage aux chélateurs lipophiles (ALA, BAL), il est possible d'ajouter un chélateur hydrophile (DMSA, EDTA).
Ne pas oublier le bcs, les bains froids, la réforme alimentaire, ...
Quant aux métaux physiologiques à basse dose et toxiques à haute dose, il me semble qu'il est également nécessaire de traiter jusqu'à ce que le taux post-chélation rejoigne le taux sans chélation.
Ces métaux demeurent fixés dans des poches, ils créent du stress oxydant permanant, il faut donc traiter tant que le chélateur est efficace.
Cependant, il existe peut-être des contre-indications qui peuvent être dépassées par des traitements à basse intensité et au long cours.
Ne pas oublier les bains froids et la réforme alimentaire : cela permet une percolation de haute efficacité.
• Pour le test, je ne connais pas les pratiques des CAP.
Font-ils des iv ? à haute dose ? à forte concentration ?
Le risque d'incident est minime, mais il existe.
Le test le plus sûr mais tout juste indicatif me semble être 0,1g de DMSA avec du 2g de BCS dans 1/2l d'eau à boire à jeun.
Vider la vessie avant de boire, prélever 2 échantillons avant/ après 1h30 et faire 2 analyses de façon à comparer avant/après.
Ce test peut se faire chez soi, ce n'est pas remboursé, mais ça donne des jalons.
• Il ne faut pas oublier les contrôles périodiques pour vérifier s'il n'y avait pas de rebond.
[*]Même s'il est intéressant d'avoir une reconnaissance par les CAP, et donc de passer éventuellement par une iv, il me semble que la solubilisation est bien plus sure car le principe actif en faible dose mais en nuage est très performant.
Ensuite, c'est une question de posologie, dose vs fréquence.

Alternative aux chélateurs : les sels de Schüssler
• De plus, pour éliminer les ml, il existe d'autres méthodes douces.
Les sels de Schüssler me semblent la première initiative à tenter car elle fonctionne par compétition magnétique.
Il ne faut certes pas installer cette cure à vie, mais elle désinstalle les métaux-lourds par la même voie d'installation : la diffusion par une polarité magnétique.
À basse intensité, les anions physiologiques bi-valents vont drainer les cations bi-valents.
Les métaux-lourds étant des cations, ils vont donc être solubilisés de façon à rencontrer les émonctoires et de façon à être éliminés.
Cette méthode n'est pas a installer à vie car elle dissoudrait les os.
Cependant, pour pallier à la dissolution des os, il suffit d'adopter la réforme alimentaire.
• Pour maximiser la sûreté, il faut démarrer avec les 4 sels de sodium à basse dose: chlore, BCS, sulfates, Phosphates.
Puis, il faut augmenter la dose jusqu'à 3g/l dans l'eau minérale volvic ou rouscous.
• Je rappelle que, selon Jade Allègre, la prise de soufre est une alimentation traditionnelle (soufre = anion).


Implications
Il me semble que ces recommandations peuvent faire tomber tout les traitements à base d'éléments toxiques.En effet, ce texte démontre que les éléments toxiques sont accumulés derrière le sang...

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty Justice médicale

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:15

Dim 19 Juil 2020 12:57

Le 17 septembre 2016, Nicolah a écrit:J'ai téléphoner a mon grand pere qui était médecin et je lui ai parlé de cet intox au mercure et c'est toujours la même chose; " tous le monde en as des métaux lourds "
Bref je n'inciste pas mais c'est dommage.
Tu m'étonne que je me renferme si c'est pour entendre des choses comme ça ! ([size=85]post[/size])

Le 16 octobre 2016, Nicolah a écrit:PS : ma grand mere m'a parler des electrochocs pour me soigner les gens sont toalement a la masse post

Nicolah portait des symptômes d'une intoxication aux métaux-lourds.
Or, en dépit de ses nombreuses visites auprès de médecins, en dépit des recommandations et en dépit des études existantes, le test approprié pour diagnostiquer ces métaux n'a jamais été réalisé.
De plus, le témoignage de Nicolah semble rapporter que le diagnostique officiel n'a pas été proposé à Nicolah.
Il est possible d'envisager que les médecins n'ont donc pas proposé la prise de sang.
En dépit des alertes de Nicolah, les médecins n'ont jamais prescrit aucun diagnostique sur les métaux-lourds.

De façon générale, les centres antipoison ont commis l'erreur d'instaurer un diagnostique systématiquement non fiable sans veiller à son potentiel de faux-négatifs.
Les centres antipoisons ont commis une deuxième erreur en rejetant les diagnostiques fiables (post-chélation).
Or, le centre antipoison étant au contact des patients et des tests, il est le premier lieu où le test officiel non-fiable aurait du être dénoncé.
De plus, il s'agit précisément du moment opportun où le test aurait du être fait.
Scientifiquement, le test post-chélation à comparer avec le test à blanc est un réflexe de parfait achèvement.

Comme la médecine est non contestée, elle semble optimale.
Dans ce cadre, les familles relaient l'erreur de diagnostique, elles imposent donc le faux comme vrai.
Le système médical a installé un barrage jusque dans la pensée.
En dépit des symptômes et en dépit d’un test fiable, la bonne médication est volontairement écartée.
De plus, le CAP fait la chasse aux sorcières envers les médecins qui traitent.
Le refus de diagnostiquer et de traiter est cranté dans l’Adn de la médecine.

Dans ce contexte, l'erreur des centres antipoison est donc devenu une vérité populaire :
Cad que ceux qui ont des symptômes extrêmes d'une intoxication aux métaux-lourds voient leur situation médicale et globale dégénérer.
On peut sauver ces personnes mais le CAP préfère les laisser errer.
Faute de traitement efficace, elles font donc l'objet d’une réclamation de tortures médicales de la part des proches.

Cependant, la STC a publié, il y a cinq ans, un article dans lequel elle indique que le diagnostique post-chélation est indiqué pour le mercure, le plomb et l'arsenic.
Les centres antipoison faisaient donc l'objet d'alertes des patients et des sociétés toxicologiques.
Rien n'y fait, les centres antipoison ont maintenu la politique de la norme.

Pour un médecin du centre antipoison, le retrait des métaux toxiques est du second ordre derrière la norme.
À la Eichmann : sa défense consistait à dire qu'il n'a fait qu'appliquer la règle.
Hannah Arendt a philosophé sur le sujet : c'est le totalitarisme de l'idée.
Le réel a tord s'il donne tord à l'idée.
Dans le cas des centres antipoison, c'est le totalitarisme de la norme.
L'individu et le traitement des éléments toxiques sont superflus devant la méthodologie inaliénable de la norme.

Pour illustrer la démarche des centres antipoison, voici quelques notes du court texte d'Hannah Arendt sur le totalitarisme, texte : Les Origines du totalitarisme


Une idéologie se veut expliquer le monde.
L'idéologue ne se souci jamais du ici et maintenant.
L'idéologie réduit le complexe du réel.
L'idéologie se passe des hommes.
Obéir à la loi même si elle est immorale.
Quand il y a terreur, il y a totalitarisme.
Quand il n'y a plus d'opposition, il y a totalitarisme.
Quand il y a constitution d'une philosophie scientifique, il y a totalitarisme.
La vraie pensée est la distinction entre le vrai et le faux ; le totalitarisme efface cette pensée.



De plus, le seul pays occidental dans lequel le diagnostique post-chélation est refusé, c'est la France.
À ce jour, j'ai identifié que la Suisse, la Belgique, l'Allemagne, et les États-Unis  comme des pays qui acceptent par tolérance le diagnostique post-chélation.
Cependant, dans ces pays, le diagnostique officiel (test sanguin) semble ne pas être remis en cause pour le mercure, plomb et arsenic.

Dans cette histoire de métaux-lourds, on a bien un totalitarisme :
Les élites et les victimes sont informées d'un désordre scientifique avéré, mais le gouvernement conserve le statut quo.
Le faux est instauré comme vrai et le vrai comme faux.
Par voie de conséquence, le basculement du diagnostique foireux vers le diagnostique fiable sera très très difficile obtenir...

On retrouve ce schéma en impasse dans le texte de Céline sur la fièvre puerpérale : Semmelweis.
Rappel : la série de femmes traitées par le même médecin dans la journée mourrait à l'accouchement faute de précaution anti-bactériennes.
En dépit des évidences, les médecins refusaient de se désinfecter.

Comme le dit Victor Hugo à propos des Communards,
Il faut que la question se pose comme nouvelle dans une nouvelle assemblée...
C'est sur cette situation peu probable que le CAP compte prospérer.

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty Analyse complète des recommandations

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:16

Lun 20 Juil 2020 08:25

L'article des recommandations est riche en informations (texte complet au post du 9 juillet).
Je relève donc les passages saillants et je les commenterai.


Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées.

• On y apprend qu'une polémique sur le test de provocation est en cours et que des données sont suffisantes pour permettent de trancher la polémique.
Ce passage est clair : l'évaluation du test de provocation est désormais possible.
Dans ces recommandations, la STC et la SFTA livrent le résultat de leur évaluation.



Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure et l'arsenic.

• Le test de provocation est donc indiqué en particulier pour le plomb, le mercure et l'arsenic.
Il me semble que cette phrase sous-tende que la valeur de comparaison de ces métaux pour un test post-chélation soit bien celle de la population générale (cad sans chélation).
• Ce passage laisse également entendre que la liste des métaux pour lesquels le test de provocation est indiqué s'étend au-delà des 3 métaux cités.
Il semble donc non-déraisonnable d'appliquer le test de provocation à chaque métal toxique dès le premier atome, uranium, aluminium,..., la liste est longue...
Le test de provocation multi-métaux semble quand-même très opportun.
Cela milite pour que ce test soit retenu comme le futur test conventionnel.
Ce passage sous-tend que le test officiel est frappé de faux-négatifs systémiques. - ÉDIT 26 juillet 2020.
En voilà une sacrée nouvelle, nous le savions certes déjà.
Mais, là, c'est écrit par les deux sociétés françaises de toxicologie dans une mise au point scientifique.
Ce n'est pas une petite étude dans un recoin de la littérature scientifique, il s'agit d'un coup de tonnerre au ralenti dans le monde des métaux-lourds.
Ce texte est opposable aux tests officiels.

Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:L’exposition chronique à certains métaux ou métalloïdes est associée à un risque élevé de certains cancers (...), mais les tumeurs surviennent longtemps après le début de l’exposition et souvent, longtemps après qu’elle a cessé ; l’administration de chélateurs n’en est pas un traitement et il n’y a pas, à ce jour, de preuve qu’elle les prévienne. (...), il n’y a pas de preuve suffisante d’une association causale entre une contamination par un élément métallique et certaines affections, telles que l’autisme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la goutte, les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence maculaire ou la myofascite à macrophages. Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ou plusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.

• Ce passage indique qu'il n'existe pas de preuve entre les intoxications et les maladies dégénératives.
Or, le Collège de France stipule explicitement le contraire (voir post afférents).
• De ce passage, je déduis que les personnes qui ont un cancer demandent à être chélatées.
Les personnes porteuses d'affections (sep, ...) demandent également à être chélatées.
À ces personnes-ci, s'ajoutent des personnes qui n'ont pas de symptômes mais qui expriment une inquiétude d'une future maladie dégénérative.
Le nombre de personnes qui demande à être chélatées serait donc très élevé.
Cela explique peut-être le barrage mis en place par le CAP.
Le barrage installé est très étanche, tout prétexte serait bon à prendre pour refuser les personnes qui se présentent aux CAP.
Y compris avec des symptômes, mais faute de diagnostique dans les normes strictes, l'intoxiqué avec de forts symptômes est donc refoulé.  :gla:



Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ouplusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.

Ce passage est explicite, les personnes intoxiquée mais qui n'ont pas de symptômes caractérisés ne doivent pas être traitées.  :gla: un diabétique qui sort 30 microgrammes de mercure ne doit pas être traité car le diabète n'est présent dans la liste des symptômes.  :sarcastic:   On laisse donc pourrir les gens sur pied à petit feu.De plus, les personnes dont la maladie naît du cumul de toxines, pesticides et métaux-lourds, ne seront jamais traitées car les symptômes n'appartiennent strictement pas aux métaux-lourds aux pesticides.Quand on fait autant de chichis, il ne faut pas s'étonner d'être tant raillé par les grands auteurs.


Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée.

•Les normes sans chélation ne s'appliquent certes pas pour un test de provocation. Je ne peux être que d'accord.
Il est compréhensible que du cuivre qui sorte à haute dose lors d'une chélation ne doive pas être comparé à des normes établies sans chélation.
Mais, s'il n'y a pas de normes post-chélation sur le mercure, c'est la faute à la science, c'est pas la faute aux intoxiqués.
Le fait de reprocher un test de provocation est odieux.  Surprised




Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Il existe des tests de provocation validés pour un nombre limité de métaux et qui sont applicables dans des conditions précisément déterminées : nommément, pour le cuivre (dans le cadre de la maladie de Wilson), pour le fer (dans le cadre de l’hémochromatose) et pour le plomb (pour décider du traitement de l’intoxication saturnine, à certains niveaux de plombémie).
• Il n'existe pas de test de provocation validé pour le mercure ou pour l'arsenic.
Les CAP exploitent cette faille pour exercer une levée les boucliers.
• Cependant, le test de provocation est donc déjà en place pour certains métaux avec validation, cuivre, fer, plomb.
Le test de provocation n'est donc pas une nouveauté.
Toute une science des normes est établie.
Cela est une argumentation choc contre les anti test de provocation.
Les CAP pestent donc contre des bonnes pratiques déjà validées sur quelques métaux.
• Au vu de sa pertinence, il est évident que le test de provocation va s'imposer sur le mercure et l'arsenic.
Je suis très étonné que les CAP invoquent des normes pour ne pas traiter le plomb, le mercure ou l'arsenic.
Cela est nécessairement se condamner à terme.
De plus, en dépit de la mise au point scientifique des recommandations de la STC et de la SFTA, les CAP persistent dans l'erreur.
Peut-être assiste-on à une apoptose du centre antipoison ?  Very Happy



Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Les chélateurs efficaces ne sont pas dépourvus d’effets indésirables et leur emploi doit s’appuyer sur une évaluation des risques pour la santé, prenant en compte les relations dose—effet de la substancetoxique et la tolérance du médicament. Les indications des traitements chélateurs sont, en pratique, bien codifiées dans tous les traités de toxicologie médicale.

• Cela milite pour un traitement à la maison à basse intensité et à longue durée.
Pour une reconnaissance, la question du test demeure.

Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit: des médicaments qui ne sont pas commercialisés en France, en prétextant d’une plus grande efficacité (en France, c’est le cas du dimercaptopropane sulfonate[DMPS], dont le pouvoir chélateur n’est pas, dans la plupart des indications potentielles, supérieur à celui d’autres médicaments présents sur le marché et qui peut être responsable d’accidents thérapeutiques sévères ; c’est la raison pour laquelle, il n’est, en principe, pas disponible dans notre pays) ;

Et PAN sur le DMPS : il est bien plus cher, moins sur et pas plus efficace.


Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:• des médicaments « naturels » sans effets thérapeutiques démontrés : ail, bentonite, chlorelle et autres algues,coriandre (cilantro), chlorophylle, cystéine, spiruline,vitamine C.

Sans commentaire.

Commentaire général
Ces recommandations sont un véritable progrès : la provocation est indiquée lors de symptômes. Mais, sans symptômes, elle n'est pas indiquée. Ces recommandations installent donc la petite intoxication chronique qui couve à petit feu pendant des années.  :gla: Tout comme on se brosse les dents, il demeure raisonnable que l'élimination des métaux en excès devrait être une hygiène de vie.

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty MISE EN DEMEURE DU CENTRE ANTI POISON + Remarques Consultati

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:16

Lun 20 Juil 2020 09:40

Ces démarches ont été vaines.Le seul recours est l'obtention des valeur de références de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale. Voir post toxico en toc

Au Docteur Laborde, j' a écrit:
RAR xxxx
Le lundi 20 juillet 2020. Au Docteur Laborde-Castérot
Docteur,
Contrairement à vos notes manuscrites, les recommandations de bonne pratique stipulent que les métalluries provoquées sont indiquées pour le mercure, le plomb et l'arsenic.Par voie de conséquence, je vous mets en demeure de pratiquer une chélation à réception de ce courrier. En cas de refus ou sans suite, je déposerai plainte. Je vous informe que j'ai déjà porté plainte contre les refus passés.Veuillez agréer, Docteur, l'expression de ...
Sophocle
Copie : Madame la représentante des droits des patients.
Pj : recommandations de bonne pratique et CR consultation.



Au vendredi 24, Pas de nouvelles

Au docteur Laborde, j' a écrit:Paris, le 25 juillet 2020.

Au Docteur LABORDE-CASTÉROT, CAP de Paris. Objet : remarques de la consultation du 16 juin 2020.Docteur,Faute de compte-rendu de la consultation du 16 juin 2020, j’exprime mes remarques sur la consultation.J’adresse une copie de ces présentes remarques à la STC et à la SFTA pour que ces dernières prennent connaissance de ce que vous leur faites dire en consultation.Je dresse également mes mises en demeure.

I) Commentaire sur l’article des recommandations de bonne pratique (STC et SFTA 2015)

Suite à la consultation du 16 juin 2020, vous m’avez transmis les recommandations de bonne pratique que le CAP a adopté. Ces recommandations portent la forme d’un article, coécrit par la STC et la SFTA, publié en 2015 par la SFTA et intitulé : « Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs ». Extrait de l’article :
«  Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées. À l’image de leurs homologues américains et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de toxicologie clinique et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs.Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure  et l'arsenic. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association :• de signes cliniques et/ou para-cliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ;• et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal. »
Les recommandations de bonne pratique, que votre service a adopté, stipulent donc que les métalluries provoquées sont indiquées pour le mercure, le plomb et l'arsenic.
II) Rappel historique de nos échanges

En 2014, je suis porteurs de lourds symptômes. Depuis 2014, j’ai joints environ une dizaine de fois vos services pour alerter sur ma situation (voir certificat d’appels joint). Aucun appel n’a abouti spontanément.  Depuis 2014 jusqu’en 2020, le standardiste, qui avait promis à chaque appel de me rappeler, n’a pas rappelé.Deux exceptions : • En mai 2019, en dépit qu’il ait mes nombreux diagnostics positifs entre les mains, un médecin m’a fait parler pendant 10 minutes, puis il a raccroché de façon impromptue. • En janvier 2020, j’ai menacé vos services de porter plainte. Suite à ces menaces, vos services ont octroyé une consultation en mars 2020. Pour raison personnelle, puis pour raison sanitaire, cette dernière a été repoussée au 16 juin 2020.Résumé de la consultation du 13 mai 2019 par téléphone :
L’appel du 13 mai 2019 à 11h57 parvient du CAP suite à mon envoi de diagnostics allemands par mail. Cet envoi était une demande de mon interlocuteur au cours de mon appel du matin à 9h51. L’appel de 11h57 a été passé par une secrétaire qui m’a proposé d’être traité à condition que j’accepte de ne pas être reconnu. Faute de mieux, j’ai dit oui. Puis la secrétaire m’a passé un médecin qui m’a fait parler pendant environ 10 minutes. Au médecin, j’ai raconté la fatigue extrême, les maux de tête permanents depuis 10 ans … À la fin de la consultation, le médecin m’a demandé si j’étais fumeur ou chasseur, j’ai répondu non. J’ai ajouté que cela venait peut-être des amalgames. De façon étonnante et inattendue, le médecin m’a dit : « vous êtes sur une ligne d’urgence, au revoir » et il a raccroché. Pas de rappel. Le 7 octobre 2019, après une trente secondes de présentation, mon interlocuteur m’a mis en attente pendant plusieurs minutes. Puis, il m’a dit qu’il a retrouvé mon dossier informatique et qu’il fallait que je revienne avec des diagnostiques français.
Selon l’article de la STC et de la SFTA, dont la publication date de 2015, j’étais donc déjà éligible à la reconnaissance.

III) Remarques sur la consultation en objet
Consultation du 16 juin 2020 (prévue initialement en mars et repoussée)Au cours de la consultation du 16 juin, vous ne m’avez pas demandé de m’exprimer sur les circonstances des symptômes ni sur mes antécédents. Alors que nous n’avons jamais échangé, de but en blanc, vous m’avez demandé où j’en étais aujourd’hui. Or, selon les bonnes pratiques de la consultation, le compte rendu doit rendre compte des circonstances de la survenu des symptômes et des antécédents médicaux. Par la présente, je complète donc la consultation avec les circonstances et les antécédents exigés par les bonnes pratiques de la consultation.En 2008, des symptômes de fatigues chroniques sont apparus avec un gradient inexorable. J’ai du arrêter de travaillent en 2011. En 2012, le Professeur BELPOMME a dressé un diagnostic d’électro-sensibilité. En 2015, sur mon cahier, j’ai noté :
Au plus fort des désordres, et donc avant les chélations, je portais de nombreux symptômes intempestifs qui se bousculaient : marche difficile ; tête lourde ; imprécisions dans les gestes ; articulation orale déficiente par intermittence ; sensations articulaires multiples ; impossibilité à planifier ; amnésies transitoires ; difficultés à se concentrer ; semi-évanouissements en montant des escaliers ; oublie de fin de la phrase en cours de prononciation ; difficulté à écouter durablement autrui ; impossibilité à faire du sport d'endurance ; impossibilité à lever des masses lourdes ; déséquilibres ponctuels ; sensation de brulures ; grésillements sous la peau ; sensation d'étirements osseux ; sensations de courbatures ; céphalées furtives, céphalées profondes, céphalées ineffables ; électro-sensibilité sévère ; confusion ; bourdonnements continus et virevoltants dans la cavité crânienne ; fatigues en tout genre, fatigues chroniques, fatigues aiguës, fatigues temporaires, fatigues transitoires, fatigues palpitantes ; mal au dos ; légère arthrite ; barbe piquante ; démangeaisons des ongles ; visage raidi ; méningite ; photophobie ; audiophobie ; agoraphobie ; sommeil court et non réparateur ; anxiétés pour un rien, et tant d'autres pathologies encore...
Depuis, j’ai identifié ces symptômes comme une aphasie, une agnosie et une apraxie.En 2014, suite à un diagnostic post-chélation positif au mercure, au plomb et à l’arsenic, un médecin de ville a pratiqué des chélations (iv de DMPS) pendant plusieurs années. Mensuellement, une trentaine d’intraveineuses n’ont résolu que 15% environ des mes symptômes. Les uniques améliorations de mon état parvenaient systématiquement et précisément 24 heures après l’intraveineuse du chélateur. Ces chélations ont certes un peu amélioré mes symptômes, mais la vitesse de résolution était beaucoup trop lente. Plusieurs années de traitement se sont donc déroulées sans qu’une véritable rémission ne se dégage. En 2019, par moi-même, j’ai donc pratiqué des chélations par voie orale avec des produits en vente libre (Dmsa, Edta et d’Acide Alpha-Lipoïque). En dépit des croyances médicales, une solubilisation du principe actif en nuage à boire à jeun centuple l’efficacité du principe actif par rapport à une intraveineuse. En trois mois, j’ai réalisé deux douzaines de chélations à très haute posologie qui ont effacé environ 60 % des symptômes. Grâce à ces chélations, j’ai pu réaliser les diagnostics positifs dans un laboratoire français de façon à vous menacer de porter plainte avec des documents officiels français. L’urgence de ma situation est certes désormais écartée mais, en dépit du renouvellement des chélations, il demeure aujourd’hui des symptômes que vous avez notés. Conformément à vos notes, je demande donc a être traité par un chélateur plus puissant et sous ordonnance. Suite à vos barrages multiples et faute de diagnostic officiel sur les métaux-lourds, je suis en errance médicale depuis 2008. Je ne peux pas travailler et je ne suis pas reconnu. Comme je vous l’ai déjà indiqué, je tente de faire valoir mes droits par voie administrative.

IV) Remarques sur vos notes de consultations
Retranscription de vos notes manuscrites de la consultation du 16 juin 2020 :
« Télé-consultation téléphonique - Car pas de matériel vidéo patient - CF Appels CAP - 16/06/20 LABORDE CASTÉROTIntox "métaux-lourds" : mercure ?m'informe qu'il a porté plainte contre notre serviceTaux élevés de métaux après chélationDit être amélioré par la prise d'EDTA à 75 % puis acide a lipoïqueTb (trouble) concentrationSouhaite être - chélaté par dimercaprol (Souhaite être) - reconnu intoxiqué par les métaux-lourdslivre 'Chelation Therapy'source évoquée : amalgames dentaires, qui ont été retirésfait des bains de bouche "salins" (ou "plus" ? en tout cas j'ai dit "salins")dosage 12/2019 a été fait après chélation-> J'explique comme précédemment que nous ne pratiquons pas de chélation dans des situations similaires conformément aux recommandations de bonne pratique (STC).Le patient me dit qu'il obtiendra ses "droits" par voie judiciaire. »
Contrairement à ce que vous faites dire à la STC, la STC et la SFTA indiquent de pratiquer la chélation dans des situations similaires aux miennes (symptômes et hauts niveaux de mercure, de plomb et d’arsenic post-chélation). Le contenu textuel de vos recommandations stipulent donc le contraire de ce que vous leur faîtes dire en consultation.

V) Mises en demeure
Je rappelle que, en dépit que selon la STC et la SFTA, les données existaient déjà en 2015 pour évaluer le diagnostique post-chélation, et suite à la publication  « Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir !», en 2015, du centre antipoison de Marseille, le seul service officiel de diagnostique post-chélation en France a fermé dans la précipitation. Ce service venait d’ouvrir au CHR d’Orléans, il était tenu par le docteur Marie-Christine BOUTRAIS, et il a fermé alors qu’un reportage sur ce service venait d’être diffusé sur la télévision publique. C’est suite à ce reportage que vos confrères de Marseille font référence: « … Il faut agir ! ».• Docteur, je vous mets en demeure de me transmettre le compte-rendu de la consultation du 13 mai 2019 tenue par téléphone.• Docteur, je vous mets en demeure de me transmettre un compte-rendu de la consultation du 16 juin 2020, papier à en-tête, texte dactylographié, tampon, signature et identification claire que l’article de la STC et de la SFTA est vos recommandations de bonne pratique adoptées par vos services. • Docteur, suite aux indications de la STC et de la SFTA, je vous mets en demeure de traiter mon intoxication et d’engager une procédure de reconnaissance.
VI) Plainte
Le 20 juillet, par Rar, je vous ai signalé votre erreur de compréhension de l’article des mésusages de la STC et de la SFTA et je vous ai adressé une mise en demeure de traitement. En dépit des recommandations de bonne pratique qui recommandent de traiter les cas similaires aux miens, vous n’avez pas donnée suite, ni pris contact avec moi. Je vous annonce donc que j’ai porté plainte et que j’ai déposé une demande auprès du Défenseur des Droits.


Veuillez agréer, docteur, l’expression de mes salutations cordiales.
Sophocle

VII) Annexes – Pièces jointes
• Courrier du Centre antipoison de Paris du 10 juillet 2020 : o Recommandations de bonne pratique (STC), o Notes manuscrites de la consultation, o Listing de mes appels avec le CAP de Paris.• 4 diagnostics de chez Microtrace de 2014 à 2018, positifs au mercure, au plomb et à l’arsenic ; + diagnostic français• Rar du 6 et 20 juillet, demande de document et mise en demeure• Du Centre antipoison de Paris : Confirmation de consultation (initialement prévue en mars puis repoussée en juin 2020)• Article du Centre antipoison de Marseille : « Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir !»

VIII) Diffusion

• Destinataire : Docteur Hervé LABORDE-CASTÉROT, CAP Paris• Copies : Direction des soins de l’hôpital Lariboisière• Défenseur de Droits,• Docteur X , hôpital Lariboisière• Docteur X, chef de service du CAP Paris• Mme X, représentante des droits des patients• Mme X, centre antipoison.• STC – Monsieur le président - Société de Toxicologie Clinique, 200 rue du Faubourg Saint-Denis 75010 Paris• SFTA – Madame la présidente, Service de Pharmacologie et Toxicologie,  Faculté de Médecine PIFO, Université de Versailles Saint Quentin, 104 Bd Raymond Poincaré, 92380 GARCHES

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty ECRIRE AU MINISTRE DE LA SANTÉ

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:37

Ven 2 Oct 2020 15:28


    Objet : Écrire à Olivier VéranVia le site internet du Ministère de la santé et des solidarités. Message :Monsieur le Ministre,

      je souhaite alerter votre bienveillance.Dans les recommandations de bonne pratique du traitement des métaux (Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusages des chélateurs, SFTA, STC, 2015 - voir annexe), j’apprends que l’administration du traitement contre les métaux-lourds augmente l’excrétion des métaux chez tous. À ce titre, selon ces recommandations, la comparaison aux circonstances aux valeurs de référence en population générale est erronée. Mais ces recommandations n’indiquent pas si cette augmentation est non-inquiétante de façon à conserver la confiance dans le test validé (sans traitement) des métaux-lourds. Or, par la même occasion, ces recommandations révèlent que cette augmentation n’a pas fait l’objet de validation de façon à ce que le test validé conserve une représentation de la charge en métaux augmentés par l’administration du chélateur. Du fait que ces recommandations indiquent que l’administration du chélateur augmente l’excrétion, il serait envisageable de déceler une présence indésirable de métaux toxiques qui passerait inaperçue au test validé (sans traitement). Or, dans la pratique, outre le fait que ces recommandations révèlent que l’administration du traitement augmente l’excrétion des métaux chez tous, l’augmentation de certains métaux toxiques (mercure, plomb, arsenic, cuivre, …) excrétés par l’administration du chélateur fait régulièrement l’objet d’une élévation fortement disproportionnelle par rapport à l’ensemble des métaux de façon à faire surgir une alerte inquiétante chez des personnes présentant des symptômes dont les causes sont actuellement ignorées par la médecine. De plus, selon ces recommandations, le recours à l’administration du chélateur comme diagnostic serait prétendument un abus. Mais ce n’est pas parce que le test validé serait suffisamment fiable que ces recommandations stipulent que l’administration de chélateur serait un abus, mais, selon ces recommandations, ce serait parce que la base de références de la charge toxiques en métaux stockés dans la population générale n’a pas été établie (dont l’établissement se fait par l’administration du chélateur et dont la pratique serait prétendument un abus par ces mêmes recommandations).Selon ces recommandations, pour tous les métaux stockés et en dépit du test validé, la charge toxique en métaux stockés en population générale est donc officiellement ignorée. Cela invalide certes l’administration du chélateur comme diagnostic faute de références à la population, mais cela invalide également le test actuellement validé. L’objectif du test validé est de définir la charge des métaux, mais à la lumière de la révélation des stocks indésirables des métaux par le chélateur, le test validé devient donc impropre à sa destination. Or, en dépit qu’il soit impropre à sa destination, le test validé demeure non contesté par les sociétés françaises de toxicologie.De plus, ces recommandations n’alertent pas sur le manque absolu de fiabilité du test validé, mais au contraire, elles renforcent la confiance envers ce test non fiable mais validé au détriment d’un test dont l’augmentation des métaux excrétés fait surgir les stocks indésirables de métaux. Cette particularité place l’administration du chélateur dans une meilleure posture pour remplir la destination d’un test diagnostic de charge des métaux.Ces recommandations sont donc formulées de façon à ce que des milliers de français ne soupçonnent pas le péril en cours. Or, en dépit du manque de validation, de nombreux pays européens ont opté pour la prise en compte des métaux excrétés par le traitement.Qu’il sied mal à des médecins français de ne pas traiter les causes des maladies par impasse réglementaire ou pas.C’est la guérison qui fait que les médecins sont admirés, mais ces recommandations suscitent la stupeur et elles empêchent à ce que le monde se déroule dans les meilleures conditions de santé. En dépit qu’un test fiable existe et en dépit qu’un traitement existe, les personnes victimes de stocks de métaux en excès s’ignorent à cause d’un test validé mais non fiable et non contesté.Je vous alerte donc pour que votre ministère avise sur l’opportunité de telles recommandations en attendant que la base de référence des métaux stockés dans la population générale soit programmée et établie.Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, mes salutations respectueuses.



        Sophocle


    Annexe, extrait des recommandations : « La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée. »SFTA : Société Française de Toxicologie AnalytiqueSTC : Société de Toxicologie CliniquePage des recommandations :https://www.em-consulte.com/article/1003121/diagnostic-des-intoxications-par-des-metaux-ou-des



---- Envoi via le site Ministère des Solidarités et de la Santé
Nous vous remercions pour votre courriel.
Il a bien été envoyé au service en charge du traitement des courriers au ministre.

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty TALON D'ACHILLE DE LA MEDECINE CONVENTIONNELLE

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 17:59

Mar 6 Oct 2020 09:39

CORRESPONDANCE AVEC LA S.T.C. (Société de Toxicologie Clinique)
Sur le formulaire en ligne de la STC, Sophocle a écrit:Bonjour.
La programmation des références des métaux stockés en population générale par le test de provocation est-elle prévue ?
Remerciements par avance.
L'interlocuteur de la STC a écrit:Bonjour Monsieur,
Je vous remercie de votre intérêt pour nos travaux mais je ne comprends pas le sens de votre question.
Pourriez-vous m'en dire plus et notamment dans quel contexte ces informations vous seraient utiles et pour quels métaux ?
Cordialement. JC G.
Sophocle a écrit:Bonjour Monsieur.
Merci pour votre réponse.
Selon l'article "Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs" publié en 2015 par la STC et la SFTA (ci-après nommé "l'article"):
"La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée."

Cet article stipule de façon explicite que l'excrétion des métaux augmente chez tous avec le chélateur.

Je comprends donc que les éléments métalliques avec le chélateur surgissent chez tous au-delà de la référence validée du test sans traitement.
A ce titre, cet article indique qu'il est donc erroné de faire la comparaison des valeurs excrétées par chélateur avec la référence en population générale qui a été établie sans excrétion.
Cela me semble certes tout à fait non réfutable.
Cependant, par la même occasion, j'apprends qu'il existe une augmentation de métaux entre le test validé et entre le test de provocation.
Il conviendrait d'établir les références en population générale des métaux excrétés par chélateur afin de vérifier que l'augmentation ne fasse pas surgir des dépôts indésirables qui passeraient inaperçus lors du test validé.
Sans référence des métaux excrétés par le chélateur en population générale, la confiance dans le test validé (sans chélateur) serait en indélicatesse avec la rigueur scientifique, me semble-t-il.
Pour que je rétablisse ma confiance totale dans le test validé, il faudrait que des études certifient que le test validé soit systématiquement représentatif des métaux excrétés par le chélateur chez tous et chez chacun et à chaque analyse.

Or, cet article sous-tend que de telles études ou de telles certifications (ou référence en population générale) n'existent absolument pas.
De plus, un laboratoire de réputation internationale affirme que des dépôts indésirables et inquiétants ne surgissent parfois uniquement quand le chélateur est administré sans que cela soit perceptible avec des analyses issues du test validé.
Selon ce laboratoire, ces dépôts inquiétants passeraient totalement inaperçus au test validé.
Mais, comme l'impose cet article, seul le test validé fait foi : il faudrait s'en tenir à un test validé qui ne force pas l'excrétion des métaux.
Le refus délibéré de prise en compte d'analyses scientifiques qui révèlerait des dépôts inquiétants par le test de provocation est très curieux.

Comme cet article ne stipule pas que le test validé soit suffisamment représentatif des métaux stockés dans le corps en population général dont l'appréciation se fait par le test de provocation, par acquis de conscience, je me suis donc demandé si les références de tous les métaux excrétés par chélateur était programmées de façon à ce que la confiance dans le test validé soit définitivement affermie.

Tant que des études qui analysent l'augmentation des métaux excrétés par chélateur ne sont pas réalisées, le test validé est frappé par un doute.

Par exemple, des études affirment-elles que jamais aucun métal ne fait jamais l'objet d'aucune élévation disproportionnée par rapport à l'ensemble des métaux entre le test validé et le test de provocation ?
De telles études siéraient.

Or, je n'ai pas trouvé de telles études dans le traité de toxicologie : CHELATION THERAPY (2016).
Dans ce traité, j'y apprends que le test de provocation est un possible diagnostic.
De plus, il y est même indiqué que les tests de provocation sont mis en doute faute de références en population générale.
Par voie de conséquence, à la lecture de cet article et de la littérature spécialisée, le test validé pâtit significativement d'un manque probable de fiabilité.
Quand je lis cet article, je suis donc très étonné que les références des métaux stockés dont l'appréciation se fait avec le test de provocation n'aient pas encore été établies.
Je suis même choqué de cela.
Afin de me rassurer, je me suis donc orienté vers vous pour savoir si les références des métaux excrétés par chélateur étaient programmées.
Cordialement

réponse en attente ...



POUR REJOUER LE MATCH AVEC L'APHP
Suite à la découverte que les références des métaux stockés n'avaient pas été établies par les sociétés françaises de toxicologie (voir : STC), j'ai repris rdv avec Bensefa-Colas (APHP, pathologies environnementales) pour lui expliquer la chose.(rappel : je l'avais vue en 2019, son CR indiquait que l'ehs n'était pas lié à mes symptômes et que les amalgames ne causaient pas d'intoxication).Avant même que je n'ai pu m'exprimer, elle m'a expliqué que mes hautes valeurs de mercure sur mes tests de provocation ne signifiaient pas une problématique sur le mercure, elle a ensuite ajouté qu'elle ne pouvait rien pour moi.Bensefa a accusé les poissons intoxiqués au mercure pour expliquer les valeurs élevées des diagnostics post-chélation.C'est la faute au poisson.   J'ai rétorqué en lui expliquant que les références des tests de provocation étaient "tombés" parce que les taux augmentaient chez tous (sic STC).j'ai ajouté que mon diagnostic n'était qu'une page blanche faute de valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale dont l'établissement par la médecine conventionnelle faisait  défaut.Elle est resté muette et stoïque, elle a acquiescé, elle était confondue.Puis, en dépit qu'elle était manifestement au courant, elle feignit qu'elle découvrait la chose,.Jusqu'ici, faute de solution conventionnelle aux métaux-lourds, elle suggérait volontairement de troubles psy pour masquer la déconvenue de la médecine conventionnelle.Puis, elle a ensuite vainement essayé de me déstabiliser, mais je suis resté stoïque et la fixant sans insistance dans les yeux avec un air dubitatif et contenancé, cela l'a coupé net.On a là une miss Ratched parfaite dans son rôle.Ensuite, j'ai ajouté : "dans cette histoire, on a oublié le vieil adage : c'est la dose qui fait le poison".Au travers de son masque (période coronavirus), l'effroi se lisait sur l'élargissement de ses paupières.Les rares mouvements d'yeux ont trahi que ces mots l'ont pourfendu.Par-delà son masque, son visage exprimait le Cri de MunchPuis, elle a reconnu la chose à demi-mot, elle a lâché : "c'est le besoin de comprendre"...Fin de la consultation.Le fait de lui montrer que je connaissais les ressorts du divan a renversé la précédente consultation qui échoua sur un statu quo. Cette présente consultation a permis d'accabler les fautifs de leurs tords de façon à ce qu'ils ne réfutent pas.En brandissant l'absence de références, les médecins en charge du sale boulot se laissent gronder tout en souffrant en silence.     Ces pratiques indiquent que ce service exploite les failles du système médical pour représenter ses propres intérêts aux détriments des patients.Il exploite également les failles des patients pour obtenir le consentement à des expériences médicales.Les patients qui passent dans ce service font l'objet d'expérimentations qui n'ont rien à voir avec leurs besoins. Avec ces faux diagnostics, ces médecins obtiennent le consentement du patient par déstabilisation et par privation légitimes des soins appropriés.


Sujet connexe
Au cours de la consultation BENSEFA COLAS a tiqué sur BELPOMME.
J'ai donc fait ma petite recherche sur les déclarations de BELPOMME sur l'étude "cochin" de BENSAFA COLAS.
BELPOMME a écrit:Une étude « scientifiquement inacceptable et moralement indigne »

Champs électromagnétiques : l’étude sur l’hypersensibilité fait polémique
PUBLIÉ LE 16/03/2012
Les symptômes de l’hypersensibilité aux champsélectromagnétiques sont « divers », « transitoires » et « communs à de nombreuses autres maladies », souligne le Dr Lynda Bensefa-Colas qui a participé à la mise au point de l’étude destinée à évaluer un protocole de prise en chargedes patients.Ceux qui se déclarent hypersensibles citent principalementles antennes-relais, les portables, les téléphones sans !l oule wi! comme causes directes de leurs maux. « Notreobjectif est d’étudier la survenue et l’évolution dessymptômes et voir s’il y a corrélation entre symptômes etexpositions aux champs électromagnétiques » avec unrelevé pendant une semaine des ondes reçues par les sujetsavec un appareil spécial, dit le Pr Dominique Choudat.Appel au boycott.Manuel, qui fait partie des « électrosensibles », ne voit pas « l’intérêt de participer à une étude commandée par le ministèrede la Santé qui part du postulat que c’est un trouble psychologique », déclare à l’AFP cet ex-ingénieur en informatique de32 ans. Le Collectif des électrosensibles de France, dont Manuel est porte-parole, « dénonce les orientations » de l’essai et« l’absence d’examens physiologiques et d’exploration par imagerie ». Une autre association d’électrosensibles, « Next-up »,appelle aussi à « boycotter » l’enquête. Le cancérologue Dominique Belpomme, de l’association Artac (Association pour larecherche thérapeutique anti-cancéreuse), fustige une étude « scienti!quement inacceptable et moralement indigne ».
STÉPHANIE HASENDAHL

Je rappelle que l'ANSES se proposait de démontrer à Bensafa colas que sa démarche n'était pas scientifique. (voir post p19 au #4).La profession est donc au courant des pratiques du service de BColas.Au total,En dépit que la Constitution indique que la Nation assure les conditions nécessaires au développement des l'individu et de la famille :

•La méthode des centres antipoison, c’est de ne pas réaliser les références et de publier cela en catimini comme un acquis de façon à masquer le problème des stocks de métaux.
• La méthode de bensefa colas, c’est de prendre le relai des intoxiqués non diagnostiqués pour pratiquer des expériences médicales.




ARTICLES DE LINDA BENSEFA-COLAS SUR LES MÉTAUX-LOURDS - édit, (ajout de ce paragraphe) 24 mars 2021 -


LBC a participé à 2 revues sur les intoxications sur les métaux :
Mercury poisoning
COPIE PDF
TITRE : Iintoxication au mercure

Liens natifs :
https://www.hal.inserm.fr/inserm-00616716
https://www.hal.inserm.fr/inserm-00616716/document

SAUVEGARDE WEB
WEBARCHIVE MACHINE :
https://web.archive.org/web/20210302203944/https://www.hal.inserm.fr/inserm-00616716
https://web.archive.org/web/20200307075521/https://www.hal.inserm.fr/inserm-00616716/document



Acute and chronic cadmium poisoning
COPIE PDF
TITRE : Intoxication aiguë et chronique au cadmium
On y lit ce genre de sommité :
Avec ses prestigieux coauteurs multi-nobélisés, LINDA BENSEFA-COLAS a écrit:
Au total, pour les intoxications aiguës au mercure métal ou inorganique, on privilégiera le dosage du mercure sanguin, pour les expositions chroniques, le mercure inorganique total urinaire.Pour les intoxications au mercure organique,- le dosage du mercure sanguin est le meilleur témoin de l’intensité de l’exposition et reflète bien la charge corporelle.     
Petit correctif : Le dosage du mercure sanguin ne reflète absolument pas la charge corporelle :
Ces articles datent de 2011 env., or, dans les paragraphes suivants de ce post, on peut lire qu'en 1992 (soit 20 ans auparavant), le test de provocation était utile pour déceler une charge corporelle qui passe inaperçue au dosage sanguin. En 1994, la polémique éclate sur les amalgames dentaires sur la BBC. Mais par erreur, il a été affirmé que le test de provocation décelait une charge corporelle avec précision. Or, pour cause d'affinité de métaux avec le chélateur, la valeur élevée de mercure n'est pas indicatrice de la charge. Cette erreur a empêché de faire aboutir la polémique. Mais, si le dosage post-chélation s'est certes révélé trop imprécis pour révéler une charge corporelle, comme de hautes valeur de mercure surgissaient au test de provocation, cette polémique démontrait déjà que le sang (généralement négatif en mercure) ne reflète absolument pas la charge corporelle. Cela est redoublé par 2001, voir post dans lequel le collège américain indique que l'exposition et la charge sont totalement décorélées. Avec 1992 et 2001, il est absolument impossible d'affirmer en 2011 que le sang reflète la charge corporelle. Avec les articles de LBC, on a donc un dogme qui se maintient en dépit des failles béantes.  
Comment peut-on écrire de telles erreurs ?

CRIME
L'erreur est patente, cela est certes suffisant.
Mais, à la question : " à qui profite le crime" ? la réponse est la psy (car les ml sont un critère d'exclusion de la psy).
Et comme par hasard, LBC se retrouve dans une polémique avec l'affaire Cochin : un biais Psy sur les ehs.
Avec LBC, il y a des erreurs aux conséquences colossales et des hasards malheureux.
iipn a écrit:étant ehs moi-même, et pour rebondir sur ton témoignage de l'Hôtel-Dieu,je témoignage que le (prétendu) médecin, qui m'y a reçu, m'a demandé, de façon superficielle et sommaire, la raison pour laquelle je ne remettais pas en cause mon irm (duquel à été tiré 2 diagnostics écrits de neurologues) qui posait le constat médico-factuel que je n'étais absolument pas porteur d'alzheimer.évidement, en dépit de ses multiples rappels qu'il ne pouvait absolument pas obtenir d'amélioration de mon état, son initiative parvenait après un long échange au cours duquel le médecin manifestait un désir, d'autant plus ardent que je n'y rangeais pas, que me range sous empire.on est donc bien loin de Notre-Dame d'Hugo, où Quasimodo y criait " Asile !, Asile ! "...
Il s'agit du service de BENSEFA-COLAS à l'Hotel-Dieu.
Avec de tels procédés, je ne vois pas d'autre solution que de recourir à un exorciste.  Laughing
En tout cas, heureusement qu'HUGO existe :
Victor HUGO a écrit:
"Une science tout entière peut tomber en somnambulisme. La médecine est particulièrement sujette à cet accident. ... Cependant mourait qui voulait. Les malades avaient la fièvre et les médecins le délire"





EHS-  ELECTROSENSIBILITÉ


• Ce talon d'Achille explique pourquoi on ne trouve pas les causes de l'EHS.
Comme l'intoxication tissulaire n'apparait qu'avec le test de provocation, le test est scientifiquement invalide avant même qu'il ne soit publié dans la littérature.
Même si un scientifique affirmait qu'il existe un corrélation entre les tests de provocation et les ehs, les ehs ne seraient jamais reconnus car les références de métaux stockés en population générale (dont l'établissement se fait par le test de provocation) n'existent pas.
• La prochaine étape de la médecine conventionnelle est l'établissement de ces références.
Mais, au vu de la tendance, si on ne force pas les médecins à établir ces références, c'est pas eux qui vont l'établir spontanément. :sarcastic:
Mais, peut-être qu'à force de rabâcher cette demande en consultation, ils finiront par céder.




LA PREUVE PAR LA LITTERATURE SCIENTIFIQUE

Au chapitre 3.5 du traité CHELATION THERAPY, il yDans le diagnostic de l'intoxication par le plomb, des difficultés peuvent survenir lorsque l'exposition a cessé il y a quelque temps et qu'une grande partie du plomb a été transférée du sang vers les os. Un test de provocation CaNa2-EDTA a également été utilisé pour estimer la charge corporelle en plomb. Cependant, les valeurs de référence ne sont pas définies pour ce test et la justification de l'utilisation du test EDTA a été mise en doute.

Selon ce traité, les valeurs de références (de la dose toxique des métaux stockés en population générale) n'ont pas été établies. Pour cela, l'utilisation de ce test a été mise en doute. Faute de référence, le test de provocation est donc officiellement considéré comme inexistant pour tout métal, pour toute maladie et à chaque étude (sauf pour 3 métaux sur plusieurs dizaines de métaux). Faute de référence, il n'est pas possible de dire si un orpailleur qui sort un kilo d'or avec le test provocation est intoxiqué ou pas car on ne connait pas la valeur de la charge corporelle en or de la population générale. En effet, il est connu que la population générale cache son or dans ses tissus ; un kilo d'or ne serait donc pas toxique. Pour qu'un test soit reconnu, il faut établir les références en population générale. Curieusement, ces références n'ont pas encore été établies pour les charges corporelles.

Au chapitre 7.6.3 du traité CHELATION THERAPY, il y a écrit:Une faible exposition au mercure chez les enfants peut résulter de l'ajout de l'agent antiseptique thiomersal dans les vaccins. Le thiomersal est métabolisé en éthylmercure dans le corps humain. On a prétendu que ce mercure, même à des doses infimes, pouvait entraîner une maladie grave de l’autisme. Cette hypothèse a conduit à la proposition d'une chélation du mercure avec le DMPS ou le DMSA comme traitement de l'autisme. Cependant, aucun article revu par des pairs n'a signalé un excès de mercure dans le sang, l'urine ou les cheveux de sujets atteints d'autisme. Les revues critiques ont conclu que le soutien scientifique à la chélation du mercure dans l'autisme fait défaut.

Pour faire les études de corrélation entre l'autisme et les métaux, seul le sang est étudié. Comme le sang est négatif, les études conformes au test validé concluent qu'il n'y a pas d'intoxication. La charge corporelle, dont l'appréciation se fait avec le test de provocation, n'est pas étudiée. Néanmoins, même si la charge corporelle était étudiée, les preuves seront invalidées par le manque de références. En dépit du manque de références et en dépit du manque d'études de circonstances (charge corporelle de métaux), cela permet aux autorités d'affirmer en toute légitimité scientifique qu'il n'existe pas de preuve que les vaccins provoquent des intoxications. Or, il siérait que les autorités affirment que les références de la charge corporelle en population générale sont manquantes et que les études ne peuvent pas être retenues faute de connaissance de la valeur toxique.

Au chapitre 4.16 du traité CHELATION THERAPY, il y a écrit:Aposhian et al. (1992) ont utilisé le test de mobilisation DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations sans exposition professionnelle au mercure. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le «score à l'amalgame» (nombre et taille des amalgames dentaires) et l'excrétion urinaire de Hg provoquée par le DMPS.

La corrélation est établie par le test de provocation, mais comme les références en population générale n'existent pas, cette corrélation est invalidée. En dépit que cela soit faux, cela permet donc aux autorités d'affirmer en toute légitimité scientifique qu'il n'existe pas de preuve que les amalgames provoquent des intoxications. Or, il siérait que les autorités affirment que, faute de références de la charge corporelle, l'intoxication des amalgames ne peut pas être connue.

Au chapitre 7.7.2 du traité CHELATION THERAPY, il y a écrit:il est particulièrement intéressant de noter la présence de niveaux élevés de cuivre et de fer dans les plaques insolubles de bêta-amyloïde dans les cerveaux post-mortem de patients atteints de la maladie d'Alzheimer.

Faute de références, le diagnostic d'intoxication chez les Alzheimer est donc établi post-mortem. Comme dirait l'autre, la mort est un assez bon symptôme de la maladie. Il est donc nécessaire d'indiquer aux médecins, quitte à ce que le patient soit guéri, qu'un diagnostic du vivant du malade est une démarche qui siérait à l'art de la médecine.   :ouin:



MORALE DE L'HISTOIRE


• On est donc devant une calamité qui pourrait être aisément prévenue et aisément pansée.
Mais, en empêchant les  dispositions qui pourraient l'épargner, les sociétés françaises de toxicologie préfèrent délibérément entretenir la calamité.
Sur des décennies, le nombre de victimes s'élève à plusieurs millions.
• Désormais, si je discutais avec un médecin, je lui demanderai où en est-il avec les références en population générale des métaux stockés dans le corps...

Sophocle

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty TOXICOLOGUES EN TOC : Lettre au Centre antipoison

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 18:03

Mar 13 Oct 2020 19:43

À Hervé Laborde Castérot (du Centre antipoison), Sophocle a écrit:...
Faute de valeurs de référence en population générale de la charge corporelle de métaux stockés, vous n'êtes qu'un toxicologue en toc. Pourquoi les références post-chélation n'ont-elles  pas été établies ? Ou autrement dit : Y a-t-il une raison pour laquelle les valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale n'ont pas été établies ?
(Reponse en attente)

A quoi, j'ai ajouté une copie des échanges avec la STC (voir ci-dessus 6 Octobre).



A la secrétaire du médecin du CAP (Laborde-Castérot), Sophocle a écrit:... J'ai une question pour le Docteur LABORDE-CASTEROT : Pourquoi les références post-chélation n'ont-elles  pas été établies ? Ou autrement dit : Y a-t-il une raison pour laquelle les valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale n'ont pas été établies ? Remerciements par avance
Agnès a écrit:Bonjour Monsieur, J'ai transféré votre mail au Docteur H. LABORDE-CASTEROT.Cordialement. Agnès

...
PAS DE REPONSE
...

à HERVE LABORDE CASTEROT (CAP), Sophocle a écrit:J’attends encore la réponse sur la raison pour laquelle les valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale n’ont pas été établies. Comme vous m'avez expliqué que vous ne compariez pas mes 30 mcg corporels aux 5 mcg sanguin, je me permets de vous solliciter directement pour que vous me donner la raison de cela.
Comme vous participez à l’enseignement, à la recherche de la toxicologie clinique et à de l’éducation sanitaire de la population depuis au moins 2005, il semble que vous ayez les réponses à cette question-ci. Voulez-vous bien également m’expliquer pourquoi la programmation de ces références n’ont pas initiées par les sociétés de toxicologie (SFTA et STC) dont les articles sont invoqués par vos soins pour ne pas me traiter. En dépit que les références corporelles n'aient pas été établies, je vous indique que la charge corporelle est une notion qui existe dans la littérature scientifique (CHELATION THERAPY). Elle y est présentée comme une analyse post-chélation. Dans ce traité, elle est également présentée comme un diagnostic potentiel.

REFERENCES JURIDIQUES :
dans l'article D6141-41 du code la santé publique, il y a écrit: Les centres participent à l'enseignement et à la recherche en toxicologie clinique. Ils assurent la formation de leurs correspondants départementaux ainsi que l'actualisation des connaissances de ceux-ci. Ils participent à la prévention des intoxications et à l'éducation sanitaire de la population.



...
REPONSE EN ATTENTE
...


Explicatif


    Pour qu'un médecin puisse apprécier une analyse médicale, il est indispensable que des valeurs de références en population générale soient établies afin que la valeur relevée chez un individu soit comparée à la fourchette des valeurs d'une population.Exemple : le nombre de globules rouges relevé dans une prise de sang d'un individu est comparé à la fourchette du nombre de globules rouges dans le sang de la population générale.Sans référence en globules rouges dans là population générale, il est impossible de dire si un relevé individuel est problématique ou pas. Or, les sociétés françaises de toxicologie n'ont pas établi ces références des métaux dans le corps par le test de provocation dont, selon la littérature scientifique, il est utilisé spécifiquement pour apprécier la charge corporelle pour les métaux stockés.Les centres antipoison rejettent certes nos tests de provocation, mais en même temps, ils avouent que l'établissement des références de la charge corporelle en population générale n'a pas été réalisé.Ils essaient certes de noyer le poisson avec leurs articles car cette lacune est autant scandaleuse que coupable. Mais en invoquant l'augmentation de métaux chez tous pour retoquer nos tests de provocation, ils dévoilent leur faiblesse.Les toxicologues ignorent quelle est la charge des métaux stockés en population générale, cela sied très mal à la bonne figure de la médecine.Comme les médecins généralistes ne soupçonnent pas la déconvenue, ils accablent, à tord, mais de bonne foi les patients.Officiellement, faute de référence, un toxicologue devrait annoncer à quelqu'un qui excrète de très hautes valeurs de mercure avec le test de provocation qu'il ne sera pas traité car les valeurs en population générale n'ont pas été établies.Mais au lieu de cela, avec ses dix petits doigts voleurs, il annonce que les hautes valeurs seraient non-inquétantes car les valeurs augmentent chez tous.Certes, mais quelqu'un qui sort 30mcg (30x la dose officielle) pendant 5 ans n'est pas à mettre dans le même panier que celui qui ne sort qu' 1,1x la dose officielle une seule et unique fois.Or, la STC et la SFTA les mettent dans le même panier prétendument non inquiétant.Alors qu'on sait très bien la déterminer, un toxicologue qui ignore officiellement la charge toxique d'un métal stocké est dans l'incapacité d'exercer son cœur de métier.Sans référence en population générale, un médecin n'est pas médecin, il n'est que l'ombre de lui-même.Sans référence des métaux stockés en population générale, un toxicologue est mal disposé pour exprimer qu'un relevé au taquet est toxique ou pas.Exemple, sans référence des métaux stockés en population générale, un toxicologue ne peut pas affirmer qu'une valeur de 1000 mcg de mercure provoqué est toxique ou pas car il ne dispose pas de la référence de mercure en population générale.Faute de référence, le toxicologue choit en une argile peinte.De plus, cela dévoile qu'aucune maladie chronique (Alzheimer, SEP, ...) n'a été examinée au regard de la charge des métaux stockés. Oh, le scandal.   L’absence de références permet certes d’interdire des analyses parce qu’elles sont appropriées, mais par la même occasion, cette absence disqualifie autant le professionnel que la discipline. Deplus, au vu de la portée de l’intoxication en population générale à l’insu de la médecine générale,  l’ensemble de la profession de médecin est éclaboussé par négligence. En lui disant que les références en population générale des métaux stockés n'ont pas été établies, la fange dorée du toxicologue éclate au grand jour.Cela ne permet certes pas de faire reconnaître le test de provocation dans l'immédiat, mais cela permet de lui rejeter la faute et de mettre fin à sa politique d'accablement du patient.



Sujet Connexe, Amalgames dentaires


    En évoquant les amalgames comme source de l'intoxication, avec Bensefa-Colas de l'APHP et avec les centres antipoison, j'ai reçu une fin de non recevoir sur le champ.L'un et l'autre ont tiqué sur le moment. Le centre anti-poison m'a même raccroché au nez sur l'instant.Cela est imprudent car cela dévoile leur craintes absolues.Il n'y a rien de mieux pour augmenter la suspicion  et laisser suggérer qu'ils se sont passé le mot pour dissuader la panique sur les amalgames.Cependant, peut-être que l'intoxication par les amalgames explique la raison politico-médicale pour laquelle ces tests sont refusés.le nombre de victimes serait très élevé.Mais, il demeure qu'un traitement chélateur coute bcp moins cher à la société que toutes les conséquences des métaux-lourds, ehs en errance, prise en charge Alzheimer, Parkinson,...



SFTA

À la Sfta, via le formulaire en ligne, Sophoclee a écrit: ... Les références post-chélations n'ont pas été établies. Voulez-vous m'indiquer la raison pour laquelle ces références n'ont pas été établies. Remerciements par avance.
La Sfta a écrit:...il faut que vous vous adressiez aux centres antipoison.
Sophocle a écrit:En tant que co-auteur de l'article : "Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs.",  c'est plutôt à la SFTA de répondre. Toxicologues en toc.


SFT - société française de toxicologie

sur le formulaire en ligne, Sophocle a écrit:...En tant que citoyen français, je vous annonce que je suis très étonné que les valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale n'aient pas encore été établies. Autrement dit, les valeurs références des analyses biologiques post-chélation sont manquantes. Dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY, les analyses post-chélation sont éligibles au diagnostic d'une intoxication parce que des stocks inquiétants passent inaperçus au diagnostic validé (analyses sans traitement) des métaux. Pour étayer mon étonnement, je place ci-après une demande au Ministre de la Santé, suivie d'un échange avec le Président de la STC. ...

Sophocle

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty TOXICOS EN TOC, LE PAMPHLET

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 18:04

Ven 16 Oct 2020 18:29


TITRE : Références des métaux lourds en matière de toxicologie conventionnelle
(Sous-titre : Toxicos en toc)

Je soumets des observations sur les conséquences des carences médicales sur la santé publique en matière de toxicologie des métaux lourds. Parce qu'elles sont méconnues, ces carences demeurent non comblées depuis de nombreuses décennies.

SE MÉFIER DES CERTITUDES
Contrairement aux certitudes de tous, y compris à celles des médecins généralistes, les valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale sont encore ignorées par la toxicologie conventionnelle (1). De cela, il en découle que la charge toxique en métaux stockés (dont les métaux lourds) n'existe officiellement pas. Aux yeux de la médecine conventionnelle et aux yeux de la toxicologie conventionnelle, faute de valeurs de référence, une personne porteuse d'un inquiétant stock de métaux en excès par rapport à une personne en bonne santé n'est donc pas considérée comme intoxiquée.

RÉFÉRENCES DES ANALYSES BIOLOGIQUES
Afin de donner une existence officielle à une analyse médicale biologique, il est indispensable que des valeurs de référence de la charge corporelle en population générale soient établies. Par exemple, une concentration en globules rouges relevée chez un individu est appréciée en comparaison à une fourchette de valeurs de référence issues d'une population générale en bonne santé. Sans référence spécifique, le relevé est non-interprétable. Or, les valeurs de référence de la charge corporelle pour tout métal stocké dans la population générale, dont l'établissement se fait par des analyses biologiques post-traitements, n'ont pas encore été établies. Faute de valeurs officielles de référence, la comparaison est impossible. Faute de comparaison, une personne qui excrète une valeur inquiétante de mercure par le traitement des métaux est nécessairement considérée en bonne santé par incongruité administrative. Par la même occasion, les stocks de métaux en excès sont officiellement acquittés de toute accusation de co-facteur des maladies chroniques, autisme, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaque, fibromyalgie, … Sur les quatre-vingt-dix métaux du tableau périodique des éléments, seuls trois métaux ont fait l'objet de références corporelles, cuivre (maladie de Wilson), fer (Hémochromatose), plomb (Saturnisme). Aucun autre métal stocké n’a fait l’objet de valeurs de référence de la charge corporelle en population générale. Cependant, sans les symptômes pré-caractérisés par une clinique, les excès des trois métaux précités ne sont pas considérés comme pathologiques (2).

L'ICEBERG ET LE NUAGE
Il existe certes un diagnostic validé pour les métaux. En analysant le sang, ce diagnostic se cantonne à la partie émergée de l'iceberg. Lors d'un diagnostic validé, les métaux en excès, indésirables, stockés et fixés en nuage dans un organe, passent tous inaperçus. Le diagnostic validé ne décèle qu'une exposition transitoire plus ou moins récente, ce diagnostic ne décèle donc pas une charge corporelle. Le traitement permet justement de chasser peu à peu ce nuage et d'excréter la partie chassée par voie naturelle. Les analyses biologiques post-traitements sont donc pertinentes pour déceler ces nuages de façon à apprécier une présence excessive. Seules des analyses biologiques post-traitements permettent de déceler un inquiétant stock de métaux sédimentés par des années d'intoxication douce dont les symptômes se manifestent par des moindres changements (3) jusqu'à éventuellement des phases aigües tardives ou durablement installées en passant par des troubles neurocomportementaux (4).

L'ADAGE
Selon les sociétés de toxicologie, l'administration du traitement des métaux augmente l'excrétion des métaux chez tous (5). Comme les conditions d'analyses sont différentes, les références du diagnostic validé (sans traitement) ne peuvent donc pas être reconduites pour l'interprétation des analyses biologiques post-traitements. Selon les sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA) : « La comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée » (5). Faute de références spécifiques, les analyses post-traitements se retrouvent donc orphelines de valeurs de référence. La STC et la SFTA indiquent certes que c’est parce que les valeurs augmentent chez tous lors d’un traitement que les références du test validé (sans traitement) ne sont pas réutilisables pour interpréter le relevé post-traitement, mais, ce faisant, c’est pour la même raison que le diagnostic validé devient impropre à la destination d'évaluation de la charge car les métaux augmentent chez tous. Quelqu'un qui excrète cinquante microgrammes post-traitements de mercure pendant cinq ans n'est pas à placer dans le même panier que la majorité qui n’excrète que quelques microgrammes de mercure au cours d'un seul et unique traitement. Par cette carence, le vieil adage « c'est la dose qui fait le poison » a donc été oublié.

NON RECONNAISSANCE
Faute de valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale et en dépit de la toxicité intrinsèque du métal, le mercure stocké, l'arsenic stocké, l'aluminium stocké, le cadmium stocké et tant d'autres métaux stockés chez un individu ne sont donc pas reconnus par la toxicologie conventionnelle comme toxiques ni à n'importe quelle dose, ni à long terme, ni à retardement, ni dans l’immédiat. Cela est un effet direct et implacable de l'absence des valeurs de référence spécifiques aux analyses biologiques post-traitements. Faute de valeurs de référence dans la population générale de la charge corporelle en métaux stockés, les valeurs inquiétantes qui surgissent uniquement lors des analyses biologiques post-traitements sont frappées de nullité. Comme son sang est négatif, une personne intoxiquée par des stocks en excès de métaux indésirables dans un organe n'est donc ni traitée, ni reconnue par la toxicologie conventionnelle. Faute de valeurs de référence et en dépit de lourds symptômes, un toxicologue conventionnel doit déclarer qu'une valeur inquiétante de mercure excrété chez un patient lors d'un traitement des métaux ne constitue pas un motif de reconnaissance d’une intoxication, ni de traitement. De plus, la clinique n’attribue officiellement pas les symptômes à l'excès du métal. Les causes des symptômes sont donc officiellement et médicalement inconnues.

ILLUSTRATION : AMALGAMES DENTAIRES
Bien que la corrélation entre la charge corporelle de mercure stocké et entre les amalgames dentaires présents en bouche ait été établie par des études scientifiques (6), la toxicologie conventionnelle conclue que, à cause de l'absence de valeurs de référence dans la population générale de la charge corporelle en métaux stockés, les amalgames dentaires ne provoquent pas d’intoxication au mercure. Faute de valeurs de référence, il n'existe officiellement pas d’intoxication. Une intoxication est une valeur au-dessus de la référence. Sans référence à partir de laquelle une charge toxique est définie, un préoccupant milligramme de mercure stocké dans le corps est officiellement non toxique. Faute de référence, il est donc vain d'accuser les amalgames ou les métaux. Seul l'établissement de ces valeurs de référence permettra donc d'affirmer si les amalgames provoquaient des intoxications au mercure.

ACQUITTEMENT AUTOMATIQUE
Les circonstances d'intoxications sont nombreuses. En dépit que, pour Alzheimer, l'excès de métaux stockés soit diagnostiqué post-mortem à l’autopsie du cerveau (7), la toxicologie conventionnelle conclue que, faute de valeurs de référence de la charge corporelle des métaux stockés dans la population générale, les excès de métaux relevés post-mortem ne sont pas des co-facteurs de ces dégénérescences du vivant du patient. Selon la toxicologie conventionnelle, ces malades, dont le nombre atteint 15% d'une génération, ne sont donc pas à désintoxiquer. La sclérose en plaque, l'arthrose, l'électro-sensibilité, et tant d'autres maladies chroniques sont frappées de la même sanction. Les expositions professionnelles sont également concernées par une intoxication chronique non diagnostiquée. Faute de valeurs de référence, les stocks de métaux en excès sont donc systématiquement acquittés. Tant que les valeurs de référence ne sont pas établies, l'acquittement est automatique.

CENTRES ANTIPOISON
Parce qu'elle apparaît dans le sang, une intoxication par une ingestion accidentelle de métaux lourds est traitée par les centres antipoison. Mais, en dépit de symptômes caractéristiques d'une forte intoxication aux métaux lourds assortis d'un diagnostic sanguin négatif, les centres antipoison français concluent que la nécessité de traitement n'est pas établie. Y compris avec des valeurs post-traitements très inquiétantes, les centres antipoison, qui sont les seuls services français à pratiquer un traitement des intoxications des métaux lourds, appliquent légitimement un refus de soins aux personnes qui présentent des analyses biologiques post-traitements. L'urgence n'étant pas établie, le centre antipoison refuse donc de traiter. Sous condition de renoncement à la reconnaissance de l’intoxication, les centres antipoison ont certes parfois admis quelques cas. Cependant, ces centres ont systématiquement refusé l’accès aux soins aux personnes qui, pensant bien faire, prétendaient que la source de l’intoxication parvenait de dispositifs médicaux (amalgames, ...) ( 8 ).

FILIÈRE
En 2015, en dépit que les analyses post-traitements soient envisagées comme un diagnostic potentiel par la littérature scientifique (4), l’un des huit centres antipoison français a proféré des menaces publiques (9) à un médecin hospitalier qui traitait officiellement les personnes dont l'intoxication était révélée par les analyses biologiques post-traitements. Suite à cela, le médecin menacé a fermé son service dans la précipitation (10). Encore à ce jour, ces menaces demeurent sur la plateforme scientifique en ligne commune aux centres antipoison fédérés en association. C'est donc avec zèle que les centres antipoison rappellent que seul le diagnostic validé, avec lequel les stocks inquiétants de métaux passent inaperçus, fait foi d’intoxication. Pour trancher cette polémique (2), les sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA) confirment l'exclusivité du test validé dans leur mise au point scientifique (5) en invoquant que les valeurs des analyses biologiques post-traitements augmentent chez tous. L’absence de tolérance des diagnostics post-traitements est donc rigoureuse et partagée par toute la filière de toxicologie conventionnelle.

TOLÉRANCE À L’ÉTRANGER
De façon à ce que des milliers d’intoxiqués ne soupçonnent pas cet état de fait lors d'une suspicion d'intoxication, les sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA) n'informent pas que les tests validés sont impropres pour évaluer la charge corporelle en métaux stockés. Le champ est ouvert à la confusion. Or, en dépit du manque de valeurs de référence, de nombreux pays européens (Belgique, Allemagne, Suisse,…) ont opté pour la prise en compte des métaux excrétés lors des analyses biologiques post-traitements. Outre l'admission dans leurs centres antipoison, des cliniques se sont spécialisées dans la désintoxication des intoxications chroniques. De plus, la méconnaissance collégiale de l'existence de ces stocks instaure une négligence imprudente de techniques de santé (activités physiques, régime alimentaire, drainage, ...) dont la pratique peut compléter le traitement médical jusqu'à parfois le suppléer.

CONCLUSION
Faute de reconnaissance officielle de l'absence des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale, les malades ignorent les éventuels cofacteurs de leurs symptômes chroniques. Ils ignorent également qu’ils peuvent éventuellement être traités. Avec les traitements actuels, ils ignorent également qu'ils peuvent éventuellement s’orienter vers une rémission. Faute de diagnostic approprié, ces personnes se dirigent donc vers des complications chroniques inextricables alors qu’elles pourraient être prémunies et/ou traitées avec les molécules existantes. De plus, faute de diagnostic approprié et faute de traitement approprié, des traitements palliatifs sont appliqués éventuellement ad vitam. La situation actuelle est certes dans l'impasse depuis plusieurs décennies. Cependant, avec la confection des références, la médecine conventionnelle serait enfin outillée avec des diagnostics déterminants pour entretenir une meilleure santé tout au long de la vie.

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
(Références originales en pièce attachée - exceptée n°8, disponible en ligne)
(1) CHELATION THERAPY, 2016, Ch.3.5, p74-75, TOXICOLOGICAL ANALYSES : "Un test de provocation CaNa2-EDTA a également été utilisé pour estimer la charge corporelle de plomb. Une dose standard de CaNa2-EDTA augmentera l'excrétion urinaire du plomb stocké. Cependant, les valeurs de référence ne sont pas définies pour ce test et la justification de l'utilisation du test EDTA a été remise en question" (traduction) ; « A CaNa2-EDTA provocation test has also been used to estimate body burden of lead. A standard CaNa2-EDTA dose will increase the urinary excretion of stored lead. However, reference values are not dened for this test, and the justification of using the EDTA-test has been questioned (Aaseth et al., 2015; Andersen, 1999) ».
(2) « Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs », STC, SFTA, 2015, sciencedirect.com : « Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées » (provoqué = post-traitement) ; « Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association : de signes cliniques et/ou paracliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ; et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal ».
(3) CHELATION THERAPY, 2016, Ch.4.16, p183, MERCURY : "La maladie à changement minimal devrait être incluse comme une entité pathologique causée par une exposition au mercure ou à une intoxication" (traduction) ; « Minimal change disease should be included as a pathological entity caused by mercury exposure or intoxication ».
(4) CHELATION THERAPY, 2016, Ch.4.16, p176, MERCURY : "La quantité de mercure excrété par le DMPS et les scores dans les tests neurocomportementaux ont montré une relation inverse significative. Cela indique une valeur potentielle du test dans le diagnostic d'une exposition indésirable au mercure" (traduction) ; « The amount of mercury mobilized by DMPS and scores in neurobehavioral tests showed a significant inverse relationship. This indicates a potential value of the test in diagnosis of adverse Hg exposure ».
(5) « Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs », STC, SFTA, 2015, sciencedirect.com : « La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l'administration d'un chélateur en augmente l'excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée ».
(6) CHELATION THERAPY, 2016, Ch. 4.16.2, p175, MERCURY : "Aposhian et coll. (1992) ont utilisé le test de provocation par le DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations sans exposition professionnelle au mercure. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le «score d'amalgame» (nombre et taille des obturations d'amalgame dentaire) et l'excrétion urinaire de mercure provoquée par le DMPS" (traduction) ; « Aposhian et al. (1992) used the DMPS mobilization test to study Hg exposure and systemic Hg load in populations without occupational Hg exposure. In a group of volunteers a statistically significant correlation was observed between the “amalgam score” (number and size of dental amalgam fillings) and the DMPS-provoked urinary excretion of Hg ».
(7) CHELATION THERAPY, 2016, Ch. 7.7.2, p334, ALZHEIMER : "Cependant, ici, il est particulièrement intéressant que des niveaux élevés de cuivre et de fer soient présents dans les plaques de bêta-amyloïdes insolubles dans les cerveaux post-mortem de patients atteints de la maladie d'Alzheimer" (traduction) ; « However, here it is of particular interest that high levels of copper and iron are present in the insoluble beta-amyloid plaques in post-mortem brains from patients suffering from Alzheimer’s disease (Castellani, Moreira, Perry, & Zhu, 2012; Ahuja, Dev, Tanwar, Selwal, & Tyagi, 2015) ».
(Cool France Culture, émission La Série Documentaire, les mercuriens, 14/11/2016.
(9) « Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir ! » Centre antipoison de Marseille, 2015, sciencedirect.com.
(10) « L'hôpital public abandonne plusieurs centaines de patients qui frappaient à ses portes », La veille des acteurs de la santé, Non au mercure dentaire, 2015. - Glossaire : chélation = traitement des métaux ; chélateur = médicament du traitement (Dmsa, Edta, Dmps, ...)

[size=85][attachment=0]REFERENCES.PDF[/attachment][/size]





Selon le destinataire, j'ajoute le paragraphe suivant (que je place avant la conclusion) :
RÉSOLUTION DES OBSTACLESLes organismes en charge de la réalisation des références ne communiquent certes pas les raisons claires pour lesquelles les références ne sont pas établies. Cependant, les contre-indications médicales dressées dans la littérature scientifique semblent solubles dans un régime cétogène. Il semble que les obstacles actuels à la réalisation des références demeurent strictement sur un plan médical. Cependant, en combinant une hygiène de vie stricte à la prise du traitement, les obstacles actuels ne demeurent pas indépassables.À ce jour, l’acidose (10) semble être l'obstacle majeur à la confection des valeurs de référence. Le traitement étant sensible au pH, un organe épisodiquement acide (reins, cerveau) provoque une dépose des métaux lourds dans l'organe car le principe actif capte un métal lourd dans un milieu alcalin mais il relargue son métal lourd dans un milieu acide. Dans un organe acide, cela crée un accident de traitement. Selon la littérature spécialisée, ces accidents sont rares. Mais cela serait éventuellement suffisant pour empêcher les organismes en charge de la veille sanitaire de procéder aux références. Or, avec une hygiène de vie alcaline (régime alimentaire cétogène) l’acidose est écartée. Sous réserve de confirmation scientifique, le risque d'accident serait éventuellement écarté. En sélectionnant des participants qui observent une hygiène de vie stricte, il serait donc possible de réaliser les valeurs de références sans créer d'incidents de traitement.De plus, avec des minéraux physiologiques (bicarbonate de soude), il est possible de fixer un pH alcalin pendant les 24 heures que durent les traitements de façon à ce qu'aucun organe ne soit acide et de façon à conforter un terrain physiologiquement sécurisé. À ce jour, la médecine conventionnelle ne prescrit pas une hygiène de vie qui écarte l’acidose. Cela n'est pas dans la culture médicale. Par voie de conséquence, faute de sécurité, la confection des valeurs de référence ne serait pas programmée.D'autres obstacles existeraient. L'administration actuelle du traitement est une intraveineuse ou une perfusion. Une telle administration serait donc trop invasive auprès d'un grand nombre de participants. Cependant, une administration orale du traitement dépasserait la difficulté. Le traitement en gélule est certes très peu efficace, il ne peut donc pas être retenu pour réaliser les références. Mais une pré-solubilisation du traitement le rend très efficace. À jeun, une administration orale semblable à une tisane n’est pas moins efficace qu'une intraveineuse. Le goût serait éventuellement une difficulté mais il ne pose pas une impossibilité technique.



ÉTAT D'ÂME
Dans le Cid, Corneille a écrit: DON DIÈGUE : Mourant sans déshonneur, je mourrai sans regret.  

Aux lecteurs,  :jap: Par la vengeance sur celui qui lui a infligé un soufflet, ce pamphlet me donne le même sentiment libératoire qu'exprime Don Diègue.Voici dix années que je recherchais à comprendre pourquoi est-ce que la médecine conventionnelle ne traitait pas les symptômes d'une intoxication chronique.Tant que les mots précis ne sont pas posés sur la chose, il est impossible que les médecins se rendent à l'évidence.L'omission de l'aveu de cette lacune et la confusion du système leur permettaient d'installer une autorité usurpée.Mais avec ce pamphlet, les médecins acquiescent des conséquences de leurs lacunes.Il me fallait cela pour être satisfait.Ce pamphlet met fin à la posture singulière des médecins par laquelle ils guettaient les patients errer ici et là à la recherche de la santé.
[*]Avec encore un peu de patience jusqu'à ce que les références soient programmées, et ma satisfaction sera autant comblée que celle du vieux Bedford :

Dans Henry VI, Shakespeare a écrit:BEDFORD :

Maintenant, mon âme, pars en paix quand il plaira au ciel !Car j’ai vu la déroute de nos ennemis.Qu’est-ce donc que la confiance ou la force de l’homme insensé !Ceux qui naguère nous bravaient de leurs sarcasmessont trop heureux de se sauver par la fuite.



SUJET CONNEXE 1

Dans Henry VI, Shakespeare a écrit:LE ROI HENRY :

Oui, Marguerite ; la douleur inonde mon cœur,et ses flots commencent à déborder dans mes yeux.Ma vie est de toutes parts enveloppée par la misère ;car quoi de plus misérable que le mécontentement ?Ah ! mon oncle Homphroy ! je vois sur ta facela mappemonde de l’honneur, de la franchise et de la loyauté :et jusqu’à cette heure, bon Homphroy, il ne m’est jamais arrivéde te trouver perfide ou de douter de ta fidélité.Quelle est donc l’étoile hostile qui s’acharne contre ta fortune,pour que ces puissants lords et Marguerite, notre reine,cherchent ainsi la ruine de ton innocente existence ?Tu ne leur à jamais fait de mal ; tu n’as fait de mal à personne.Et de même que le boucher emmène le veau,et lie le malheureux, et le bat quand il s’écartedu chemin de l’abattoir sanglant,de même ces implacables t’ont enlevé d’ici ;et, de même que la mère erre en mugissantdu côté où s’en est allé son petit innocent,ne pouvant rien que pleurer la perte de ce chéri,de même je déplore l’infortune du bon Glocesteravec des larmes impuissantes, et je le chercheavec des yeux troubles, sans rien pouvoir pour lui,tant sont formidables ses ennemis jurés !Je vais gémir sur ses malheurs, et, entre chaque sanglot,je dirai : S’il y a un traître, ce n’est pas Glocester.


Possibles causes de l'absence de références :

à l'article : Recommandations pour les tests d'urine provoqués par provocation, PUBMED a écrit:

«Test de mobilisation d'urine», «test de provocation» et «test d'urine provoquée» sont tous des termes utilisés pour décrire l'administration d'un agent chélateur à une personne avant la collecte de son urine pour tester les métaux. Il n'y a pas de test de provocation standard et validé. Malgré les recommandations des organisations professionnelles et gouvernementales contre l'utilisation de tests d'urine provoqués, les tests sont encore couramment utilisés et recommandés par certains praticiens. Les tests de provocation utilisent une variété d'agents chélateurs, y compris l'acide dimercaptosuccinique (DMSA), le dimercaptopropanesulfonate (DMPS) et l'acide éthylènediaminetétraacétique (EDTA). Les agents sont administrés par une variété de voies d'administration, les doses utilisées sont incohérentes et les procédures de collecte d'urine varient. Des problèmes supplémentaires avec les tests de provocation comprennent la comparaison des résultats à des plages de référence inappropriées et la correction de la créatinine de l'urine obtenue dans les heures suivant l'administration du chélateur. Des études sur des volontaires humains démontrent que le mercure est détecté dans l'urine de la plupart des gens, même en l'absence d'exposition connue ou d'administration de chélateur, et que l'excrétion urinaire de mercure augmente après l'administration d'un chélateur, indépendamment de l'historique d'exposition et de manière imprévisible. Des études démontrent également que les tests de provocation ne révèlent pas une «charge corporelle» de mercure due à une exposition à distance. Les agents chélateurs ont été associés à des effets indésirables. Les preuves actuelles ne soutiennent pas l'utilisation du DMPS, du DMSA ou d'autres tests de provocation par chélation pour le diagnostic de la toxicité des métaux. Puisqu'il n'y a pas de plages de référence établies pour les échantillons d'urine provoquée chez des sujets sains, aucune preuve fiable pour étayer une valeur diagnostique pour les tests, et des dommages potentiels, ces tests ne doivent pas être utilisés. (Trad en ligne)
Dans ce texte, les preuves actuelles ne soutiennent pas l'utilisation du DMPS, du DMSA ou d'autres tests de provocation par chélation pour le diagnostic de la toxicité des métaux. La charge réelle est difficile à examiner. Certes, mais ce n'est pas une raison pour ne pas faire des références par chélateurs.Par contre, les causes de l'absences de références n'est pas expliquée chez les sociétés françaises.on est dans un flou artistique.
Dans l'article, Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs, il y a écrit:Le dépassement de la valeur de référence en population générale d’un indicateur biologique d’exposition (ou de la dose interne) n’implique pas automatiquement l’indication d’un traitement chélateur. Les chélateurs efficaces ne sont pas dépourvus d’effets indésirables et leur emploi doit s’appuyer sur une évaluation des risques pour la santé, prenant en compte les relations dose—effet de la substancetoxique et la tolérance du médicament. Les indications des traitements chélateurs sont, en pratique, bien codifiées dans tous les traités de toxicologie médicale.

Les rares incidents (parfois minimisés par le système médical) ne semblent pas être une possible cause de l'absence de valeurs de référence car cette cause semble soluble en établissant les contre-indications d'usage des chélateurs.Par exemple, le pH acide serait un terrain accidentogène, il faudrait adopter un régime alcalin, faire quelques bains froids, hydratation à pH 8 pendant le traitement.De nombreux paramètres accidentaogène peuvent exister, tout comme paramètre "sécuritogènes" peuvent exister.C'est à la science de dresser la liste des contre-indications qui incombe et la liste des actions favorables à la sécurité du traitement.L'argument des incidents ne me semble donc pas du tout suffisant pour expliquer l'absence de valeurs de référence.En dépit de valeurs élevées, ne pas appliquer le traitement est une chose, mais ne pas faire des valeurs de référence en est une autre.La mobilisation des effets indésirables pour suggérer que les valeurs de références ne doivent pas être établies est un argument spécieux.



SANTE PUBLIQUE FRANCE

Via leur formulaire en ligne, à Santé Publique France (anciennement Veille Sanitaire), Sophocle a écrit:... Je souhaite connaitre la raison pour laquelle les valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générales n'ont pas été établies....
Santé Public France a écrit:... Je vous remercie de l’intérêt que vous portez aux travaux de Santé publique France. Grâce à l’étude ENNS (l’étude nationale nutrition santé) 2006-2007, des premières valeurs de référence en métaux avaient été établies pour la population française. Toutes ces données ont été publiées et sont disponibles sur notre site internet : https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/exposition-a-des-substances-chimiques/pesticides/documents/rapport-synthese/exposition-de-la-population-francaise-aux-substances-chimiques-de-l-environnement.-tome-1.-presentation-generale-de-l-etude.-metaux-et-metalloides.

Nous avons prévu de mettre à jour ces données avec l’étude Esteban 2014-2016. Toutefois, la publication du volet métaux a pris un peu de retard dû à la crise covid et à la mobilisation de nos laboratoires sur le sujet. Ce volet devrait être publié en tout début d’année 2021. ...
Sophocle a écrit:J'ai lu le mode opératoire de ces prélèvements : ces études portent sur des charges sanguines / urinaires / cheveux.
Elles ne portent donc pas sur les charges corporelles de métaux stockés à très bas débit sur le long terme.
L'obtention de ces charges se fait par traitement des métaux (test de provocation par chélateur).

Je comprends donc que les charges corporelles ne sont ni étudiées, ni programmées.
Si les charges corporelles étaient étudiées ou programmées, voulez-vous bien m'en informer ?
Je souhaiterais également connaitre la raison pour laquelle les charges corporelles ne sont ni étudiées, ni programmées.
Santé Public France a écrit:Effectivement, nous ne réalisons pas de tests de provocation par chélateur chez les participants de nos études. Nous préférons évaluer la charge corporelle par le dosage de biomarqueurs dans les matrices adéquates, ceci étant moins invasif pour les participants.
Nous ne manquerons pas de vous informer si à l’avenir nous venions à programmer de telles études ...


Commentaire :

Les biomarqueurs évoqués me semblent être les charges sanguines / urines / cheveux. Ces biomarqueurs informent sur une exposition, mais ils n'informent pas sur une charge corporelle. Au total, les iv invasives, le manque d'un unique chélateur capable de se lier à tous les métaux et éventuellement les incidents semblent être les causes de l'absence de références. Pour dépasser le problème, ça manque franchement d'imagination.





SUJET CONNEXE 2 :
Shakespeare, dans Henry VI, a écrit:JEANNE D'ARC, au prince BOURGOGNE égaré chez l'anglais :

Regarde ton pays, regarde la fertile France, et vois les cités et les villes défiguréespar les ruineuses dévastations d’un cruel ennemi !Comme une mère contemple son enfant épuisédont la mort ferme les yeux tendres et déjà éteints,vois, vois l’agonie de la France.Regarde les plaies, les plaies monstrueusesque tu as toi-même faites à son sein douloureux !Oh ! tourne ailleurs la pointe de ton glaive ;frappe qui la blessent, et ne blesse pas qui la défendent !Une seule goutte de sang, tirée du sein de ton peuple,devrait te faire plus de mal que des torrents de sang étranger.Reviens donc, avec des flots de larmes,laver les affreuses blessures de ton pays !

Shakespeare, dans Henry VI, a écrit: RENÉ :

Suffolk, quel remède ?Je suis un soldat incapable de pleureret de récriminer contre les caprices de la fortune.


Efficacité et sécurité de la chelation

Dans le chap 8.2, RECHERCHE, le traité de toxicologie (CHELATION THERAPY) a écrit:Poursuite du développement d’agents chélateurs administrables par voie orale pour une mobilisation efficace et non toxique à domicile sur de longues périodes (même la chélation toute une vie) de dépôts vieillis de quantités de métaux toxiques, par exemple le fer, l’arsenic, le cuivre , et le cadmium sera probablement un sujet de recherche majeur pour l’avenir.
2 Paramètres:

Deux paramètres en souffrance d’examens scientifiques limitent l’usage des chélateurs : efficacité et sécurité.Ces deux paramètres semblent être encore non maîtrisés par la science conventionnelle, la chélation n'est donc pas généralisable.Mais avec les chélassos et avec des personnes qui ont un régime alimentaire pauvre en sucre et riche en légumes, ces 2 paramètres seraient maitrisés.Il ne devrait donc plus y avoir d'obstacle aux références.
Sécurité

Mais jusqu’à aujourd’hui les planètes n’étaient pas ordonnancées de façon à installer toutes les conditions nécessaires à une bonne efficacité et à une bonne sécurité.Le recours à l'intraveineuse est risqué car le principe actif est un peu trop concentré (risque de fixation de la solution dans un organe = aspiration du calcium).On palie certes a cela par une iv lente (1ml/5min), mais c'est du bricolage qui abaisse un peu le risque sans augmenter l'efficacité.Les 5 ml de la seringue ne permettent pas de fixer le corps au pH adéquat à la molécule chelatrice de façon à augmenter la sécurité.Il est donc préférable de passer par une voie orale avec un grand volume d'eau au pH favorable de façon à fixer le pH du corps par le grand volume d'eau.Ainsi, avec le bon pH généralisé à tout le corps, le chelateur ne relâche pas son métal lourd, le risque d'incident est réduit.
Sécurité des chélateurs lipophiles

Pour les chelateur lipophile, il existe également une charge électrique appropriée de l'huile dans laquelle le chélateur est solubilisé.La majorité des huiles semblent favorable à la bonne dissolution, mais quelques rares he font floculer le chelateur.Il faudrait donc encore déterminer le paramètre de non dissolution du chélateur de façon à le fixer.
Sollicitation du terrain

Faute de chélateurs sûr et efficace en toute circonstance, il n’en demeure pas moins possible, faute de mieux, d’installer un contexte naturopathique de façon à ce que la chelation soit sûre et efficace. S'il faut demander au patient de contribuer au bon déroulement de la chélation, il n'y a pas de raison à ne pas le faire. Il en va de la sécurité du patient.Les compléments alimentaires sont insuffisants pour garantir une minéralisation abondante à large spectre.
Conditions de traitement

Les incidents sont rares mais ils sont minimisés par manque de recoupement des informations.De nombreuses personnes, qui n’observent certes pas les conditions de sécurité ne font pas d’incident. Mais, pour éviter les rares incidents, il me semble qu’il est possible de placer tout patient dans un terrain favorable quitte a refuser de traiter les personnes qui n’observent pas les conditions nécessaires à la sécurité et à la sûreté.Une campagne de chélation sur le long terme nécessite une hygiène naturopathique afin d'assurer la sécurité.Par la même occasion, l'efficacité sera décuplée.
pH

À ce jour, j’ai identifié un seul paramètre dominant de sécurité : le pH.Ce paramètre est déterminant mais il existe de nombreux autres paramètres non déterminants de second ordre qu’il siérait de border de façon à ce qu’il contribuent à la sécurité.
Mode d'administration approprié

L’efficacité est certes lié au pH mais elle est aussi liée à la faible concentration du chélateur.Il convient d’augmenter le volume d’eau de façon à ce que la concentration soit basse.Cela permettrait par la même occasion de diffuser un nuage dont la pertinence réside dans la dispersion immédiate.En effet 50% du chélateur est éliminé en une heure.Une intraveineuse est donc éliminée en bloc avant qu’une hypothétique dispersion ait eue lieue.Cependant, un nuage de chélateur à faible densité dans un grand volume d'eau aura exploré tout le corps dans l’heure.Le nuage sera certes éliminé au même rythme qu’une IV mais il aura évolué dans un très grand rayon d’exploration.
Nuage vs Nuage

Pour jouer la même partie que celle des métaux-lourds, la solution à administrer doit être en tout point semblable à la situation des ml : nuage dispersé de faible concentration, bon pH, et autres paramètres éventuellement encore à définir.
Prudence totale

Il existe d'autres actions à mener pour conforter la sécurité et l'efficacité.Le régime alimentaire de circonstance est le régime céto car il est alcalin.Cela va conforter de façon structurelle la sécurité et l’efficacité de la chélation.
Organes spécifiques

Deux organes sont exposés aux incidents : cerveau et reins.Ce sont des organes acides. Les reins sont acides car ils collectent l’acidité.Et le cerveau est acide car son métabolisme est extrêmement élevé.Issues des produits de combustion, le cerveau produit beaucoup d’acidités (dont le recyclage se produit pendant la nuit). Avec le bicarbonate de soude dans un grand volume d'eau, le pH des organes dans lequel circule le chélateur est fixé à 8.Cependant, il serait prudent que les reins et le cerveau aient des pH préalables les plus alcalins possibles.Il faudrait établie la variation du pH dans la journée, mais il me semble que le moment le plus alcalin est le matin au réveil juste après la première urine.Le soir, le cerveau est chargé des acidités de la journée dont le recyclage se fait pendant la nuit.Pendant le sommeil, les acidités se meuvent jusqu'aux émonctoires.Ces acidités sont éliminée avec l'urine du matin.Le moment le plus alcalin serait le matin, ce serait donc le moment le plus sécuritaire pour boire le verre de chélateur.

Contre-indications

Il convient d’aligner toutes les planètes pour que ces deux organes soient le moins acide possible. Toutes anomalies physiologiques produisent de l’acidité. Rhume, stress, fatigues, infection, surmenage, maladie... Dès qu’une anomalie est supposée, le traitement doit être reporté.
Prévention structurelle

Ensuite, quelques bains froids vont multiplier les capillaires de façon à drainer massivement les acidités.Avec quelques bains froid, l’alcalinité des organes sera toujours restaurée rapidement.Les poches acides sont rapidement résorbées.
Rétablissement de la fonctionnalité

Pour chélater, les organes doivent être fonctionnels.Il existe des cures naturopathiques des reins afin de les retaper (persil, plantes herboristerie). Le foie est également un organe sollicité par les chelateurs lipophiles.Il doit être en fonction. Il existe des cures du foie pour le retaper (Clark, plantes herboristerie). Même si ça n'a rien avoir avec la chélation, ça fait parti de la check-list préventive de sécurité avant les campagnes de chélation.


SPECTRE DES IMPERATIFS


Dans le cadre de la recherche de nouveaux chélateurs, voici une liste de propriétés attendues :

Au chap 2.1, PRINCIPE CHIMIQUE, du traité de toxicologie CHELATION THERAPY, il a écrit:Les propriétés essentielles d'un agent chélateur, basées sur des considérations chimiques et biomédicales, ont été mieux définies au fil des ans. Ces conditions, décrites brièvement dans le chapitre: Chimie générale de la toxicité des métaux et bases de la complexation des métaux, seront récapitulées de manière schématique, puis discutées en détail ici, en soulignant les interconnexions entre elles:

1. haute stabilité des complexes formés, pas moins que celle avec des ligands endogènes; grande stabilité au pH physiologique et au pH acide de l'urine;
2. sélectivité envers l'ion métallique cible ; l'agent chélatant ne doit pas perturber le statut de métal essentiel ;
3. taux d'échange élevé du métal entre les ligands endogènes et les agents chélateurs ;
4. la pharmacocinétique de l'agent chélateur in vivo ;
5. métabolisme biochimique lent de l'agent chélateur, une fois entré dans le corps ;
6. profil de toxicité favorable de l'agent chélatant et de ses complexes;
a. être aussi tolérable que possible pour une administration à des doses aussi élevées que possible;
b. pas de fœtotoxicité, pas de tératogénicité;
7. bonne absorption intestinale, de sorte que le médicament puisse être administré par voie orale, mais :
a. être disponible pour l'administration orale et parentérale;
b. être soluble dans l'eau et le milieu physiologique pour l'administration parentérale;
8. bonnes propriétés de biodisponibilité;
9. excrétion facile de l'ion métallique toxique sous forme complexée, via les reins ou via la bile ;
10. l'agent chélatant devrait réduire l'absorption des ions métalliques toxiques du tractus gastro-intestinal.


Voici mes réponses au regard de la solubilisation.

1. Pour pallier au manque de stabilité du chélateur au pH, il est possible de fixer le pH du terrain.Ainsi, dans un terrain au pH stable, le complexe est stable.2. Faute de sélectivité, un régime en légume renflouera les métaux essentiels.De plus, une très faible concentration du chélateur dans un grand volume d'eau ne perturbera pas les métaux essentiels dans une petite région (=pas de risque d'incident local).3. Avec un terrain fixé au pH de solubilisation et un chélateur dissolu dans une solution au pH de solubilisation, les échanges seront maximum.4. Avec un terrain fixé au pH de solubilisation, la pharmacocinétique sera la plus dynamique possible.5. Avec un terrain fixé au pH de solubilisation, le métabolisme sera le plus dynamique possible.6. Avec la maitrise du pH et un ordonnancement des chélateur (hydro puis lipo, puis glucose), la toxicité est réduite à son strict minimum.a. Contre une chronicité, c'est une dose faible et régulière qui est préférable. Les métaux seront éliminé plus rapidement qu'une dose forte et moins régulière.b. Faute de mieux, il conviendra de faire des campagnes de chélations de façon préventive de façon à ce que les métaux lourds soient éliminés avant la gestation.7. Avec une faible concentration dans beaucoup d'eau (1/2l) et une ingestion à jeun, tout le chélateur passe dans le sang.8. La biodisponibilité s'obtient avec des activités physiques post ingestion (ou bain froid pour les personnes à mobilité réduite).Plus le chélateur est dissolu dans un grand volume d'eau à faible concentration, plus le chélateur percolera dans l'ensemble du corps.Cela sera d'autant plus efficace que le terrain aura été placé dans le pH adéquat pour que le chélateur maintienne sa solubilisation.9. Les faibles concentrations et les faibles dosages sont mieux excrétés.10. A jeun, le chélateur voyagera dans le tractus gastro-intestinal.

Sophocle

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty PNSE : Plan National Santé Environnement.

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 18:17

Ven 20 Nov 2020 13:46

PNSE


Ce sont des plans quinquennaux renouvelés par la loi.Le PNSE 3 (2015-19) évoque le sujet des métaux-lourds et de l'électro-sensibilité (rapport ANSES).Mais la question de la charge corporelle en métaux stockés n'est jamais évoquée.Ce sont majoritairement des approches par l'exposition.
• Le plomb est évoqué, il est le seul métal lourds qui dispose d'un test de provocation validé.
Mais le test de provocation n'y est jamais évoqué de façon à ce que le lecteur n'étende pas sa réflexion à la généralisation du test de provocation à tous les métaux.
Dans les documents officiels, j'ai remarqué que le test de provocation était systématiquement éludé.
Le seul texte officiel qui parle du test de provocation est l'article que m'a fourni le centre antipoison.
Cet article n'est pas disponible sur internet, sauf à débourser 30e.
Le contenu n'est donc pas référencé sur google, il ne ressort pas lors des recherches internet.
• Le test de la charge corporelle est minutieusement masqué par toute la filière, centre antipoison, sociétés de toxicologie, gouvernement, ...
Dans le reportage Hold Up, Luc Montagnier appèle cela le Cover Up.
Aucun professionnel n'a intérêt à ce que la vérité ne sorte car, faute de malades, sa profession n'a plus lieue d'être.
Il se ferait également lyncher par une profession qui est placée sur la nappe de pétrole hyper-géante.
Il est également vrai que le scandale va créer une ruée sur les chélateurs qu'il conviendrait de préparer de façon à éviter les accidents de chélation.
Une transition dans la sérénité serait la garantie d'une réforme qui irait jusqu'au bout.
• Le PNSE 2 est totalement axé sur la réduction de l'exposition, élimination du plomb dans l'environnement (essence sans plomb, canalisation) ,....
mais pas un mot sur les amalgames, ni sur les charges corporelles en stocks de métaux.
Dans la médecine occidentale, le corps n'existe pas, seul le sang existe. Very Happy
• Le PNSE 4 est lancé, les rencontres ont eu lieue en janvier 2019.
Le mercure, le plomb, et les métaux-lourds ne sont pas évoqués.
La présentation du projet de PNSE 4 a eu lieue le 22 octobre.
Sur la page internent, un bel encadré propose de contribuer au PNSE 4.
[attachment=0]PNSE4.png[/attachment]
• Le projet de 4eme plan est proposé en ligne. On y voit les thèmes transversaux.
Les métaux lourds n'apparaissent pas, mais il y a un chapitre  :
"Action 18 : Structurer et renforcer la recherche sur l’exposome et mieux connaître le poids des maladies liées aux atteintes à l’environnement"
•La consultation publique est ouverte jusqu'au 9 décembre.
• les critiques générales du PNSE4, j'invite à lire celles du Wecf-France.




REMARQUES
J'ai posté une série de remarques.
Aux deux textes Références des causes des maladies liées au stress oxydant et Toxicos en toc déjà postés ici, voici les remarques supplémentaires :

CAUSES DE L’ELECTROSENSIBILITE CONNUES AU COLLEGE DE FRANCE,
Voici 2 faits :
1 ) Le 4 décembre 2013, le professeur titulaire Clément SANCHEZ au Collège de France, a présenté le phénomène d’électrosensibilité dans le détail.
https://www.college-de-france.fr/site/clement-sanchez/course-2013-12-04-16h00.htm De 59:42 à 1:07:00
Selon ce professeur, le phénomène d’électrosensibilté est le résultat de métaux-lourds et d’ondes électro-magnétiques. Selon cette conférence, ce phénomène est si bien connu par la médecine expérimentale qu’elle sait le mettre en oeuvre pour traiter des tumeur.
2) Or, en mars 2018, l’ANSES a publié un rapport dans lequel il est déclaré que les causes l’électrosensibilité demeuraient prétenduement inconnues.
-
C’est l’absence de valeur de référence de la charge corporelle des métaux stockés en population générale qui permet à l’ANSES de déclarer que les métaux-lourds ne sont pas les causes de l’électrosensibilité. Cela est une incongruité médicale.
Faute de valeur de références, une personne modérément intoxiquée aux métaux-lourds pourrait devenir électrosensible mais elle est officiellement non intoxiquée. Ainsi, par l’absence de référence, l’ANSES écarte les causes données par le Collège de France.
-
Sans les valeurs de référence, la toxicologie conventionnelle est impropre à sa destination.
Seules les valeurs de référence de la charge corporelle permettra définitivement d’affirmer si les métaux-lourds n’étaient pas les causes de l’électro-sensibilité.

PRETENDUE INOCUITE DES VACCIN A L’ASSEMBLEE NATIONALE
En octobre 2019, la Ministre de la Santé a déclaré à l’Assemblée Nationale que l’OMS a conclu à l’innocuité des vaccins à l’aluminium.
En l’absence de valeur de référence de la charge corporelles des métaux stockés en population générale, il est absolument impossible de conclure une telle affirmation.
Sans les valeurs de référence, la toxicologie conventionnelle est impropre à sa destination. Sans ces références, l’accumulation d’aluminium passe officiellement inaperçue. Seules les valeurs de référence de la charge corporelle permettra définitivement d’affirmer si les vaccins à l’aluminium ou au mercure ne causaient pas des intoxications à l’aluminium ou au mercure.

PRETENDUE INNOCUITE DES AMALGAMES DENTAIRES,
Au cours du reportage "Alerte au Mercure" (France 5, 2015), le président de l’Ordre des chirurgiens dentistes a déclaré que les amalgames dentaires ne provoquaient pas d’intoxication au mercure.

Sans valeur de référence de la charge corporelle des métaux stockés en population générales, il est absolument impossible de donner une telle conclusion.

Seul l’établissement des valeurs de référence de la charge corporelle des métaux stockés en population générale permettra de conclure si les amalgames dentaires ne provoquaient pas d’intoxication au mercure.

Pour préserver la santé des français, il convient d’établir ces valeurs de référence.

METABOLISME ET SECTES,
Le 25 janvier 2016, au Collège de France, le professeur titulaire et oncolgue Hugues de Thé a expliqué que la carence alimentaire aplanit le chemin vers la rémission des cancers (source : https://www.college-de-france.fr/site/hugues-de-the/course-2016-01-25-09h30.htm).
-
Or, en 2019, au micro de Jean-Jacques Bourdin, l’ancienne députée et présidente de l’UNADFI (lutte anti-secte) Catherine PICARD déclare que la carence alimentaire n’aplanit pas le chemin vers la rémission des cancers. Elle déclare également que les personnes qui préconisent la carence alimentaire sont des charlatans et qu’ils relèvent de phénomènes sectaires.
-
Par voie de conséquence, l’État semble être en indélicatesse avec le chemin qui mène vers la rémission des cancers.

Extrait de la Constitution et bonne santé
Constitution de la République française
Constitution du 4 octobre 1958
(Version mise à jour en janvier 2015)
"La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement."

L’établissement des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés et des causes des maladies liées au stress oxydant dans la population générale assure les conditions nécessaires au développement de l’individu et de la famille.

Par voie de conséquence, ces références sont une attente constitutionnelle qui convient d’être saisie dès que le signalement est donné.


Sujets Connexes

ILLUSTRATION LITTERAIRE.
Dans le PNSE3, il y est écrit que les bâtiments insalubres avec du plomb sont démolis :


L’intoxication par le plomb chez l’enfant est une préoccupation de santé publique qui a émergé en 1984 avec la mise en évidence par les hôpitaux parisiens d’intoxications graves nécessitant des prises en charge hospitalières en urgence. Une activité de dépistage basée sur le dosage de la plombémie chez des enfants à risque a été mise en place, d’abord à Paris, puis a été progressivement élargie à tout le territoire dans les années 1990. Les actions mises en place, notamment la suppression de l’essence au plomb (1er janvier 2000) et le traitement ou la démolition d’immeubles anciens insalubres ont amené une baisse du nombre de cas de saturnisme (définis par une plombémie supérieure à 100 µg/L) découverts suite au dépistage


Je place donc un extrait de littérature dans lequel l'insalubrité des bâtiments est peinte en toile de fond.

\"Dans Ferragus, Balzac a écrit:
Dans les premiers jours du mois de mars, au milieu des plans qu’il méditait pour frapper un grand coup, et en quittant son échiquier après une de ces factions assidues qui ne lui avaient encore rien appris, il s’en retournait vers quatre heures à son hôtel où l’appelait une affaire relative à son service, lorsqu’il fut pris, rue Coquillière, par une de ces belles pluies qui grossissent tout à coup les ruisseaux, et dont chaque goutte fait cloche en tombant sur les flaques d’eau de la voie publique. Un fantassin de Paris est alors obligé de s’arrêter tout court, de se réfugier dans une boutique ou dans un café, s’il est assez riche pour y payer son hospitalité forcée ; ou, selon l’urgence, sous une porte cochère, asile des gens pauvres ou mal mis. Comment aucun de nos peintres n’a-t-il pas encore essayé de reproduire la physionomie d’un essaim de Parisiens groupés, par un temps d’orage, sous le porche humide d’une maison ? Où rencontrer un plus riche tableau ? N’y a-t-il pas d’abord de piéton rêveur ou philosophe qui observe avec plaisir, soit les raies faites par la pluie sur le fond grisâtre de l’atmosphère, espèce de ciselures semblables aux jets capricieux des filets de verre ; soit les tourbillons d’eau blanche que le vent roule en poussière lumineuse sur les toits ; soit les capricieux dégorgements des tuyaux pétillants, écumeux ; enfin mille autres riens admirables, étudiés avec délices par les flâneurs, malgré les coups de balai dont les régale le maître de la loge ? Puis il y a le piéton causeur qui se plaint et converse avec la portière, quand elle se pose sur son balai comme un grenadier sur son fusil ; le piéton indigent, fantastiquement collé sur le mur, sans nul souci de ses haillons habitués au contact des rues ; le piéton savant qui étudie, épèle ou lit les affiches sans les achever ; le piéton rieur qui se moque des gens auxquels il arrive malheur dans la rue, qui rit des femmes crottées et fait des mines à ceux ou celles qui sont aux fenêtres ; le piéton silencieux qui regarde à toutes les croisées, à tous les étages ; le piéton industriel, armé d’une sacoche ou muni d’un paquet, traduisant la pluie par profits et pertes ; le piéton aimable, qui arrive comme un obus, en disant : Ah ! quel temps, messieurs ! et qui salue tout le monde ; enfin, le vrai bourgeois de Paris, homme à parapluie, expert en averse, qui l’a prévue, sorti malgré l’avis de sa femme, et qui s’est assis sur la chaise du portier. Selon son caractère, chaque membre de cette société fortuite contemple le ciel, s’en va sautillant pour ne pas se crotter, ou parce qu’il est pressé, ou parce qu’il voit des citoyens marchant malgré vent et marée, ou parce que la cour de la maison étant humide et catarrhalement mortelle, la lisière, dit un proverbe, est pire que le drap. Chacun a ses motifs. Il ne reste que le piéton prudent, l’homme qui, pour se remettre en route, épie quelques espaces bleus à travers les nuages crevassés. Monsieur de Maulincour se réfugia donc, avec toute une famille de piétons, sous le porche d’une vieille maison dont la cour ressemblait à un grand tuyau de cheminée. Il y avait le long de ces murs plâtreux, salpêtrés et verdâtres, tant de plombs et de conduits, et tant d’étages dans les quatre corps de logis, que vous eussiez dit les cascatelles de Saint-Cloud. L’eau ruisselait de toutes parts ; elle bouillonnait, elle sautillait, murmurait ; elle était noire, blanche, bleue, verte ; elle criait, elle foisonnait sous le balai de la portière, vieille femme édentée, faite aux orages, qui semblait les bénir et qui poussait dans la rue mille débris dont l’inventaire curieux révélait la vie et les habitudes de chaque locataire de la maison. C’était des découpures d’indienne, des feuilles de thé, des pétales de fleurs artificielles, décolorées, manquées ; des épluchures de légumes, des papiers, des fragments de métal. À chaque coup de balai, la vieille femme mettait à nu l’âme du ruisseau, cette fente noire, découpée en cases de damier, après laquelle s’acharnent les portiers. Le pauvre amant examinait ce tableau, l’un des milliers que le mouvant Paris offre chaque jour ; mais il l’examinait machinalement, en homme absorbé par ses pensées, lorsqu’en levant les yeux il se trouva nez à nez avec un homme qui venait d’entrer.






QUESTION-REPONSE ENTRE L'ASSEMBLEE NATIONALE ET LE MINISTERE DE LA SANTE

En 2013, un député a posé la question de la non-reconnaissance des intoxications chroniques au ministère de la santé.À propos du Cadmium, le ministère à répondu (extrait) :
Leur prise en charge médicale n'est pas définie précisément et leur dosage dans les matrices biologiques ne figure pas sur la liste des actes de biologie médicale pris en charge par l'assurance maladie.
Commentaire de la réponse

• La réponse du pourquoi n'est pas donnée, c'est la réponse du comment qui est donnée.
Le ministère élude donc la question du pourquoi.
De plus, la prise en charge est définie par la littérature spécialisée : traitement chélateur (CHELATION THERAPY :ch1.6 : la chélation est indiquée dans les traitements des intoxications par les métaux).
Ces réponses dévoilent une politique de santé dont l'expression du pourquoi est inaudible.
Cela suggère que la réponse du pourquoi est une volonté en pis-aller de ne pas reconnaitre ces intoxications.
Autrement dit, le gouvernement participe au Cover Up.
• Pour que le député pose cette question, c'est qu'il soupçonne qu'il existe un loup quelque part.
La réponse du ministère illustre parfaitement le renouvellement du Cover Up : le problème est reconnu à demi-mot mais il n'est pas saisi par le ministère.
Cette question des métaux-lourds demeure dans tous les esprits.
Le monde entier soupçonne quelque-chose : en effet, pourquoi une intoxication n'est-elle pas traitée ?
Il existe donc bien une volonté de ne pas traiter les intoxication.


Mercure
Voici un extrait  de la réponse du ministère de la santé  : "On ne connaît pas de niveau d'exposition au mercure élémentaire qui soit sans risque pour le corps humain, des effets pouvant être constatés même à de très faibles concentrations." Cela veut dire que la référence corporelle serait à zéro mcg.


L'assemblée nationale a écrit:
QUESTION : M. Yves Nicolin interroge Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'intoxication chronique aux métaux lourds qui, contrairement à la forme aiguë, n'est pas reconnue en France. Phénomène de plus en plus fréquent, l'intoxication aux métaux lourds se manifeste par une cohorte de pathologies en recrudescence. Dans la plupart des cas, le lien entre toxiques et morbidité est insoupçonné et les victimes, ni diagnostiquées ni soignées, errent dans le monde médical, avec un coût dramatique pour la société. L'effet cumulatif des métaux toxiques à faibles doses se conjugue au mélange des nombreux toxiques environnementaux qui s'accumulent au fil du temps dans nos cellules et se potentialisent les uns les autres. Si l'on persiste à écarter ces deux paramètres, la France risque fort de détenir encore longtemps son record d'utilisation de psychotropes et du nombre de maladies étiquetées « psy ». Dans ce contexte, il aimerait savoir pourquoi ces intoxications chroniques ne sont pas encore reconnues officiellement et si, par ailleurs, le remboursement partiel ou total des soins n'est pas envisageable à terme.[color=#40BF00]En réponse, le ministère de la santéL'appellation métaux lourds n'a pas de définition scientifique ou juridique précise. Elle inclut couramment trois métaux qui présentent une certaine toxicité pour l'homme et qui n'ont, par ailleurs, aucune utilité dans le processus biologique : le plomb, le cadmium et le mercure. Les effets de l'exposition chronique à ces métaux sont connus : il peut s'agir, en fonction du métal, d'atteintes de la fonction rénale, d'atteintes du système nerveux central, de troubles de la reproduction, de fragilité osseuse, de maladies cardiovasculaires, de cancers… Les enquêtes de biosurveillance permettent d'estimer l'exposition de la population à ces métaux par leur dosage dans le sang, l'urine ou les cheveux, sur un échantillon représentatif de participants. L'étude nationale nutrition santé (ENNS) publiée en 2011 par l'Institut de veille sanitaire a permis ainsi de constater une forte baisse de la concentration sanguine en plomb de la population adulte, confirmée par l'étude Saturn-Inf menée chez les enfants et publiée la même année et par les premiers résultats du volet périnatal du programme national de biosurveillance sur les plombémies de femmes enceintes et de leurs enfants in uteroen 2011. La prévalence du saturnisme infantile est ainsi passée de 2 % en 1995 à 0,1 % en 2009 soit une division par vingt. Cette forte baisse est liée aux nombreuses actions menées pour diminuer l'exposition de la population : suppression de l'essence au plomb, amélioration de l'habitat (peintures anciennes à base de plomb), suppression de canalisations en plomb, amélioration du traitement des eaux de distribution, diminution des teneurs en plomb des aliments. Pour le cadmium, les niveaux d'imprégnation observés dans ENNS sont assez similaires à ceux observés dans des études françaises précédentes et dans d'autres études conduites en Europe et aux États-Unis. Pour le mercure, les concentrations dans les cheveux sont supérieures à celles des allemands et des américains mais inférieures à celles des espagnols, ces résultats traduisant probablement la différence de consommation de poisson dans ces pays. L'alimentation reste actuellement la source principale d'apport en métaux pour la population générale. L'étude de l'alimentation totale (EAT2) publiée en 2011 par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, montre une diminution de l'apport alimentaire pour le plomb et le mercure mais une augmentation pour le cadmium, du fait de concentrations qui seraient plus élevées dans les produits céréaliers. Outre l'alimentation, certaines populations peuvent être exposées à des sources particulières de métaux lourds : activités professionnelles ou de loisir, peintures et poussières de l'habitat ancien (plomb), fumée de cigarette (cadmium, plomb), sols pollués (plomb, cadmium), plats traditionnels en céramique artisanale (plomb) … Le suivi médical des personnes exposées dans leur activité professionnelle est organisé dans le cadre de la médecine du travail, et les pathologies induites par le plomb, le cadmium, le mercure ou leurs composés sont reconnues et indemnisées comme maladies professionnelles. En revanche, hors contexte professionnel, la surexposition aux métaux lourds n'est pas facile à repérer, du fait des symptômes tardifs et non spécifiques. L'épidémie de saturnisme infantile mise en évidence au milieu des années 1980 a entrainé la mise en place d'un dispositif de dépistage et de prise en charge médicale et environnementale basé sur l'analyse du plomb sanguin, prise en charge à 100 % par l'Assurance maladie. Le dépassement d'une valeur de plombémie de 50 microgrammes par litre chez une personne mineure est obligatoirement déclaré au médecin de l'agence régionale de santé (ARS) désigné par le directeur général de l'agence. L'ARS ou, le cas échéant, le service communal d'hygiène et de santé procède immédiatement à une enquête afin d'identifier les sources d'exposition. Selon les résultats de cette enquête, l'ARS fait réaliser des actions pour les supprimer et, lorsque des peintures sont à l'origine de l'intoxication, le préfet met en œuvre une procédure administrative d'urgence ayant pour but de soustraire l'enfant à la source de plomb. La prise en charge médicale a été définie de façon précise en fonction de la plombémie, suite aux recommandations de la Haute autorité de santé.  Les situations de forte exposition environnementale au cadmium sont plus rares. Leur prise en charge médicale n'est pas définie précisément et leur dosage dans les matrices biologiques ne figure pas sur la liste des actes de biologie médicale pris en charge par l'assurance maladie. Le mercure et ses composés sont toxiques pour le cerveau, le système nerveux, la vision, l'ouïe, les reins, les poumons, le système immunitaire et le système cardio-vasculaire. On ne connaît pas de niveau d'exposition au mercure élémentaire qui soit sans risque pour le corps humain, des effets pouvant être constatés même à de très faibles concentrations. Des situations d'exposition au mercure sont connues en Guyane, compte tenu d'une activité d'orpaillage. Des travaux en cours qui doivent aboutir à la fin de l'année 2016, s'inscrivant dans le cadre du PNSE 3 (2015 -2019), doivent permettre d'évaluer l'intérêt d'étendre le dépistage de l'imprégnation au mercure chez les femmes en âge de procréer voire chez les enfants de moins de 7 ans dans l'ensemble des zones à risque en Guyane et d'élaborer des recommandations de bonnes pratiques pour la prise en charge des personnes fortement imprégnées au mercure.

Sophocle

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty LES OBSERVATIONS 1

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 18:24

Lun 23 Nov 2020 12:25

J'ai regroupé ici la version augmentée de toutes mes observations.La première série d'observations présentée ici est une version légèrement améliorée du "Toxicos en Toc" déjà disponible au bas de la page 27.À cette première série, j'en ai ajouté deux autres : "Dégénéricide" et "Traitements".


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Je soumets deux séries d'observations sur les conséquences des
carences médicales sur la santé publique en matière de toxicologie des
métaux lourds et en matière de médecine conventionnelle.
Parce qu'elles sont méconnues, ces carences demeurent non comblées
depuis de nombreuses décennies.
Puis, je soumets une troisième série d'observations sur les traitements
esquissés par le Collège de France.
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RÉFÉRENCES ORIGINALES DES OBSERVATIONS 1 ET 2 : 
REFERENCES.PDF

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RÉFÉRENCES CORPORELLES DU STRESS OXYDANT
    RÉSUMÉ
En 2010, suite à la pratique croissante et non-conventionnelle des analyses post-traitements, dans un article, dans lequel il laisse entendre que le sang n'est jamais représentatif du corps, un collège américain de toxicologie rappelle et confirme que, pour des raisons de rigueur scientifique, seul le sang doit être pris en compte pour évoquer un empoisonnement. En application stricte de ce consensus, en place depuis de nombreuses décennies, la médecine conventionnelle américaine a donc durablement adressé une fin de non-recevoir, tant que le Congrès n'était pas intervenu, de leurs très nombreux et très lourds symptômes caractéristiques, dont une hausse de la fréquence des cancers cérébraux, aux 300.000 soldats américains revenus empoisonnés de la guerre du Golfe de 1991. Cependant, en dépit de l'intervention du Congrès en 2016, le consensus demeure maintenu en occident.
D’un côté, les conséquences des particules oxydantes sont donc certes connues, cancers, Alzheimer, … Mais de l’autre côté, les cancéreux, les Alzheimer et les porteurs de symptômes d’empoisonnement font donc l’objet d’un refus ferme et définitif de traitement de ces particules. Question, quels mécanismes entrent-ils donc en jeu pour que des millions de malades, à l'image des soldats américains, porteurs de maladies environnementales et chroniques soient laissés sans l’encadrement de l’élimination des causes possibles de leurs maladies ? Réponse, la médecine occidentale ne traite pas le possible, elle ne traite que le certain.
Comme une combinaison de causes variables mène à une même maladie chronique, et comme elle ne connaît pas la distribution exacte des particules oxydantes chez une personne précise, la médecine occidentale ne traite donc, chez personne, aucune cause possible. De plus, l’absence de traitement des causes possibles laisse entendre une prétendue absence de cause chez tous. En conclusion, par manichéisme dans le cabinet de consultation, les causes possibles de sa pathologie virent donc, analyses sanguines à l'appui, à l’absence de cause en face du patient.


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OBSERVATIONS 1
TITRE : RÉFÉRENCES CORPORELLES DES MÉTAUX
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Note liminaire, ce texte a certes été écrit dans son contexte français, mais, en raison des limites que la biologie impose à la science, son cadre général est valable pour tous les pays.

a.      SE MÉFIER DES CERTITUDES
Contrairement aux certitudes de tous, y compris à celles des médecins généralistes, les valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale demeurent encore ignorées par la toxicologie conventionnelle occidentale [1]. De cela, il en découle que la charge toxique en métaux stockés (dont les métaux lourds) n'existe officiellement pas. Aux yeux de la médecine conventionnelle et aux yeux de la toxicologie conventionnelle, faute de valeurs de référence, une personne porteuse d'un inquiétant stock de métaux en excès par rapport à une personne en bonne santé n'est donc pas considérée comme intoxiquée.

b.     RÉFÉRENCES DES ANALYSES BIOLOGIQUES
Afin de donner une existence officielle à une analyse médicale biologique, il est indispensable que des valeurs de référence de la charge corporelle en population générale soient établies. Par exemple, une concentration en globules rouges relevée chez un individu est appréciée en comparaison à une fourchette de valeurs de référence issues d'une population générale en bonne santé. Sans référence spécifique, le relevé est non interprétable. Or, les valeurs de référence de la charge corporelle pour tout métal stocké dans la population générale n'ont pas encore été établies. Faute de valeurs officielles de référence, la comparaison est impossible. Faute de comparaison, une personne qui excrète une valeur inquiétante de mercure par le traitement des métaux est nécessairement considérée en bonne santé par incongruité administrative. Par la même occasion, les stocks de métaux en excès sont officiellement acquittés de toute accusation de cofacteur des maladies chroniques, autisme, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, fibromyalgie, addictions, … Sur les quatre-vingt-dix métaux du tableau périodique des éléments, seuls trois métaux ont fait l'objet de références corporelles, cuivre (maladie de Wilson), fer (hémochromatose), plomb (saturnisme). Aucun autre métal stocké n’a fait l’objet de valeurs de référence de la charge corporelle en population générale. Cependant, sans les symptômes pré-caractérisés par une clinique, les excès des trois métaux précités ne sont pas considérés comme pathologiques [2].

c.      L'ICEBERG ET LE NUAGE
Il existe certes un diagnostic validé pour les métaux. En analysant le sang, l'urine ou les cheveux, ce diagnostic se cantonne à la partie émergée de l'iceberg. Sur la charge corporelle, l'examen de ces matrices est inapproprié. Lors d'un diagnostic validé, les métaux en excès, indésirables, stockés et fixés en nuage dans un organe, passent tous inaperçus. Comme les matrices validées sont filtrées ou rapidement renouvelées, le diagnostic validé ne décèle qu'une exposition transitoire plus ou moins récente. Ce diagnostic ne décèle donc pas une charge corporelle. Le traitement permet justement de chasser peu à peu ce nuage et d'excréter la partie chassée par voie naturelle. Les analyses biologiques post-traitements sont donc pertinentes pour déceler ces nuages de façon à apprécier une éventuelle présence excessive. À ce jour, seules des analyses biologiques post-traitements permettent de déceler un inquiétant stock de métaux sédimentés par des années d'intoxication douce dont les symptômes se manifestent par des moindres changements [3] jusqu'à éventuellement des phases aigües tardives ou durablement installées en passant par des troubles neuro-comportementaux [4]. De plus, selon Freud, dans "Sigmund Freud et la technique psychanalytique" (traduction Anne Berman, 1953) [5] : "Les psychoses, les états confusionnels, les mélancolies profondes — je dirais presque toxiques — ne ressortissent pas à la psychanalyse".

d.     L'ADAGE
Selon les sociétés de toxicologie, l'administration du traitement des métaux augmente l'excrétion des métaux chez tous. Comme les conditions d'analyses sont différentes, les références du diagnostic validé (sans traitement) ne peuvent donc pas être reconduites pour l'interprétation des analyses biologiques post-traitements. Selon les sociétés françaises de toxicologie (STC, Société de Toxicologie Clinique, et SFTA, Société Française de Toxicologie Analytique) : "La comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée" [2]. Faute de références spécifiques, les analyses post-traitements se retrouvent donc orphelines de valeurs de référence. La STC et la SFTA indiquent certes que c’est parce que les valeurs augmentent chez tous lors d’un traitement que les références du test validé (sans traitement) ne sont pas réutilisables pour interpréter le relevé post-traitement, mais, ce faisant, c’est pour la même raison que le diagnostic validé devient impropre à la destination d'évaluation de la charge, car les métaux augmentent chez tous. Quelqu'un qui excrète cinquante microgrammes post-traitements de mercure pendant cinq ans n'est pas à placer dans le même panier que la majorité qui excrète la même quantité de mercure au cours d'un seul et unique traitement. Par cette carence, le vieil adage, "c'est la dose qui fait le poison", a donc été oublié. Tant que les valeurs des analyses post-traitement n’ont pas rejoint les valeurs d’analyses sans traitement, c’est que des stocks de métaux demeurent.

e.      NON RECONNAISSANCE
Faute de valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale et en dépit de la toxicité intrinsèque du métal, le mercure stocké, l'arsenic stocké, l'aluminium stocké, le cadmium stocké et tant d'autres métaux stockés chez un individu ne sont donc pas reconnus par la toxicologie conventionnelle comme toxiques ni à n'importe quelle dose, ni à long terme, ni à retardement, ni dans l’immédiat. Cela est un effet direct et implacable de l'absence des valeurs de référence spécifiques aux analyses biologiques post-traitements. Faute de valeurs de référence dans la population générale de la charge corporelle en métaux stockés, les valeurs inquiétantes qui surgissent uniquement lors des analyses biologiques post-traitements sont frappées de nullité. Comme son sang est négatif, une personne intoxiquée par des stocks en excès de métaux indésirables dans un organe n'est donc ni traitée, ni reconnue par la toxicologie conventionnelle. Faute de valeurs de référence et en dépit de lourds symptômes, un toxicologue conventionnel doit déclarer qu'une valeur inquiétante de mercure excrété chez un patient lors d'un traitement des métaux ne constitue pas un motif de reconnaissance d’une intoxication, ni de traitement. De plus, la clinique n’attribue officiellement pas les symptômes à l'excès du métal. Les causes des symptômes sont donc officiellement et médicalement inconnues.

f.       ILLUSTRATION : AMALGAMES DENTAIRES
Bien que la concomitance entre la charge corporelle de mercure stocké et entre les amalgames dentaires présents en bouche ait été rapportée par des études scientifiques [6], la toxicologie conventionnelle conclut que, à cause de l'absence de valeurs de référence dans la population générale de la charge corporelle en métaux stockés, les amalgames dentaires ne provoquent pas d’intoxication au mercure. Faute de valeurs de référence, il n'existe officiellement pas d’intoxication. Une intoxication est une valeur au-dessus de la référence. Sans référence à partir de laquelle une charge toxique est définie, et en dépit que la documentation scientifique sur la haute toxicité du mercure à très faible concentration soit abondante, un préoccupant milligramme de mercure stocké dans le corps est officiellement non toxique. Faute de référence, il est donc vain d'accuser les amalgames ou les métaux. Seul l'établissement de ces valeurs de référence permettra donc d'affirmer si les amalgames provoquaient des intoxications au mercure. Cela est également valable pour toute sorte d'exposition (alimentation, vaccin, environnement, radioéléments).

g.      ACQUITTEMENT AUTOMATIQUE
Les circonstances d'intoxications sont nombreuses. En dépit que, pour Alzheimer, l'excès de métaux stockés soit diagnostiqué post-mortem à l’autopsie du cerveau [7], la toxicologie conventionnelle conclut que, faute de valeurs de référence de la charge corporelle des métaux stockés dans la population générale, les excès de métaux relevés post-mortem ne sont pas des cofacteurs de ces dégénérescences du vivant du patient. Selon la toxicologie conventionnelle, ces malades, dont le nombre atteint 15 % d'une génération, ne sont donc pas à désintoxiquer. Le sursis du traitement aboutit donc à ce que les métaux en excès soient retrouvés post-mortem chez tous les Alzheimer. La sclérose en plaques, l'arthrose, l'électrosensibilité, et tant d'autres maladies chroniques sont frappées de la même sanction.
Les accidents nucléaires et les expositions professionnelles sont également concernées par une intoxication chronique non diagnostiquée (uranium, recyclage du plomb, ...). L'ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) est une agence sanitaire dont l'action sanitaire se limite aux rayonnements ionisants. Cependant, en dépit qu'il soit rayonnant, le césium stocké dans le corps n'est pas traité par l'ASN. Cet état de fait provient du cloisonnement des agences sanitaires et de l'absence de référence en radioéléments corporels.
Faute de valeurs de référence, les stocks de métaux en excès sont donc systématiquement acquittés. Tant que les valeurs de référence ne sont pas établies, l'acquittement est automatique.

h.     CENTRES ANTIPOISON FRANÇAIS
Parce qu'elle apparaît dans le sang, une intoxication par une ingestion accidentelle de métaux lourds est traitée par les centres antipoison. Mais, en dépit de symptômes caractéristiques d'une forte intoxication aux métaux lourds assortis d'un diagnostic sanguin négatif, les centres antipoison français concluent que la nécessité de traitement n'est pas établie. Y compris avec des valeurs post-traitements très inquiétantes, les centres antipoison, qui sont les seuls services français à pratiquer un traitement des intoxications des métaux lourds, appliquent légitimement un refus de soins aux personnes qui présentent des analyses biologiques post-traitements. En dépit qu'ils participent à l'enseignement, et également à la recherche de la toxicologie clinique ou à la prévention et à l'éducation sanitaire des populations (article D6141-41 du code de la Santé publique), l'urgence n'étant pas établie, les centres antipoison refusent donc de traiter. Sous condition de renoncement à la reconnaissance de l’intoxication, les centres antipoison ont certes parfois admis quelques cas. Cependant, ces centres ont systématiquement refusé l’accès aux soins aux personnes qui, pensant bien faire, prétendaient que la source de l’intoxication proviendrait de dispositifs médicaux (amalgames, vaccins, environnement, …)  [8].

i.        FILIÈRE
En 2015, en dépit que les analyses post-traitements soient envisagées comme un diagnostic potentiel par la littérature scientifique [4], l’un des huit centres antipoison français a proféré des menaces publiques [9] à un médecin hospitalier qui traitait officiellement les personnes dont l'intoxication était révélée par les analyses biologiques post-traitements. Suite à cela, le médecin menacé a fermé son service dans la précipitation [10]. Encore à ce jour, ces menaces demeurent sur la plateforme scientifique en ligne commune aux centres antipoison fédérés en association. C'est donc avec zèle que les centres antipoison rappellent que seul le diagnostic validé, avec lequel les stocks inquiétants de métaux passent inaperçus, fait foi d’intoxication. Pour trancher cette polémique [2], les sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA) confirment l'exclusivité du test validé dans leur mise au point scientifique [2] en invoquant que les valeurs des analyses biologiques post-traitements augmentent chez tous. Le diagnostic post-traitement est certes imparfait, mais le diagnostic validé est absolument inopérant pour garantir l'absence d’intoxication. C’est la guérison qui fait que les médecins sont glorifiés, mais, cette mise au point démet la médecine de sa recherche de salubrité physiologique sans aucune alternative.
De plus, en dépit que les études [11], qui ont mené à la controverse publique des amalgames dentaires sur la BBC (British Broadcasting Corporation) de 1994, démontraient que le sang ne reflète pas la charge corporelle, en 2011, dans la littérature scientifique française, il y est encore écrit : "Au total, pour les intoxications aiguës au mercure métal ou inorganique, on privilégiera le dosage du mercure sanguin, pour les expositions chroniques, le mercure inorganique total urinaire. Pour les intoxications au mercure organique, le dosage du mercure sanguin est le meilleur témoin de l’intensité de l’exposition et reflète bien la charge corporelle" [12].
D’un bout à l’autre de la chaîne, l’absence de tolérance des diagnostics post-traitements est donc rigoureuse et partagée par toute la filière française de toxicologie conventionnelle.

j.        PNSE ET AMÉRICAINS
En dépit que l’action 21 du PNSE3 (Plan National Santé-Environnement 2015) demandait à la STC d’élaborer les recommandations de bonne pratique pour la prise en charge des personnes fortement imprégnées au mercure, la STC a préféré maintenir les recommandations de 2010 des toxicologues américains. Selon l’American College of Medical Toxicology, 2010 [13], cité par la STC et la SFTA : "les données scientifiques disponibles ne fournissent pas un soutien adéquat pour l'utilisation des tests de métaux urinaires post-traitement comme moyen précis ou fiable d'identifier les personnes qui tireraient un bénéfice thérapeutique" (du traitement). En effet, selon le laboratoire d'analyses Microtrace, les valeurs d’excrétion des métaux sont indépendantes de la dose de traitement [14], ces valeurs sont plafonnées par des phénomènes physiques en dépit de l'augmentation du principe actif. Bien qu'elles soient élevées, ces valeurs sont donc décorrélées de la profondeur de la charge corporelle. Par manque de capacité à faire émerger une distribution granulométrique entre les personnes soumises au diagnostic, ce test est donc sèchement abandonné par la toxicologie française. Cependant, aucune alternative ne donne de meilleure indication de la présence inopportune de certains métaux. Or, le rôle d’un médecin est justement de pallier les carences de la science. Pour des questions de rigueur scientifique et en dépit que le gouvernement demande à ce qu’elles soient prises en charge, les personnes imprégnées, dont les métaux ne ressortissent pas aux tests validés, demeurent donc niées. En dépit qu’elle sait la désintoxiquer, la médecine conventionnelle nie donc la majorité du corps parce qu’elle ne sait pas établir de diagnostic fiable. Cette philosophie provient de l’absolu de la preuve. En dépit de symptômes caractéristiques, si la science ne savait pas établir un diagnostic qui donne une granulométrie, la médecine se rabat donc volontairement à tort, sur une prétendue absence de particules oxydantes. Par ses diagnostics validés, le prisme de l'exposition a donc éclipsé la notion de charge corporelle.

k.     CONTRE-INDICATIONS ET PRÉCONISATIONS
Pour redoubler le sursis des traitements, le Collège américain invoque également des contre-indications prétendument bloquantes : déminéralisation aiguë du calcium et redistribution des métaux lourds. Cependant, des préconisations courantes peuvent être appliquées : renflouement en minéraux essentiels par un régime alimentaire riche en légumes ou par des compléments alimentaires et minidose quotidienne de principe actif solubilisée et faiblement concentrée à boire en alternative à la maxidose mensuelle très concentrée de principe actif injectée par intraveineuse en milieu médical. Si l’on devait appliquer au vin ce que les toxicologues appliquent au traitement des métaux, il faudrait alors définitivement interdire le vin parce que des amateurs seraient morts après qu'il leur soit administré une dose mensuelle de vin hautement concentrée dans une seule seringue. La posologie conventionnelle provient d’une culture médicale restreinte au traitement exclusif des situations aiguës. Or, en chronique, la scène est toute autre : l’absence de sélectivité d’un métal toxique par une molécule n’est pas bloquante, car la déminéralisation sera palliée par une reminéralisation chronique. De plus, quant à la redistribution des métaux lourds vers le cerveau, elle proviendrait d’un changement de pH [15] au cours d’une acidose. Dans un organe parfois très acide (rein et cerveau), les principes actifs relarguent un métal lourd qui a été attrapé dans un organe neutre ou alcalin. La prévention se fait par une hygiène de vie à court terme qui élimine l’acidose (activité physique, régime cétogène, quelques bains froids). En outre, la solubilisation, comme dans une infusion, du principe actif dans un grand volume d’une solution alcaline (bicarbonate de soude, pH8) augmente la sûreté et la sécurité du traitement. Cependant, même si les incidents par acidose sont minimisés, si les traitements étaient prétendument si dangereux, les centres antipoison ne les retiendraient pas pour traiter. Accompagnées par un médecin-naturopathe spécialisé dans la désintoxication, toutes ces contre-indications peuvent donc être prévenues. C’est la maxidose mensuelle pratiquée en milieu médical en intraveineuse, impérative en urgence, qui provoque les contre-indications les plus problématiques rapportées par le Collège américain. En chronique, il convient de la fragmenter en minidose quotidienne à solubiliser à domicile. Avec des minidoses quotidiennes sous contrôle médical, il suffira de suspendre le traitement en cas de prémisse de fatigue.

l.        TOLÉRANCE HORS DE FRANCE
De façon à ce que des milliers d’intoxiqués ne soupçonnent pas cet état de fait lors d'une possible intoxication, les sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA) n'informent pas que les tests validés sont impropres pour évaluer la charge corporelle en métaux stockés. Le champ est ouvert à la confusion. En outre, la méconnaissance collégiale de l'existence de ces stocks instaure une négligence imprudente de techniques de santé (activités physiques, régime alimentaire, drainage, ...) dont la pratique peut compléter le traitement médical jusqu'à parfois le suppléer. Or, la posture américaine ne recueille pas l’unanimité scientifique. En dépit du manque de valeurs de référence, quelques pays (Belgique, Allemagne, Suisse, Pays-Bas, Russie, …) ont opté pour la prise en compte des métaux excrétés lors des analyses biologiques post-traitements. Outre l'admission dans leurs centres antipoison, des cliniques et des médecins de ville se sont spécialisés dans la désintoxication des intoxications chroniques.

m.   UN MÉTAL PEUT EN CACHER UN AUTRE
Les molécules, qui traitent les métaux, ont une affinité de priorité. Par exemple, généralement, le cuivre est prioritaire sur les autres métaux. Lors d'un traitement, les molécules vont donc capter en priorité le cuivre. Comme la priorité du mercure est moindre, il faut donc attendre que le cuivre soit déstocké pour que la molécule retrouve une meilleure affinité avec le mercure. Cependant, même si le cuivre masque une partie du métal toxique, les valeurs de ce dernier seront suffisamment élevées pour suggérer une présence excessive. Il en va de même entre chaque métal, cuivre, calcium, mercure, plomb, ... Ce phénomène jette une donc une très forte distorsion sur les analyses post-traitement de façon à ce qu'il ne soit pas possible de quantifier une profondeur d'intoxication par un métal. Lors d'un traitement, ce qui est analysé est un flux non-représentatif du stock.
Chaque molécule dispose certes de ses affinités avec les métaux. Cependant, les affinités peuvent être regroupées dans des catégories [16]. Les molécules soufrées (S) ont une affinité accrue avec les métaux doux (Cu+, Ag+, Au+, Hg+, Pd2+, Cd2+, Pt2+, Hg2+, CH3Hg+, Pt4+) ; les molécules azotées (N) ont plutôt une affinité accrue avec les métaux durs ((Li+, Na+, K+), Be2+, Mg2+, Ca2+, Sr2+,Mn2+, Al3+, Ga3+, Cr3+, Fe3+, Sn4+, (CH3)2Sn2+, UO22+, VO2+). La catégorie intermédiaire de métaux (Co2+, Ni2+, Cu2+, Zn2+, Pb2+, Sn2+, (Sb3+, Bi3+)) entre les métaux doux et entre les métaux durs dispose d’une affinité à cheval entre les molécules soufrées et azotées. Selon le bain physiologique, telle molécule agit sur tel métal intermédiaire. "Un ion métallique dur est un ion qui retient très fortement ses électrons de valence, de petite taille et de charge élevée. À l'inverse, un ion mou est relativement grand et ne retient pas fermement ses électrons de valence" [17]. Il convient donc de marier et d’ordonnancer les molécules afin de brasser un large spectre d’élimination des métaux.
Des laboratoires allemands proposent des analyses peu coûteuses (100 €) de plusieurs dizaines de métaux sur un seul échantillon d'urine. Cela permet de dresser une vue large des métaux toxiques excrétés lors d'un traitement. Cependant, en France, les analyses se pratiquent métal par métal. Elles coûtent de 10 € (cuivre, plomb) à 50 € (mercure, arsenic) pièce. Trente métaux à analyser coûtent donc 1500 € environ. Les prestations allemandes permettent donc, non seulement, de vérifier que de nombreux métaux toxiques ont été déstockés, mais aussi, de garantir qu'aucun métal n'en cache un autre.

n.     DOMAINE DE SÉCURITÉ
Au même pH, les molécules redéposent donc un plomb en échange d’un cuivre, mais ce phénomène n'est pas automatique. Lors d'un traitement, il existe donc une redistribution et une élimination dont il est difficile de définir les parts. Cependant, quand une population de molécules, après avoir été baignée dans un organe alcalin, transite par un organe acide (rein, cerveau), toute la population lâche ses plombs et ses cuivres en échange des hydrogènes. L’acidose provoque donc des incidents systémiques. Comme le cerveau est parfois très acide, il est exposé aux incidents en cas d’acidose. Comme le rein recueille les acidités du corps, il est également très exposé. Mais il est possible, par des actions, de retrouver une alcalinisation générale du corps et de ses organes de façon à planter un domaine de sécurité. En adoptant une hygiène de vie, l’acidose sera éliminée en quelques semaines ; et en buvant une solution alcaline pendant le traitement, le rein et son urine seront alcalins et en sûreté. Des microdoses ne sont donc pas suffisantes pour prévenir un accident au ralenti, il convient également que le pH soit stable pour éviter une lente redépose vers le cerveau.
Plusieurs dizaines de paramètres régissent le comportement des ions. Le pH est certes très dominant sur tout autre paramètre individuel. Cependant, il convient de vérifier qu’une association de paramètres secondaires ne renverse pas la dominance du pH. Ces comportements, connus en détail chez les disciplines minières, demeurent peu explorés par les disciplines biologiques. En fixant le pH, la redistribution est limitée à son strict minimum et l'élimination est favorisée. En attendant que le domaine de sécurité biologique soit défini de façon à réduire les précautions, même si les incidents sont rarissimes, et même si les précautions sont très contraignantes, il demeure préférable de border la sécurité au maximum.

o.     CHARGE TOTALE
Pour conforter la validité d'une analyse post-traitement, il est hautement préférable que l'analyse prétraitement soit négative par une baisse de l'exposition. Cela permet de distinguer par comparaison les métaux stockés des métaux provenant d'une exposition. Mais les molécules n'explorent pas l'intégralité du corps. Donc, même si les analyses post-traitements étaient négatives, cela ne permet pas de conclure à une absence d'intoxication. Les ventouses humides pourront éventuellement prendre le relai du désempoisonnement.
Pour désintoxiquer, il convient donc de traiter tant que les particules surgissent aux analyses post-traitement. Pour pallier l’absence de jauge, il suffit de cesser le traitement à partir du moment où les valeurs post-traitement ont rejoint les valeurs prétraitements. Cette égalité indique que les métaux stockés, auxquels les molécules ont eu accès, ont été déstockés. Il conviendra également de surveiller le rebond à terme.
Pour connaître la charge corporelle totale et réelle des métaux, il faudrait digérer intégralement une personne décédée dans de l’acide nitrique et réaliser le dosage sur le lysat. Comme cela n’est pas éthiquement envisageable, les références n'ont pas encore été dressées, y compris post-mortem. L’incinération n’est pas recevable, car le plomb et le mercure  [18] sont volatils.

p.     DOSES ET TEST
À partir d'une certaine dose de principe actif, il existe un plafond d'excrétion des métaux. La dose standard semble donc avoir été étalonnée sur une quantité de principe actif ajustée au maximum d'excrétion. Cette démarche provient du traitement des intoxications aiguës. Sous réserve des modèles de dose-réponse, en chronique, la minidose quotidienne s'élèverait donc à 1/30è de la dose mensuelle standard (qui est appelée "maxidose" dans cet article). Cependant, pour réaliser un test, il serait préférable d'opter pour une dose intermédiaire (1/10è) afin que l'excrétion soit suffisamment élevée pour être surveillée. Il conviendra d'observer une fenêtre thérapeutique autour du test.

q.     CONCLUSION
Faute de reconnaissance officielle de l'absence des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale, les malades ignorent les éventuels cofacteurs de leurs symptômes chroniques. Ils ignorent également qu’ils peuvent éventuellement être traités. Avec les traitements actuels, ils ignorent également qu'ils peuvent éventuellement s’orienter vers une rémission. Faute de diagnostic approprié, ces personnes se dirigent donc vers des complications chroniques inextricables alors qu’elles pourraient être prémunies et/ou traitées avec les molécules existantes. De plus, faute de diagnostic approprié et faute de traitement approprié, des traitements palliatifs sont appliqués éventuellement ad vitam. La situation actuelle est certes dans l'impasse depuis plusieurs décennies. Cependant, le nombre de personnes actuellement porteuses de stocks de métaux en excès semble suffisamment élevé pour aviser vers un dépassement des difficultés de la science à produire un diagnostic fidèlement représentatif de la charge corporelle.

Sophocle

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SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Empty LES OBSERVATIONS 2

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 18:24

Lun 23 Nov 2020 12:25

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OBSERVATIONS 2
TITRE : RÉFÉRENCES CORPORELLES DU STRESS OXYDANT
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Figure 1 : DOMMAGES DU STRESS OXYDANT SUR LA MATIÈRE ORGANIQUE [19]
Schéma du Collège de France :
SOPHOCLE : DEMARCHES ADMINISTRATIVES Y4m4ZTydSBhaV_sUF0N0lqF7ddoGa2H7pOO9py8oYvBtTO32AOUY2yGVcMgz7ZDX0JGtxo26veesWtyxO_QEfCZnf3GBQNZCPFaeL1vlPl9FATXWNQ0XX3EH5zdd3a-4fsdVCgnwua10HHXWGPFPGfz69PHO4ytFbaSZHl3yaxdzXR23SAeFHPp6-f2Tp5Ykf5X?width=1024&height=575&cropmode=none
En haut : les causes (pollutions, …)
En bas : les conséquences ou symptômes (cancers, …)
Au milieu : le stress oxydant et les dommages causés sur la matière organique en pivot entre les causes et les conséquences.
Nota : NPs = NanoParticuleS (dont les métaux et les métaux lourds) en nuages
ROS (Reactive Oxygen Species) et NOS (Nitrogen Oxygen Species)

a.      STRESS OXYDANT
Le stress oxydant est une panoplie de causes dont les métaux lourds ne sont qu'une partie. Or, le problème de l’absence de la référence corporelle des métaux est également valable pour chacune des causes des maladies liées au stress oxydant. Le cadre global des effets des carences de la médecine conventionnelle sur la santé publique en matière de références des causes des maladies liées au stress oxydant est donc très large. Parce que ces carences sont méconnues et non bordées, de nombreuses personnes porteuses de maladies chroniques ignorent qu’elles pourraient éventuellement s’orienter vers une rémission.

b.     RÉFÉRENCES INCONNUES DU STRESS OXYDANT
Contrairement aux suppositions partagées par tous, les valeurs de référence de la charge corporelle des causes en excès des maladies liées au stress oxydant en population générale demeurent, à ce jour, toutes inconnues de la médecine conventionnelle.

c.      ABSENCE DE TRAITEMENT DU STRESS OXYDANT
Faute de référence de la charge corporelle en population générale, le stress oxydant en excès chez un patient n’est médicalement pas considéré comme pathologique par incongruité. En médecine conventionnelle, il n’est pas suffisant de connaître les causes pour traiter. Il est également nécessaire de connaître les valeurs de référence de la charge corporelle en population générale. Faute de référence et en dépit qu’elle puisse être traitée, aucune cause en excès n'est donc ni reconnue ni traitée par la médecine conventionnelle. Or, selon le Collège de France, l’effet de ces excès est la survenue et la résurgence des conséquences des maladies liées au stress oxydant.

d.     LES CONSÉQUENCES DU STRESS OXYDANT
Selon le Collège de France [19, 20] & (figure 1), les conséquences des maladies liées au stress oxydant se manifestent, entre-autre, par des cancers et/ou de l’artériosclérose et/ou des maladies neuro-dégénératives (Alzheimer, Parkinson, liste non-exhaustive). Selon le Collège de France, ces conséquences sont majoritairement d’origines environnementales et/ou métaboliques. Ces conséquences sont les symptômes des causes des maladies liées au stress oxydant.

e.      LES CAUSES DU STRESS OXYDANT
Selon le Collège de France [19, 20] & (figure 1), les pollutions (dont les composés organiques, pesticides), les nanoparticules (dont les composés inorganiques, métaux lourds), les infections, les inflammations, les angoisses, les ultraviolets, les rayons-X sont des causes des maladies liées au stress oxydant. La liste n’est pas exhaustive. Ces maladies ne disposeraient donc pas nécessairement d'une fatalité préprogrammée. Le traitement des causes pourrait donc prévenir et cesser l’évolution de ces maladies.

f.       SYNERGIE
Selon ce schéma, les conséquences des maladies liées au stress oxydant pourraient provenir d’une synergie de causes de façon à ce qu’aucune cause unique ne puisse être ciblée. Par voie de conséquence, les maladies environnementales et métaboliques seraient étroitement liées. Pour maximiser les chances de rémission de toute maladie liée au stress oxydant, il conviendrait donc de traiter toutes les causes, unes à unes. C’est-à-dire : des traitements métaboliques participeraient à la résolution de maladies environnementales, et inversement.

g.      LA MÉDECINE CONVENTIONNELLE
Faute de traitement de toutes et de chacune des causes des maladies liées au stress oxydant par la médecine conventionnelle, la survenue des conséquences des maladies liées au stress oxydant demeure contingente, dont la tendance à la hausse par la longévité n'est pas enrayée. De plus, des rechutes, post-traitement, surviennent, car le traitement des symptômes ne traite pas les causes. Dans les maladies neuro-dégénératives, aucune solution conventionnelle ne parvient encore à influencer la tendance évolutive de la maladie. Cependant, il est étonnant que l’art de la médecine ne traite pas les causes des maladies pour quelque raison que ce soit.

h.     LES MÉDECINES TRADITIONNELLES
Sans référence, les médecines traditionnelles traitent, depuis toujours, les causes des maladies liées au stress oxydant de façon à aboutir à une inversion de la tendance des conséquences liées au stress oxydant.
Exemples :
Là où la médecine conventionnelle propose un traitement symptomatique, l’Âyurveda (dont la traduction est : médecine de la longévité) élimine les composés organiques (dont les pesticides) vers l'extérieur du corps par solubilisation.
Là où la médecine conventionnelle ne dispose d'aucune solution pour raffermir les tissus et pour rétablir une quantité élevée de jeunes mitochondries, les bains froids, dont les Romains ont généralisé la pratique dans leurs thermes, suscitent une angiogenèse massive (= redéveloppement des capillaires et rétablissement de la tension) et une biogenèse mitochondriale massive (= rétablissement du métabolisme) par thermogenèse. De ces bains froids, il en ressort une reconstruction des tissus. Avant désintoxication, les bains froids permettront de restaurer la tension. Après désintoxication, au quotidien, une petite douche froide sur le crâne traitera les séquelles des maladies neuro-dégénératives. Il est à noter que la température de l'eau dans laquelle se baignent les pèlerins de la ville de Lourdes est à 12 °C. Faute de références de mitochondries et de capillaires, les guérisons passent nécessairement pour des miracles. Cependant, l’absence de référence de mitochondries et de capillaires jette un scepticisme imprudent chez la majorité. Il en va de même pour toutes les autres références manquantes (métaux lourds, pesticides, …).
Là où la médecine conventionnelle ne propose pas d'éliminer les métaux lourds, toute alimentation traditionnelle est soufrée de façon à extraire les métaux lourds.
Là où la médecine conventionnelle ne dispose d'aucune proposition, les ventouses, partagées sur tous les continents de tout temps, décongestionnent les tissus de tout ce qui n'est pas indispensable à la cellule (pesticides, métaux lourds, impuretés, microorganismes, déchets, ...). En outre, sans traitement, des analyses sanguines de ventouses humides pourraient éventuellement fournir facilement la liste des particules oxydantes stockées en nuage dont l'analyse par les méthodes courantes n'est pas aisée (urines et selles post-traitements). De plus, une ventouse sur les foramens pariétaux permettra de sonder sans intrusion l'état d'intoxication de l'intérieur de la boîte crânienne. Tant que les particules oxydantes apparaissent en excès, il siéra de prolonger la campagne d'extraction.
Là où la médecine conventionnelle dissuade, la restriction calorique élimine les risques d’accident vasculaire cérébral par délitement des plaques de graisses coronariennes. Selon le Collège de France, elle élimine également les organelles (organes de la cellule) anormales [21, 22]. De plus, selon le Collège de France, elle apporte un effet très important sur la survie des neurones chez le modèle murin d’Alzheimer et de Parkinson [23].
L'électro-galvanisme buccal peut être éradiqué en quelques semaines par des bains salins de bouche (eau + sel de cuisine). Par un bain salin, le phénomène d'osmose essore l'eau et ses électrolytes contenus dans la cellule. Comme il est inégalé, ce procédé est également employé à l'hôpital pour traiter les muqueuses intestinales des personnes qui ont avalé des métaux-lourds en leur faisant ingérer une solution saline. [24]
Les tisanes de principe actif très faiblement dosé dans un grand volume d'eau, bues à jeun le matin après la première urine (moment alcalin), pratiquées en herboristerie, offrent un levier significatif de l'amélioration pharmacocinétique, sécurité, efficience, sûreté, simplicité (pas de piqûre).
Et enfin, là où la médecine conventionnelle peine, les plantes aromatiques traitent de nombreuses infections commensales chroniques.
Ces exemples ne sont qu'une miniature de la richesse des médecines traditionnelles. En généralité, c'est au traitement des particules oxydantes qu'une médecine traditionnelle est reconnue.

i.        SELON L'APHP*, 20 MILLIONS DE FRANÇAIS SONT PORTEURS DE MALADIES CHRONIQUES [25]
(*Assistance Publique – Hôpitaux de Paris) Ce bilan signale une alerte d’un manque de réussite de la médecine conventionnelle dont la valeur élevée indique que la tendance à la baisse échappe aux compétences de la médecine conventionnelle. Un tel bilan pose la question du blocage de la rémission. Par exemple, en dépit que les causes soient dressées par le Collège de France et en dépit que des médecines des causes existent, un million de Français porteurs d’Alzheimer sont laissés sans le traitement des causes des maladies liées au stress oxydant par le couperet de la rigueur scientifico-administrative du manque de références. Sans écueil salvateur en vue, quand la barque est remplie au tiers, il n’est pas déraisonnable d'envisager de colmater la brèche tout en continuant à écoper.

j.        RÉFÉRENCES ET ÉTUDES SCIENTIFIQUES
Outre les phénomènes physiques qui empêchent d'établir des distributions granulométriques, les références de la charge corporelle sont très difficiles à confectionner, car la synergie et la durée des causes empêchent d'établir une mesure photographique à partir de laquelle le diagnostic de la ou des causes peut être posé. De plus, les particules oxydantes placées à l'intérieur de la cellule ne ressortissent pas aux analyses biologiques courantes. En queue de comète, il existe donc parfois des rebonds de diagnostics positifs après qu'une première campagne de traitements ait abouti à un diagnostic négatif. Cependant, faute de référence et faute d’examen des synergies, les études scientifiques s'accumulent nécessairement sans jamais conclure. Il en résulte que les contradictions publiques se multiplient.

k.     PHÉNOMÈNE DE L’ÉLECTROSENSIBILITÉ CONNU AU COLLÈGE DE FRANCE
Le 4 décembre 2013, dans le cadre du traitement du cancer, le professeur titulaire Clément SANCHEZ du Collège de France, a exposé le phénomène d’électrosensibilité dans le détail [26]. Selon ce professeur, les métaux lourds et les ondes échauffent les tissus. À l'instar du pont qui entre en résonance par une marche militaire, cet effet proviendrait de la résonance d'un nuage de nanoparticules hautement magnétiques par le balai des ondes ; en gradient temporel, une inflammation en cascade s'ensuivrait : excès de ROS (Reactive Oxygen Species) et NOS (Nitrogen Oxygen Species), cytokine, tnf alpha, flux de calcium. Selon cette conférence, ce phénomène est si bien connu par la médecine expérimentale qu’elle sait le mettre en œuvre pour traiter des tumeurs par hyperthermie en ajustant les ondes et les doses de métaux électro-magnéto-sensibles. Lors des traitements, les symptômes (désagréments à retardement d'une heure) décrits par les patients sont similaires à ceux rapportés par le rapport de l’ANSES (Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale) de mars 2018 sur l’électrosensibilité. Or, après avoir épluché toute la littérature scientifique, l’ANSES déclare que les causes de l’électrosensibilité demeurent prétendument inconnues. C’est l’absence de valeur de référence de la charge corporelle des métaux stockés en population générale qui oblige l’ANSES à déclarer qu’aucune anomalie par rapport à la population générale n’a encore été trouvée. Or, seules les valeurs de référence de la charge corporelle des causes du stress oxydant (en l'occurrence : métaux lourds et ondes) permettront d’affirmer rigoureusement si les causes de l’électrosensibilité étaient indubitablement inconnues. Et, en dépit que la médecine sache produire et reproduire ce phénomène à volonté, les causes de l’électrosensibilité ne demeureront jamais décelées tant que toutes ces références en synergie n’auront pas été établies.
En nuage, les particules expriment des propriétés exacerbées. Exemple : par accumulation d’électrons, un vrai nuage d’eau est capable de jeter la foudre. Mais, cette même eau, dans la mer, demeure calme. À échelle relative, un nuage de métaux électro-magnéto-sensibles dans le corps pourrait donc infliger une défonctionnalisation d'un organe.

l.        PRÉTENDUE INNOCUITÉ DES VACCINS
L'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a conclu à l’innocuité des vaccins à l’aluminium [27]. Cependant, en l’absence de valeur de référence de la charge corporelle des métaux stockés en population générale, cette affirmation est absolue à 99,98 %. De plus, selon Jean-François Bach [28], la hausse des maladies auto-immunes est concomitante de la hausse de l'hygiène au sens large (dont la hausse des traitements infectieux).

m.   MÉTABOLISME ET SECTES
Le 25 janvier 2016, au Collège de France, le professeur titulaire et oncologue Hugues DE THÉ a expliqué que la carence alimentaire aplanissait le chemin vers la rémission des cancers [29]. Or, en 2019, au micro de Jean-Jacques BOURDIN, la Présidente de l’UNADFI (Union nationale des Associations de défense des Familles et de l'Individu victimes de Sectes) déclare que la carence alimentaire n’aplanit pas vraiment le chemin vers la rémission des cancers. Elle déclare également que les personnes qui préconisent la carence alimentaire sont des charlatans et qu’elles relèvent de phénomènes sectaires. Or, seules les valeurs de référence de la charge corporelle des calories et des synergies permettront de trancher.

n.     AUTISME
Voici un extrait du traité de toxicologie "CHELATION THERAPY" [30] : "Une faible exposition au mercure chez les enfants peut résulter de l'ajout de l'agent antiseptique thiomersal dans les vaccins. Le thiomersal est métabolisé en éthylmercure dans le corps humain. On a prétendu que ce mercure, même à des doses infimes, pouvait entraîner une maladie grave de l’autisme (Bernard, Enayati, Redwood, Roger et Binstock, 2001). Cette hypothèse a conduit à la proposition d'une chélation du mercure avec le DMPS ou le DMSA comme traitement de l'autisme (Kidd, 2002). Cependant, aucun article revu par des pairs n'a signalé un excès de mercure dans le sang, l'urine ou les cheveux de sujets atteints d'autisme (Aschner et Walker, 2002; Wecker, Miller, Cochran, Dugger et Johnson, 1985). Les revues critiques ont conclu que le soutien scientifique à la chélation du mercure dans l'autisme fait défaut (Davis et al., 2013; Crisponi et al., 2015)." Selon ce traité, l’autisme n’a donc pas encore fait l'objet d’étude de la charge corporelle en métaux stockés. De plus, faute de référence et faute d'examen des synergies, ces études demeureront toujours vaines. En traitement empirique, il semble que si la réduction drastique de l’exposition aux multiples particules oxydantes (lessives, métaux, ...) ne portait pas ses fruits, il conviendrait de tenter leur élimination du corps.

o.     AU COLLÈGE DE FRANCE, DIDIER FASSIN JETTE UN SORT SUR LA SANTÉ PUBLIQUE
Très récemment, dans l’une [31] de ses conférences de la chaire annuelle du Collège de France sur la Santé publique, Didier FASSIN, Professeur de Santé publique, rapporte la mésaventure des soldats américains. Trois cents milliers de soldats de la guerre du Golfe (1991), pendant laquelle les toxiques ont déferlé (bombes à l’uranium, vaccin au brome, explosion d’arsenal de gaz sarin, puits de pétrole en feu, peinture de véhicules), n’ont été reconnus comme intoxiqués qu’en 2016 par le Congrès suite à des études scientifiques spécifiques (imagerie des lésions). Auparavant, ces soldats, victimes d’un syndrome de fatigues, d’insomnies, de faiblesse musculaire, de douleurs articulaires, d’éruptions cutanées, de dérèglements intestinaux, de maux de tête, de troubles de la mémoire, de difficultés de concentration, de troubles de l’humeur, étaient niés par l’Armée et par la médecine conventionnelle. Didier FASSIN les appelle les malades sans maladie. Il ajoute que ce syndrome rappelle des syndromes en population, dont la fibromyalgie et l’hyper sensibilité chimique. Dans cette série de conférences, le rapport de la situation de ces soldats n’est qu’une illustration des quelques autres mésaventures de Santé publique égrenées par Didier FASSIN, dont j'attribue les causes à l'absence de références corporelles ou à l'absence de reconnaissance de l'absence de références. Le retournement de la situation des soldats Américains n'est qu'un exemple d'une série de retournements similaires (Agent Orange de la guerre du Vietnam, Affaire Brockowich, ...). Les multiples reconnaissances obtenues tardivement par des combats juridiques de longue haleine illustrent les difficultés de fond de la médecine qui dure depuis de nombreuses décennies.

p.     LA NATION ? ELLE ASSURE
Selon la Constitution : "La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement". Dans la Constitution, il n’y est pas écrit que la Nation laisse ces conditions contingentes. Il y est bien écrit que ces conditions sont assurées. Or, l’absence des références des causes des maladies liées au stress oxydant laisse ces conditions contingentes. Cette absence n'assure pas ces conditions. Comme ces causes et les séquelles peuvent perdurer, le patient peut vivre pendant des décennies avec des symptômes graves qui entravent son autonomie et son développement sur le long terme. L’établissement de ces références permettra d’assurer à un individu qui le désire de demeurer dans les conditions nécessaires à son autonomie et à son développement. Cependant, en cas d'impossibilité de la science à établir un diagnostic fiable, un patient devrait quand même bénéficier d'un examen médical sur la présence de particules oxydantes en excès tant que des particules apparaissent aux analyses. En outre, sans signe précurseur, les premiers symptômes d'Alzheimer n'apparaissent que tardivement, car les neurones sains pallient une baisse modérée d'une population de neurones disparus. Ceci suggère que les particules oxydantes, dont les excès sont retrouvés à l’autopsie, devraient être déstockées du vivant du patient de façon préventive quand bien même aucun symptôme n’apparaît. Et enfin, comme chez la femme, les particules oxydantes peuvent perturber le développement de l’embryon, les particules devraient donc être déstockées préventivement en toute circonstance.

q.     APPRENTISSAGE ET PRATIQUES
Toutes les techniques d’élimination de ces causes en excès peuvent certes se pratiquer à domicile. Cependant, à ce jour, une personne novice qui souhaite traiter les causes du stress oxydant trouve difficilement un médecin conventionnel. Mais, outre l’accompagnement par un médecin, il serait éventuellement préférable de proposer des démonstrations en groupe dans des centres comme dans les thermes de l’antiquité, car cette aventure personnelle s'amorce mieux en compagnie. Dans les maladies chroniques, le traitement est chronique et le groupe soude les malades vers la rémission. Plutôt que de tâtonner à la découverte des médecines, une personne porteuse de maladies chroniques pourrait, grâce à ces centres, gagner un temps significatif. La réussite du traitement de ces maladies sera donc confortée par un léger aménagement des différentes cultures médicales vers une synthèse collégiale. Même si la médecine conventionnelle prétend ne pas le décongestionner, il demeure possible de réduire la charge en métaux lourds et en pesticides du système nerveux central. Cela nécessite de la méthode, un encadrement demeure donc préférable sur le long terme.

r.      CONCLUSION
La médecine conventionnelle connaît certes de nombreux succès éclatants. Cependant, sur le plan des maladies chroniques, environnementales et métaboliques, le défaut de référence des causes des maladies liées au stress oxydant a aplani le chemin de la dégénérescence depuis quelques décennies par pis-aller. Faute de diagnostics corporels, la Santé publique serait donc partiellement construite sur une inversion de fond entre psy et intoxication. Même si une reconnaissance n'était pas envisageable, il siérait que les bonnes pratiques du désempoisonnement, qui aboutissent à la salubrité du corps (y compris le système nerveux central), soient enfin dressées. Il conviendrait également de démocratiser les examens qui ont permis au Congrès américain de statuer. Or, en inversant la tendance d'intoxication, certains diagnostics sombres sont réversibles. Le traitement des conséquences ne traite pas les causes. De plus, sans compter les effets secondaires, le traitement des conséquences traite avec médiocrité. Mais le traitement des causes traite les conséquences avec propreté. À ce jour, par faute de diagnostics exhaustifs et parfaits, le continent conventionnel de la mise en salubrité des particules oxydantes demeure donc totalement inexploré. L’absence de référence des causes des maladies liées au stress oxydant confisque donc le patient d’une éventuelle rémission durable. Or, de nombreuses médecines, qui ont franchi la sélection naturelle depuis des millénaires, aplanissent empiriquement le chemin vers la rémission des maladies liées au stress oxydant par le traitement des causes dressées par le Collège de France. Sur la santé publique, l’assainissement des particules oxydantes pourrait donc apporter les mêmes cieux que ceux de l’assainissement urbain. En outre, une combinaison de la médecine conventionnelle et des médecines traditionnelles semble opportune pour conforter une rémission rapide et durable.

s.      PERSPECTIVES
À l’image de la récente adoption de la prescription de sport-santé sur ordonnance, le médecin généraliste devrait être l'intervenant privilégié de la stratégie de traitement des particules oxydantes. Un patient, qui souhaite retrouver une salubrité de la majorité des particules oxydantes sur chaque catégorie, devrait pouvoir trouver en son médecin généraliste toutes les solutions à disposition. Ce médecin est le plus à même d'échantillonner, de hiérarchiser, d'ordonnancer, et d'échelonner une série d'actions qui couvrira au mieux la gamme de particules au regard des pathologies chroniques et au regard du volant de traitements face aux capacités du patient qu'il connaît bien. C'est justement le rôle du médecin généraliste que d'orienter ses patients vers une pratique à domicile, ou vers un centre de jour, ou le cas échéant, vers une cure sous surveillance médicale. De plus, pour que la pratique du traitement des particules oxydantes entre dans le paysage médical, si le Collège de France dédiait une chaire à ce sujet, cela élèverait cette pratique au niveau d'une médecine courante. Comme tous les savoirs existent déjà, il suffira de les présenter au Collège de France pour qu'ils apparaissent rapidement dans l’espace public. Quelques études complémentaires pourront parachever la liste des particules oxydantes à traiter, elles pourront également définir les champs d'application des techniques de décongestion existantes ou de restauration de la physiologie. Ces pratiques sont certes déjà évoquées au Collège de France, mais elles sont fragmentées dans une marée de conférences. Exemple, sur les centaines de vidéos actuelles du Collège de France, la restriction calorique est évoquée pendant 5 minutes chez tel intervenant ; dans une autre vidéo d’une heure, l'exposition au froid [32] pour traiter Parkinson est évoquée pendant 30 secondes chez tel autre intervenant ; et ainsi de suite. Elles sont certes publiées, mais ces solutions demeurent cachées comme des aiguilles dans une botte de foin. Avec une chaire dédiée, cela permettrait donc de déclarer le pré carré de la décongestion des particules oxydantes dans le cadastre de la médecine.

C.     JE ME PRÉSENTE
Je suis architecte. Depuis dix ans, je suis porteur d'une intoxication chronique au mercure. J’ai dû arrêter de travailler et, depuis une poignée d’années, j’ai dû consacrer un quasi-temps plein à la désintoxication. De ce cheminement, j’en ai tiré le contenu de cet article. Voici les raisons pour lesquelles cet article a été rédigé : Porteur de diagnostics post-traitements provenant d’Allemagne, étalés sur plusieurs années, tous positifs au mercure, et en dépit de symptômes lourds et caractéristiques, le Centre antipoison français m’a raccroché au nez pendant cinq ans. Ensuite, après l’avoir menacé de porter plainte en 2020, c’est avec les Recommandations de bonne pratique de 2015 de la STC que le Centre antipoison a consigné sur le compte-rendu de consultation qu’il ne désimprégnait pas des taux inquiétants de mercure corporel qui surgissait uniquement aux analyses post-traitements. Et enfin, comme les Centres antipoison français ont fait fermer, en 2015, le seul service public de désimprégnation des métaux lourds par des menaces publiques, aucune solution conventionnelle n’était donc aisément à disposition sur le territoire français.

D.    RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
a.      NOTES
[1]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch3.5, Toxicological analyses. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, pp. 74–75.
[2]   Société Française de Toxicologie Analytique SFTA, Société de Toxicologie Clinique STC. Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs. Toxicologie Analytique et Clinique 2015; 27: 135–137.
[3]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.16.2, MERCURY, Clinical Studies. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 183.
[4]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.16.2, MERCURY, Clinical Studies. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 176.
[5]   Freud S. La technique psychanalytique. Paris: Presses Universitaires de France, 2005.
[6]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.16.2, MERCURY, Clinical Studies. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 175.
[7]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch7.7.2, ALZHEIMER. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 334.
[8]   Léraud I, Quantin L. Les pollutions invisibles, Les mercuriens. In: LSD, La Série documentaire. France Culture: 14/11/2016.
[9]   Glaizal M, Torrents R, Descamps A, et al. Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir ! Toxicologie Analytique et Clinique 2015; 27: S29–S30.
[10]   Grosman M, Non au mercure dentaire. L’hôpital public abandonne plusieurs centaines de patients qui frappaient à ses portes. La veille des acteurs de santé.
[11]   Aposhian HV, Bruce DC, Alter W, et al. Urinary mercury after administration of 2,3‐dimercaptopropane‐1‐sulfonic acid: correlation with dental amalgam score. FASEB j 1992; 6: 2472–2476.
[12]   Bensefa-Colas L, Andujar P, Descatha A. Intoxication par le mercure. La Revue de Médecine Interne 2011; 32: 416–424.
[13]   American College of Medical Toxicology. American College of Medical Toxicology Position Statement on Post-Chelator Challenge Urinary Metal Testing. J Med Toxicol 2010; 6: 74–75.
[14]   Blaurock-Busch E. DMSA, Biodisponibilité et excrétion de métaux. In: Newsletter n°12. Microtrace Minerals Laboratoire, 2016.
[15]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch2.1, Chemical and biological principles for in vivo chelation. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 35.
[16]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.1, Chelation Treatment During Acute and Chronic Metal Overexposures—Experimental and Clinical Studies ; et Table 2.1 : Grouping of Metal Ions, and of Coordinating Groups, as a Function of Their Hard, Soft, or Intermediate Nature. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016.
[17]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch1.4 BASIS FOR METAL COMPLEX WITH ENDOGENOUS AND EXOGENOUS LIGANDS. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, pp. 17–18.
[18]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.16, MERCURY. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 169.
[19]   Sanchez C. Interfaces : chimie des matériaux-biologie-médecine II, Oxydes métalliques et stress oxydant. In: Chimie des matériaux hybrides, (2010-2020). Collège de France: 28 janvier 2015 à 00:15:00.
[20]   Prochiantz A. Données récentes sur l’étiologie de quelques pathologies neurologiques et psychiatriques. In: Processus morphogénétiques, (2007-2019). Collège de France: 17 décembre 2018, de 00:12:14 à 00:13:15.
[21]   De Thé H. Contrôle transcriptionnel de la transformation cellulaire. In: Oncologie cellulaire et moléculaire (2014-2021). Collège de France: 25 janvier 2016 à 01:13:04.
[22]   Sansonetti P. Comment les microbes pathogènes prennent le contrôle de l’hôte, La vie, la mort, le cycle. In: Microbiologie et maladies infectieuses (2008-2020). Collège de France: 05 janvier 2012, à partir de 01:14:44.
[23]   Heard É. Chromatine et mémoire cellulaire, Stabilité versus plasticité chromatinienne en réponse aux stress. In: Épigénétique et mémoire cellulaire, (2012-2021). Collège de France: 02 mars 2015 à 01:02:30.
[24]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.4.2, ARSENIC, Clinical Studies. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 107.
[25]   APHP. Appel à la participation pour faire avancer la recherche médicale sur les malades chroniques. In: Communauté de Patients pour la Recherche de l’AP-HP. CHU d’Ile-de-France, 2018.
[26]   Sanchez C. Interfaces : chimie des matériaux-biologie-médecine. In: Chimie des matériaux hybrides, (2010-2020). Collège de France: 04 décembre 2013, de 00:59:42 à 01:06:58.
[27]   Buzin A. Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018. In: XVe législature Session ordinaire de 2017-2018. Assemblée Nationale: 27 octobre 2017.
[28]   Bach J-F. La théorie hygiéniste : le rôle respectif des bactéries pathogènes et commensales ; Le « microbiome » : face cachée de la planète « microbe-homme ». In: Microbiologie et maladies infectieuses (2008-2020). Collège de France: 29 janvier 2014, de 00:05:00 à 00:05:10.
[29]   De Thé H. Contrôle transcriptionnel de la transformation cellulaire. In: Oncologie cellulaire et moléculaire (2014-2021). Collège de France: 25 janvier 2016, passages dispersés.
[30]   Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch7.6.3, DMSA. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 324.
[31]   Fassin D. Frontières épistémiques. In: Les mondes de la santé publique : excursions anthropologiques. Collège de France: 12 mai 2021.
[32]   Prochiantz A. Restriction calorique, mesure des nutriments, sirtuins. In: Processus morphogénétiques (2007-2019) ; Longévité cérébrale, suite et fin. Collège de France: 27 octobre 2014 à 01:22:58.

b. EXTRAITS

[1] "Un test de provocation CaNa2-EDTA a également été utilisé pour estimer la charge corporelle de plomb. Une dose standard de CaNa2-EDTA augmentera l'excrétion urinaire du plomb stocké. Cependant, les valeurs de référence ne sont pas définies pour ce test et la justification de l'utilisation du test EDTA a été remise en question" (traduction) ; "A CaNa2-EDTA provocation test has also been used to estimate body burden of lead. A standard CaNa2-EDTA dose will increase the urinary excretion of stored lead. However, reference values are not defined for this test, and the justification of using the EDTA-test has been questioned (Aaseth et al., 2015; Andersen, 1999)".

[2] "Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées" (note auteur : provoqué = post-traitement) ; "Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association : de signes cliniques et/ou paracliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ; et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal".

[2] "La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l'administration d'un chélateur en augmente l'excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée".

[3] "La maladie à changement minimal devrait être incluse comme une entité pathologique causée par une exposition au mercure ou à une intoxication" (traduction) ; "Minimal change disease should be included as a pathological entity caused by mercury exposure or intoxication".

[4] "La quantité de mercure excrété par le DMPS et les scores dans les tests neuro-comportementaux ont montré une relation inverse significative. Cela indique une valeur potentielle du test dans le diagnostic d'une exposition indésirable au mercure" (traduction) ; "The amount of mercury mobilized by DMPS and scores in neurobehavioral tests showed a significant inverse relationship. This indicates a potential value of the test in diagnosis of adverse Hg exposure".

[6] "Aposhian et coll. (1992) ont utilisé le test de provocation par le DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations sans exposition professionnelle au mercure. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le "score d'amalgame" (nombre et taille des obturations d'amalgame dentaire) et l'excrétion urinaire de mercure provoquée par le DMPS" (traduction) ; "Aposhian et al. (1992) used the DMPS mobilization test to study Hg exposure and systemic Hg load in populations without occupational Hg exposure. In a group of volunteers a statistically significant correlation was observed between the "amalgam score" (number and size of dental amalgam fillings) and the DMPS-provoked urinary excretion of Hg".

[7] "Cependant, ici, il est particulièrement intéressant que des niveaux élevés de cuivre et de fer soient présents dans les plaques de bêta-amyloïdes insolubles dans les cerveaux post-mortem de patients atteints de la maladie d'Alzheimer" (traduction) ; "However, here it is of particular interest that high levels of copper and iron are present in the insoluble beta-amyloid plaques in post-mortem brains from patients suffering from Alzheimer’s disease (Castellani, Moreira, Perry, & Zhu, 2012; Ahuja, Dev, Tanwar, Selwal, & Tyagi, 2015)".

[13] "Currently, available scientific data do not provide adequate support for the use of post-challenge urine metal testing as an accurate or reliable means of identifying individuals who would derive therapeutic benefit from chelation."

[15] "Les propriétés essentielles d'un agent chélateur … 1. haute stabilité des complexes formés, pas moins que celle avec des ligands endogènes ; grande stabilité au pH physiologique et au pH acide de l’urine" (traduction) ; "The essential properties of a chelating agent … high stability of the formed complexes, not less than that with endogenous ligands; high stability at physiological pH and at acidic pH of urine;"

[24] "Un homme de 28 ans est décédé après avoir ingéré 75 g de trioxyde d'arsenic. Il s'est présenté avec des vomissements profonds et une diarrhée aqueuse. La radiographie a montré des radio-opacités dans l'estomac. Son intestin a été purgé avec de grandes quantités de solution saline et du charbon a été administré" (traduction) ; "A 28-year old man died after ingesting 75 g of arsenic trioxide. He presented with profuse vomiting and watery diarrhea. X-ray showed radioopacities in the stomach. His bowel was purged with extensive amounts of saline and charcoal was administered."

[31] "Il existe donc un ensemble de tableaux cliniques situés sur les frontières épistémiques de la santé publique. Leurs symptômes sont dominés par l'invalidité causée par une fatigue inextinguible : des douleurs diffuses, des troubles cognitifs. Leur cause est mal connue ou très disputée, et leur traitement ne peut (pas) par conséquent être étiologique. Les personnes affectées se comptent par centaines de milliers, voir par millions. Ces frontières, aux confins de l'épistémè médicale, sont le lieu de la confrontation de deux types de légitimités incommensurables : légitimité de la souffrance d'un côté, légitimité du savoir de l'autre. La légitimité des médecins est assurément plus grande que celle des malades, et la souffrance ne pèsent guère regard du savoir. Du moins cela a-t-il été le cas jusqu'à récemment. Il semble, en effet, que l'incrédulité, l'indifférence ou l'ironie des experts, qui faute de pouvoir nommer un diagnostic rejette la réalité la maladie ou lui cherche des mécanismes psychologiques voir des logiques culturelles, soient aujourd'hui remises en cause par deux logiques distinctes. La première procède d'une extension des savoirs qui conduit à valider les troubles ressentis, c'est le cas du syndrome de la Guerre du Golfe dont les résultats de la neuro-imagerie et l'expérimentation animale paraissent confirmer l'origine toxique. La seconde procède d'une reconnaissance de l'expérience des malades même lorsqu'elle n'est pas corroborée par des preuves médicales. C'est le cas du syndrome de fatigue chronique pour lequel la persévérance des patients et l'intérêt des médias semblent avoir eu raison de la réticence des experts. Dans les deux cas, l'histoire confirme ainsi l'analyse de Canguilhem lorsqu'il affirme que, ce n'est pas la méthode scientifique, mais la relation à l'individu malades qui justifie la qualification d'une pathologie. Autrement dit, qu'en matière de maladies, l'expérience subjective doit prévaloir sur la connaissance objective. S'agissant des frontières épistémiques que j'ai décrites, la communauté des experts y a longtemps dominé la communauté des patients. Mais la relation est peut-être en train de s'inverser, au moins au niveau institutionnel avec l'entrée officielle, non sans hésitation ni ambiguïté, de ses divers syndrome dans la nosographie."

- Glossaire : chélation = traitement des métaux ; chélateur = médicament du traitement (Dmsa, Edta, Dmps, ...)

FIN des observations 1 & 2



DIFFUSION des deux premières séries d'observations - (édit 11 décembre)

En oct 20, j'avais écris une première version qui a été soumise par le formulaire en ligne au Président, au 1er Ministre et au Ministre de la santé.
■ Députés et Sénateurs.
Comme Cyrano avec ses mots pour Roxane, je jette mes observations aux parlementaires sans les mettre en bouquet.  
Un mail le 1er novembre à tous les Députés avec la première série d'observations.
Un mail le 30 novembre à tous les Sénateurs avec les deux séries d'observations.
Un mail le 30 novembre à tous les Députés avec la seconde série d'observations.

à ce jour (28 déc20), je ne comte pas envoyer la 3ème série d'observations car il s'agit de prescriptions et non d'observations qui risqueraient de perturber le processus de décision des parlementaires sur les deux premières séries.
Selon les éventuelles suites que donneront les parlementaires, j'aviser sur la nécessitée d'envoyer la 3ème série (1jan2021).  
■ Députés européens
■ Conseil constitutionnel (fév 2021)
■ Maires de France de nov 20 à janv. 21
■ Journalistes (presse, radio, tv) ; cabinet du ministre de la santé ; associations santé
Cymes & Marina
■ Professeurs du Collège de France, janv-fév 21, Combes, Romër, Fontecave, Prochiantz, Sansonetti, Sanchez, Petit, Lecuit, Heard, de Thé, Garel, Dehaene, Fassin, Fisher, Quintana, Duboule, Joanny.

VOIR LES REPONSES



Complément pour le lecteur du forum : Illustration des contradictions par Montages-vidéo placés sur ma petite chaine yt: Fakes Establishment


Carence alimentaire et jeûne : Collège de France VS lutte anti-secteElectrosensibilité : Collège de France VS ANSESVaccins : Collège de France VS Ministre de la Santé à l'AN


Références à combler - Complément aux observations. (édit 29 déc).

Même si l'absence de référence ne doit pas empêcher de traiter, il demeure préférable d'établir toutes les références physiologiques.Je dresse donc une liste (qu'il conviendra de compléter) des références physiologiques à combler.Charges corporelles en population générale :
■ Des causes dressées par le Collège de France

Particules inorganiques (métaux et anions)Particules organiques (pesticides, ...)Mitochondries, nombre et qualitéCapillaires, nombre et qualité,AngoissesInfections chroniques,OndesDéchets métaboliques,Exito-toxicité,Calories, sucre, corps cétoniques, Acéthylation de l'Adn, Transcription, à compléter par les sachants...

■ J'ajoute également les marqueurs de la longévité (Alain Prochiantz au CdF 7 oct 2013, voir post) :

Les Neuf Marqueurs :Il existe 9 marqueurs de la longévité qui fonctionnent en synergie.Chaque marqueur a donc des effets provisoires ou consolidés sur les autres marqueurs.Ces marqueurs permettent de situer l'état d'avancement de l'usure des cellules.Les marqueurs 1 à 3 relèvent de la génétique et de l'épigénétique. Les modifications systémiques seraient irréversibles.
1 : Instabilité du génome,2 : raccourcissement des télomères,3 : altération épigénétique,
Les marqueurs 4 à 6 relèvent du métabolisme. Il est donc possible d'ajuster leur évolution par le mode d'alimentation et par le mode de vie.
4 : atteinte à l'équilibre des protéines,5 : dérégulation des mesures de nutriments, glucose, acides aminés, acides gras, insuline,6 : disjonction mythochondriale,

Les marqueurs 7 à 9 relèvent de l'intégration cellulaire et leur évolution est systémique.
7 : sénescence cellulaire,8 : épuisement des cellules souches,9 : altération des communications inter-cellulaire.

Sophocle

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