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Modélisation de la détox et Simulation prévisionnelle

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Modélisation de la détox et Simulation prévisionnelle Empty Modélisation de la détox et Simulation prévisionnelle

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 11:39

      Édit 1 : mai 2019, Sophocle a écrit:

          Au fur et à mesure des déshydratations, le cerveau a été significativement dégagé mais des symptômes secondaires, tardifs, accumulatifs et permanents sont apparus au niveau de la peau et d'une épaule. À cause de ces symptômes, à 70 jours de déshydratations (23 occurrences de 3 jours environ), j'ai dû interrompre les déshydratations. Le récit de ces symptômes et des tentatives de résolution est consigné dans les pages suivantes. Au moment où j'ai rédigé ce post (janvier18), j'ignorais que ces symptômes seraient si problématiques et j'ignorais comment les résoudre.
          Au recommandations préalables listées de ce post, il conviendra donc d'ajouter les techniques de résolution en les entre-mêlant aux déshydrations (voir post M, page 14). Les délais annoncés ci-dessous risquent donc d'être prolongée du temps nécessaire pour écouler ces symptômes secondaires. Cependant, j'insiste sur la prise de dmsa pendant une déshydratation ; cela devrait réduire les effets secondaires accumulatifs en interceptant les métaux-lourds et en les éliminants par les reins.


      Relégation du jeûne sec - Édit 2 : 2 juin 2020.
        Message important :
        Suite aux résultats exceptionnels des solubilisations de chélateurs (extrassos, intrassos, chélassos), je relègue les jeûnes secs à un ultime recours.
        Les solubilisations éliminent les métaux-lourds, or les jeûnes secs n'éliminent pas les métaux-lourds.
        Les solubilisations sont donc significativement plus intéressants en première intention jusqu'à cessation de leur bénéfices.
        Les jeûnes secs seront éventuellement à pratiquer pour aller chercher les métaux-lourds là où les chélateurs ne peuvent pas se rendre.






Avec toutes ces expériences depuis 2017, il m'est enfin possible d’imaginer une modélisation de la détox passée et donc de simuler une projection de fin de détox.
Je vais enfin pouvoir proposer une esquisse de réponse à la question suivante :
Combien de déshydratations et combien de temps faudra-t-il pour diviser la concentration des ions indésirables par 2, et puis par 10 ?
Cela est utile pour savoir où j'en suis dans mon parcours de détox et pour savoir où je vais. :sol:

Arbitrairement, je vais considérer la cellule comme une réserve d’eau qui perd autant d’ions par rapport à son stock d'ion au prorata du volume d’eau qui sort de la cellule.
Si la cellule perdait 5% de son eau au cours d’une déshydratation, je vais donc considérer que 5% des ions ont été évacués de la cellule.
Cette formule correspond à la consolidation longue des symptômes après cette année d’expérimentation.
À chaque déshydratation, j'ai constaté que je perdais 1,5kg environ, soit 1,5 litres, et que mes céphalées se dissipaient peu à peu.
Avec ce modèle, il est donc possible de calculer le nombre de déshydratations nécessaires pour diviser les ML par 2 et puis par 10.

Mais avant, il faut également tenir compte du terrain d’intoxication.
Je compte trois terrains d'intoxication : Tissus ordinaires et/ou cerveau.
- tissus ordinaires seuls -> déshydratations à de 1 à 3% max
- cerveau seul, les tissus ordinaires sont décontaminés -> déshydratations à 5%.
- tissus ordinaires et cerveau -> déshydratations à de 1 à 3% au début, puis déshydratations à 5% quand les tissus ordinaires sont clean.

Ici, je démarre par l’exemple de 5% de perte d’eau par déshydrataion, c’est une configuration pour une intoxication au cerveau seul.
Les tissus ordinaires sont considérés comme assainis.
Le cerveau est composé de 75% d’eau, et il pèse 1,5kg.
Il y a donc 1500 x 75% x 5% = 55 grammes d’eau contaminée qui sort au cours d’une déshydratation.

Or, pour les tissus ordinaires, Il est préférable de demeurer de 1 à 3% car la quantité d’eau (et donc d’ions) mobilisée est très volumineuse.
Au cours d’une déshydratation à 5%, il y aura 30l x 5% = 1,5 litres d’eau contaminée qui sortira des tissus ordinaires si ces derniers étaient intoxiqués.
La relocalisation sera massive et les intestins seront donc très/trop sollicités.
Dans ce cas, il y aura 30 fois plus de ML à traiter.
Il faut à tout prix éviter les pic de détox.

Il me semble, éventuellement, que le cerveau se déshydrate à retardement par rapport aux tissus ordinaires, c’est-à-dire qu’il commencera à se purger à partir d’un jour et demi de déshydratation.
Il faut donc d’abord s’occuper de purger les tissus ordinaires en douceur pour préserver les intestins.
Je vais nier cette information-ci pour les calculs à suivre mais elle explique pour quoi je préfère m’orienter à terme vers des déshydrations à 5%, sinon, je crains qu’une déshydratation d’un jour ou deux soit trop courte pour assainir le cerveau dans un délai raisonnable

    DIVISION PAR 2 :

Pour réduire la concentration des ML de moitié avec des déshydratations à 5%,
il faut : 95%^n=1/2 (où n est le nombre de déshydratations).
n = log(1/2) / log(0,95) = 13,5.
Vérification pas à pas, si je fais une suite, et que j’enlève 5% à chaque application, ça fait :
[list=0]

( « 100 » représente la concentration d’ions ML au début de la thérapie.)

00 - 100 % (x 95%) =
    01 - 95,0 % (x 95%) =
      02 - 90,2 % (…)
        03 - 85,7 %
          04 - 81,4 %

05 - 77,3 %
    06 - 73,5 %
      07 - 69,8 %
        08 - 66,3 %
          09 - 63 %

10 - 59,8 %
    11- 56,8 %
      12 - 54 %
        13 - 51,33 %
          14 - 48,7 %

À la quatorzième application, les ML auraient donc été divisés par 2.
En faisant une déshydratation par semaine, il faut donc un bon trimestre.
C’est une cadence beaucoup trop élevée pour un début, mais il s’agit de donner un repère par une échelle de temps incompressible.
Comme il faut se familiariser avec cette technique et comme il ne faut pas se lancer avec des déshydratations à 5% au début, il me semble que neuf à douze mois minimum ne soient déjà un très bon timing pour retirer la première moitié des ML.
Après cette première, étape, il sera possible d’accélérer la cadence et de passer à des déshydratations à 5%.
Cependant, comme il faut le même délai de réhydratation que de déshydratation, il est envisageable de diviser les ML par 2 dans des mensualisations proches que celles des déshydratations à 5%.
Il n'y a donc pas d'urgence à passer à 5%.
Les ions physiologiques seront également éliminés, il faut donc penser à ravitailler systématiquement entre 2 déshydratations.

    DIVISION PAR 10 :

Pour parvenir au dixième de la concentration des ML, il faut : 0,95^n=1/10 ; n=log(1/10) / log(0,95)= 50.
Il faudra donc 50 déshydratations à 5% pour décimer les ML.
En faisant une déshydratation par semaine, on arrive à un an de traitement.
C’est encore une fois des valeurs très compactes qui ne tiennent pas compte d’une période prolongée entre 2 déshydratations.
En pratique, il vaut mieux compter sur un peu moins de deux ans pour réduire les ML au dixième de leur concentration initiale.

    TENDANCE DE LA REPETITION LONGUE :

pour diviser les Ml par :
    2, n=15, (temps estimé 1 an)
    10, n=50, (temps estimé 2 ans)
    100, n=90, (temps estimé 3 ans)
    1000, n=135 (temps estimé 4 ans)

C'est la magie des logarithmes, c'est un peu poussif au début, mais ça atteint la vitesse de la lumière dans un deuxième acte.


    Question : Au cours d'une déshydratation, comment sait-on qu’on a perdu x% de son eau ? exemple avec 5% :

Une personne de constitution courante (ni en sur-poids, ni en sous-poids) a 50 % d’eau dans le corps.
Si elle pèse 60kg, cela fait 30 litres d’eau.
5% de 30 = 1,5 kg.
En cas de sur-poids, il n'y a presque pas d'eau dans les tissus adipeux, il ne faudrait donc pas comptabiliser le sur-poids.
En ne tenant pas compte de très fortes variations, le corps élimine environ 1 litre d’eau par jour au repos.

Mais l’alimentation apporte 1/2 litre d’eau.
Au cours de trois jours de déshydratation, le corps perd donc 3 x 0,5 = 1,5 litres.
Je rappelle que le sang fait 5 litres.
Au cours de la déshydratation, le sang ne perd pas de volume, mais 1,5l d'eau passe de l'intra vers le sang pour compenser les 1,5l qui sont éliminés par les émonctoires.
Au cours de la déshydratation, il y aura donc 30% de l'eau du sang qui provient d'un compartiment contaminé.
C'est ne pas donc pas anodin, mais cela demeure la solution physiologique pour écluser les ML.
Si la pratique du jeûne intermittent sec était enseignée assez tôt, il n'y aura pas à passer par de tels extrêmes.
À ce rythme, le corps perd 2cl d'eau par heure au repos (4cl en cas de jeûne sec et 8cl pendant la marche).
Il faut donc vérifier avec la balance le nombre de jours qu’il faut pour perdre 1,5kg.
Le mieux, c’est de boire juste assez pour ne pas perdre pas plus qu’un demi-kilo par jour pendant trois jours.
Ainsi, la détox est bien bordée de façon à ne pas pâtir d'excès, on reste dans les 5% et dans le bon timing.
Ici, je parle de déshydratation et non de jeune sec, où il faudra perdre environ 3kg pour perdre 5% d’eau.
Au début, le jeûne sec n’est vraiment pas utile, ça expose à des incidents inutiles.
Il n’y a aucun bénéfice à cumuler le jeûne et la déshydratation sauf à accentuer la déshydratation.
Le jeûne sec est certes envisageable mais plutôt en fin de parcours pour curer en profondeur après que les ML eut été décimés.
En effet, l’eau dans l’alimentation pourrait faire empêcher les ions de sortir quand ces derniers sont en faible concentration.
Perso, j’envisage ultérieurement de faire 3 jours de déshydratation et d’enchainer avec 3 jours de jeune sec.
Ainsi je peaufine les adoucis vers un curage en profondeur sans me sacrifier inutilement.




ANNEXES


    NOTAS
    Nota A :
      Comme vous pouvez le voir, mes fourchettes d’incertitudes, d’approximations, d’aléas, d’arbitrages, et autres imprécisions sont très larges.
      Toutes ces approximations se recouvrent peut-être les unes sur les autres.
      Ce qui demeure important, c’est ce qui est ressenti : à chaque déshydratation, j’ai un léger mieux qui se consolide et qui s'accumule à chaque déshydratation.
      Tout ces chiffres sont volontairement très approximatifs.
      Il ont été évalués de façon à confirmer la tendance de cette année d'expérimentation.
      Par exemple, une déshydratation à 5 % du corps n’est pas forcément une déshydratation à 5 % du cerveau à cause de l’éventuel effet de retardement de la Bhe.
      Jusqu’ici, il me semble que j’ai déjà fait environ 15 déshydratations de trois jours en moyenne.
      En fait, je n’ai pas vraiment fait les comptes, ce n’est donc qu’une estimation.
      Je ne saurai pas dire si j’ai deux fois moins de symptômes car ça ne se mesure pas, mais en tout cas les symptômes ont bien diminué depuis l’année dernière.
      De plus, comme j’ai encore des symptômes, je sais que j’ ai encore des déshydratations à faire.


    Nota B :
      Je laisse définitivement tomber l’idée d’une résurgence de ML dans les os car il y a très peu d’eau dans les os et que les os sont très légers (le squelette pèse 3,5kg et il n’y a que 20 % d’eau).




    REMARQUES
    Remarque A :
      Ce que dit en plus cette simulation, c’est que la première déshydratation à 5% est deux fois plus chargée en ion ML que la quatorzième.
      Donc au début, il faut vraiment y aller mollo, et se contenter de déshydratations d’un jour, puis ensuite de deux jours.
      Ainsi, il n’y a pas de pic de détox.
      Plus les symptômes permanents sont forts, moins longtemps doit durer la déshydratation.
      Je me rappelle de mes tous débuts, j'ai commencé bille en tête avec un jeûne sec de trois jours.
      J’avais la gorge en feu… Modélisation de la détox et Simulation prévisionnelle Xmadfire Modélisation de la détox et Simulation prévisionnelle Xdisturbed
      C’était donc la chose à ne pas faire.
      Cependant, j’avais veillé à ne pas faire d’activité sportive et le système digestif avait bien tenu le coup sans aucun grumeau.
      Dès qu’il y a des symptômes de mobilisation, il faut rompre, et attendre l’écoulement des symptômes avant de recommencer.
      Désormais, je peux faire des déshydratations de 6 jours sans trop de symptômes.
      Surtout, la gorge demeure humide jusqu’au bout des 6 jours de déshydratation, alors qu’en décembre elle était encore sèche dès le 3ème jour de déshydratation.
      Il y a donc des progrès significatifs qui parviennent avec le temps.
      Modélisation de la détox et Simulation prévisionnelle Y4moOSupE3X2yndAYjj2lnV70jH_Xy4hW4MI0h7MLVEFq4a6LX-HsfuXdG2U_fWfgXOPIO93okz-teaA8P-0I1fymeBvi18LMlc2e9LIvz2mlnSOQpXLxy7S-lJDFGjaw2EMB0ERW9_-xr_XlMY2zuSN4wlUOvWYKeN8USxou517JsO99QcjstdZyAMp9mGgeFk?width=500&height=279&cropmode=none


Remarque B :
    Ce que dit également cette simulation, c’est qu’il n’est pas la peine de trop prolonger les déshydrations.
    En terme de détox, deux déshydratations de trois jours chacune équivalent quasiment à une seule déshydratation de six jours.
    il n’y a donc pas de plus-value à une longue déshydratation.
    Il n’est donc pas nécessaire de doubler le temps d’une déshydratation quitte à risquer un incident.
    Deux déshydrations courtes auront la même force de détox qu’une seule déshydratation deux fois plus longue.
    Il n'y a que le cerveau qui risque de démarrer sa déshydratation à retardement.
    Les déshydratations longues ne sont donc envisageables qu’en fin de parcours car la concentrations en ML est faible ou quand les tissus ordinaires sont désintoxiqués afin d’atteindre le cerveau en profondeur.


Remarque C :
    Avec cette modélisation,
    On peut voir que la déshydratation et le jeûne humide ne répondent pas du tout dans les mêmes délais ni dans les mêmes cycles.
    En trois jours de jeûne hydrique, on élimine 100% des glucides qui peuvent être éliminées par le jeûne hydrique.
    Après le 3è jour, il y a certes un processus d’acéthylation de l’adn et de lente régénération qui améliore la santé de la cellule, mais sur le plan des glucides toxiques, le problème est définitivement réglé au 3è jour pour au moins plusieurs mois.
    Après X semaines de jeûne hydrique, on peut éliminer 100% des lipides.
    Il n’est donc pas utile de recommencer un jeûne hydrique avant plusieurs mois / ou plusieurs années.
    De plus, on peut même préserver les bénéfices du jeûne hydrique par le régime cétonique.
    Ainsi, on a pas vraiment à recommencer un jeûne hydrique.
    Cela est valable pour réactiver la transcription du génome et pour éliminer les cellules pré-cancéreuses.
    À partir de ces trois jours, on peut donc vraiment enclencher des miracles à moyen terme, mais non éclatants, et sans jeûne supplémentaire.
    Cependant, les jeûnes hydriques sur une longue durée sont parfois le dernier recours contre les tumeurs déjà bien avancées.
    À l’opposé, les effets d’une déshydratation ne sont que fragmentaires et ils nécessitent de s’installer dans une répétition à long terme.
    Toutefois, mes jeûnes hydriques de cet été m’ont enseigné que les bénéfices au niveau de la digestion étaient dissipés en quelques jours tant que les métaux lourds n’étaient pas éliminés de l’organe.
    Le jeûne hydrique et la déshydratation n'ont pas du tout les mêmes champs d'application.
    Les toxines traitées par une technique ne sont absolument pas traitées par l'autre mais la présence de ML peut entraver la régénérescence attendue par le jeûne hydrique.
    Il faut donc un ordonnancement de ces techniques pour obtenir l'expression de leur plein potentiel.




Édit3 sept18 & mai 19 : Ce passage est désactivé car il existe d'autres techniques plus appropriées - voir page 14, chapitre M.
Parade A : Accélérer l’écoulement de ML mobilisés au niveau de la peau.
    Pour traiter la mobilisation de toxines au niveau de la peau,
    j’ai désormais pris l’habitude de prendre une douche au sel quotidiennement.
    Recette : dans une bouteille d’un demi-litre d’eau chaude, je mets 100g de sel de cuisine.
    Ça fait une concentration de 200g/l, soit 7 fois plus que l’océan mais 2 fois moins que la mer morte.
    Édit1: je prends du beau sel fin au supermarché, y'a quasiment pas besoin de secouer
    Sur une peau sèche, je badigeonne abondamment l’eau salée avec une éponge de mer.
    Je prépare donc plusieurs litres, 6 à 9l, pour que la séance dure bien 20 minutes car les effets semblent se manifester tardivement.
    Quand je savonne sur l'eau salée, parfois une légère odeur sort, c'est bon signe, c'est que ça sort.
    Édit2: j'ai fini par acheter une bassine-baignoire de petite taille de façon à mettre le moins de sel possible, entre 5 et 10 kg par bain, ce qui fait 50 g/l à 100g/l.
    Ça à l'air beaucoup plus efficace, y'a même des milliers de mini-bulles d'air qui sortent de la peau pendant toute la durée du bain.
    J'ignorais qu'il y avait de l'air emprisonné dans la peau, c'est bon à savoir.
    Ça fait du bien de visualiser la détox se faire en temps réel.
    Je prends un bain d'une heure pour qu'il y ait bien le temps nécessaire à la réaction.
    Puis je rince à la douche classique.


    Parade B : Décontaminer la bouche.
      Au cours de cette douche de sel, j’en profite également pour faire une bain de bouche avec l’eau salée.
      Je mets très peu d’eau, juste de quoi remplir l’espace sous-lingual.
      Je dirai 2,5 cl. Je gargarise un peu.
      À ce dosage là, çà picote « un peu », mais ça se dissipe dès rinçage.
      Et en deux minutes chrono, la bouche est pleine d’eau, le volume d’eau a quasiment doublé.
      Comme ce sont des muqueuses bien humides, contrairement à la peau, elles répondent assez bien.
      Pour rétablir l’équilibre en soluté via l’osmose, en théorie il faudrait 50 cl :
      2,5 cl * 200g/l = x cl * 10g/l ( la concentration en solutés du corps humain est d’environ 10g/l)
      x= 2,5 *200 /10 = 50 cl, soit une pinte à l’arrivée pour un shot au départ.
      Question détox, là, ça déménage à la vitesse grand V.
      Ça préserve les intestins et le cerveau.
      Puis je recrache, la mobilisation est donc définitivement éliminée.
      Surtout, ne pas avaler.
      Là, à mon avis, y’a pas mal de métaux lourds qui sortent pour les porteurs d’amalgames.
      Ce bain de bouche est intéressant pour cesser la contamination des amalgames à tout le corps.
      Puis je rince à l'eau minérale.
      Cependant, il n’est pas nécessaire que la concentration soit si élevée et que la fréquence soit élevée.
      Je trouverai le bon rythme avec le bon dosage à terme.
        ( Édit : Les picotements n'apparaissent plus après une dizaine d'occurrences.
        j'ai décidé de cesser et de recommencer dans un certain temps (une semaine?, un mois ?, je ne sais pas encore) pour voir si ça réapparait)


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Sophocle

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Date d'inscription : 25/07/2021

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