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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 21:00

En effet, je n'ai pas envie de retomber dans une galère de plus. Je vais donc continuer en douceur. De toute façon, au vu de mon état, j'avais dû opter pour une progression à petits pas car je n'avais pas la force de faire autrement. Pendant le jeûne, ce compromis est à surveiller comme du lait sur le feu. Mais ce n'est pas suffisant, il existe des témoignages de jeûneurs débutants qui sont tombés dans un état de fatigue après la reprise alimentaire en dépit que le jeûne se soit pas trop mal déroulé. C'est ce que j'ai redouté le plus, car c'est la part aveugle du jeune jeûneur. J'ai donc pris toutes les précaution possibles. Mais il faut quand même expérimenter la modulation de la mobilisation tout en activant l'élimination. Pendant le jeûne, la mobilisation est passive, elle se fait donc toute seule, mais l'élimination demeure très faible, elle nécessite donc une activation. Cependant, il existe des moyens pour éviter l'accumulation de mobilisation. Il existe également des moyens pour rehausser l'élimination. Je ne suis pas à mes premiers jeûnes à l'eau, mais j'ai peu d'expérience pratique et je n'ai pas encore fait de jeûne sec.

J'ai déjà fait deux jeûnes à l'eau au cours de ces deux dernières années, l'un de cinq jours, l'autre de quinze jours. J'ai perdu environ un demi-kilo par jour de jeûne, mais j'ai tout repris en deux semaines après la fin du jeûne. Je fais 60 kg pour 1.70 m, je suis donc descendu à 52,5 kg au terme du jeûne de quinze jours. Sur le long terme, il est certes recommandé de peser plus que 54 kg pour 1,70 m mais il n'est pas dommageable de descendre en dessous quand c'est très provisoire. Je pourrai même descendre encore un peu en deçà si je voulais prolonger le jeûne. De toute façon, le corps lance un signal de rappel d'alimentation quand les ressources en lipides ne parviennent plus à fournir du carburant, ainsi les protéines sont préservées.

Au cours de mon premier jeûne à l'eau dont la durée a été de cinq jours, les urines sont devenues foncées pendant les trois premiers jours. Puis elles ont retrouvé leur couleur claire. Cette couleur foncée est le résultat de l'élimination par les reins de quarante ans de stockage de produits cabossés et d'éliminations d'autres joyeusetés. Par exemple, des mitochondries, qui ont rendu un important service, et qui sont donc à bout de souffle, ne sont pas éliminées tant qu'elle servent un peu. Au cours de ce premier jeûne, les reins ont donc éliminé une forte mobilisation toxique. Au cours des jeûnes suivants, les urines sont demeurées claires tout au long du jeûne, il n'y donc définitivement plus de produits obsolètes qui trainent dans le corps. Les reins sont donc préservés dès le deuxième jeûne court. Ce premier jeûne court a donc participé à la protection des jeûnes suivants contre la sur-mobilisation. 

Le deuxième jeûne à l'eau, dont la durée était de quinze jours, s'est bien terminé mais j'ai eu trois chutes de vitalité. J'ai rattrapé ces chutes par la prise de compléments alimentaires en vitamines et en minéraux. Mais j'ai eu de la chance d'avoir ce qu'il fallait sous la main car, en deux heures de temps, j'étais très affaibli. J'en ai déduit que ces chutes de vitalité parvenaient de carences. Pour saturer mes os en vitamines et en minéraux afin de me prémunir d'éventuelles rechutes de vitalité au cours de jeûnes suivants, j'ai donc réorganisé mon alimentation annuelle de façon à manger soixante-dix pour cent de légumes dans la journée.  

Au delà de quatre jours de jeûne, les glucides sont totalement taris, le corps va donc se replier sur les réserves lipidiques. Les lipides sont alors transformés pour alimenter le corps en un nouveau carburant dont la contenu est différent du glucose. Ce changement de carburant va, entre-autre, provoquer un léger formatage de l'ADN. C'est-à-dire que la cellule va retrouver des fonctionnalités natives qu'elle aura perdu parce qu'elle se sera lentement dé-programmée de façon à se dédier qu'aux activités habituelles sous une alimentation continue. C'est de là que viennent les vertus du jeûne contre le cancer. Avec la période lipidique du jeûne, une cellule va retrouver sa capacité à stopper sa multiplication anarchique. Voir même, elle va retrouver la capacité de s'auto-éliminer si elle ne parvient pas à reprendre la main sur sa propre multiplication. En outre, si le jeûne ne peut rien pour sauver la cellule cancéreuse, il y a néanmoins le tarissement du glucose qui va résorber les tumeurs car une cellule folle, qui se sur-divise, doit nécessairement consommer beaucoup de glucose. La tumeur va donc mourir par manque de carburant adéquat. Un jeûne long (sup. à quinze jours) est opportun dans ce cas-ci. D'ailleurs, pendant le jeûne, les cellules cessent de diviser, cela se voit à la barbe qui cesse de pousser. Dès le deuxième jeûne de durée moyenne, les jeûnes suivants sont donc prémunis de la dépense énergétique liée à la re-programmation de l'ADN. La corps s'est également habitué à la nouveauté issue du changement de carburant.

Il existe de nombreuses autres vertus au jeûne : réparation des organes, éliminations des colles, régulation pérenne de la digestion, décalaminage des artères, régulation ionique dans l'ensemble du corps, amélioration de la cicatrisation, régulation du système immunitaire. Il y a même des vagues de dé-confusion mentale au quatrième jour du tout premier jeûne. Cependant, il y a des contre-indications : tuberculose, femme enceinte, ... - voir le livre en pièce-jointe.

Pendant le jeûne, les toxines du sang vont migrer de façon à se retrouver en attente d'élimination. Par exemple: l'intestin ne reste pas inactif, il va filtrer le sang. C'est-à-dire que le sang est purifié par l'intestin et les toxines se retrouvent alors dans les cellules intestinales. Ces toxines sont au bord le plus proche de la sortie. Mais sans action pour les éliminer, elles demeurent là où elles sont. Il faut donc aider un peu la nature pour finaliser le travail et pratiquer une purge intestinale à la fin du jeûne. Sans cette petite aide, les toxines vont rebrousser chemin dès la reprise de l'alimentation. Les poumons sont dans le même cas, il faudra donc marcher pour augmenter les échanges avec l'extérieur.

Il faut également pratiquer une purge intestinale au début du jeûne pour que les toxines du bol alimentaire ne franchissement pas la barrière de l'intestin pendant le jeûne. J'en profite pour faire une purge des calculs du foie et de la vésicule biliaire car cela nécessite également une purge intestinale. Il faut également se faire trois jours de repas de légumes en bouillon avant et après le jeûne car ces bouillons de légumes vont capter les toxines de l'intestin.

Cependant, les métaux lourds ne sont pas mobilisés au cours d'un jeûne à l'eau car la pression osmotique est stable. Sous un jeûne à l'eau, la cellule va certes provoquer une autophagie, c'est-à-dire qu'elle va se purger de ce qui n'est plus utile pour elle, mais l'eau intracellulaire, qui est chargée des ions des métaux lourds, demeure à sa place et elle ne va donc pas s'épancher dans l'eau extra-cellulaire. C'est là qu'intervient le jeune sec car il va diminuer l'eau dans le sang dans un premier temps, puis cela va un peu augmenter la densité du sang, et enfin, la pression osmotique sera donc renversée. L'eau contenu dans l’intracellulaire va donc migrer jusqu'au sang. C'est en sortant de la cellule, que l'eau emporte avec elle les ions des métaux lourds. De proche en proche, toutes les cellules du corps seront réquisitionnées par osmose pour arroser le sang en eau. Ce moment est critique car le volume d'eau intracellulaire est bien plus grand que le volume de sang. Il y a environ 45 litres d'eau intracellulaire pour 5 litres de sang. Le sang sera donc vite saturé. C'est là qu'il faut moduler le compromis en ne tentant pas un jeûne totalement sec mais presque sec dont la dose d'eau est ajustée par ce qu'on ressent. Ainsi, les eaux contenues dans le milieu intracellulaire, dans la lymphe et dans le liquide céphalo-rachidien sont drainées jusqu'au sang sans saturer ce dernier ni dépasser la capacité d'élimination des émonctoires. Ce sang sera ensuite filtré, et les métaux lourds se retrouvent alors en attente d'élimination. La marche n'étant pas suffisante pour éliminer tout ce flux, et les intestins n'étant pas indéfiniment extensibles pour stocker toutes ces toxines, je prendrai du DMSA avec mon peu d'eau pour activer les reins et pour que l'élimination soit aussi forte que possible.

Il faut intercaler un jeûne sec au cours d'un jeûne à l'eau pour que la régulation en métaux soit optimale. Ainsi, le sang est d'abord lavé par un jeûne à l'eau. Ensuite, avec le jeune presque sec, le sang récupère les métaux lourds. Et enfin le sang est à nouveau lavé par le jeûne humide. Grosso modo, je fais 3 jours de légumes en bouillons, lavement, 3 jours de jeûne à l'eau, 3 jours de jeûne presque sec, 3 jours de jeûne à l'eau, lavement, 3 jours de légumes en bouillon (3-3-3-3-3). Il est possible de moduler les durées avec un 3-4-2-4-3 par exemple, mais il est envisageable d'étendre le jeûne sec jusqu'à sept jours maximum. 

Si les os étaient chargés de métaux lourds, leur très lente décharge cesserait rapidement après le retour à un équilibre avec l'intracellulaire. Un jeûne long unique ou annuel n'est donc pas approprié pour les métaux lourds car la vidange de l'intracellulaire se fait en quelques jours de jeûne sec. La prolongation du jeûne expose donc le corps à des carences sans offrir aucun intérêt de soin pour l'intoxiqué. En outre, les os ne sont pas atteint pas le jeûne car leur débit de fuite est très faible. Et psychologiquement, on n'a pas envie de recommencer un jeûne après un jeûne long. Je vais donc reproduire ce jeûne mi-court mi-moyen (9 jours) en autant de fois que nécessaire afin de purger l'eau intracellulaire au fur et à mesure qu'il se re-rempli par les os. J'envisage donc de le faire une fois par mois.

Le jeûne intermittent est également intéressant pour répéter à petite échelle ce qui va se passer à grande échelle. Il est également intéressant car il permet de garder les repas du midi et du soir et donc d'avoir une vie sociale. Pour moduler la mobilisation et l'élimination, j'appliquerai un jeûne intermittent mixte avec un jour de jeûne à l'eau et un jour de jeûne sec. Je le couplerai avec du DMSA le jour du jeûne intermittent sec car dans ce jeûne, la durée est bien courte pour assurer la longue chaine de mobilisation et d'élimination (intracellulaire -> extra-cellulaire -> sang -> émonctoire -> élimination ). Le DMSA fait office d’émonctoire et d'élimination via les reins. Sans le DMSA au cours du jeûne intermittent sec, je crains que les métaux lourds ne fassent du yoyo dans l’organisme. J'envisage plutôt de le prendre en fin de jeûne sec pour collecter un maximum de ML dans le sang.

Pour finir, je dirai que le jeûne en toute sécurité, c'est comme le parapente : avant de se lancer, il faut beaucoup de théorie, il faut aussi des exercices au sol, puis des petits tests séparés de chaque maillon de la chaîne (jeûne court, jeûne mi-court, lavement, jeûne à l'eau, jeûne sec, ...), et enfin le grand saut avec tout le protocole.



Le jeûne selon Shelton. Édit janv 2019
Voici le livre professionnel de référence sur le jeûne hydrique.C'est un document très technique d'un point de vue biologique et médical.On y trouve beaucoup de réponses sur le déroulement physiologique du jeûne.Par exemple, on trouve que le foie et la rate réduisent significativement de leur volume au cours du jeûne.Cela m'a permis de ne pas de m'inquiéter quand je voyais deux profonds creux sous les côtes... Le-jeune-Shelton.pdf (9.97 Mio)
Mes sources sur l'adn et sur le cycle du glucose/lipides ne parviennent pas de ce livre, mais du Collège-de-France (voir série sur le revue générale de médecine (Page 5)).Cependant, le jeûne sec n'est pas évoqué.Je n'ai jamais trouvé de sources sur la part sèche du jeûne, j'ai donc extrapolé mes hypothèses à partir du cours de médecine sur les compartiments liquidiens (Voir chapitre I de la page 14).

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Re: Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 22:08

Nicolah a écrit:Merci beaucoup pour ce message Sophocle, c'est très intéressant !

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Témoignage de jeûne 3-3-3-3-3

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 22:09

Merci Nicolas pour ton merci.

Je viens tout juste de sortir du jeûne que j'avais commencé le 6 janvier. Je vais donc établir, ici, un bilan à chaud de ce premier jeûne mixte, ainsi je pourrai me relire de jeûnes en jeûnes.

Il y a eu des moments difficiles pendant la phase du jeûne presque sec, mais je n'ai pas eu de doute à ne pas rompre le jeûne car, dès le premier jour de jeûne presque sec, un apaisement cérébral significatif s'est manifesté. Au cours des trois jours de jeûne presque sec, j'ai ressenti une forte amélioration des symptômes au niveau du cerveau. C'est la première fois que cela parvient depuis des années. Pendant cette phase, mon cerveau m'indiquait qu'il n'était quasiment pas agressé par ces ML. L'inflammation des méninges avait donc cessé. J'ai même pris du plaisir à me promener longtemps. Cela n'était plus le cas depuis des années. En effet, au cours des dernières années, dès quinze minutes de marche, la lassitude que je trainais m'ôtait le charme de la chose. C'est une bonne nouvelle, mais elle est à modérer car les symptômes réapparaissent majoritairement après la reprise de l'eau. Mais en dépit de ces contre-parties, je dirai, quand-même, qu'au global, une petite amélioration de mon état.

Ces améliorations sont spécifiques au jeûne sec, je n'avais pas eu de tels bénéfices au cours des deux précédent jeûnes à l'eau. Donc, c'est une bonne voie, mais il demeure à régler le problème de l'élimination. Si cela se déroule correctement pour le cerveau, le corps souffre en contre-partie des toxines mobilisées, il rentre comme dans un état de mal-être. C'est un mouvement pendulaire entre le cerveau et le corps. Ce mal-être du corps est certes levé douze heures après avoir repris le jeûne à l'eau, mais les toxines retrouvent leurs pénates dans le cerveau (ou le liquide céphalo-rachidien). Les sensibilités au niveau des méninges réapparaissent. L'enjeu est donc d'éliminer un maximum de toxines tout en abaissant la mobilisation. Maintenant que je connais cette sensation de mal-être, je vais pouvoir ajuster la quantité d'eau ingérée face à la dose de DMSA de façon à maintenir un état de demi-mal-être pour les prochains jeûnes. Ainsi, les ML seront mobilisés sans excès par rapport à leur élimination.

Je dois également revoir la fréquence de prise du DMSA. Pendant la phase du jeûne presque sec, j'ai pris 1 dose de 100 mg toutes les 12 heures. Je consommais un demi verre d'eau (8cl) toutes les douze heures. Pour le prochain jeûne, je passerai à 100 mg toutes les 4 heures. C'est le maximum autorisé par la notice de la boîte. De surcroit, cela augmentera le volume d'eau consommé et donc, la sensation de mal-être devrait être moins forte. Le passage du jeûne à l'eau au jeûne sec devrait en être également adouci. Je tenterai également un mini-jogging quotidien afin d'activer les poumons. J'ai perdu deux kilos de plus par rapport à un jeûne à l'eau, je considère donc que deux litres d'eau sont sortis de leur milieu. Cela (ne) fait cinq pour cent du volume liquidien. Tant que de l'eau intra-cellulaire sort, cela me semble amplement suffisant pour que le DMSA agisse pleinement. Il n'est donc absolument pas nécessaire de forcer le jeûne sec en se privant totalement d'eau. Dans le cas d'une intoxication aux ML, le forçage est périlleux et il ne présente aucun interêt car l'élimination est en deçà des toxines mobilisées.

Je confirme que le jeûne n'est pas à faire en dehors des champs d'applications, car ça secoue un peu quand-même. Mais il ne faut pas s'en tenir à la première fois, car les fois suivantes héritent de l'habitude. Je sais que je ne l'aurais pas fait il y a encore un an, je ressentais à l'époque que mon corps était trop faible.

Avant d'aviser sur le jeûne prévu le mois prochain, je vais expérimenter le jeûne intermittent mixte au DMSA pendant les semaines à venir. 

Sophocle

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Message par Sophocle Lun 26 Juil - 22:11

un_ptit_gars a écrit:Très bonnes reflexions que voila...! Smile

Merci Sophocle de partager avec nous ces clés de compréhensions pour le moins intéréssantes! Je recopie tes deux messages dans le sujet dédié au jeune pour qu'ils soient plus visibles.

A bientot,

Pti gars

Sophocle

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Champs d'application des jeûnes

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 22:13

B'hein..., de rien. Écrire dans ton forum trouve sa récompense en soi-même. Ça m'aide beaucoup d'être lu car ça m'oblige à me dire des choses qui sont bien argumentées. Cela m'oblige à plancher sur l'articulation des sous-détails d'exécution de la chélation face aux principes généraux du corps. Surtout, en couchant tout par écrit, cela me permet de répéter mentalement l'exécution de la chélation au moment de la mobilisation par le jeûne. Le problème est de faire se rencontrer le chélateur avec les ML, puis d'éliminer tout ça. Les fenêtres d'échanges entre compartiments liquidiens profonds sont à aligner avec beaucoup de méthode, et comme pour beaucoup de malades, je n'avais jamais pratiqué la naturopathie.

Suite à ton précédent message, j'ai relu les trois pages du forum du retour d'expérience sur le jeûne. Pour le lecteur qui découvre tous les messages de ce forum, il m'a semblé préférable d'exprimer quelques remarques. Les jeûneurs qui donnent leur retour d'expérience dans ce forum ne se sont pas penchés sur la documentation. Surtout, l'objectif n'est pas d'obtenir toutes les vertus du jeûne mais de guérir des ML par les méthodes de jeûnes qui sont les plus sécurisés dans un contexte d'affaiblissement.

- Le jeûne est très déconseillé pour les personnes trop faibles, mais le temps qu'il faudra pour retrouver suffisamment de force peut être mis à contribution pour préparer un jeûne ultérieur : décoction quotidienne de plantes pour renforcer les reins, reforme de l'alimentation en augmentant les vitamines et minéraux assimilables par les légumes, jeûne intermittent à l'eau. Dans mon cas, le jeûne est devenu nécessaire pour peaufiner le travail en profondeur après que les chélations aient perdu de leur efficacité. En outre, ces dispositions préalables au jeûne aideront de toute façon au schmilblick même si aucun jeûne n'était tenté à terme. Le jeûne intermittent à l'eau peut tout à fait être installé pour quelqu'un d'un peu faible (mais qui n'est pas en sous-poids). Par exemple, le jeûne intermittent est utile pour réguler l'insuline. Cela conforte la restauration de la vitalité. Il suffit de commencer avec une plage horaire de courte durée, puis d'allonger la plage horaire. Normalement, les reformes se consolident en habitudes dès trois semaines d'application.

- Pour les personnes en surpoids, il est préférable de régler ce problème avant un jeûne long, sinon il y a un risque de sur-mobilisation des ML dans les tissus adipeux. La résolution du surpoids par un régime alimentaire éliminera les ML au fil de l'eau sans créer un pic de détox. Dans ce cas, il n'est donc pas nécessaire de se lancer dans un jeûne périlleux pour éliminer les ML alors que cela peut être fait en toute quiétude. Un régime alimentaire adéquat est bien plus efficace pour cela car les intestins sont actifs et ils vont procéder à l'élimination des ML. Or dans un jeûne, les ML sont privés de leur unique voie de sortie naturelle par le repos de l'intestin, ces ML vont donc se relocaliser dans le corps avec des éventuels effets secondaires car la concentration au kilo aura augmenté. Il est également bien plus facile de réformer son hygiène de vie que de tenter un jeûne long. De toute façon, il faudra maintenir le régime alimentaire pour conserver un poids correct, donc autant s'affranchir du jeûne dans un premier temps. Avec le régime SGSC, je suis passé de 90 kg à 60 kg en quinze mois, soit 2 kg en moins par mois. Aujourd'hui, je suis totalement stabilisé à 60 kg. Mais avant d'éliminer les 30 kg de tissus adipeux, il faut rétablir une bonne digestion en s'assurant que la chaine Foie->VB->Intestins->Fixation->Élimination fonctionne correctement pour résorber les ML. Même si le ML peuvent être éliminés par les reins via le DMSA, il est quand même préférable de rétablir le bon fonctionnement de la digestion. A la page suivante, il y a un tableau des combinaisons alimentaires pour aider à la digestion :
Les combinaisons alimentaires (ABC naturopathie) (PDF). La fixation se fait par un repas composé à 70 % de légumes avec une cuisson douce, et également avec du cru, de la salade par ex. La constipation demeure un problème qu'il faut nécessairement résoudre par ailleurs (édit oct2019 : pour traiter ce problème, voir post sur purge yogique) . Toutefois et surtout après trente ans, un petit jeûne à l'eau de trois jours (le temps que les urines soient foncées) peut être très utile. C'est peu risqué et c'est payant. Par contre, vis-à-vis des ML et dans le cas de surpoids, le jeûne long est périlleux et sans grand avantage. Le jeûne à l'eau va certes recycler les ML dans les tissus adipeux mais les ML des cellules nerveuses ne seront pas atteintes par cette forme de jeûne. C'est-à-dire que les ML dans les tissus adipeux sont assez neutres (sans symptômes) à coté des effets des ML présents dans les cellules nerveuses. En outre, il risque d'y avoir une augmentation de ML dans les cellules nerveuses à cause de la relocalisation à défaut d'élimination. Dans un jeûne à l'eau, il ne faut pas attendre d'amélioration du coté des symptômes des ML inorganiques. Il me semble plus judicieux de reporter un jeûne à l'eau dans ces conditions. Quant à un jeûne sec en direct, c'est à proscrire, voir les précédents messages. Il est toujours possible de mettre en place un jeûne intermittent avec des plages horaires à la longueur progressive. Cette démarche me semble le plus raisonnable quand les ML se font ressentir. En ultime recours, si la réforme alimentaire ne portait pas ses fruits, il est alors envisageable de tenter un jeûne long pour régénérer les organes et donc réactiver une bonne digestion. Mais cela est à double tranchant à cause de la re-localisation des ML, je prendrai donc du DMSA pour activer la voie rénale. Le problème du jeûne à l'eau, c'est qu'il est difficile de moduler la mobilisation. Le corps semble se placer dans un mode tout ou rien.

- Pour les personnes en sous-poids, il me semble qu'elles sont déjà dans une forme de jeûne.
- La purge des intestins n'est vraiment pas indispensable mais une purge des intestins peut être couplée avec une cure du foie. Ainsi, les calculs sont éliminés, la bonne santé générale en est confortée et la purge des intestins n'est pas perdue. Les calculs biliaires du foie et de la VB sont un problème sournois qu'il me semble nécessaire de traiter pour éliminer cette piste. Sinon on peut se retrouver en errance pendant des années. Si les selles ne sont jamais marron, cela est peut-être un problème de calculs qui bloquent la bile. Évitez d'aller chez le médecin, il préconisera de procéder à une ablation de la VB. Les cures Clark sont là pour ça.

En généralité, je dirai que pour aborder une délocalisation des métaux-lourds par le jeûne, il est préférable de régler au préalable tous les problèmes que le jeûne ne traite pas (exemple : activité physique, bains froid,...). Il est également préférable de passer par des cures autres que le jeûne si les résultats étaient les mêmes (exemples : cures des organes, cure du foie, parasites, régime cétonique,...). Il est aussi possible de mettre en place un jeûne intermittent. Ainsi, le sac et le resac de mouvements liquidiens via le renversement quotidien de l'osmose va homogénéiser la répartition des ions (dont les ML) dans le corps. Les points de densité de ML seront donc dissipés. Le déroulement du jeûne ultérieur en sera aidé. Dans le cas d'un projet de jeûne à l'eau, un jeûne intermittent à l'eau peut être entrepris préalablement, et respectivement pour le jeûne sec. Si ce jeûne intermittent se passait mal, il est à parier que le démarrage du jeûne long soit compliqué. Le cas échéant, le DMSA peut être ajouté pour aider à l'élimination.

Autre sujet, j'ajoute des compléments à mon retour d'expérience du 14 janvier :
- Pendant le jeûne presque sec, les prises de DMSA ont soulagé les légères sensations de brûlure qui s'accroissaient dans les intestins. J'imagine que les ML ont été captées par le DMSA là où le mouvement osmotique les a achalandé.
- Désormais, je n'ai plus la naissance de légères sensations de brûlure au niveau des aires cérébrales proches des oreilles lorsque je mets un casque audio.
- Mes sens me semblent bien plus fluides, c'est-à-dire que je ressens le monde dans une quasi-immédiateté, alors qu'auparavant il y avait un léger décalage.

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Osmose, métabolisme, Cell neurale, milieux aqueux, Snc,

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 22:30

Merci, Pti Gars. J'ai encore un dernier message. Je ne manquerai pas de donner ultérieurement les suites de mon expérience. Sûrement dans un mois environ.

Grâce aux bons résultats de mon dernier jeûne continu au DMSA, je vais établir mon protocole de jeûne intermittent sec comme je l'ai évoqué dans le message du 14 janvier. Pour cela, il me faut rejouer l'articulation d'ensemble des mouvements liquidiens afin de s'appuyer sur eux. Pour ceux qui ont déjà lu les messages précédents, il y aura quelques répétitions, mais ces redites sont inscrites dans un cadre global de la cellule nerveuse face aux enjeux entre-lacés des différentes formes de jeûnes, intermittents et continus, secs et à l'eau.

Avant de se lancer dans les méthodes de jeûne, je vais rappeler ce qui se passe dans un contexte courant dans lequel aucun jeûne n'est observé. Imaginons quelqu'un qui, depuis des années, boit à sa soif et qui s'alimente trois fois par jour. A terme, les cellules du corps s'habituent à recevoir de l'énergie fraiche, immédiatement disponible, et sans interruption. L'énergie étant abondante et de bonne qualité, la partie nécessaire sera consommée. Cette énergie sera systématiquement privilégiée par l'organisme parce quelle aura été fabriquée sur mesure de façon à répondre aux besoins. Tant que l'énergie facile à consommer abonde, la cellule la consomme. La cellule courante demeure dans ce métabolisme, elle ne peut pas faire autrement. Si un surplus d’énergie existait, il sera éliminé, ou à défaut, ce dernier sera stocké. Il existe plusieurs lieux de stocks, le tissu adipeux est certes un lieu de stock, mais l'intérieur de la cellule lui-même en est également un. Au bout de quelques années, des produits non-indispensables s'accumulent à l'intérieur de la cellule. Il en est de même pour les liquides. À force de boire régulièrement, l'effet sur les milieux aqueux sera proche de celui d'une bouteille d'eau déjà pleine qu'on laisse sous le robinet. À terme, l'eau qui est dans le fond de la bouteille ne se renouvelle pas, les déchets flottants finissent par s'accumuler.

C'est en plaçant la cellule courante dans un stress par manque d'énergie qu'elle va faire feu du tout venant qui n'est pas indispensable au bon fonctionnement. Quand le tissu conjonctif est tari des ressources énergétiques, la cellule va donc d'abord chercher de l'énergie à l'intérieur de sa membrane. Tout corps non-indispensable est cassé en de tous petits bouts pour libérer de la chaleur. Une fois consumés, ces petits corps sont définitivement inutiles, puis ils seront ensuite expulsés. La cellule se retrouve ainsi libérée de ses encombrants, elle est donc bien plus réactive, bien plus souple et bien plus disponible. Il faut imaginer ce qu'est qu'une division cellulaire quand des meubles trainent à l'intérieur de la membrane cellulaire. De plus, ces corps sont parfois chimiquement pas très sympathiques, sans compter les ions de ML qui flottent dans le milieu aqueux intérieur à la cellule.

Ce nettoyage n'est qu'une première étape, il s'obtient partiellement par un jeûne intermittent à l'eau ou complètement par un petit jeûne continu à l'eau de trois jours maximum environ. Pendant ce processus, les urines prendront une couleur foncée, brune pour ceux qui n'ont pas fait de jeûne continu de trois jours depuis de nombreuses années. Le jeûne continu et le jeûne intermittent sont un couple de grand entretien et de maintenance qu'il est judicieux d'activer selon les circonstances. Il est opportun d'encadrer un jeûne continu par des jeûnes intermittents, ainsi les tissus sont bien vibrés avant et après la grosse détox du jeûne continu. Par une récurrence quotidienne de mini-jeûnes, on obtient un foisonnement profond. Le mouvement de va et vient quotidien va également lisser les points de densité. Cet encadrement est valable pour les deux catégories de jeûnes, secs ou à l'eau. Pour les personnes trop faibles, il ne faut pas se lancer dans un jeûne continu mais un jeûne intermittent va permettre de remettre le pied à l'étriller.

Quant aux cellules nerveuses, elles sont spécifiques par rapport aux cellules courantes, elles sont indifférentes au stress d'un jeûne à l'eau. Une cellule courante est autonome, elle baigne dans un tissu conjonctif avec lequel on va jouer sur sa décharge en énergie par le jeûne pour provoquer un stress de façon à forcer une détox de métabolisme. Mais une cellule nerveuse est immunisée contre cela car elle est adossée à une cellule de soutien qui lui est dédiée et dont la mission est de réguler l'approvisionnement de la cellule nerveuse de façon à maintenir sa continuité de service. Le jeûne à l'eau (intermittent ou continu) ne présente donc pas de soulagement directs de symptômes sur le Système Nerveux Central (SNC) car les cellules nerveuses sont déjà nettoyées. En effet, une cellule nerveuse dispose déjà de son propre programme d'auto-nettoyage, donc elle n'est normalement pas obstruée par ces corps obsolètes et inutiles. Par ailleurs, pendant un jeûne, le cœur et le cerveau ne perdent presque pas de poids.

Il existe certes une vague de clarification des idées au quatrième jour du premier jeûne continu à l'eau. Cela est dû au changement de carburant entre le glucose et les lipides. Au delà de trois jours de jeûne continu à l'eau, le tout venant en glucose disponible dans les cellules est tari, le corps change alors de métabolisme énergétique et il se replie sur les lipides. Chez une personne saine (non intoxiquée aux ML), la combustion des lipides s'apparente à un baume. Chaque jour de jeûne au delà du troisième jour est l'équivalent du passage continu d'un baume. Plus le jeûne est long, plus le passage du baume est profond.
Mais, ...
Certes, cette phase de jeûne recycle les ML des tissus adipeux d'un intoxiqué, cependant elle risque plutôt de re-contaminer le SNC. Elle est donc à éviter pour un intoxiqué aux ML. Le jeûne continu à l'eau de trois jours et/ou le jeûne intermittent à l'eau demeurent une étape suffisante pour retrouver de la vitalité. Pour un intoxiqué au ML, le jeûne à l'eau au delà de quatre jours n'est pas si utile, il peut même être contre-productif. Voir le message précédent pour y trouver des explications approfondies à propos des conditions exceptionnelles d'application en cas d'intoxication aux ML.

En cas de jeûne intermittent, le métabolisme va lentement déstocker les tissus adipeux. C'est la perte de poids. Il faut donc moduler sa plage horaire adéquate pour moduler la vitesse de fonte des lipides. Au cours du jeûne intermittent, le corps peut demander à changer la longueur de la plage horaire en fonction de l'initiation, de la résorption, de la consolidation et de la sédimentation. Il faut commencer par une petite plage horaire, puis simplement l'allonger si le corps la tolère pendant une à deux semaines. Si des symptômes apparaissaient pendant la perte de poids, le DMSA peut également aider à l'élimination des ML. Il ne faut pas hésiter à réduire la plage horaire si nécessaire. En cas de poids stable, les fonctions naturelles devraient suffire pour traiter le faible flux de ML.

J'observe un jeûne intermittent à l'eau depuis des mois. Je bois à ma soif, sans forcer, ni de façon préventive, mais je veille à ne pas être assoiffé ponctuellement. Avec un système digestif en mode dégradé, il est préférable de placer l'alimentation dans une continuité car le corps a du mal à modifier ses habitudes. Le résultat se voit au niveau du transit. Le corps finira toujours par s'adapter aux changements mais dans le cas d'une intox au ML, la réactivité est bien plus faible. Donc, j'évite les changements brusques et intempestifs.

En temps normal, les cellules nerveuses sont déjà nettoyées, un jeûne à l'eau ne présente donc aucun bénéfice immédiat quand aux symptômes sur le SNC. De surcroit, le jeûne à l'eau ne traite pas les symptômes des ML du SNC car les ML flottent dans le milieu aqueux. Dans un jeûne à l'eau, les milieux aqueux sont maintenus comme dans un cadre d'une alimentation courante. Dans un jeûne à l'eau, les ML présents dans les tissus adipeux seront certes recyclés par consumation des lipides, mais ces ML provoquent peu de symptômes sur le bon fonctionnement du corps car ces tissus sont quasiment inertes. Voir précédents messages pour le traitement de ces tissus. Les symptômes de ML sur le SNC demeurent donc inchangés en dépit de toute forme de jeûne à l'eau. Il en est également de même pour les cellules courantes intoxiquée aux ML. Au final, le jeûne à l'eau ne traite absolument pas directement les symptômes des ML sur l'ensemble du corps. Mais cette étape du jeûne à l'eau est quand même nécessaire afin de passer au traitement des ML du SNC par le jeûne sec, intermittent et/ou continu. En effet, cette étape intermédiaire permet d'éliminer une bonne part des toxines. Ainsi, on va réduire drastiquement l'effet accumulatif que provoque un jeûne sec.

L'ensemble des milieux aqueux représente 60 % du poids total d'un individu, et les milieux aqueux du corps (Plasma, extra-cellulaire, intra-cellulaire) sont des hauts lieux de la ionisation. Ces milieux aqueux fonctionnent comme des poupées russes, ils sont emboités les uns dans les autres et ils sont séparées par des membranes poreuses. Leurs échanges sont régi par la loi d'osmose dont le principe réside dans un mouvement d'eau au travers d'une paroi de façon à équilibrer la concentration ionique des deux cotés de la paroi. Par exemple, si je bois de l'eau, elle va traverser l'intestin (avec ses ML) de la lumière de l'intestin vers le corps pour diluer le milieu aqueux chargé d'ions de l'autre coté de l'intestin. C'est l'hydratation du corps. À contrario et en dépit des volumes d'eau en jeu, si je bois de l'eau très salée, c'est le milieux aqueux de l'autre coté de l'intestin (avec ses ML) qui va s'épancher dans la lumière de l'intestin pour diluer cette eau salée. C'est ainsi que fonctionne une purge intestinale. Ainsi, les milieux aqueux de chaque coté de la paroi finissent à l'équilibre ionique.

Dans le cadre d'une intoxication aux ML, les ions ML sont donc enfouis au fin fond de la dernière poupée russe. Quand les ML sont logés en grand nombre dans le corps, ils vont dépasser les capacités actives (rétro-passives) du corps à les purger. Ces ML vont peut être même perturber le système d'élimination. Ils vont donc s'installer durablement. Ces ions n'ont qu'à se laisser porter pour qu'ils migrent de façon passive jusqu'au noyaux des cellules du SNC. Par l'hydratation, la tendance naturelle des ML est donc de cheminer jusqu'aux cellules les plus profondes.

C'est en inversant cette méthode que les ML vont être expulsés hors de toute cellule. Le moyen d'y parvenir est de provoquer un tarissement de l'eau pour forcer la cellule à se vider afin d’équilibrer les milieux aqueux jusqu'au sang. Par osmose, toutes les cellules sont concernées, y compris les cellules nerveuses du SNC. De nombreux ML vont donc transiter par le sang. Cependant, la nature n'a pas bien prévu l'élimination de nombreux ML par le sang en cas de jeûne, il demeure donc nécessaire de lui donner un petit coup de pouce supplémentaire pour finaliser l'élimination. En effet, sans élimination définitive de ces ML, leur mobilisation au cours de l'application du jeûne demeure vaine. A la reprise de l'hydratation, les ML retourneront de là où ils viennent et les symptômes réapparaitront en majorité.

Au cours du déroulement de la période de jeûne intermittent sec (seize heures dans mon cas), le sang va donc progressivement se charger en ML. Le pic de ML dans le sang se trouve donc à la fin de la période de jeûne. Je vais donc prendre, à jeun et une demie-heure avant le déjeuner, une gélule de DMSA avec un grand volume d'eau tiède. En buvant cette eau, certains ML vont certes reprendre le chemin vers l'intérieur de la cellule, mais une partie sera éliminée à temps par l'ouverture de la voie urinaire grâce au chélateur DMSA.

Pour plus de sécurité au démarrage, j'appliquerai ce jeûne intermittent sec en alternance avec un jeûne intermittent à l'eau. Si la mobilisation était éventuellement trop forte pendant le jeûne intermittent sec, j'avancerai la prise d'eau (avec le DMSA) un peu plus tôt dans la matinée.


Édit, 21 janvier. Premiers retours.
J'ai dû passer au jeûne intermittent sec tous les jours car j'avais du mal à m'y retrouver entre le jour sec, ou le jour à l'eau. Mais J'ai dû réduire la plage horaire (de 16h à 14h) du jeûne intermittent sec quotidien car des symptômes sont apparus : légère fatigue au niveau du buste, fringale compulsive à 19h, sommeil un peu plus long mais un peu moins réparateur, besoin d'une mini-sieste. Cette fringale est étonnante car je n'ai pas changé de régime concernant les aliments solides. Par précaution, je vais prendre une gélule multi-vitamines et multi-minéraux vers 17h. De toute façon, il n'est absolument pas utile de forcer sur le jeûne sec car cela n'augmente pas l'élimination. Je vais planifier la plage horaire d'application sèche de façon à ce que de légers symptômes apparaissent quand-même, ainsi, je serai rassuré parce je saurais ainsi qu'il y aura quand-même une petite mobilisation. Cela incite à croire que le jeûne continu sec n'est pas si utile que ça car les premiers effets du jeûne intermittent sec suffiraient. En outre, l'intermittence permet une application sur plusieurs semaines à la différence du jeûne continu sec. Du fait du débit fuite très lent des os, l'application d'un jeûne intermittent sur plusieurs mois me semble pertinent, alors que la très forte mobilisation au niveau des tissus par jeûne sec continu de trois jours s'apparenterait plutôt à un coup d'épée dans l'eau vis-à-vis des ML. Je me ré-aviserai éventuellement quant à mon prochain jeûne sec continu que j'avais prévu pour le mois prochain au regard des retours longs de ce jeûne intermittent sec sur le SNC. En effet, cette forme continue du jeûne serait sans avantage si l'élimination des ML avait lieu dès une bonne dizaine d'heures de jeûne intermittent sec. Désormais, mes sensibilités au niveau des méninges ont quasiment disparues depuis le début du mois de janvier, y compris quand je secoue fortement la tête. Je ne saurais pas attribuer ce bénéfice au jeûne intermittent ou au jeûne continu (peut-être aux deux) mais cela fait de nombreux mois que ces sensibilités étaient indécrottables. Cependant, j'ai ressens toujours un léger endurcissement de la cognition et de la boîte crânienne, surtout quand je demeure à proximité d'équipements électriques. Je prolongerai ce jeûne tant que des effets bénéfiques apparaitront. J'appréhende un peu la guérison, parce que cela fait douze ans que j'ai ressenti ces symptômes pour la première fois et cela fait six ans que je m'étais installé profondément dans la maladie.




EDIT JUILLET 2021,  - Rappel
Suite à des difficultés à traiter les relocatlisations des toxines par les jeûnes secs, je décommande le jeûne sec.
Cependant, je ne change pas d'avis sur les performances du jeûne humide, notamment pour traiter les cancers agressifs.

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Témoignage mini-jeûne presque sec 48h +Dmsa

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 22:32

Je sors d'un mini-jeûne presque sec avec Dmsa de 48 heures.
C'est mon premier mini-jeûne sec ( plus précisément : presque sec).

J'avais déjà fait un jeûne presque sec de trois jours (72h) mais je l'avais fait dans un protocole complet (3-3-3-3-3). Je n'aurais jamais imaginé que le mini-jeûne était beaucoup moins lourd qu'un jeûne sec placé dans le protocole complet. C'est certes beaucoup moins lourd au niveau de la mise en place, mais c'est beaucoup moins lourd au niveau des symptômes. Je pense que la prise de DMSA avec un peu d'eau toutes les 4 heures à significativement aidé à réduire les effets du jeûne strictement sec. Au final, le jeûne strictement sec de trois jours me semble totalement inapproprié. Cela est beaucoup trop virulent, on est pas mal au ralenti. Un mini-jeûne presque sec de 24h à 36h, 48h grand max, est suffisant. Surtout, c'est facile à multiplier, et on peut tout à fait continuer ses activités.


Voici les symptômes pendant le jeûne :
sensibilités des méninges, qui se rehaussent quand je secoue la tête
légère fatigue
très légères courbatures (ex: j'arrive difficilement à me plier pour lacer mes chaussures)
Légers maux de dos.
léger mal-être (A chaque fois, je me demande pourquoi je me suis lancé dans un jeûne à cause de ce mal-être)
Pas vraiment soif, et pas vraiment faim lors de la rupture du jeûne.

J'ai fait plein de déplacements à pied pendant ce mini-jeûne. J'ai notamment monté la colline du quartier plusieurs fois pour souffler un bon coup.
Je confirme que ça aide bien de marcher pendant le jeûne, car ça désengorge les poumons qui se saturent. Je me suis senti bien mieux après cette mini-rando.

Je crains que les ML ont tendance à se relocaliser dans mon dos car je suis un peu moins souple.
J'ai donc également fait des séance d'échauffement de la colonne vertébrale pour faciliter l'épanchement du liquide céphalo-rachidien.

A la rupture du jeûne, que du bonheur, tous les symptômes apparus disparaissent.

Au global, ça a été payant, je me sens un peu mieux qu'avant. Je parviens à rester devant mon écran d'ordinateur avec de moins en moins de céphalées qui naissent.
Mais j'ai toujours le sentiment d'un durcissement dans le Snc, cependant, il est plus léger. C'est comme un étau qui se desserre tout doucement.


EDIT JUILLET 2021,  - Rappel
Suite à des difficultés à traiter les relocatlisations des toxines par les jeûnes secs, je décommande le jeûne sec.
Cependant, je ne change pas d'avis sur les performances du jeûne humide, notamment pour traiter les cancers agressifs.

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Saturation

Message par Sophocle Lun 26 Juil - 22:33

Cela fait deux soirs de suite que je me retrouve tout poisseux.  :?

Ce n'est pas la première fois que cela m'arrive, et je résolvais ce problème en faisant une séance de sauna sec.
Après la séance de sauna, ce problème était résolu pour quelques temps.
Cependant, la répétition de séances de sauna sec ne m'apportait pas plus de bénéfices qu'une seule séance.  :/
Mais à l'époque, je n'avais pas mis en place le jeûne intermittent sec, seulement à l'eau.
J'ignorais encore tout du couple mobilisation/élimination.

Au cas où les toxines n'aient décidé de faire une procession vers la sortie,
je vais examiner les solutions d'élimination, sport (activité physique endurance/intense), sauna, rando (respiration).

EDIT JUILLET 2021,  - Rappel
Ces désagréments parviennent de la part sèche du jeûne sec.
Suite à des difficultés à traiter les relocatlisations des toxines par les jeûnes secs, je décommande donc le jeûne sec.
Cependant, je ne change pas d'avis sur les performances du jeûne humide, notamment pour traiter les cancers agressifs.
Il est à noter que, en dépit qu'elle soit abondante sur le jeûne humide, je n'ai jamais trouvé de littérature sur le jeûne sec.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:14

un_ptit_gars a écrit:
Sophocle a écrit:Cela fait deux soirs de suite que je me retrouve tout poisseux.  :??:

Salut Sophocle,

Il semble que cette fois ci la mobilisation engendrée ait été largement supérieure a la capacité de d'élimination de ton corps, et ce malgré le DMSA Sad
Si j'ai bien suivi tu as fais un jeune "presque sec" c'est a dire avec juste quelques prises d'eau pour prendre du DMSA toutes les 4h, le tout pendant 48h c'est bien çà?
Tu disais etre mieux a la rupture du jeune, donc c'est suite a cela que tu as senti une augmentation des symptomes?

Pti gars

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:17

Salut Pti gars,


Si j'ai bien suivi tu as fais un jeune "presque sec" c'est a dire avec juste quelques prises d'eau pour prendre du DMSA toutes les 4h, le tout pendant 48h c'est bien çà?

Oui, grosso modo. Pour ne pas se réveiller toutes les 4h au cours de la nuit, il est toujours possible de prendre un peu d'eau (8-12 cl) avant d'aller se coucher, comme ça, la mobilisation est temporisée jusqu'au matin.


Il semble que cette fois ci la mobilisation engendrée ait été largement supérieure a la capacité de d'élimination

Mais ce jeûne a été assez doux à coté du jeûne du début du mois de janvier car j'ai bu plus d'eau, je n'ai pas fait tout le protocole qui est assez lourd, et surtout il a été plus court. Les symptômes ont donc été beaucoup plus atténués. Vraisemblablement, la mobilisation est au quand même rendez-vous. Cependant, il est possible que j'accumule de la mobilisation par la répétition de tous ces jeûnes en un mois (jeûne de 3j, intermittent, mini-jeûne). Un seuil sur un mois a été dépassé.

Je crains qu'il demeure des toxines (pesticides, colles, additifs, travaux de peinture, pollution urbaine,...) que le DMSA ne traite pas mais qui se retrouvent en attente d'élimination dans les tissus cutanés. C'est une hypothèse devant le fait accompli. Je vais lever le pied sur les mini-jeûnes le temps de me pencher sur la question. Je conserve cependant le jeûne intermittent pour que ces toxines demeurent en attente d'élimination. C'est assez facile de provoquer une mobilisation  générale : il suffit de se retenir de boire. Mais pour éliminer ce qui a été mobilisé quand on est intoxiqué au niveau du Snc, c'est une autre paire de manche. Il faut tout activer, les poumons, la peau, et autres. Pour l'instant, je ne vois que du sport et des légumes pour parvenir à cela. Il faut peut-être coupler le jeûne au sport pour assurer la chaine d'élimination. La solution est peut-être de l'activité physique intermittente (marche, poumons) combinée à qq chose de plus soutenu, comme du sauna (transpiration). Le jogging à l'avantage de lier les 2.  Moi, qui n'ai jamais fait de sport, ça va être dur. Avec ces fichus ML, je traine une énorme lassitude - procrastination depuis tant d'années.

Sinon, il est possible que le DMSA n'ait pas un spectre assez large pour les métaux lourds mobilisés. Il faut peut-être le remplacer par un autre chélateur. Cependant, le DMSA est très intéressant car il active les reins. Il faut peut-être le combiner à un autre produit, ala, coriandre. Ou peut-être, il fallait prendre plus de DMSA. Il y a trop de paramètres pour tout tester. Peut-être que je devrais être plus patient, et me limiter au jeune intermittent sec.

Ce qui est sûr, c'est que le DMSA, ça marche, car en décembre, j'avais testé un jeûne intermittent sec par défaut, et donc sans Dmsa, au bout de 15 jours, j'allais pas top.  


Tu disais etre mieux a la rupture du jeune, donc c'est suite a cela que tu as senti une augmentation des symptomes?

Il y a un mieux être juste après la rupture du jeûne:
C'est le Snc qui est un peu soulagé. Les sensibilités permanentes dans la boite crânienne se sont bien apaisées depuis un mois. Il est possible que cela eut été possible grâce aux tissus ordinaires (hors Snc) qui avaient été purgés par les précédent protocoles de détox (clark, cutler) et qu'ils aient été disponibles pour récupérer les ML sortis du liquide céphalo-rachidien.

Mais deux jours après la rupture du jeûne, il y a peut-être ces produits non-ML qui ont migré vers les tissus cutanés. C'est-à-dire que c'est mieux pour le Snc, mais c'est moins bien pour le reste du corps. Au global pour l'instant, c'est transitoirement  mieux car l'objectif est de purger le Snc. Il ne reste plus qu'à éliminer tout ce qui a migré dans le corps.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:17

Après reflexion, cette sudation révèle que les émonctoires sont saturés. Le corps n'a plus que la peau pour éliminer. Je vais donc ralentir le jeûne intermittent sec à 8-10h de plage horaire provisoirement afin de rétablir une bonne fonctionnalité chez tous les autres organes, foie, intestins, poumons. C'est peut-être une constipation naissante, mais le foie a dû quand même beaucoup travailler pendant ces 3 dernières semaines. De toute façon, il lui faut du repos.
Je pense qu'il faut qq jours pour clarifier les émonctoires. Tant pis, les ml et/ou toxines vont s'enfouir dans l'intra-cellulaire, mais là, y'a une anomalie, donc ça va être très rapidement pire Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML !eyemouth. La plage de seize heures de J. Int. sec est trop longue si elle est combinée avec des mini-jeûnes. J'ai touché aux limites de saturation des organes, mais il y a de la marge pour ralentir la mobilation. L'important c'est que ça marche, là ça donne les excès de vitesse de croisière. Les bouillons et lavements du protocole complet semblent pas si inutiles que ça. Je vais établir un protocole allégé avec des bouillons avant et après le mini-jeûne. Et je vais tenter le charbon avant le déjeuner, juste après le DMSA, ça devrait rincer les intestins.
Il faut ralentir le jeûne intermittent sec vis-à-vis de la digestion.
Il faut aussi retablir une bonne digestion avant de se relancer dans ce jeûne. J'ai mon petit programme pour relancer la digeston, alimentation, marche quotidienne de 20min à huit heures du mat, compléments, au pire je fais une cure du foie suivi d'un lavage d'intestins à l'eau. Je vais continuer le jeûne intermittent à l'eau pour bien laver le sang quitte à ce que le mouvement osmotique renvoie les ml/toxines vers le snc. En un mois environ,il y a les sensibilités au niveau des méninges qui ont bien baissé, c'est un très bon résultat. Maintenant, je dois ménager la monture rapidement. Je vais donc prendre des vitamines pour bien fermer la Bhe. J'espère que cela bloquera le retour des ml vers le snc. Puis je vais prendre du chardon-marie, du psylium, du phospho-mag et des probiotiques afin de soulager les émontoires.

Je vais mettre en place aussi un programme sport/sauna pour ne pas etre pris de court pour la prochaine fois.



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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:18

un_ptit_gars a écrit:Merci de ces précisions Sophocle!

Sophocle a écrit:
Je crains qu'il demeure des toxines (pesticides, colles, additifs, travaux de peinture, pollution urbaine,...) que le DMSA ne traite pas mais qui se retrouvent en attente d'élimination dans les tissus cutanés. C'est une hypothèse devant le fait accompli. Je vais lever le pied sur les mini-jeûnes le temps de me pencher sur la question. Je conserve cependant le jeûne intermittent pour que ces toxines demeurent en attente d'élimination. C'est assez facile de provoquer une mobilisation  générale : il suffit de se retenir de boire. Mais pour éliminer ce qui a été mobilisé quand on est intoxiqué au niveau du Snc, c'est une autre paire de manche.

Parfaitement d'accord avec ça: c'est très simple de provoquer une mobilisation, comme tu dis arréter de boire suffit a cela, mais aussi toute actions mécanique assez prolongé sur une zone (massages, kiné, ostéopathie, et), la chaleur également (comme le sauna, et c'est pourquoi personnellemene je ne le recommande pas en tant qu'action d'aide a l'élimination des toxines deja remués: ce dernier en élimine certe via la peau, mais en remet bien d'autres en circulation aussi: tout le monde n'est pas en mesure de gérer ça, selon son niveau préalable de santé actuel), etc.
Toute la difficulté réside dans la capacité a gérer une réelle élimination de ces toxines/métaux sans que ces derniers n'aillent se redéposer ailleurs et faire plus de mal qu'autre chose...la clé majeure du retour a la santé se situe la.


Sinon, il est possible que le DMSA n'ait pas un spectre assez large pour les métaux lourds mobilisés.

Je pense que tu voulais dire "bindé" non? Quel serait l'intéret de vouloir avoir une plus grande mobilisation alors même que tu es deja submergé par la toxicité déplacé par la pression osmotique des célules vers le sang? Le sang chargé de toxines/métaux doit etre nettoyé avec toutes plantes/techniques qui vise a se lier a ces produits toxiques deja présent dans la circulation en vue de leur élimination réelle via les reins ou le complexe foie/bile/intestins... vouloir mobiliser plus dans ces moment la ne me semblerait en rien adapté!

Ca me fait penser que la technique encore très peu utilisé en france "Aphérère/plasmaphérèse" qui vise a filtrer le sang chargé de toxicité, lui passer un filtre nettoyant des impuretés, puis renvoyer ce dernier dans le corps par l'autre bras, pourrait etre réellement optimisé par une mobilisation préalable avec un jeune court sec... a garder en tete pour le jour ou ça ne sera plus réservé a une minorité mais plus démocratisé pour tout le monde (en espérant que ça soit le cas un jour...)


Il faut peut-être le remplacer par un autre chélateur. Cependant, le DMSA est très intéressant car il active les reins

Le DMPS peut etre? A voir s'il ne serait pas plus adapté que le DMSA dans ces moment la... mais la encore on ne parle que des métaux lourds, et je suis également persuadé que la mobilisation engendré par un jeune sec est bien au dela des métaux lourds et que ces autres composés toxiques mobilisés doivent etre aidé dans leur sortie, sinon ça va coincer vite c'est sur.


Il faut peut-être le combiner à un autre produit, ala, coriandre.

De la coriandre?? Oula....mais tu crains rien toi! Wink
La teinture mère de coriandre est un des plus puissant mobilisateur qui soit: ça mobiliser a peu près toutes les toxines et métaux lourds qui soit et remet ce joyeux mélange dans la circulation justement. Alors je dirais que ça peut plutot se subsituer au coté "jeune sec" pour le coté mobilisation, mais surement pas pour permettre de diminuer la charge toxique sanguine lorsque celle ci est deja haute. Moi je serais très prudent sur ce coté la si tu veux mon avis.
Par contre des plantes diurétiques par contre je ne dis pas, ça pourrais etre une bonne idée je pense, a voir plus en détails lesquelles.

A bientot!

Pti gars

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:18

tout le monde n'est pas en mesure de gérer ça, selon son niveau préalable de santé actuel), etc.
En effet, j'ai déjà purgé les tissus ordinaires et le système nerveux périphérique pendant ces deux dernière années. Ces méthodes sortent "carrément" du champ recommandé pour approcher l'élimination des métaux lourds. Comme les cures de premières intentions ne me font plus aucun effet, j'ai donc opté pour secouer le cocotier Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Smiley31 . Mais comme tu le dis, il faut encore que j’ordonnance la dynamique d'élimination des toxines non-ML.


Sinon, il est possible que le DMSA n'ait pas un spectre assez large pour les métaux lourds mobilisés.
Je pense que tu voulais dire "bindé" non?
Oups, ... en effet, si je n'écris pas tous les compléments sous-entendus, la phrase prête à ambiguïté. "Sinon, il est possible que le DMSA n'ait pas un spectre assez large (d'élimination par les reins) pour les métaux lourds (déjà) mobilisés (par le jeûne). De toute manière, je crains que pendant un jeune continu sec, rien ne rentre dans les cellules car elles refluent.

le DMPS peut etre? A voir s'il ne serait pas plus adapté que le DMSA dans ces moment la...
En effet, la diversité ça a du bon. C'est de l’alternance de combinaisons que surgira un spectre large. Le Dmps active la voie urinaire, donc il est éligible comme solution de base. J'ai eu aussi de très bon progrès avec l'Edta, mais cela a été suivi d'une constip' non régulable sans l'arrêt de l'Edta. donc, je l'ai mis de côté pour l'instant. De toute façon, les corps et l'esprit changent avec le temps, je vais donc réactualiser mes principes de base.

mais la encore on ne parle que des métaux lourds, et je suis également persuadé que la mobilisation engendré par un jeune sec est bien au dela des métaux lourds et que ces autres composés toxiques mobilisés doivent etre aidé dans leur sortie, sinon ça va coincer vite c'est sur.

Pour les toxines non traitées par le DMSA, je ne vois que les légumes cellulosique en bouillon ( Blettes, endives, poireaux, fenouil, céleris, haricots verts, salade, condiments, cuisson une heure mini). C'est ce qui est recommandé pour l'application sacerdotale d'un jeûne. Et encore, il ne faudrait pas les mélanger avec des protéines et des lipides afin de ne pas dégrader la cellulose par des enzymes digestives trop agressives. ça peut le faire pour un des deux repas du jeûne int. ça fixera ces toxines, mais il faut accélérer le transit pour endiguer le flux toxique : donc + psyllium + probiotiques + un peu de la rando tous les jours. Cela souligne la pertinence d'un système digestif opérationnel en cas d'un jeûne intermittent, car les toxines vont drastiquement réduire le travail des intestins. En dépit que le volume d'alimentation ne soit pas réduit, je confirme que le transit se ralenti pendant avec le jeune int sec. Si le transit n'est pas au top au moment de rentrer dans le jeune int sec, il ira de mal en pis, et la saturation parviendra rapidement. Il faudrait faire des lavements si le transit ne reprenait pas. Il faut donc accélérer le transit, cela retarde le point de blocage. La rando va aussi désengorger les poumons, c'est un coup compte double, ça va retarder le point de blocage des poumons. Le foie devrait être l'organe qui devrait être le prochain point de blocage, donc je vais prendre du chardon-marie au quotidien, avant, pendant, après le jeûne int.
Cela fait un an que je m'essaye à la naturopathie. Avec ces ML, je ne suis pas à l'abri d'une constipation mais, désormais, il me faut moins de trois jours pour rétablir un bon transit en appliquant un régime strict. Il est bien loin le temps ou j'avais quinze jours de dérégulation dès que je mangeais un morceau de pain. Cependant, je n'ai toujours pas guéri du lait. Si je prends un peu de fromage, Pof, 48 heures après, j'ai une p... de céphalée, je ne comprends plus rien à ce qu'on me dit.


Par contre des plantes diurétiques par contre je ne dis pas, ça pourrais etre une bonne idée je pense, a voir plus en détails lesquelles.
Je prends du frêne et du boulot. Je les prends justement avec la gélule de Dmsa juste avant le déjeuner. En plus, l'eau est chaude, ça aide au foie et à l'imbibation du Dmsa dans le sang.


De la coriandre?? Oula....mais tu crains rien toi!
J'ai jamais osé le dire, mais la coriandre ne m'a jamais fait aucun effet sur le moment. Je pouvais en prendre 2x20 gouttes quand j'étais au plus mal, et rien, que t'chi. C'est pas pour autant qu'elle ne faisait pas son travail de mobilisateur. Maintenant que je sais que j'étais déjà intoxiqué au moment du développement du fœtus, je pense que mon métabolisme est assez désensibilisé quant aux mouvements des métaux lourds. Il y a peut-être d'autres produits que la coriandre pour obtenir le même effet, je ne me suis pas encore penché sur la question.
Une fois que les bénéfices du jeûne int sec se dissipent, j'envisage de prendre de la coriandre pour décaper les métaux lourds organiques, méthyl-ML, neutres électroniquement. Ces méthyl-ML ne sont plus des ions, ils sont donc moins sensibles à la mobilisation du jeûne sec. Dans le cas d'un jeûne, la mobilisation faite par la coriandre ne se relogera pas n'importe où, mais dans les émonctoires. Mais encore faut-il que la coriandre parvienne à rentrer dans la cellule, car dans le cas d'un jeûne sec, je ne vois pas les molécules de coriandre remonter la marée descendante. Je la prendrai donc après le diner, au début de la plage de jeûne intermittent.


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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:19

tout le monde n'est pas en mesure de gérer ça, selon son niveau préalable de santé actuel), etc.
En effet, j'ai déjà purgé les tissus ordinaires et le système nerveux périphérique pendant ces deux dernière années. Ces méthodes sortent "carrément" du champ recommandé pour approcher l'élimination des métaux lourds. Comme les cures de premières intentions ne me font plus aucun effet, j'ai donc opté pour secouer le cocotier. Mais comme tu le dis, il faut encore que j’ordonnance la dynamique d'élimination des toxines non-ML.


Sinon, il est possible que le DMSA n'ait pas un spectre assez large pour les métaux lourds mobilisés.
Je pense que tu voulais dire "bindé" non?
Oups, ... en effet, si je n'écris pas tous les compléments sous-entendus, la phrase prête à ambiguïté. "Sinon, il est possible que le DMSA n'ait pas un spectre assez large (d'élimination par les reins) pour les métaux lourds (déjà) mobilisés (par le jeûne). De toute manière, je crains que pendant un jeune continu sec, rien ne rentre dans les cellules car elles refluent.

le DMPS peut etre? A voir s'il ne serait pas plus adapté que le DMSA dans ces moment la...
En effet, la diversité ça a du bon. C'est de l’alternance de combinaisons que surgira un spectre large. Le Dmps active la voie urinaire, donc il est éligible comme solution de base. J'ai eu aussi de très bon progrès avec l'Edta, mais cela a été suivi d'une constip' non régulable sans l'arrêt de l'Edta. donc, je l'ai mis de côté pour l'instant. De toute façon, les corps et l'esprit changent avec le temps, je vais donc réactualiser mes principes de base.

mais la encore on ne parle que des métaux lourds, et je suis également persuadé que la mobilisation engendré par un jeune sec est bien au dela des métaux lourds et que ces autres composés toxiques mobilisés doivent etre aidé dans leur sortie, sinon ça va coincer vite c'est sur.

Pour les toxines non traitées par le DMSA, je ne vois que les légumes cellulosique en bouillon ( Blettes, endives, poireaux, fenouil, céleris, haricots verts, salade, condiments, cuisson une heure mini). C'est ce qui est recommandé pour l'application sacerdotale d'un jeûne. Et encore, il ne faudrait pas les mélanger avec des protéines et des lipides afin de ne pas dégrader la cellulose par des enzymes digestives trop agressives. ça peut le faire pour un des deux repas du jeûne int. ça fixera ces toxines, mais il faut accélérer le transit pour endiguer le flux toxique : donc + psyllium + probiotiques + un peu de la rando tous les jours. Cela souligne la pertinence d'un système digestif opérationnel en cas d'un jeûne intermittent, car les toxines vont drastiquement réduire le travail des intestins. En dépit que le volume d'alimentation ne soit pas réduit, je confirme que le transit se ralenti pendant avec le jeune int sec. Si le transit n'est pas au top au moment de rentrer dans le jeune int sec, il ira de mal en pis, et la saturation parviendra rapidement. Il faudrait faire des lavements si le transit ne reprenait pas. Il faut donc accélérer le transit, cela retarde le point de blocage. La rando va aussi désengorger les poumons, c'est un coup compte double, ça va retarder le point de blocage des poumons. Le foie devrait être l'organe qui devrait être le prochain point de blocage, donc je vais prendre du chardon-marie au quotidien, avant, pendant, après le jeûne int.
Cela fait un an que je m'essaye à la naturopathie. Avec ces ML, je ne suis pas à l'abri d'une constipation mais, désormais, il me faut moins de trois jours pour rétablir un bon transit en appliquant un régime strict. Il est bien loin le temps ou j'avais quinze jours de dérégulation dès que je mangeais un morceau de pain. Cependant, je n'ai toujours pas guéri du lait. Si je prends un peu de fromage, Pof, 48 heures après, j'ai une p... de céphalée, je ne comprends plus rien à ce qu'on me dit.


Par contre des plantes diurétiques par contre je ne dis pas, ça pourrais etre une bonne idée je pense, a voir plus en détails lesquelles.
Je prends du frêne et du boulot. Je les prends justement avec la gélule de Dmsa juste avant le déjeuner. En plus, l'eau est chaude, ça aide au foie et à l'imbibation du Dmsa dans le sang.


De la coriandre?? Oula....mais tu crains rien toi!
J'ai jamais osé le dire, mais la coriandre ne m'a jamais fait aucun effet sur le moment. Je pouvais en prendre 2x20 gouttes quand j'étais au plus mal, et rien, que t'chi. C'est pas pour autant qu'elle ne faisait pas son travail de mobilisateur. Maintenant que je sais que j'étais déjà intoxiqué au moment du développement du fœtus, je pense que mon métabolisme est assez désensibilisé quant aux mouvements des métaux lourds. Il y a peut-être d'autres produits que la coriandre pour obtenir le même effet, je ne me suis pas encore penché sur la question.
Une fois que les bénéfices du jeûne int sec se dissipent, j'envisage de prendre de la coriandre pour décaper les métaux lourds organiques, méthyl-ML, neutres électroniquement. Ces méthyl-ML ne sont plus des ions, ils sont donc moins sensibles à la mobilisation du jeûne sec. Dans le cas d'un jeûne, la mobilisation faite par la coriandre ne se relogera pas n'importe où, mais dans les émonctoires. Mais encore faut-il que la coriandre parvienne à rentrer dans la cellule, car dans le cas d'un jeûne sec, je ne vois pas les molécules de coriandre remonter la marée descendante. Je la prendrai donc après le diner, au début de la plage de jeûne intermittent.



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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Traitement saturation par clarification

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:26

Cela fait quatre jours que j'ai interrompu le jeûne int sec.
Et ça fait du bien... Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Icon13
Et tout est revenu dans l'ordre. Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Smiley3
En dépit que le système digestif soit au ralenti pendant les phases de jeûnes, y compris int sec, il marche vraiment de mieux en mieux après chaque rupture de jeûne.
Contrairement au jeûne int à l'eau, je constate que le jeûne int sec ne peut pas se maintenir en permanence.
Désormais, Je vais donc l'appliquer en alternance, une semaine oui, une semaine non, pour sans cesse clarifier les émonctoires.
Puis, il serait préférable de faire un mini-jeûne qu'après une clarification, comme ça, la capacité d'accumulation est la plus grande. Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML !hinhin

Je vais donc mettre à jour mon document word et faire un petit paragraphe sur l'optimisation du jeûne.

Bon, c'est bien tout ça mais ça ne me résout pas mon problème de céphalées.
Ça y aidera certes sûrement dans le temps mais, là j'ai pas envie de me tourner les pouces à attendre.
Le problème avec la guérison, c'est que ça ferme la Bhe et que les métaux lourds du Snc se retrouvent ralentis pendant le jeûne...
Les émonctoires se saturent trop vite de toxines avant que le cerveau n'ait vraiment eu le temps se purger.
Le mini-jeûne presque sec est efficace pour l'ordinaire mais,
je me demande si la petite dose d'eau pendant le mini-jeûne presque sec n'atténue pas la force osmotique de façon à laisser le cerveau tranquille.
Comment faire pour prendre du Dmsa sans eau ?
Je vais donc refaire un mini-jeûne sec de 24h ou 36h, mais je vais retarder la prise du Dmsa. Je n'en prendrai qu'à la rupture avec des doses rapprochées toutes les 2 heures pour cueillir tous les ML circulants dans le sang. Je verrai bien ce que ça fait.

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Préparation mini-jeûne strictement sec

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:28

Je vais répéter la préparation du prochain mini-jeûne strictement sec :
Je prévoie un jeûne strictement sec (non presque sec) de 36h avec le Dmsa au moment de la rupture.
Je vais établir une check-list pour qu'elle soit suffisamment complète au cas où j'aurais à la relire dans quelques mois.

Rappel, cette thérapie ne convient pas  No  en cas d'intoxication forte des tissus ordinaires (hors Snc). Si j'en viens à ces techniques, c'est parce que j'ai déjà fait de nombreuses chélations qui ont clarifié les tissus ordinaires. Désormais, ces chélations classiques ne me font plus d'effet bénéfique.

* D'abord, éclaircir les émonctoires  :
Avant le jeûne : une semaine sans jeûne, ni sec, ni intermittent.
Cela permet de retrouver la capacité maximale de stocker des toxines ML et non-ML dans les émonctoires.
Idem après, une semaine sans jeûne sec, y compris intermittent.

* Vérifier si la boite d'Ornithine n'est pas vide (au cas où une insomnie surgissait Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Smiley32 )

* Cure de Chardon-Marie pendant, et après le jeûne (7 jours mini avant et après)

* Plantes : frêne et bouleau. Avant et après

* Psyllium et probiotiques, 2 jours avant et 2 jours après. Cela devrait éviter de se contaminer et aider à une élimination rapide

* Rando pendant le jeûne. Le mieux, c'est de monter une colline pour bien activer les poumons.

* 2 jours avant et 2 jours après, légumes en Bouillons : Blettes, endives, poireaux, fenouil, céleris, haricots verts, salade, et pas de lipides, ni protéines.

* 1 jours après la rupture du jeûne, un sauna sec pour clarifier la peau avant que ça ne remonte dans le Snc.

* Rupture par le DMSA, je prévoie 600mg de Dmsa en six prises, avec une prise par heure pendant six heures. La première prise commencera à la 33è heure, la dernière se fera à la 39è, cela fait 36h de jeûne avec la 36h au milieu de la rupture. Cela fait 6 gélules, c'est la même quantité que si j'en prenais une toutes les quatre heures pour un jeûne presque sec de 36h. Les cinq premières prises seront accompagnées de 8cl d'eau chacune. La sixième et dernière prise sera accompagnée d'un grand volume d'eau pour boucler définitivement le jeûne. ça fait quand-même beaucoup de Dmsa en un laps de temps assez court, je vais donc bien me surveiller pendant cette période, je resterai donc sagement au repos à lire un livre, et au moindre symptôme Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML !eyemouth , j'arrêterai le Dmsa.


Nota :
Il est possible que dans mon cas, ce soit les toxines non-ML qui sont les plus problématiques. Je n'avais jamais surveillé mon alimentation avant cette mésaventure. J'en ai bouffé des cochonneries quand j'étais ado... Je vais donc ne pas me cantonner aux ML. Je suis vraiment content de m'être lancé dans ces jeûnes parce que ça avance bien. Surtout ça avance quand je le souhaite, et ça, ça fait beaucoup de bien, je suis l'acteur de ma guérison. Si j'ai envie de repos, je me le prends. Si j'ai assez de tonus pour faire un mini-jeûne, je le fais, et en qq semaines, les améliorations sont visibles Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Freak4. Surtout, je pense conserver ces techniques à vie, cela va me rassurer pour les vieux jours. Quand je vois les progrès depuis le début de janvier, je suis étonné, je ne m'y attendais pas. Je me souviens qu'à Noël, j'avais encore un léger bourdonnement continu dans la boite crânienne, y compris quand je m'éloignais de l'électricité.  Aujourd'hui, je n'ai quasiment plus de symptômes incommodants quand je demeure loin de l'électricité. Cependant, dès que je remets derrière l'ordi, les céphalées se réactivent...


EDIT JUILLET 2021,  - Rappel
Ces désagréments parviennent de la part sèche du jeûne sec.
Suite à des difficultés à traiter les relocatlisations des toxines par les jeûnes secs, je décommande donc le jeûne sec.
Cependant, je ne change pas d'avis sur les performances du jeûne humide, notamment pour traiter les cancers agressifs.
Il est à noter que, en dépit qu'elle soit abondante sur le jeûne humide, je n'ai jamais trouvé de littérature sur le jeûne sec.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:29

otchoz a écrit:Très intéressant bravo Sophocle.

Un petit bémol pour moi avec la cure du foie qui en fait n'en est pas une. Il y a ceux qui y croit et les autres. J'en ai fait 3 et pour moi c'est juste une purge liée au sel d'epson.
N'étant pas assez courageux pour tester le DMSA, je me prépare à faire mon deuxieme jeune de 5 jours. Et de prendre du charbon activé. J'ai a peu près la même idée que toi ; attraper les cochonneries pendant la détox des lipides.
Mais forcement je me pose des questions :
- Faire une purge le jour 1 : avec des sel d'epson ou un lavement
- Quand commencer à prendre le charbon
- Et le charbon peut t-il rester dans l'intestin et s’accumuler pendant 5 jours
- Y a t il un risque pour la muqueuse intestinal ?


Otchoz

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:29

Merci Otchoz,

- Faire une purge le jour 1 : avec des sel d'epson ou un lavement
D'habitude, c'est le sel d'Epsom qui est systématiquement appliqué à minima. Le sel d'Epsom va purger l'intestin sur toute la longueur, mais pas le lavement. Cependant, les lavements, en plus de la purge, ne sont pas inutiles car leur action mécanique aide à décoller les plaques.

- Quand commencer à prendre le charbon
- Et le charbon peut t-il rester dans l'intestin et s’accumuler pendant 5 jours
- Y a t il un risque pour la muqueuse intestinal ?
J'ai beau retourner le problème dans tous les sens, je n'arrive pas à concilier le charbon avec le jeûne continu. Les toxines sont certes en attente dans l'intestin mais il faut que le flux de selles avance pour les capter, or, par définition, il n'y a ni flux, ni selles (après la purge) pendant le jeûne. Le charbon serait plutôt approprié avec un jeûne intermittent.

- Y a t il un risque pour la muqueuse intestinal ?
Pendant un jeûne, l'état de la langue donne une indication de l'intestin. En cas de surcharge de la langue, il est préférable d'interrompre et de reporter le jeûne. Un jeûne intermittent préalable peut aider à baisser le pic de mobilisation au cours du jeûne continu.

N'étant pas assez courageux pour tester le DMSA
J'ai également eu cette crainte pendant quatre ans. Mais pendant ce temps, les ml ont migré vers le Snc. Et j'ai vachement de mal à m'en débarrasser aujourd'hui. Ce serait dommage de passer à côté de la solution sans l'avoir testée. A contrario du Dmsa, le Dmps ne rentre pas dans les cellules, cela peut peut-être te rassurer.
Pour aborder le Dmps, il est toujours possible d'en prendre une mini-dose unique pour voir les effets, mais il faut bien éviter de le superposer avec un autre produit, genre ALA. Avec le jeûne, il est tout à fait possible de substituer le Dmsa par le Dmps, car il active également la voie urinaire, cela est suffisant pour que la détox ait lieue.

otchoz a écrit:je me prépare à faire mon deuxieme jeune de 5 jours. ... J'ai a peu près la même idée que toi ; attraper les cochonneries pendant la détox des lipides.
Avec 5 jours, je suppose que tu évoques un jeûne à l'eau. Cette étape me semble indispensable avant un jeûne sec, mais elle ne traite que les tissus adipeux, qui ne sont que des tissus presque inertes (neutres). Leur suppression n'apportera pas d'amélioration des symptômes. Attention, sans élimination efficace des ML des tissus adipeux, ils risquent de se relocaliser ailleurs dans le corps, et je ne suis pas convaincu par le charbon dans le cadre d'un jeûne continu... Il ne serait vraiment pas si inutile de faire le test du Dmps (ou du Dmsa) avant ce projet de jeûne. Le jeûne à l'eau ne traite pas les milieux aqueux, or de nombreuses toxines demeurent dans les milieux aqueux, et il n'y a que le jeûne sec pour les atteindre. Dans le post suivant, tous les enjeux de cette forme de jeûne à l'eau y sont décrits : http://www.forum-melodie.fr/phpBB3/viewtopic.php?f=56&t=6410#p114620. Voir le paragraphe du cas des personnes en surpoids (cela n'est certainement pas ton cas, mais le principe de consumation des lipides dans les tissus adipeux est le même). Au delà de 5 jours de jeûne à l'eau, cette forme de jeûne me semble une étape envisageable mais c'est un ultime recours quand tout autre traitement n'a pas réussi à améliorer le système digestif.

Il existe une forme de jeûne qui pourrait se passer de Dmps ou de Dmsa, c'est le jeûne à l'eau alterné dans le cas d'une faible intoxication.
Sur plusieurs mois, un jeûne pratiqué en alternative un jour sur deux (avec un jour alimenté) peut se dispenser du Dmps/Dmsa car les métaux lourds se fixeront dans les selles. Mais pour cela, il est indispensable de disposer d’une digestion impeccable et d’une alimentation riche en végétaux. En cas de système digestif dégradé, prendre du psyllium (pour réguler) et du charbon actif (pour capter les toxines). Mais si les ML ne se fixaient pas dans les selles ou s'ils étaient trop nombreux, alors ils feraient du yoyo dans l'organisme, et là c'est pas bon.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:30

otchoz a écrit:Un grand merci à toi pour avoir pris du temps pour rédiger ce long post.
Tes remarques me parlent bien et sont vraiment pertinente.

Je vais bien réfléchir à tout cela. Et peu être change mon fusil d’épaule et tester le jeune intermittent a l'eau et au charbon.
Par exemple :
jour 1 - Alimentation adapté
jour 2 - jeune à l'eau et prise de charbon, 3 cuillères réparties sur 24h
jour 3 - Alimentation adapté
Jour 4 - jeune à l'eau et prise de charbon, 3 cuillères réparties sur 24h
etc … pendant 3 mois

Du coup pour le jeune intermittent je me demande si une purge tout les 5 jours serai pertinents

J'edit mon post : je rajoute :
les lipides commencent à "rendre" au moment de la cétose. Du coup quand on fait un jeune intermittent, on arrive jamais à l'état de cétose. Du coup, ce n'est pas la même élimination.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:30

Jeûne strit et ML ne font pas bon ménage, hélas
N'est-ce pas l'enseignement tiré du forum mélodie ?
Le jeûne intermittent n'apporte certes pas toutes les vertus du jeûne strict.
Mais mon objectif est d'abord d'éliminer les ML du snc par le jeûne int sec,
quitte à avancer à pas de loup .

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:30

otchoz a écrit:Je te suis à 100 % !
Si le jeune intermittent ne permet pas d'atteindre la cétose, ça doit quand même éliminer a force de taper "petit à petit" dans les lipides.

J'ai tiré énormément de bénéfice de mon premier jeune. Essentiellement sur l'aspect cognitif. Cela dure depuis 10 mois. Aucun changement sur mon EHS mais ça n'a pas empiré.
Je suis bien motivé pour faire des expériences en intermittent avec charbon.
Je n'avais pas fait de purge la première fois, un conseil sur la méthode ou quantité ?

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:50

Si le jeune intermittent ne permet pas d'atteindre la cétose, ça doit quand même éliminer a force de taper "petit à petit" dans les lipides.
Je suis entièrement d'accord. Le jeûne intermittent à l'eau régule l'insuline, qui régule le glucose. S'il y a avait qq kilos superflus, ils devraient être éliminés. Il est également possible d'adapter un régime alimentaire de façon à réduire les réserves lipidiques. Cela me semble préférable à un jeûne car la fonction digestive est conservée pour le même résultat, donc le snc est protégé de la libération des ML contenus dans les reserves lipidiques. 


J'ai tiré énormément de bénéfice de mon premier jeune. Essentiellement sur l'aspect cognitif. Cela dure depuis 10 mois.
Au cours du quatrième jour (environ) du premier jeûne à l'eau, le cerveau fait l'objet de "vagues" de clarification. Cette amélioration parvient de l'effet de baume des corps cétoniques. Ces vagues sont les plus importantes dès l'entrée en action des corps cétoniques au quatrième jour. Mais la répétition des jeûne à l'eau raprochés ne recrée pas de "vagues" supplémentaires. Les vagues réapparaîtront s'il y avait plusieurs années entre deux jeûnes, pendant lesquelles les encombrants métaboliques réinvestissent l'intérieur de la cellule. Cette vague est également ressentie par les personnes qui ne sont pas intoxiquées aux métaux lourds, elle n'est donc pas relative aux métaux lourds. Il demeure néanmoins que les jours de jeûnes à l'eau s'accumulent. C'est-à-dire que le premier jour du second jeûne cétonique apporte autant de bénéfice que si le premier jeûne à l'eau avait été prolongé d'un jour. Réciproquement, trois jeûnes cétoniques d'une semaine font autant de bénéfices qu'un jeûne de trois semaines. Il n'existe donc pas de bénéfice caché au-delà d'une longue période de jeûne.


Aucun changement sur mon EHS mais ça n'a pas empiré.
Si les toxines issues des tissus adipeux étaient bien éliminées, le jeûne à l'eau n'a que très peu d'impact sur les milieux liquidiens, et donc les perturbations, dont l'origine parvient des ions des métaux lourds présents dans le bain aqueux de la cellule, demeurent inchangées. Les symptômes relatifs aux métaux lourds vont donc perdurer. En effet, dans un jeûne à l'eau, les milieux aqueux demeurent quasiment équivalents à un régime alimentaire courant. Néanmoins, le jeûne à l'eau est quand-même préférable avant d'attaquer un jeûne int sec, donc ce n'est pas perdu. Tout est décrit dans le message suivant du 18 janvier : http://www.forum-melodie.fr/phpBB3/viewtopic.php?f=56&t=6410#p114631. Seul le jeûne sec possède le pouvoir de re-larguer l'eau (avec les ML) de l'intérieur des cellules vers le sang. Mais, il existe deux fois plus de liquide dans l'Intra que dans l'extra, donc le sang va vite se retrouver surchargé. C'est pour cela que le jeûne int sec est adapté à une élimination petit à petit. Je mets à jour une synthèse de cette méthode dans le message suivant : http://www.forum-melodie.fr/phpBB3/viewtopic.php?f=30&p=114692#p114690.


Je suis bien motivé pour faire des expériences en intermittent avec charbon.
Super, c'est peut-être aussi efficace que le Dmsa.


Je n'avais pas fait de purge la première fois, un conseil sur la méthode ou quantité ?
Perso, je fais une cure du foie en même temps de la purge des intestins. Et je consulte le forum suivant : http://www.forum-melodie.fr/phpBB3/viewtopic.php?f=70&t=1711

EDIT JUILLET 2021,  - Rappel
Ces désagréments parviennent de la part sèche du jeûne sec.
Suite à des difficultés à traiter les relocatlisations des toxines par les jeûnes secs, je décommande donc le jeûne sec.
Cependant, je ne change pas d'avis sur les performances du jeûne humide, notamment pour traiter les cancers agressifs.
Il est à noter que, en dépit qu'elle soit abondante sur le jeûne humide, je n'ai jamais trouvé de littérature sur le jeûne sec.

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Re: Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 9:52

En sortant du précédant mini-jeûne, j'avais déjà préparé le jeûne suivant de façon à ne pas reproduire les mêmes écueils. Mais je ne m'étais pas rendu compte que la période après un jeûne est suivie de tout un processus. Je ressens comme une déconstruction, puis une reconstruction, et enfin une stabilisation. C'est comme une légère fatigue lancinante mais saine.
J'ai l'impression que les émonctoires évacuent certes leurs toxines accumulées pendant les quelques jours suivants, mais je ressens comme un cycle de reconstruction des organes qui prolonge la clarification. À tout hasard, je vais conforter ce cycle avant de répéter le prochain jeûne. Je vais donc boire bien régulièrement de l'eau tard le soir et tôt le matin sur autant de jours que nécessaire afin de ne pas perturber ce cycle.

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Psyllium et mini-jeûne

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:14

Je sors de mon deuxième mini-jeûne. Cette fois-ci, ça a été un mini-jeûne strictement sec de 36h avec rupture au Dmsa.

Je n'ai eu aucun problème pendant le jeûne. Bonne tonicité, bon mental et j'avais respecté une bonne semaine de clarification. Mais 36 heures, ce n'est plus assez long pour provoquer des désordres métaboliques.

Il faudrait que je trouve plus de temps pour marcher un peu plus longtemps. La prochaine fois, j'irai à la piscine pour augmenter l'effort physique tout en restant dans un sport doux.

Juste avant la rupture, j'ai hésité à faire durer le jeûne, mais je me suis tenu à ce que j'avais prévu. J'ai donc pris le Dmsa avec de l'eau. Tout s'est bien déroulé, les 600g de Dmsa ne sont pas trop mal passés. J'ai peut-être une plus forte capacité à mobiliser les toxines qu'autrui, mais je crains que j'ai également une forte capacité à m'intoxiquer sans m'en apercevoir. Au final, je me sens encore un peu mieux après le jeûne qu'avant. Je continue donc dans cette voie. Comme d'habitude, les progrès perçus Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Icon12 ne sont pas là où je les attends. Il y a des progrès visibles dans les tissus ordinaires, par exemple : le système digestif. Mais, pour le Snc, il y a certes des progrès depuis un certain temps mais je dois comparer mon état à celui dont je me souviens il y a quelques mois. En dépit que les progrès du Snc soient bien réels, je n'ai donc jamais vraiment ressenti une amélioration sur le moment. Il y a trop de perturbations pour acter factuellement une amélioration aussi manifeste que celle de la digestion. De plus, je rencontre cet habituel paradoxe : c'est qu'à chaque fois que je fais des progrès, j'augmente mon temps devant l'ordinateur, et donc, l'inflammation a le temps de grossir et se faire tout autant ressentir. C'est frustrant, et surtout c'est un peu trompeur, ça pourrait faire croire qu'il n'y a pas de progrès.

Je confirme que le transit s'arrête pendant le jeûne. C'est comme si le mouvement péristaltique était initié par l'estomac. Tant que l'estomac est vide, pas de transit. C'est logique quelque part. Cependant, j'ai commencé à ressentir quelques symptômes du jeûne qu'à partir de la fin, à partir de 30h. Ventre noué, gorge sèche, mais pas de mal-être (comme ressenti au long jeûne du début du mois de janvier). Curieusement, ces symptômes sont des moments de soulagement car ça veut dire que peut-être je guéris. Ça fait cinq ans que j'ai mal à la tête, et j'ai hâte de guérir. Cette s... de maladie, c'est comme l'éternité, c'est très long sur la fin. J'aurais voulu prolonger ce jeûne un peu au-delà mais j'ai crains que le contenu du tube digestif ne soit réabsorbé. Cependant, j'avais pris du psyllium deux jours avant le jeûne, et les selles sont demeurées épaisses après le jeûne. Donc le psyllium, ça marche. Je pense que je pourrai prolonger le prochain jeûne un peu plus longtemps Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Smiley40. Trois jours de jeûne sec, c'est chaud, surtout quand les intestins ne sont pas purgés. Mais je vais y aller à tâtons. Normalement, on prévoie une purge des intestins avant un jeûne aussi long, mais je me demande à quelle part le sel d'epsom de la purge participe au mal-être des jours suivants car ce n'est pas anodin comme traitement.

Pour le prochain jeûne, je vais prévoir un mini-jeûne mixé strictement/presque sec jusqu'à 72h. Je ne prendrai pas le Dmsa tant que les symptômes ne sont pas manifestés (vers 36H je suppose). Puis dès que les symptômes vont apparaitre, je vais prendre le Dmsa toutes les 4h avec un petit verre d'eau jusqu'à 72h. Surtout, je vais augmenter les doses de psyllium avant la prise. Au pire, si j'avais un doute, je pourrai rompre le jeûne à 48h ou à 60h.

J'ai déjà fait un jeûne presque sec de 72h au Dmsa au début du mois de janvier. C'était au cours du protocole complet, un 3-3-3-3-3. J'étais pas bien, mal-être, gorge sèche évidement mais irritée et bien rougie. L’irritation ne se ressentait qu'au moment de déglutir Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML !nuts. Je n'aurai pas dû prolonger ce jeûne sec aussi longtemps. Cette fois-ci, je vais bien surveiller le fond de la gorge de façon à ne pas retomber en excès.


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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Empty Sauna sec et mini-jeûne

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:14


J'ai mis en scène le sauna sec dans mon petit protocole.
Je l'ai programmé de façon à en faire une immixtion avec le mini-jeûne.
Petit rappel : là, ça devient de la hard détox, ce n'est donc vraiment pas recommandé Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Smiley202 en début de détox.


En plus de la mobilisation,
le sauna sec présente l'immense l'avantage d'éliminer les toxines par la sueur à condition de respecter scrupuleusement les gestes préconisés.
Il est donc très intéressant après un mini-jeûne car les toxines mobilisées par le jeûne ne sont pas suffisamment éliminées.
Ces toxines sont en attente d'élimination. Si elles n'étaient pas éliminées, elles se retourneront de là où elles viennent.

Gestes du sauna sec :
    Ne pas boire avant le sauna (sinon, c'est cette eau qui ressort et non celle de l'intra).
    Prendre une douche bien chaude avant la première séance, cela ouvre les pores de la peau.
    Entrer dans le sauna. À partir de 5 à 10 minutes, la transpiration sort, c'est le moment de sortir de la cabine et de prendre une douche bien froide.
    Ne pas prolonger la présence dans la cabine au-delà de 15 minutes, sinon on se déminéralise.
    Cela n'a pas d'utilité au niveau détox (selon le prof de sauna).
    Après la douche froide, se reposer autant de temps qu'on est resté dans la cabine.
    Répéter deux fois le sauna, la douche et le repos. Ce qui fait trois tours au total dans la cabine.


Je suppose que la première transpiration élimine l'eau de l'extra.
Puis pendant le repos, l'eau de l'intra sort dans l'extra.
D'ailleurs, on ressent bien le mouvement sous-cutané.
Puis, à la deuxième transpiration, c'est l'eau de l'extra qui était dans l'intra qui sort, et ainsi de suite.

Cependant,
il est toujours possible de combiner les protocoles pour pallier aux problèmes d'une méthode par une autre Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Smiley16.
Le problème du jeûne est le manque d'élimination.
Il faut donc activer les émonctoires.
Avec le sauna, c'est la peau qui fait émonctoire.
La peau est un organe qui pèse quatre kilos, on devrait donc pouvoir y stocker beaucoup de toxines.

Au cours de ma séance de sauna de la semaine dernière,
un jour après un mini-jeûne,
j'ai donc mixé le jeûne intermittent sec avec le sauna sec, puis le Dmsa après le sauna.
C'est-à-dire que :
    j'ai pas bu depuis la veille au soir,
    j'ai été au sauna le matin
    et puis, vers midi, j'ai pris le Dmsa.

Je n'ai absolument pas souffert de toute cette déshydratation Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML Smiley145.
cependant, j'ai pas traîné dans la cabine, dès 10 minutes, j'en sortais.
Je me suis pesé avant et après, et j'ai perdu 750g d'eau environ.


À mon avis, cela doit être aussi efficace qu'une iV,
mais une séance de sauna coute dix fois moins cher,
et, en prime, des toxines mobilisées, que les iV ne traitent pas, sont éliminées.


Édit avr18,
faire un massage d'huile chaude juste avant le sauna.
Voir édit 3 du post sur le panchakarma

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