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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty Jeûner en mangeant

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:19


Jeûner en mangeant ? Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Smiley195
Mais oui, il est possible de jeûner en mangeant, Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Silly
et, en plus,
cela est nécessaire pour éliminer les ML/toxines au cours d'un jeûne sec.
C'est-à-dire qu'on peut obtenir les effets du jeûne sec tout en ne mangeant que des fruits sec.


Je sors de 72h de jeûne sec (+chélateurs en rupture, + sauna sec le lendemain de la rupture, + piscine).
J'avais prévu un jeûne sec strict jusqu'à 48h et puis presque sec jusqu'à 72h.
Mais à 48h, tout allait encore très bien, j'ai donc maintenu le coté strict jusqu'à 72h, et ça s'est déroulé très bien jusqu'aux 72h.

Cette fois-ci, c'est la première fois que ça se passe impec' Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Smiley211 .
Je n'ai eu aucun symptôme qui soit apparu au cours des mini-jeûnes précédents :
ni mal-être, ni gorge desséchée, ni gorge irritée, ni rien d'autre.
Je ne savais pas qu'un jeûne pouvait si bien se dérouler.
J'ai toujours cru qu'on devait bien souffrir pendant un jeûne Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Smiley34.
C'est peut-être la fin du cycle de nettoyage des toxines ?
Ou peut-être, ai-je enfin trouvé la bonne technique de préparation et de réalisation ?
Ou peut-être les deux ?
Toutefois, je ferai encore quelques jeûnes pour confirmer la répétition de ce bon déroulement.

Mais les symptômes du Snc sont toujours là.
J'ai encore ce léger mal de tête permanent, cela demeure agaçant.
Ces céphalées sont comme les pelures et les écailles d'oignons,
à chaque couche ôtée, une nouvelle couche apparaît.
Mais la tendance demeure la bonne.

Je crains qu'il ne soit pas possible d'atteindre directement les toxines du Snc d'un seul coup,
Ce serait trop facile.
C'est que le mode de protection naturelle du Snc doit être très efficace.
Maintenant que les toxines des tissus ordinaires semblent en passe d'être éliminées,
le déstockage des toxines du Snc devrait se faire avec un débit de fuite lent et continu.
Peut-être que cela s'étalera sur plusieurs mois.



Je n'ai pas bu une goutte d'eau pendant 72h,
cependant,
j'étais tracassé par cette histoire d'intestins pas vidés.
Au cours du précédent mini-jeûne, j'avais remarqué que le transit s'arrêtait dès que l'on ne mange plus.
Au cours de ce mini-jeûne-ci, j'ai donc mangé 200g de fruits sec (amandes, noix de cajou,...) après 24h, 48h, eeeeeeet...
Bingo ! Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Smiley207
le mouvement péristaltique s'est déclenché à chaque fois.
C'est une bonne nouvelle car les toxines fixées s'en vont, et les organes sont donc dé-saturés.
D'ailleurs, cette fois-ci, les selles ont été enrobées par une couche de couleur blanchâtre,
C'est que les intestins ont peut-être filtré les toxines du sang et ils les auraient déposées autour des selles.


Du coup, les purges des intestins recommandées en cas de jeûne sec seraient peut-être contre-productives.
Pour moi, ces purges sont éventuellement utiles quand on veut faire un long et doux jeûne à l'eau,
mais pas pour un jeûne sec détoxiquant prétendu violent.
Si l'on a un transit pas trop erratique, il ne faut pas purger les intestins afin de conserver un support sur lequel déposer les toxines,
Pour aider à cela, le psyllium régule le transit et il permet également d'éviter la ré-absorbtion.


Il ne reste donc plus qu'a faire avancer le transit sans boire d'eau.


Comme il n'y a que 4g d'eau pour 100g de noix de cajou,
et en dépit des 400g de fruits secs qui ont été ingérés,
je considère que le renversement osmotique a été maintenu.
Quant au jeûne métabolique, lui, il a été certes rompu,
mais comme mon objectif est d'éliminer les ML,
il n'est donc pas nécessaire d'assurer le jeûne métabolique.
Or, pour traiter les ions des ML et les toxines non-métaboliques, seule la privation d'eau est suffisante.
L'évacuation des selles devient donc prioritaire afin d'éliminer rapidement la très forte surcharge de toxines mobilisées.
Tout ce qui ralenti l'élimination doit être discriminé, quitte à rompre l'inutile jeûne métabolique si cela aidait à l'élimination.


Le psyllium a encore bien marché cette fois-ci. Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Clap Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Clap Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Clap
Dans ce cas de mini-jeûne,
le psyllium me semble plus opportun que le charbon car il est important que le transit soit régulé.
Sans une bonne régulation du transit,
le charbon ne me semble pas si opérant.
Surtout, le charbon à tendance à constiper,
et donc, il ne joue pas le jeu de l'élimination.
Son rapport avantage/désavantage est donc à apprécier finement selon le transit.
Si les selles faisaient bien le travail de binders si elles étaient régulées, on pourrait se passer du charbon.
En plus d'initier le mouvement péristaltique, les amandes et autres noix sont très riches en fibres qui fixent les ML.
Il me semble donc préférable d'essayer le psyllium en première intention vis-à-vis du charbon.


Tous ces jeûnes montrent l'enchâssement des progrès dans le long terme :
Certes, il faut un système digestif efficace pour éliminer.
Or, quand on est intoxiqué aux ML, le système digestif est (très) perturbé.
Mais à chaque mini-jeûne, le système digestif s'améliore un peu.
De mini-jeûnes en mini-jeûnes, les bénéfices tant clamés par le jeûne finissent par parvenir.


Quant à la rupture de ce jeûne-ci, j'ai pris Dmsa+Ala, puis Dmsa+Edta, puis Dmsa+Msm.
C'est difficile de dire, comme ça, si c'est mieux que le Dmsa tout seul.
(Il faudrait aussi que j'essaie avec le Dmps, mais je n'en ai pas en stock)
Édit 25 fév: Puisque les toxines ont été directement éliminées,
je me demande si, désormais, je ne pourrai pas me passer des chélateurs.



Sophocle

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty Re: Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:19

gogote a écrit:Super ces retours, merci à toi, je te lis avec attention.

Pour ma part, après beaucoup de documentations m'étant lancé ces derniers jours dans un jeûne, je pense effectivement que le but de celui-ci, cf son nom, et bien ce n'est pas d'y apporter autre chose. Donc pas de compléments ou de chélateurs, qui risquent même de perturber les fonctions relancées par l'organisme durant le jeûne. Si le corps a envie et besoin de créer de l'ALA pour détox, il le fera lui-même.

J'entame mon 4eme jour de jeûne, et c'est en tout cas une expérience fabuleuse pour l'instant, d'autant que j'étais dans un état déplorable, sans plus pouvoir rien ingurgité. Quiconque m'aurait contredit de jeûner dans cet état et avec ce poids. Au final, c'est le meilleur choix que j'ai fait. Je vais voir si j'arrive à 5 jours, le but étant à visée thérapeutique, mais je ne peux pas y aller trop fort pour un premier test.

Déjà que j'ai effectué un jeûne d'une journée, coupée par des fruits et du gras, ça a été catastrophique, car trop de sucre d'un coup, et que le processus de detox venait de commencer. Cette fois, je reprendrais tout doux avec des légumes et éventuellement quelques jus verts.

Pour les métaux lourds, qui est ma principale problématique, et bien j'ignore encore qui est le mieux entre jeûne court et long. En fait, je pense qu'il n'y a pas de mieux, tout dépend de ton état. Le but, c'est de jeûner sur le long terme, tout simplement, non pas via le jeûne long, mais via un jeûne de quelques jours par exemple, mais avec une reprise alimentaire adaptée à ton état et à ton désir de guérison. Tous les signaux d'alarmes sont équivoques. C'est ce que je vais mettre en place à la fin du miens. Un repas le soir sur une plage horaire, afin d'observer comment mon corps gère l'après, et s'il est encore beaucoup encrassé. Auquel cas, je repartirai sur plusieurs jeûnes courts. Pour la petite histoire, j'ai immédiatement repris le jeûne après cette mauvaise expérience de manger. Tous les signaux étaient présents : les intestins sont toujours totalement HS.

Il y aurait beaucoup à dire, j'en reparlerai sur mon topic, mais si les métaux lourds sont de partout et en excès, le corps ira vite les capter quoiqu'il en soi. Ce sera peut-être plus long pour d'autres selon ou ils sont. J'en conclue qu'il y a d'autres priorités pour le corps, d'autres alarmes avant cela, ou des processus à relancer parfaitement pour prendre le risque de les déloger tout de suite. Au plaisir de lire tes prochaines expériences.

Sophocle

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty Re: Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:19

Merci pour ton message.
Je lis également ton topic, et je suis content d'entendre ces bonnes nouvelles.

L'écriture fait parti de la guérison. Cela me fait beaucoup de bien.
C'est cette intoxication qui m'a mis à l'écriture, et j'en suis heureux.
Avant même de rechercher une solution, rien que de définir quel est le problème est toute une aventure.
La possibilité de relire ce qui s'est passé au cours du précédent jeûne me conforte dans mon avancement.
Puis je rebondis, car la solution parvient une semaine après la rédaction du problème.
Elle parvient justement au moment de la relecture avant préparation du jeûne suivant.
Heureusement que le forum mélodie existe !

J'ai dû faire mes premiers jeûnes il y a un an et demi.
5 jours + 15 jours à l'eau.
Mais je n'avais pas réitéré les jeûnes jusqu'à présent.
Je me souviens que ça n'avait pas traité les symptômes dominants et permanents des ML,
mais, depuis ces jeûnes, je n'ai fait plus aucune crise de quoi que ce soit (arythmies, transpirations, perte de connaissance,... ).
Les bénéfices n'étaient pas apparus sur le moment, mais par contraste avant/après le jeûne.
Mes crises n'étaient pas fréquentes, elles étaient occasionnelles.
Il m'a donc fallu du temps pour m’apercevoir des réels bénéfices.
Il me semble avoir tenu un petit carnet d'avancement que je n'arrive pas à retrouver.
Mais je me rappelle que j'ai galéré.
J'étais tiraillé par la faim et par l'ignorance si cet état était (a)normal.
La reprise était également toute une angoisse.
Il y a tout un processus mental qui accompagne les premiers jeûnes.
Mais bonant malant, on finit par se constituer un catalogue de réflexes,
puis par ne plus être surpris par ce qui se passe.

En effet, les alarmes sont équivoques.
On est dans un entre-deux, bien tiraillé entre les sensibilités du jeûne et un apaisement par ailleurs.
Chaque minute porte le lourd poids du questionnement.
On est comme balloté entre les réactions en chaine du jeûne et le soulagement général que crient les cellules.

D'ailleurs, c'est comme ça que j'ai su que je pouvais guérir,
car les symptômes permanents hors jeûnes se taisaient pendant le jeûne sec.

Maintenant que je suis à l'aise avec le jeûne, je vais tenter de m'attaquer à la Bhe,
La nature a dû bien prévoir une astuce pour que le Snc se désintoxique un peu plus rapidement...


Sophocle

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty Cure sèche et prospective Snc.

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:20

Je sors de trois jours de mini-"jeûne" sec mais alimentés.
C'est la deuxième fois que je pratique cette formule.
Tout comme la dernière fois, je n'ai eu aucun symptôme,
La gorge était certes un peu sèche mais elle n'était pas desséchée.
Comme à chaque sortie de jeûne,
il y a un peu plus de sensibilité qui revient, et un peu moins de bruit qui perturbe.
Mais cette progression a tendance à s'estomper.
Je devrais peut-être prévoir une période plus longue, quatre à cinq jours.

Cette fois-ci, j'ai recherché à éliminer uniquement par le mouvement péristaltique.
Donc pas de sauna sec, ni chélateur. Ni purge, comme d'hab.

Les fruits secs, ça gave un peu.
J'ai donc mangé des tartines (sans gluten), des terrines, des chips, et un peu de chocolat.
Certains de ces produits sont certes un peu chargés en eau, mais ils mobilisent beaucoup d'eau pour la digestion.
En dépit de cette eau, l'osmose est donc bien demeurée inversée.


Comme attendu, le mouvement péristaltique s'est enclenché.
Mais cette fois-ci, il n'y a pas eu d'enrobé de couleur blanchâtre.
Peut-être parce que je n'ai pas pris les chélateurs dont le contenu de la gélule est justement une poudre de couleur blanchâtre.
C'est-à-dire qu'il est possible que, lors du précédent mini-jeûne,
ce soit les chélateurs, qui à peine avalés, se sont directement retrouvés en check-out au niveau du colon via le sang.



En dépit de quelques recherches sur internet,
je n'ai pas trouvé grand chose sur cette forme de "jeûne".
D'ailleurs, cette cure n'est pas vraiment un jeûne, puisque des aliments sont consommés. :sarcastic:
L'expression "jeûne sec" est un abus de langage pour cette forme de cure, cet abus est bien trop fort pour le conserver.
Il s'agit plutôt d'une déshydratation intra-cellulaire avec la solution d'élimination digestive de la mobilisation des toxines.
En attendant mieux, je vais me replier sur une cure d' "alimentation sèche", ou tout simplement "cure sèche".

Cette cure d'alimentation sèche est la symétrie solide Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Bele du jeûne liquide Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Bele,
en effet, lors du jeûne à l'eau,
ce sont les reins qui éliminent les déchets métaboliques des cellules par la privation d'aliments solides,
et lors de cette cure solide,
c'est l'intestin qui élimine les déchets en suspension dans les compartiments liquidiens par la privation d'eau.

Édit, paragraphe ajouté :
C'est-à-dire que, lorsqu'on se prive d'eau ou (un "ou" strict, pas un "et/ou") d'aliments,
la nature a fait en sorte qu'il y ait certes une mobilisation par la voie qui fait l'objet d'une privation,
mais elle fait également l'élimination de circonstance par la voie qui ne fait pas l'objet de privation.
Ce mécanisme n'est pas propre au jeûne long ou à la cure sèche longue,
il se met en place dès la douzième heure environ de privation.
Il rentre donc dans une stratégie quotidienne (qui sera posté juste après ce post-ci) qui s'active automatiquement la nuit.
En théorie, on ne devrait pas avoir à faire de longs jeûnes ou de longues cures si cette stratégie était appliquée à l'année.




En plus, le jeûne à l'eau répare les organes qui ont rendu un important service pendant la cure d'alimentation sèche.
Il y a donc un effet complémentaire entre l'un et l'autre.
Je vais donc me planifier un petit jeûne à l'eau prochainement,
car ça fait de nombreuses mobilisations corrosives à la suite que j'inflige à mes organes.



Toutefois, les effets de la cure d'alimentation sèche sont bien les mêmes que ceux d'un jeûne sec, auxquels il faut ôter les effets du jeûne à l'eau.
Je m'empresse d'ajouter que l'alimentation demeure éventuellement préférable pour éliminer la très forte mobilisation.
En cela, cette cure d'alimentation sèche est bien plus pérenne qu'un vrai jeûne sec.
Désormais, je ne voie pas l'avantage de superposer une privation d'eau à une privation de nourriture.
C'est-à-dire, que par un jeûne sec,
j'ai créé un désordre inutile que j'ai tenté de résoudre par des moyens partiels, non immédiats et corrosifs (purges, sauna, chélation) tout en m'exposant à la sur-mobilisation.
C'est peut-être pour cela que j'ai tant souffert pendant les jeûnes secs.
Les purges, la chélation ou le sauna sec ne sont que des solutions palliatives à défaut de la vraie élimination par les intestins prévue naturellement pour cela.
Désormais, le "vrai" jeûne sec (ni manger, ni boire) ne me semble envisageable uniquement qu'en ultime recours que si le système digestif était trop erratique.
Mais il y a d'autres priorités à tenter au préalable.
Par exemple, le jeûne long à l'eau de quinze jours est intéressant pour rétablir un début de digestion.
Et encore, il est toujours possible de tenter de réguler le système digestif par la réforme alimentaire, ou par du psyllium et des légumes pendant les quelques jours précédent la cure.
Surtout, les fruits sont à éviter pendant les périodes avant/après un jeûne, car ils ne demandent qu'à fermenter (voir post sur le régime alimentaire un peu plus haut).
À la lumière de cela, le jeûne sec, tel qu'il est préconisé dans les règles de l'art (ni manger ni boire), ne me semble vraiment pas optimisé. Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Smiley28
Peut-être y a-t-il des phénomènes qui se créent uniquement au moment de la double privation d'eau et de nourriture ?
Mais en tout cas, les effets de la cure d'alimentation sèche demeure valable et préférable pour traiter les ML et les toxines relatives aux milieux aqueux.



En plus, je deviens un peu sceptique devant tout le tintouin des purges pré- et post-jeûne recommandées par les règles de l'art,
car ce sont bien les selles en mouvement qui est justement prévu par la nature pour récolter les toxines déposées au bord intérieur du colon lors du renversement de l'osmose.
Il y a certes de réels bénéfices propres aux purges (constip', parasites, vers,...) mais ça devrait être un ultime recours en cas de jeûne.


Prospective sur le Snc :
Comme je n'ai souffert d'aucune fatigue ni physique ni morale pendant la cure d'alimentation sèche,
la nature m'invite donc à faire du sport.
En effet, je n'ai fait aucun sport pendant ces dernières années,
car j'étais pas en forme et j'étais comme pris par une suffocation dès que je commençais un mini-jogging.
Toute activité sportive était vaine et compromise d'avance.
Avec tous ces jeûnes, cette suffocation se dissipe peu à peu.
Mais il faut que je me reconstitue un souffle de sportif.
De part son inertie, je dirai que la randonnée Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Smiley213 avec du relief serait l'activité la plus appropriée.
Je vais donc tenter de renforcer le réseau de capillaires en le sollicitant métaboliquement sur la longue durée.
Pour l'instant, je vais prévoir des randonnées à la journée pour amorcer la pompe.
Comme le cerveau possède un duvet d'astrocytes très épais, très protecteur, il est peu sensible au jeûne ou à la cure sèche.
En cas d'intoxication de ce duvet, il serait très difficile de le traiter par le jeûne et la cure sèche dont les effets portent prioritairement sur les tissus ordinaires.
C'est à dire que les organes des tissus courants tombent dans des états limites avant que le Snc ait le temps de se desintoxiquer.
Il faudrait appliquer un stress continu sur du long terme pour à peine commencer à secouer le cocotier.
Il faudrait donc une rando en montagne de plusieurs semaines pour bien travailler en profondeur.
La pression vasculaire continue et le renversement osmotique continu auront peut-être raison des derniers ions ML qui trainent dans le Snc.
Ce n'est qu'une hypothèse, encore faut-il que je me penche sur les facteurs limitants, du style le foie.
La solution serait d'eliminer toutes les toxines des tissus courants, ainsi, le foie serait encore au top dès que ce procédé atteint le Snc.
J'aviserai au moment de la rando si je m'amuse à stresser un peu plus le cerveau par la privation d'eau ou de nourriture.
Un marathon et non un sprint, comme le dit l'e-book !
Cependant, deux heures de rando quotidiennes auraient à terme théoriquement le même effet.


Édit, un paragraphe a été ajouté au milieu du message, il est repéré en italique.

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty Préservation des bienfaits du jeûne à l'eau et de la cure sèche

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:20


Je vais échafauder une stratégie annuelle de l'alimentation par intermittence de façon à minimiser le recours aux jeûnes longs et fastidieux.
Cela me permettra de conserver les bienfaits des jeûnes et des cures le plus longtemps possible.
Cela permettra également de me préserver de futures intoxications chroniques.


Détail des actions :
    - Clarification : Pas de jeûne, ni de cure sèche. Petit-déjeuner, déjeuner, dîner. boire régulièrement, tôt le matin et tard le soir.
    - Jeûne intermittent à l'eau : boire régulièrement, tôt le matin et tard le soir. Pas de petit-déjeuner. Déjeuner et Dîner.
    - Cure d'alimentation sèche intermittente : Pas d'eau du dîner au déjeuner du lendemain. Un petit-déjeuner sec et copieux de façon à initier le mouvement péristaltique avant le déjeuner. Déjeuner et Dîner.


Rotations routinières :
    Semaines 1 et 2 du mois : Clarification.
    Semaine 3 : Cure d'alimentation sèche intermittente.
    Semaine 4 : Jeûne intermittent à l'eau.
    Semaines 1 et 2 du mois suivant : Clarification.
    Semaine 3 : ...


Il ne s'agit que d'un calendrier de départ, il conviendra d'ajuster les longueurs des plages d'application selon le retour d'expérience.
Comme la mobilisation et l'élimination des toxines liquides ou solides ne sont pas conciliables en même temps,
il faut appliquer le jeûne à l'eau intermittent et la cure d'alimentation sèche intermittente par des rotations.
Cependant, la cure sèche doit être limitée dans le temps car les organes satureraient si cette cure était continue.
Mais quant au jeûne intermittent à l'eau, il n'a pas de raison d'être appliqué en permanence si une semaine d'application était suffisante.
Toutefois, en cas de régulation du poids, le jeûne intermittent à l'eau peut-être appliqué de façon continue, en théorie, il n'y a pas de contre-indication.
Si le poids était correct avec un jeûne intermittent à l'eau en continu, il n'y a pas non-plus de contre-indication pour le maintenir en continu.
Au contraire, cela devrait initier l'effet de baume des corps cétoniques.

Il me semble qu'il est préférable de placer le jeûne intermittent à l'eau après la cure d'alimentation sèche afin d'aider à la régénération des organes qui ont été bien sollicités pendant la cure sèche.
Pour bien vibrer le tout, j'ajouterai un peu de marche à pied (15-20 min) le matin ou, au mieux, juste avant le mouvement péristaltique.




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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty fin de mes expériences sur le jeûne

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:26

Je crois que j'arrive vers la fin de mes expériences sur le jeûne.
J'aurais fait de bon progrès sur le Snc, mais les céphalées ne sont pas encore définitivement parties.
Surtout, les progrès ont lieu là où je ne les attendais pas, c'est-à-dire au niveau de la digestion.
Il faut encore que je prenne patience, les céphalées devraient quand même se dissiper tout doucement.
Mais je crois que je suis parvenu à la fin du récit de toutes mes astuces.
Je serai donc un peu moins présent, mais
je réponds volontiers à toute question, y compris si elle parvenait ultérieurement.
Bien sûr, je consulterai souvent le forum mélodie, et je me suis mis une petite alerte mail au cas où un message était déposé sur mon topic.
Si je parviennais à résoudre ce problème de céphalées à un moment ou à un autre, je prendrai évidement ma plume pour le raconter ici.
J'ai de bons espoir avec les randonnées, mais c'est pas facile à mettre en place régulièrement.
Je vais essayer de m'en planifier une grande cet été.
Pour l'instant, je pense me rabattre sur la piscine car il y a en une juste à côté de chez moi.
Petit à petit, je retrouve du souffle sans que la suffocation ne me force rapidement à renoncer à poursuivre l'effort.
Je ne fais pas encore le kilomètre, mais j'ai bon espoir d'y parvenir dans quelques semaines.
Merci au forum, il est comme une compagnie chaleureuse qui participe à la guérison.
À bientôt.

Sophocle

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty BOIRE et DÉTOX

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:26



Me revoilà. Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Smiley179
Je ne suis toujours pas satisfait  Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Smiley89 de mon rythme d'application des périodes de cures sèches.
En effet, le jeûne intermittent sec n'est pas suffisamment long pour désintoxiquer parce que il faut douze heures avant que le renversement osmotique ne se fasse. Comme la plage d'action de ne pas boire est de seize heures, il ne reste donc que quatre heures quotidiennes pour que la détox soit efficiente, soit : 4x7=28h hebdomadaires (16% de la semaine).
De l'autre côté, les trois jours continus et hebdomadaires sont un peu fastidieux, surtout vers la fin.

J'ai donc concocté un planning hebdomadaire qui permet de pratiquer 72h (40% de la semaine) de cure sèche hebdomadairement en les fragmentant par plages de 24h.
Cela permet de raccourcir les périodes de cure sèche mais le rythme est encore soutenu.
Ce planning essaie donc de concilier les cycles physiologiques suivants :


    • alternance flux / reflux des cellules,• alternance des concentrations des compartiments liquidiens,• alternance ressourcement / corrosion  des émonctoires,• alternance saturation / désaturation des émonctoires,• Et élimination rapide et naturelle de toutes les toxines mobilisées.



Il faut encore que je vois si ce calendrier est tenable à la longue.
Si non, je pourrai toujours sauter une cure sèche ou diminuer les plages de cures sèches.

Voici le calendrier :
Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 File
Légende:
L=Lundi, M=Mardi/Mercredi, J=Jeudi....
L12=Lundi à 12h, ..., J20= Jeudi à 20h,...

COURBE BLEUE = Action de boire (0= ne pas boire, 100= boire)
COURBE ROUGE = Période de détox (0=pas de détox, 100=détox)
Pour le bord droit, il convient de le rattacher au bord gauche, il y a donc une reprise d'eau le dimanche à 20h.


Il également possible d'ajouter d'autres cycles physiologiques en cessant de manger (jeûne à l'eau).


    • alternance reins / intestins,• alternance flux nutriments / déchets,• alternance détox des toxines métaboliques / solubles.


Si je pratique le jeûne à l'eau, je le pratiquerai de façon à ne pas le superposer avec la cure sèche.
Je commence à croire que le jeûne ni manger, ni boire est une vraie connerie quand le système digestif n'est pas trop erratique.
Si je cesse de manger, je le ferai donc uniquement aux horaires où la courbe bleue est en haut.
J'envisage de cesser de manger si les émonctoires nécessitaient un petit repos à cause de la corrosion provoquée par la cure sèche.
Sinon, je pourrai toujours sauter une cure sèche, cela aidera les émonctoires à se reconstruire et à se désaturer de toxines grâce à une plage hydratée allongée.


Pour une détox soutenue, la multitude de paramètres est vraiment complexe. Parce que si je fais une cure sèche bien longue, il faut une période de récup toute aussi longue. La cure sèche longue est intéressante car j'économise les 12h d'attente avant inversion de l'osmose. Mais, la cure sèche prolongée affaiblie fortement les émonctoires. Il ne faut ni du trop, ni du pas assez.
Il y a donc une combinatoire subtile entre :


    • profondeur de l'intoxication,• longueur de la cure sèche,• répétition de la cure sèche,• préservation des émonctoires.

Sophocle

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty Hydratation et intoxication.

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:32



Je souhaite donc faire le point sur l'hydratation ordinaire,
car je crois qu'une mauvaise gestion de l'approvisionnement en eau est la cause majeure de la diffusion des métaux lourds dans le corps.
Il faut évidement boire une eau décontaminée,
mais cela est insuffisant en cas de présence de métaux lourds dans le corps.
En cas d'intoxication, il me semble qu'il convient d'adopter une stratégie hydrique.

Je dirais que l'on peut cantonner les métaux lourds en veillant à ce que le corps soit toujours très hydraté.
Ainsi, les métaux lourds qui flottent dans les milieux aqueux ne migrent pas ou peu car l'eau intracellulaire demeure peu mobile.
Pour être toujours bien hydraté, il faudrait boire régulièrement dans la journée, tôt le matin et tard le soir.
Il faut boire de façon à ce que les urines soient régulières, continues et presque abondantes.
Ainsi, toutes les cellules, y compris les plus profondes dans le Snc, sont arrosées en continu.
Le surplus ne pose pas de problème car il sera éliminé par les reins.
Il me semble que bien boire régulièrement est ainsi une mesure de protection contre la progression de l'intoxication.

J'ai remarqué que, après une cure sèche de 72h, il me fallait bien 48h ou plus pour bien me réhydrater complètement.
Quand je me réhydrate après une cure sèche, je ressens comme une légère tension à peine perceptible dans les tissus.
Il faut être au repos pour bien distinguer cette tension du léger bruissement dans lequel se trouve le corps.
(Cela se ressent très aisément pendant les dix minutes après le sauna sec.)
Mais quand l'eau traverse les membranes cellulaires au moment de la réhydratation, cela se ressent quand on y prête attention.
Mais le premier indicateur est la gorge.
En effet, j'ai beau boire abondamment lors de la rupture de la cure sèche,
la gorge demeure de moins en moins sèche pendant 48h.

Boire juste quand on a soif, ce serait, selon moi, la cause de la diffusion des métaux lourds.
En buvant de façon irrégulière, ce serait relarguer les métaux lourds de leurs points de densité.
Je crains que de boire juste quand la soif se fait ressentir, c'est justement la mise en résonance du mouvement de diffusion des métaux lourds.
C'est-à-dire que quand le corps se sent un peu déshydraté, les métaux lourds ont déjà migré de l'intra vers l'extra par les lois de pressions osmotiques et de diffusions ioniques pour l'équilibre des solutés.
Pendant cette courte période de déshydratation, les ML prennent donc le chemin vers les intestins, mais il leurs faut plusieurs heures avant d'y parvenir.
Puis, quand on étanche sa soif en buvant un bon coup, on fait alors rentrer les métaux lourds dans l'intra de la cellule à proximité du métal lourds avant que les métaux lourds n'aient encore atteint les intestins.
Ainsi, par ce mouvement d'eau en yoyo, les métaux lourds stockés en grand nombre dans les racines des dents se mettent en branle et regagnent l'ensemble du corps.
Ce cycle 'hydratation-déshydratation-hydratation-déshydratation' dans une même journée serait donc, pour moi, le cofacteur majeur de la diffusion des métaux lourds.
De plus, le mercure dentaire est placé derrière la Bhe, avec le cerveau.
Pour qu'il sorte par les voies naturelles, il devra donc se diriger vers le cerveau et s'y diffuser car la Bhe aura tendance à l'empêcher de sortir du Snc.
Pour un intoxiqué symptomatique, il faudrait boire de façon à n'avoir jamais soif, quitte à un peu trop boire, y compris régulièrement.
Cela devrait stabiliser la progressions des ions et la progression des symptômes.
Ensuite, la dosage de l'eau peut être pondéré selon le rythme de chélation ou d'efficacité du système digestif.


Quant à la détox par déshydratation,
je ferai bien attention à appliquer une semaine d'hydratation continue avant d'attaquer une cure sèche ou un jeûne intermittent sec,
car les cellules doivent être bien gavées d'eau pour qu'elle refoulent au maximum au moment de la déshydratation.
Une cellule qui est peu chargée en eau sera la dernière à se vider en cas de déshydratation.
Or quand on boit uniquement quand on a soif, il est fort possible que de nombreuses cellules demeurent sous-hydratées.
Ces cellules ne se désintoxiqueront pas car elles se chargent peu en eau, et elles se vident donc peu en eau.
Il faut imaginer que chaque barrière entre deux milieux aqueux va temporiser le transfert d'eau par un délai.
Comme il a plusieurs barrières entre le système digestif et le Snc,
il y aura donc plusieurs temporisations avant que l'osmose ne fasse effet au niveau du Snc.
Il faut donc une hydratation continue et abondante sur de nombreuses dizaines heures avant que l'eau n'atteigne les cellules profondes.
En outre, les reins vont éliminer le surplus d'eau dans le sang, donc c'est bien une hydratation continue qui fait effet au niveau du Snc.
Les cures sèches que je m'applique en continu ne sont donc pas optimisées car je dois veiller à réhydrater le corps en profondeur avant d'appliquer une cure sèche.
Je vais donc appliquer le calendrier que j'ai fixé la semaine dernière mais en l'alternant avec une semaine d'hydratation continue.
En outre, la période de réhydratation permet aux émonctoires de se ressourcer.
Cette alternance entre les semaines hydratées / déshydratées se rapproche du volume horaire moyen de déshydratation d'un jeûne intermittent sec mais les plages d'hydratation et de déshydratation sont bien plus prononcées.
Ce rythme me semble bien approprié quand on cherche à se désintoxiquer le Snc.


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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty Mini-rando et cure sèche

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:32

Avec ces récentes températures clémentes, j'ai changé mon programme.
J'ai donc repris mes expérimentations.
Le week-end dernier, j'ai expérimenté les randonnées avec la cure sèche car le climat s'y prêtait et que j'ai passé toute la semaine dernière à m'hydrater en continu.

D'ailleurs, je me sens mieux quand je m'hydrate en continu.
C'est la première fois de ma vie que je m'hydrate en continu.
Avant, j'attendais d'avoir soif pour boire.
Quand je suis bien hydraté, le corps est un peu plus souple, il se plaint un peu moins.
Il est un peu plus endurant et il est moins sujet à la fatigue.
Je peux tenir des postures plus longtemps, sans qu'une gène n'exige que je me remettes au repos.
C'est comme si les facteurs limitants retardaient leurs apparitions.
Mais je ne crois pas que l'hydratation continue doit être maintenue en permanence.
Selon moi, il faut quand-même des périodes de déshydration au corps pour éliminer les toxines.

J'ai remarqué que la gorge est une assez bonne indicatrice de l'hydratation du corps.
Il y a un léger décalage que je relaterai un peu plus loin.
Quand le corps est très hydraté, la salive est abondante et la déglutition à vide (hors des repas) est bien humide.
Après une cure sèche, le fond de la gorge est sec, cela se ressent particulièrement bien avec une déglutition à vide.
Il faut bien 2 à 3 jours de transition entre les deux états.
C'est-à-dire que la gorge devient sèche après trois jours environ de cure sèche, et réciproquement, la gorge devient bien humidifiée après trois jours de la reprise d'hydratation en continu.
Surtout, cela persiste en dépit de boire.
C'est-à-dire que 24h après avoir repris l'hydratation du corps, la gorge demeure sèche y compris juste après avoir ingurgité de l'eau.
La gorge m'informe donc bien sur l'état d'hydratation du corps.
Cela est pratique pour savoir où j'en suis dans mes expérimentations.
Mais cela s'est révélé précieux pour établir la routine à répéter afin d'atteindre le Snc (voir plus bas dans ce message).
Désormais, je m'alimente normalement pendant une cure sèche.
Il y a certes de l'eau dans l'alimentation solide, mais elle n'entrave pas la cure sèche, elle ne fait que ralentir le processus de déshydratation, et c'est pas plus mal.

J'ai donc passé la semaine dernière à m'hydrater en profondeur.
Puis, j'ai arrêté de boire vendredi midi.
J'ai fait deux randonnées de 3h chacune, sans aucun relief.
Donc pas d'effort soutenu à un moment ou à un autre pendant la rando.
Cela est important, car il me semble qu'un pic d'effort puisse compromettre un effort durable.
Pour atteindre le Snc, il me semble préférable d'appliquer un stress hydrique continu sans variation forte à cause du jeu des membranes entre milieux aqueux.
Un pic d'effort viderait un compartiment liquidien intermédiaire avant d'atteindre le Snc.
J'ai donc fait une randonnée samedi après-midi, sans rien boire après.
Dimanche matin, la gorge était moins sèche que la veille juste après la rando.
Je ne m'y attendais absolument pas.
Il y a donc un léger décalage (je dirais 12h) entre la gorge et le corps.
De l'eau en profondeur a donc été relarguée dans les tissus ordinaires pendant la nuit (j'imagine du Snc).
J'ai refait une autre randonnée dimanche après-midi, à la fin de laquelle je me suis réhydraté car la gorge était bien sèche.
La température extérieure était idéale (env 19°), il ne faisait ni chaud, ni froid.
Le soleil ne tapait pas, il était doux et chaleureux.
Ces paramètres sont idéaux pour que le corps puisse puiser les ressources en profondeur.
Le trop de soleil serait un facteur limitant, cela serait faire apparaitre des désordres avant de pouvoir traiter le Snc.
Je crains le froid (surtout des mains), et l'été déshydrate trop vite pour travailler en profondeur.
J'ai refait une randonnée mercredi (de 4h) mais en m'hydratant à fond.
Cela m'a permis de transpirer un bon coup.

Déjà, j'ai bien tenu pendant les randonnées.
Cela m'a étonné car j'étais assez plaintif ces dernières années.
D'ailleurs, j'avais encore des ressources sous le pied. j'aurais pu continuer un peu.
J'ai de légères courbatures, mais rien d'anormal.

J'ai noté des améliorations suffisamment significatives des mes éternelles céphalées au cours de la ré-hydratation pendant les journées de lundi et de mardi pour qu'elles soient pleinement ressenties.
Ces améliorations sont assimilables à celles du 4ème jour d'un jeûne à l'eau.
Sauf que, théoriquement, ces améliorations devraient se répéter de cures sèches en cures sèches contrairement au jeûne à l'eau.
En effet, les améliorations du 4ème jour du jeûne à l'eau ne se produisent qu'une seule fois en dépit de la répétition raprochée du jeûne à l'eau car le maximum de l'effet est atteint dès le premier jeûne suite à la libération des corps cétoniques.
Or pour les cures sèches, il y a du déménagement de toxines du Snc à chaque fois.
Donc, les symptômes devraient se dissiper à chaque répétition.
D'ailleurs, c'est le cas depuis le début de mes expérimentations.
Avec cette mini-randonnée et pour la première fois, j'ai pu percevoir en direct un effacement partiel des symptômes au niveau du cerveau.
C'est la preuve que je recherchais depuis des mois.

En même temps que les maux de tête s'effacent,
les symptômes cognitifs s'effacent également, c'est comme si je surfais de mieux en mieux sur la réalité.
J'ai certes des rechutes comme un surfeur débutant, mais ma réactivité devient de plus en plus fluide.
Pendant toutes ces années d'intoxication, j'avais du mal à planifier ma vie tout comme j'avais du mal à planifier des courses à faire.
Je dirai que les symptômes à bas bruit d'une intoxication du Snc peuvent s'exprimer par une exacerbation de la compulsion.
Réciproquement, peu de stratégies personnelles sont inscrites dans la durée.
L'un de mes principaux problèmes cognitifs, c'est le fabrication d'une phrase qui tombe à pic pendant une discussion.
Je dois me rabattre sur des phrases déjà pré-construites pour continuer à discuter avec quelqu'un.
J'ai donc du mal à exprimer les nuances de circonstances en direct.
Ce n'est pas le mot sur le bout de la langue, mais une pensée sur le bout de la synapse.
Si je veux exprimer quelques chose d'intelligent, je dois passer par l'écrit.
Mais comme le dit Antonin Artaud, "je suis en dessous de moi-même" (voir première page de ce topic).
Je ressens que je dispose pleinement de ces capacités, mais quand elles sont activées au moment opportun en plein phrasage, il y a comme les métaux lourds qui court-circuitent les travaux pré-conscients du cerveau.
En effet, quand une idée me vient pendant une discussion, je la ressens, mais elle se dissipe avant d'avoir totalement monté à la conscience.
J'essaie de me rattraper comme je peux. Je suis quasiment devenu un expert en rattrapage, mais cela se perçoit quand même chez mon interlocuteur.
C'est pour cela que je me rabats sur un lexique de phrases déjà disponibles en mémoire et donc pré-construites.
Vous pouvez vous rendre compte de cela en visionnant la vidéo suivante :
"SELECTIVE ATTENTION TEST"
https://www.youtube.com/watch?v=vJG698U2Mvo (1minute et 20 sec, et vue 16 million de fois)
C'est une expérience psycho-cognitive.
Elle montre que des informations indéniablement vues ne montent pas à la conscience.
Dans cette expérience, il s'agit d'une stratégie normale du cerveau qui discrimine tout ce qui n'est en relation avec l'attention.
Dans mon cas, ce sont plutôt les métaux lourds qui interrompent intempestivement la montée à la conscience.
Je ressens pleinement ce qui dit Antonin Artaud : "Je suis en-dessous de moi-même".
Toute la mécanique cognitive est là, mais le flux electro-chimique de la synapse, qui a été amorcé, s'évapore avant d'avoir terminé son processus.

Désormais, je connais ma limite haute d'expérimentation,
et je connais également les cycles longs, courts, les chélations des tissus ordinaires, et du Snc.
Je n'ai plus qu'à ordonnancer la dose de cure sèche et de mini-randonnée.
Il était imprudent de pousser la cure et la randonnée jusqu'au la déshydratation à laquelle je me suis allé.
Au vu de la petite ré-hydratation qui a eu lieu le lendemain matin de la première randonnée,
une seule mini-rando me semble bien suffisante mais je vais conserver la cure sèche jusqu'au lendemain.
Je vais donc opter pour la méthode suivante pour la répéter régulièrement.
    - La semaine, je fais l'hydratation continue du corps.
    - Le vendredi midi, j'arrête de boire,
    - Le samedi, je fais une rando de 3h (sans relief, ni condition extrême)
    - Le dimanche dans la matinée : reprise de l'hydratation.

Ainsi, le corps puisera ses besoins en eau pendant la nuit du samedi au dimanche dans ses réserves profondes (dont le Snc).
Voici mon gabarit à titre indicatif : Homme, 1m70, 60kg, 40 ans.

Si je veux désintoxiquer uniquement les tissus ordinaires qui ont été ré-intoxiqués par la mini-cure sèche du Snc, je m'orienterai plutôt vers une jeûne intermittent sec, à faire en alternance une semaine d'hydratation.
    Semaine 1 : Hydratation en continu
    Semaine 2 : Jeûne intermittent sec
    Semaine 3 : Hydratation, puis, vendredi, Cure sèche + mini-randonnée le samedi + reprise dimanche midi.
    Semaine 1 : ...



Information importante :
Pendant toutes ces mini-déshydratations, mini-jeûnes et mini-rando, je n'ai eu aucun herxheimer.


Autre sujet.
Je traine une constip' carabinée depuis quinze jours.
Je n'en avais pas fait état car elle est parvenue en dehors de mes expériences de mini-cures sèches.
(Mais je la note ici pour les prochaines expériences de mini-rando et cures sèches.
Je me relis beaucoup avant de commencer une nouvelle cure sèche.
Mon topic est mon aide-mémoire.)
En effet, mi-mars, j'ai un "peu" abusé de pain, de fromage et de miel, car je voulais tester mon système digestif qui était au top.
Je me suis dis qu'il fallait que je le teste car j'allais deux fois à la selle par jours, avec des selles abondantes, moulées et de la bonne couleur.
Il suffisait que je mange pour qu'une heure après, j'aille à la selle.
Je fais régulièrement des tests pour mettre à l'épreuve le système digestif.
Jusque là, en cas de problème, je parvenais à rétablir la situation en trois jours max.
Mais là, quinze jours après ce test, il n'y a toujours rien qui sort.
La couleur n'est pas bonne (alternée jaune et mastic).
J'ai fait deux purges des intestins mais la machine n'a pas redémarré.
J'ai fait une troisième purge suivie d'une purge yogique au cours de laquelle l'eau qui sortait était jaune (alors qu'elle devrait être transparente).
(J'ai appliqué la méthode d'un naturopathe
http://www.tetart.com/nettoyage-du-foie-et-de-la-vesicule-biliaire-par-la-methode-du-dr-clark-802
http://www.tetart.com/purge-yogique-le-grand-nettoyage-de-l’intestin
sauf que je me mets une bouillotte sur le foie et les intestins, ainsi, j'ai pas besoin de faire les mouvements recommandés).
Désormais, je me mettrai une bouillotte sur les intestins pour mieux digérer.
Le muguet de la langue était également un peu jaune (alors qu'il était blanc avant).
Le système digestif est donc imbibé d'une couleur jaune.
Il y a un problème. Je crains que j'en ai pour plusieurs semaines pour retrouver la digestion que j'avais avant ce test.
Il va falloir éliminer tout ça avec des marches hydratées, de la piscine et des saunas avant de recommencer des mobilisations.
J'ai perdu tous les bénéfices qui s'étaient accumulés pendant les mini-jeûnes des mois de janvier à mars.
La situation n'est pas terrible, mais je ne suis pas totalement déçu,
car désormais, je sais formellement que je tiens le bon bout de la chélation du Snc par la gestion hydrique et la randonnée.
Les toxines sont donc massivement sorties du Snc, et théoriquement, elles se sont stockées dans les tissus ordinaires, notamment dans l'intestin.
D'ailleurs, après les cures sèches précédentes, il y avait un espèce de mucus transparent et visqueux qui se plaçait dans les reliefs en creux des selles moulées.
Ça doit être le fameux savon qui se forme autour de l'intestin pendant le jeûne sec.
Pour rétablir le système digestif, je vais reprendre tout depuis le début.
Je m'alimente de jus de légumes et de soupes, + psyllium.
Je prends du Dmsa en gélules à chaque hydratation, avec la dose max prescrite sur la boite répartie sur la journée.
Je ferai peut être un petit jeûne à l'eau pour ressourcer les organes et éliminer les glucides qui sont peut-être la cause de la constip.
Puis je ferai un jeûne intermittent sec avec Dmsa à la reprise en eau pour chélater les tissus ordinaires.

Édit 1, le 3 avril.
60h après la fin de la purge yogique, la machine semble avoir repris, ce n'est pas encore dans la fourchette de la normalité, mais c'est prometteur.
Le foie a repris, car la couleur est bonne.
Surtout, je constate qu'une alimentation dont la consistance est celle d'un soupe épaisse, ou d'une purée, facilite le mouvement péristaltique.
Mais encore faut-il que le bouchon eut été enlevé au préalable pour que le mouvement se fasse.
Il me semble que mon problème est que ma digestion doit solidifier la nourriture, cette dernière devient trop peu malléable, trop compactée pour être entrainée par le mouvement péristaltique.
Et il ne sert à rien de boire pour diluer. Je vais désormais bien veiller à mâcher les aliments jusqu'à ce qu'ils forment une bouillie avant de les avaler.
Désormais, je veillerai à consommer de la purée, ou des soupes, ou équivalent avec les légumes et les viandes pour que le contenu de l'intestin demeure plastique et fluide.
Il est également possible que la détox produise un mucus en grand nombre qui sature la paroi intestinale.

Je note ici quelques compléments au Dmsa, marches et psyllium indiqués plus haut.
Rappel des purges, j'ai fait la purge des intestins (40g de sel d'epsom) pour 80 cl d'eau, puis après, j'ai enchainé avec une purge yogique (15g puis 10g, puis 7g de sel d'epsom par litre, j'ai pris 3 à 4 litres d'eau).
Je n'ai pas pris l'huile d'olive, ni le jus de pamplemousse, car j'ai déjà fait une cure du foie la semaine dernière (1x par mois max). Je me suis cantonné aux intestins avec le sel d'epsom.

Pendant le we, après la purge yogique,
    j'ai mis une bouillotte sur les intestins aussi longtemps que possible pour mieux digérer, matin, midi, soir, après les repas, au lit. Le max de temps.
    J'ai fait une monodiète de soupes épaisses du magasin bio et de purée maison (au lait végétal), comme indiqué sur la page de la purge yogique.
    Je vais continuer la monodiète jusqu'à stabilisation de la digestion, et ensuite, je prendrai des légumes vapeur.
    J'ai également pris du jus breuss (dominante bettrave).

Pour mémoire, pendant la semaine dernière,
    j'ai pris un combo de plantes hépatotropes (de l'herboristerie) en décoction.


Ce que me m'inspire cet épisode,
c'est qu'il faut se familiariser avec ces techniques de naturopathie pour se lancer dans la détox, notamment du Snc.
La constipation est un risque qui peut pointer après une déshydratation.
Il faut donc savoir faire des purges intestinales, et il vaut mieux en faire une ou deux à blanc avant la tentative de déshydration.
Mais il est toujours préférable de faire en sorte de ne pas pousser la déshydratation trop loin de façon à conserver un système digestif en fonctionnement.


Édit 2, 14 avril.
Bon, je n'ai pas retrouvé le rythme des selles que j'avais avant la constip, je fais donc des lavements réguliers en attendant.
La langue est toujours jaune, les toxines se sont donc installées dans tout le corps.
Il faudra plusieurs semaines pour régulariser cela.
Des conséquences de l'intoxication des tissus courants (insomnies, besoin d'uriner régulièrement yc la nuit, pb de tension) sont de retour.
Par ex, je perds un peu conscience quand je me lève (à cause de la dévascularisation du cerveau).
J'ai l'impression de retrouver des vieux symptômes comme si c'étaient des vieux amis.
Cela ne me fait ni chaud ni froid car je suis déjà passé là, je connais désormais toutes les parades et je m'en étais sorti en faisant les cures de détox.
Je n'ai plus qu'à recommencer, ce n'est qu'une question de temps.

Cela me fait réaliser que je devais avoir un sacré paquet de métaux lourds dans le cerveau.
Les tissus courants n'arrivent même pas à les absorber sans qu'il soit impacté par des symptômes.
le rapport de poids entre les tissus ordinaires et le cerveau est quand même à l'avantage des tissus courants, et pourtant, cela ne suffit pas.
Je vais supposer qu'il devrait demeurer des métaux lourds asymptomatiques, je vais donc prolonger les déshydratations au delà de la fin des symptômes.
pour éviter ces désordres, j'aurais dû faire des lavements et des purges yogiques au moment des randonnées pour éliminer les mucus.
C'est bon à savoir pour les prochaines fois. Je les ferai de façon préventives même si je ne contenterai de mini-déshydratations.

Cependant, les améliorations au niveau de mes céphalées sont durables et elles demeurent significatives. Houra !
Désormais, je parviens à exprimer des remarques qui tombent à pic.
Surtout, j'arrive à expliquer correctement tout un enchainement de récit sans que cela soit laborieux.
J'arrive aussi à sourire, de façon à ce que cela soit ressenti par tout le corps.
Cela me donne du crédit envers autrui, qui auparavant se demandait si je ne simulais pas un sourire car mon corps n'exprimait pas toute une foule de petits gestes en détail et de circonstance.
Je vous confirme que ça change la vie sociale...
Je n'ai presque plus de maux de tête. Les sensibilités au niveau des méninges sont même un peu douces, c'en est presque agréable.
Je savoure ce moment, car je sais désormais que je finirai par me désintoxiquer totalement.
Je retrouverai ainsi toutes mes facultés cognitives.


Édit 3, 23 avril. Suite et fin.
Ça y est, la constipation est presque terminée. Elle aura duré cinq semaines. Depuis deux jours, j'ai quasiment retrouvé le même rythme qu'avant.
Cependant, il faut trois jours pour que les premières selles apparaissent. J'ai peut-être des progrès à faire de ce côté là.
J'ai fait de nombreux lavements et quelques purges yogiques, puis, la semaine dernière, j'ai fait une hydrothérapie du colon "maison" avec le bloc à lavement. Chose que j'avais jamais faite avant.
La langue n'est presque plus jaune, et surtout le muguet, que je traine depuis des décennies, est réduit de moitié. Si j'avais su, j'aurais fait cela bien plus tôt.
Je vais enfin pouvoir reprendre mes mini-cures de déshydratation et mes mini-randos.

J'ai quelques céphalées qui ont repris, mais cela demeure mineur.
Les bénéfices de ma précedente cure de déshydration se maintiennent majoritairement.


Édit 4, le 08 mai, quelques problèmes de bonne finition
La bonne nouvelle annoncée le 23 avril (édit 3) était de courte durée, la constipation est revenue.
Il y a comme une histoire de tonicité de la cellule en eau.
Les lavements réhydratent certes le colon et il marche donc pendant 2 jours, mais au-delà, il ralenti significativement son rythme.
Le colon marche bien mais il perd son fonctionnement deux jours après un lavement.
De plus, j'ai des crampes aux intestins qui sont apparues, et la régularité des selles au-delà de deux jours n'est vraiment pas encore stabilisée.
Il y a quand même pas mal de complications suite à mes expériences trop poussées et trop fréquentes.
Je me suis donc rendu chez l'herboristerie, je leur ai raconté mon histoire.
Après quelques questions, ils m'ont passé un combo (il ya une bonne dizaine de plantes) à faire bouillir et à infuser pour améliorer le transit.
Les premiers résultats s'expriment dès trois jours, c'est bluffant. Pourvu que ça dure.
Ils ne recommandent vraiment pas les lavements car ça perturbe la flore.
Selon eux, il faudrait au moins accompagner des lavements par une cure de probiotiques.


Édit 5, le 14 mai, rapport d'état
Désormais, je prends deux combo en tisane par jour.
    Conformément aux prescriptions de l'herboriste,
    en fin de matinée, le ventre vide, je prends le combo hépatotrope.
    Et en soirée, je prends le combo pour régénérer les intestins et pour améliorer le transit.

C'est le rythme qui marche le mieux. J'ai testé d'autres combinaisons (1 jour sur 2 ou 2x par jours, ou alterné) mais c'est moins efficace.
Avec ce rythme, le transit est pas trop mal (1x par jour). D’ailleurs, je n'ai plus de crises de transpiration ou de sudation (elles parvenaient surtout la nuit).
J'ai refait des tests en mangeant un peu du pain, du sucre ou un peu de laitages. Le transit se bloque en 12h. Mais il reprend après un petit lavement.
Je pense que ça bloque dans le colon ascendant, car j'ai des sensibilités au ventre et à droite quand je plie en 2 pour lacer mes chaussures.
Je surveille donc mon alimentation de très près.
L'herboriste préconise de prolonger les tisanes jusqu'à ce que le sachet soit totalement consommé, y compris si les améliorations perdurent en arrêtant les tisanes.
J'en ai consommé un quart de sachet, je ferai une pause à la moitié.
De toute façon, la langue est encore un peu jaune. Les toxines sont donc toujours là.
Je n'ai donc pas encore repris mes cures de déshydratation avec randonnées.
J'ai hâte de les reprendre car je crains que les céphalées ne reviennent.
En dépit de tous mes efforts, les dernières toxines sont longues à récurer.
Je continue la piscine (1à2x par semaine) et j'ai repris le sauna (1x toutes les 1 ou 2 semaines).
Pour l'instant, tant que le transit assure un service suffisant, je me contente d'un jeûne intermittent sec, une semaine sur deux.
Cela devrait désintoxiquer les tissus ordinaires, dont le colon. Mais je ne force pas trop pour ne pas surcharger le colon.
Si je sens que les intestins miaulent, je repends à boire à partir de 10h du mat. Sinon c'est à midi.
Je prends également une gélule de DMSA à la rupture du jeûne car je ressens encore les symptômes des métaux lourds dans les tissus ordinaires.
Le Dmsa devrait dérouter des ML vers les reins, et soulager ainsi le colon.
Je prends également une gélule de Probiotiques pour pallier aux lavements.
Je refais des crises de boulimies, je ne grossis pas, mais j'ai besoin de manger deux repas au diner.
Le premier repas ne calme absolument pas la faim. Il faut que l'estomac soit trop plein pour que je me raisonne.
Surtout, la faim me tiraille et elle me fait manger mon assiette en très peu de temps.
C'est fou comme les ML altèrent le système nerveux parasympathique.
Il faut que je me ré-éduque au niveau du repas, ça devrait aider la digestion.


Édit n°6, le 16 mai. Fin des probiotiques.
J'ai viens de jeter trois quarts de mes compléments alimentaires car ils ne sont plus utile et que j'en ai marre de les voir trainer chez moi.
Je suis dans une étape où j'ai vraiment marre des gélules, des médocs, des choses issues du marketing.
Rien que de voir la boite de gélule me rappelle ma maladie.
Ça fait 4 à 5 ans que j'en prends, j'en ai pare dessus la tête.
Cependant, j'ai bien gardé les indispensables, dmsa, ornithine, psyllium, pré-biotiques.
Mais j'arrive à la fin de la boite de probiotiques, et je compte bien ne pas en racheter.
J'ai donc mis en place des légumes lacto-fermentés pour remplacer les probiotiques.
Voici à quoi ça ressemble :
[attachment=0]Lacto-Fermentation.jpeg[/attachment]
C'est très simple, Il suffit de couper les légumes, et de remplir les bocaux avec de l'eau dans laquelle une cuiller à soupe de gros sel gris par litre du récipient y a été mélangée.
Fermer, laisser à température ambiante et c'est prêt à la consommation après deux semaines.
C'est comme pour l'humus, il y a un processus de décomposition et de reconstruction.
Le second processus se met en place après que le premier ait terminé.
La première semaine, on voit des bulles se former.
La seconde semaine, les aliments changent un peu de couleur.
Ça se conserve un an même ouvert, il faut laisser les légumes sous l'eau avec un poids. S'il y a des moisissures, il suffit de les enlever, ce qui est sous l'eau est comestible.
Si le processus a foiré, ça se sent, donc, il n'y a pas de risque de consommer des mauvais produits.
On se rode en un coup, il y a peu à faire, en plus c'est esthétique, ça fait une meilleure ambiance dans la cuisine que les boites de compléments alimentaires.
J'ai deux bocaux de 2 litres, ainsi, pendant qu'il y en ai un qui soit en cours de fermentation, l'autre est disponible pour la consommation.
Il faut en consommer un peu tous les jours pour que ça prenne dans le microbiot.
Selon un invité d'Alain Kruger, https://www.franceculture.fr/emissions/ne-parle-pas-la-bouche-pleine/les-aliments-de-la-bonne-humeur, les consommateurs de produits fermentés (Pickles en anglais) deviennent très sympathiques.


Édit n°7, le 17 mai.
Dès que je mange, je n'arrive plus à contrôler ma faim. Il faut que je mange tout en double ration.
C'est comme si je ne mangeais pas, l'estomac a perdu toute sensibilité.
Par ex: si je prenais une seule olive pour l'apéro, je ne peux pas me retenir de finir le pot car je n'ai senti aucune olive passer.
Il faut donc que je remange une olive pour m'assurer que je vais bien la sentir passer mais rien, donc je reprends une olive de plus et ainsi de suite.
J'ai vraiment un problème pour apprécier la quantité de nourriture.
En plus, après ce copieux apéro, je mange quand même une double ration au repas.
Je vais donc sauter un repas sur deux car je n'ai pas ce problème de faim tant que je ne mange pas.
Et pour ne pas être tenté de grignoter, j'ai donc jeté tout ce qui se grignote de ma cuisine.
Tout cela va repauser les intestins pendant la journée, c'est peut-être pas plus mal.

Les décoctions que je prends sont vraiment efficaces, je commence enfin à retrouver un rythme satisfaisant de selles depuis 4 à 5 jours.
Surtout, j'ai pleins de gargouillis qui montrent le bon avancement de la chose.
Ces gargouillis se manifestent désormais toutes les nuits.
De trois heures à six heures du mat, j'ai un mini-concert dans le colon qui suit le mouvement péristaltique.
Les gargouillis se meuvent du ventre en bas à droite, ils remontent jusqu'aux côtes, puis ils traversent le ventre à l'horizontal et enfin ils redescendent sur le côté gauche du ventre.
Tous ces mouvements se font en dix minutes comme les saccades d'un petit train.
Avec des images 3D de l’intestin trouvées sur internet, j'apprends à repérer le colon.
Grâce aux gargouillis, je suis alerté que le mouvement se fait, je palpe donc la zone et il est possible de ressentir la zone en mouvement.
Grace à cela, peut-être que j'apprendrai à appréhender un embouteillage dans le colon.

Si j'avais su, j'aurais fait ces décoctions il y a des années déjà.
Mieux vaut tard que jamais, et puis j'ai pris confiance dans l'herboristerie.
Je vais donc pouvoir y retourner pour tout futur problème en préventif.
Ça doit reconstruire le colon lorsqu'il agressé par les ML, le gluten et la caséine. À vérifier.
J'aurais dû me rendre à l'herboristerie bien plus tôt mais ce n'était pas l'urgence à l'époque.
Il est difficile de prendre conscience des causes lorsque se sont les effets indirects qui sont les plus pénalisants.
Toute la perversité des métaux lourds réside dans ce décalage entre la cause et les effets.
Il y a un tel décalage entre la cause native et les conséquences symptomatiques, qu'il faut investir une grande énergie pour décortiquer les signaux à bas bruits dans une masses de symptômes dominants mais secondaires.

La composition des sachets de l'herboriste indique une bonne dizaine de plantes, mais elle n'indique pas la partie utilisée de la plante.
Or, le mélange présente des écorces, des fleurs, des feuilles, des tiges, et autres parties de la plante.
On ne peut donc pas se composer ces sachets soi-même à partir de l'annonce de la composition.
Mais surtout, les sachets exposés dans la boutique présentent différentes dosages de plantes, il y a peut-être une science du dosage par rapport au témoignage du client.
Les résultats ont l'air enfin durables, mais surtout, il faut encore que je teste sans les décoctions pour vérifier si le transit se maintien.
Au vu de l'amélioration de la facture des selles, j'ai quand mêmes l'impression que le tube digestif se régénère petit à petit.
Il y a encore du chemin à faire, je vais donc prendre patience avant de recommencer les déshydratations car je n'ai aucune envie que cette histoire recommence.

Pour l'instant, j'en conclue que plus la méthode pour traiter la constipation est violente, moins elle est efficace dans le temps.
Le lavement n'est donc qu'un appoint utile au début de la constipation, et les décoctions sont plutôt une solution perenne.


Sophocle

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Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 Empty Reprise à zéro.

Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:35



Je sors d'un jeûne hydrique de sept jours.
J'ai initié ce jeûne à cause de la constipation récente et à cause des multiples complications issues de mes dernières expériences.
Au cours des dernières semaines, j'avais réussi à retrouver un transit suffisant, mais il était encore trop lent.
Je ne veux pas m'en contenter. Je souhaite vraiment retrouver l'excellent transit que j'avais avant cet incident.

Le relargage de ML du mois de mars a provoqué tout un tas de symptômes que je ne pouvais connaitre qu'en les contemplant sur plusieurs semaines.
Désormais, après ces deux mois passés, je maitrise un peu mieux le spectre chronique de l'état où je me trouve.
Maintenant que j'ai une vision un peu plus large de tous ces symptômes, je vais donc pouvoir faire une synthèse et agir en conséquence.

J'ai initié ce jeûne hydrique du lundi de la semaine dernière jusqu'à dimanche.
Avant ce jeûne, parmi les multiples symptômes décrits dans les messages précédents, j'avais entre-autre des crampes intestinales.
Après ce jeûne, ces crampes ont totalement disparues mais quelques courbatures subsistent encore au niveau des intestins.
Les courbatures ressemblent à de très légères sensibilités permanentes (mini-brûlures).
Quand je me masse les intestins, ces sensibilités peuvent se rehausser légèrement.
J'ai supposé en priorité que c'était une inflammation qui causait ces sensibilités.
Cela n'est pas certain, il peut également s'agir d'une prolifération bactérienne.
Ou les deux ? Dans le doute, je garde les deux fronts sur le feu.

Il fallait donc traiter l'inflammation pour permettre aux organes de se renouveler.
Au troisième jour du jeûne, j'ai donc pris deux cachets de 2mg de Polaramine pendant deux nuits de suite pour faire un effet de souffle sur l'inflammation.
Puis, je me suis fait des bouillons quotidiens dans lesquels j'ai bien insisté sur le curcuma et le gingembre pour éviter que l'inflammation ne reprenne.
Depuis que j'ai repris l'alimentation, je mets du curcuma et du gingembre en poudre dans l'alimentation tous les midis.
Et le soir, je cuisine toute sorte de légumes auxquels j'ajoute des rondelles de racines de curcuma et de gingembre.
Si les sensibilités reprenaient, je reprendrai de la Polaramine.

J'avais un excellent transit avant cet incident.
Je refuse de me contenter d'aller à la selle une fois tous les trois jours.
Les décoctions aident certes à accélérer le rythme de transit jusqu'à une fois par jour.
Mais la facture est moins bonne.
Plus j'augmente la fréquence de décoction, plus ça ressemble à de la purée, cela ne convient pas sur du moyen terme.
Il faut que le colon retrouve un service correct.
Les laxatifs sont donc inopérants pour répondre au problème de fond.
Sans un bon transit, je vais me ré-intoxiquer de façon chronique, je dois donc persévérer.
En dépit de tous mes efforts depuis deux mois, le colon ne parvient pas à se régénérer.
Seule l'absence de digestion laissera le temps aux cellules de se régénérer pleinement.
Je me suis donc replié sur le jeûne hydrique long, en espérant que c'était la bonne solution car je n'en vois plus d'autre.

Mais il fallait aussi que je ne sois pas tenté de me faire un petit jeûne sec au cours du jeûne hydrique car je ne veux pas délaisser le Snc.
J'ai donc repris les IV en attendant car je souffre de perdre du temps à ne pas me chélater.
De plus, les IV vont aider à désintoxiquer les tissus ordinaires dont les intestins.
Les IV, tout comme le dmsa en gélule, sont intéressants car l'élimination se fait via les reins et ils épargnent le système digestif.
Ces IV devraient également participer à résoudre la constipation.

J'avais fait des mini-jeûnes hydriques d'un à trois jours juste après mon incident.
Il y avait quelques petits progrès mais rien de suffisant.
J'ai donc décidé de faire un jeûne hydrique aussi long que possible.
Pour ce jeûne-ci, il fallait absolument passer à la phase de cétose pour qu'il fasse son effet de baume.
Il fallait donc que la durée du jeûne dépasse aisément les trois jours.
Mentallement, j'étais prêt à faire quinze jours, mais il me manquait un peu de poids (matière grasse) pour bénéficier d'une marge de sécurité.
Toutefois, il ne fallait pas trop insister pour ne pas provoquer une galère de plus.
En matière de jeûne, il est généralement envisageable de fragmenter les durées sans perdre le bénéfice des jeûnes rompus précocement.
En cas de cancer, ce n'est pas le cas, il faut un jeûne d'attaque suffisamment long pour éradiquer la tumeur, sinon, une seule cellule survivante et cancéreuse peut relancer une tumeur.

Même si le jeûne n'avait pas fait d'effet sur la pathologie que je cherchais à résoudre,
il résout pas mal de désordres de second ordres qui peuvent devenir dominants quand ils se superposent.
Et même si la résolution de ces désordres était anecdotique,
le jeûne permet quand même de se prémunir des complications de la longévité.
Donc, un jeûne n'est jamais perdu, même s'il ne fait pas effet là où on l'attend.

Cela fait deux ans que je n'avais pas fait de jeûne hydrique long et continu.
Là, c'était une bonne occasion pour faire ce jeûne.
Il faudrait que j'en recase un autre prochainement pour faire 15 jours par an.
La prochaine meilleure époque est la période de l'automne où les micro-organismes se multiplient.
J'aviserai donc en octobre/novembre, au milieu de l'automne pour renouveler un jeûne de huit jours.
Printemps/automne, ce sont les meilleures périodes pour les jeûnes.
Avec tout ce mercure que j'ai accumulé, j'ai plutôt interêt à ne pas négliger ma longévité en maintenant ces projets de jeûnes.

J'aurai pu pousser ce jeûne au delà de huit jours car :
- j'avais encore une dernière petite bouée autour du bide,
- je n'avais eu absolument aucun désagrément au niveau de l'acidocétose,
- je ne pâtissais pas trop de la réduction vasculaire,
- surtout, le foie était encore assez volumineux.
Mais comme les crampes étaient apaisées et que les courbatures ne se soulageaient pas en dépit du déroulement du jeûne, j'ai donc préféré rompre le jeûne par mesure de sécurité et car je n'y voyais plus d'avantages.
J'en referai un rapidement s'il le fallait. Je reprends mon poids de croisière très vite.

Je suis passé de 59kg à 55kg, et j'ai tout repris en quelque jours.
Pendant la perte de poids, le corps prend une allure fuselée et élancée.
De plus, on est un peu au ralenti.
J'avais l'impression de rentrer dans l'espace-temps de la gestuelle d'une girafe.
En outre des mouvements un peu lents, les reliefs des articulations émergent peu à peu comme des récifs sous une chaire qui se retire peu à peu comme une marée.
C'est bon signe, c'est que les graisses fondent.
Ces dernières se métamorphosent en baume.
Aussi, il y a deux creux qui se forment sous les côtes, un de chaque coté.
Je surveille particulièrement celui de droite, car c'est celui du foie qui fond quasiment à vu d'œil.
Je ne me suis pas encore penché sur celui de gauche, à voir.
Le foie fond rapidement car il se "sacrifie" pour alimenter les deux organes qui ne peuvent pas se passer de glucose : le cœur et le cerveau.
On peut donc aisément contrôler son volume. Le foie peut perdre 2/3 de son poids sans souci.
Mais le foie pèse 1,5kg environ, il est donc suffisamment volumineux pour fondre pendant plusieurs semaines.
Il se reconstruira en entier après la rupture et cela n'est pas un cancer.


Trois jours après la reprise de l'alimentation, j'ai toujours mes petits problèmes de faim.
La faim est complètement erratique, et cela perturbe beaucoup ma planification d'alimentation.
Je n'ai pas faim quand je ne mange pas et je suis pris d'une fringale dès que je mange.
Je peux donc sauter un repas sans avoir faim mais j'aurai doublement ou triplement faim au repas suivant.
Il faut vraiment que je me débraye de ce que je ressens.

Pour faciliter le transit, je vais prendre en compte ce qui fait bouchon.
Si je mange trop d'un coup, ça crée un bouchon.
Si je mange trop solide, ça peut aussi créer un bouchon.

Je dois vraiment me tenir à un rythme d'alimentation rigoureux.
Il faut aussi que je révise encore un peu le contenu de l'alimentation pour faciliter encore plus le mouvement péristaltique.
Je vais donc rompre mon jeûne intermittent humide que je fais depuis deux ans pour me faire trois petits repas par jour.
Je vais aussi compléter l'alimentation par des fruits exotique et laxatifs (mangue, papaye, ananas).
Le matin, je vais prendre du lait végétal avec des fruits et des oléagineux (amandes).
Le midi, je vais prendre un fruit exotique en entrée, puis j'attends 30 minutes avant de manger la suite pour que le fruit ne soit pas mélangé dans l'estomac avec d'autre aliments (sinon, ça fermente). Ensuite, je prends une grande soupe bien épaisse. J'y ajoute aussi le curcuma et le gingembre en poudre.
Et enfin, le soir, je fais des légumes (avec racines curcuma et gingembre) avec une cuisson douce et longue, et du poisson.
En rompant le jeûne intermittent, je vais voir si je reprends du poids car je voudrais monter à 65 kilos pour pouvoir faire des jeûnes de 15 jours sans risquer le sous-poids.

Depuis la reprise alimentaire, je fais une cure bactériostatique.
Je me suis rendu chez l'herboriste.
H.E. Origan et Cannelle 20%, 10 gouttes matin et soir, à boire dans un verre d'eau (Dose prescrite par l'herboriste : 3x15g/j).
Je me suis lancé dans cette cure car en abaissant le système immunitaire, je craignais que les bactéries n'en profite pour se multiplier.
Ça a fait une petite diarrhée après les deux premières prises de l'HE, mais ça s'est arrêté là en dépit de la poursuite du traitement.
Peut-être que ça a aidé au schmilblick de la constipation.
Comme d'habitude, j'ai changé trop de paramètres d'un coup pour pouvoir attribuer un effet à une cause précise.
Cependant, il est fort probable que ce soient toutes ces actions qui aident à la cure.
J'ai aussi repris le brossage de la peau pour bien faire circuler l'HE dans la lymphe.
Je le fais 30 minutes après avoir bu l'HE, cela lui laisse le temps de passer dans le système sanguin.

Bon, les premières selles d'après la sortie de jeûne ressemblent enfin à quelque chose de très satisfaisant.
Et le rythme et le volume paraissent pas trop mal.
Il faut encore que je consolide le résultat dans la durée tout en enlevant petit à petit les béquilles.
Si je tiens ce rythme et ce volume constant en dépit de la suppression des béquilles, ce serait beaucoup mieux qu'avant mon petit incident.
Ce jeûne a carrément été bénéfique pour le colon.
En tout cas, avec les béquilles, il marche du tonnerre.

Les nombreuses déshydratations que j'ai fait depuis le début de l'année ont été tout autant corrosives que curatives.
Les déshydratation sont des 'pharmakon' de l'antiquité, c'est-à-dire que c'est tout autant un remède qu'un poison.
Pour panser les effets des déshydratations, j'ai l'impression que le jeûne hydrique est une bonne solution.
Mais, il faut d'abord dépasser tous les écueils des premiers jeûnes hydriques.

Petit récap. de tout traitement en cours :
- Arrêt total du jeûne intermittent sec car ça n'allait vraiment pas dans le bon sens,
- 1 gélule de dmsa le matin à la première gorgée d'eau,
- Bactériostatique,HE Origan, Cannelle.
- Probiotiques, en sus des légumes fermentés, pour compenser l'effet bactériostatique des huiles essentielles dans le colon.
- Peu ou pas d'alimentation cru en attendant.
- Décoctions foie, transit, reins en alternance 1j/3.
- Rappel, zéro gluten, zéro laitage, zéro sucre.
- Gingembre et curcuma, en poudre et en racine dans l'alimentation.
- Éventuellement Polaramine si sensibilités (mini-brûlures) intestins.
- Sport (marche, piscine) 30min/j, sauna, mais j'ai ralenti le rythme.

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:36

Bon, ça y est, le système digestif a redémarré pour de bon.
Je suis content, car j'étais au bout du rouleau. Les différents jeûnes et leurs effets sur les ML - Page 2 !2214_EM2
Il a enfin marché correctement pendant les dix derniers jours consécutifs.
En tout cas, il a suffisamment redémarré pour me passer définitivement du bloc à lavement et des décoctions.
Il y a encore des petits problèmes de facture, mais le principal est que l'élimination des selles se fasse quotidiennement.

Je crois bien que c'était l'inflammation qui posait problème.
Sans le traitement anti-inflammatoire, le jeûne hydrique aurait été peut-être vain.
Et sans le jeûne, les intestins n'auraient pas eu autant de facilité à se régénérer.
Les intestins se régénèrent très rapidement (3-5 jours), donc on peut avoir une réponse rapide en cas de jeûne.

Pour bien conforter la lutte contre l'inflammation, je suis récemment passé à un cachet de Polaramine chaque soir.
Je n'ai quasiment plus de sensibilités aux intestins, ni de mini-brûlres.
Je suis frappé par une certaine similarité des sensibilités entre les céphalées et les intestins.
Il y a comme une même sensibilité de fond, permanente.
Et il y a également la rehausse des sensibilités lors d'une action mécanique.
Quand je palpais les intestins, les mini-brûlures se rehaussaient.
Quant au cerveau, les sensibilités se rehaussent quand je secoue la tête.
Cela conforte mon hypothèse d'inflammation des méninges.
Cependant, les céphalées ne cessent pas en dépit des anti-inflammatoires.
Ça doit être la Bhe qui bloque les médocs.

La Polaramine est un anti-histaminique d'ancienne génération qui provoque des somnolences.
Avec la Polaramine, je fais d'une pierre deux coups car j'ai des irrégularités dans le sommeil.
Avant le relargage des ML du mois de mars, je dormais très très bien.
Mais depuis ce relargage, j'ai un sommeil assez perturbé.
C'est un des symptômes que j'avais déjà avant de faire toutes ces campagnes de chélations.
Et, il avait fini par disparaître.
Grosso modo, je dors désormais très peu pendant une nuit sur deux (sans polaramine).
L'hypothalamus est un cofacteur du sommeil, et il ne réagit pas correctement quand il est intoxiqué.
L'hypothalamus fait bien parti du Snc, mais il n'est pas protégé par la Bhe car il est un laboratoire d'analyse du sang.
Il vérifie les taux d'hormones dans le sang et il ajuste les taux quand cela est nécessaire.
Contrairement au reste du Snc, l'hypothalamus a donc besoin d'être directement au contact du sang.
Il est donc normal que le sommeil soit altéré suite au relargage des ML du Snc derrière la Bhe vers les tissus ordinaires.
Cela peut paraître trompeur, mais dans mon cas, cette dérégulation du sommeil est un indicateur de la détox du Snc et de l'intox des tissus ordinaires.
La faim est également liée à l'hypothalamus, cela doit expliquer mes désordres à ce niveau-ci.
Il y a de nombreuses fonctions assurées par l'hypothalamus, il faudrait que je les surveille.
Vassopressine (antidiurétique), température corporelle, Sna (Système nerveux autonome), lumière ext. (sommeil), stress, bactéries,...
En dépit des apparences, et du fait de l'absence de Bhe, la dérégulation des fonctions de l'hypothalamus n'est pas un indicateur de l'état d'intoxication du cerveau, mais plutôt des tissus ordinaires.

Par ailleurs, je souhaite changer le mode de dilution des huiles essentielles pour la cure bactériostatique.
L'herboristerie m'a donné un flacon d'HE diluées à 20%.
Mais il n'est pas indiqué en quoi sont fait les 80% restants.
C'est à boire dans un verre d'eau.
Mais même si c'est dans un grand verre d'eau, chaque gorgée m'arrache la gueule.
Ça doit être dilué avec de l'alcool de pharmacie.
Ça doit être de l'alcool à 90° parce que les shots de whisky (à 55) passent beaucoup plus facilement.
J'irai donc me procurer les HE indépendamment (origan et cannelle), et je les mélangerai avec de l'huile végétale.
J'ai aussi acheté des mini-flacons avec une tête à Pschitt-Pschitt.
Je les ai remplis avec un mélange d'HE qui trainaient chez moi.
Teatree, Lavande mélangée avec de l'huile de noisette (10%-10%-80%).
C'est hyper pratique, pas besoin de cuillère pas besoin d'eau, ni de verre.
Ça se garde dans le sac à main et en deux mouvements ça se pschitt-pschitt dans la bouche en toute discrétion.
Le mélange est assez doux, il peut se garder sous la langue, et donc passer directement dans le sang en shuntant le système digestif.
Les huiles essentielles d'origan et de cannelle sont dermocaustiques, elles participent aussi aux sensations de brûlures lors de la mise en bouche.
J'ai donc fait mon mélange Origan, Cannelle, Huile de noisette à 5%-5%-90 % quitte à doubler le nombre de pschitt-pschitt au cours de la journée, c'est beaucoup moins désagréable ainsi.
Je vais quand même surveiller les muqueuses de très très près car je ne veux pas que les gencives se rétractent.)

Le muguet sur la langue est très fluctuant.
Les premiers jours du traitement des huiles essentielles, la surface de muguet avait colonisé les trois quarts de la langue, c'est le double de d'habitude en surface et en épaisseur.
Je n'en avais jamais eu autant.
Mais après ce pic, le muguet est très à la baisse, il n'a jamais été aussi bas.
La langue est devenue quasiment rose.
Mais il reste encore quelques franges tenaces dans le fond.
Je vais envisager de me débarrasser de ce muguet par les HE.
Le muguet est un défaut du contrôle immunitaire au niveau cutané (ou muqueux) mais ce n'est pas un défaut du contrôle systémique.
C'est-à-dire que les champignons n'ont pas forcément colonisé le sang.
Il n'y a pas de raison que le muguet disparaisse définitivement.
Il devrait normalement revenir après l'arrêt des HE, tant qu'il y a des ML.
Mais peut-être disparaîtra-t-il après la chelation définitive des métaux lourds.
Le système immunitaire est un peu erratique, soit il est trop fort dans les intestins, soit il est trop faible sur la langue.
Ça doit peut-être venir de la perturbation des ML et de la différence entre le système inné ou le système adaptatif.
Pour l'instant, je fais donc des rotations régulières entre les mélanges d'HE.
Le Candida Albicans est un champignon commensal, il n'est donc pas pathogène chez un immuno-compétant.
30% de la population en porte. Sans symptômes.
Le muguet est donc aussi un signe d'une légère faiblesse du système immunitaire inné.
Je suis passé chez l'aromatopathe, pour le muguet récalcitrant il m'a conseillé :
- de l'eau florale au clou de girofle, un pschitt toutes les 4 heures, en tirant la langue et en visant bien le fond de la gorge,
- de gargariser les huiles essentielles pour atteindre le fond de la gorge).

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Message par Sophocle Mar 27 Juil - 10:36



État d'avancement.
J'ai repris les protocoles de chélation usuels pour traiter les intestins, Dmsa, ALA, Tm ail des ours, chlorella, Charbon, psyllium. J'en fait des rotations hebdomadaires. L'objectif est d'éliminer un maximum de ML par les reins afin de délester les intestins. Mais j'ai l'impression que mon SNC est en train de se vider tout seul des ML car je suis moins électrosensible depuis un mois, je peux rester huit heures derrière mon écran d'ordi sans que les céphalées spécifiques ne se fassent sentir au moment où je suis derrière l'écran. Cela contribuerait à la constipation car il existerait un débit de fuite deML Cependant, en soirée, je ressens toujours le mal de tête qui accompagne une journée derrière l'écran. J'ai encore plein de ML dans le SNC, je le ressens même si les céphalées permanentes ont quasiment disparues. D'ailleurs, le SNA (système nerveux autonome) est encore perturbé ; les réflexes, l'équilibre, la maladresse ...  sont encore insidieusement de présents suite à leur retour depuis le relargage excessif des ML .

Cette petite mésaventure m'inspire que le jeûne sec est possible uniquement quand le système digestif est robuste. Tant que le système digestif n'est pas robuste, le jeûne sec est à éviter car il empêche les intestins de redémarrer. Le jeûne sec est donc envisageable uniquement quand se sont seuls les tissus ordinaires (hors intestins) ou le Snc qui sont intoxiqués. J'ai remarqué que si je prenais un ubiprofène le matin  et une polaramine le soir, je n'avais plus aucune sensibilité au niveau des intestins. Mon problème semble vraiment parvenir du système immunitaire qui est sur-activé et qui empêche la régénérescence de l'épithélium intestinal. J'ai refait un petit jeûne de quatre jours. Aujourd'hui, le système digestif marche à 80% pendant une semaine après un jeûne, puis il baisse à 50% au delà. Pour le faire redémarrer à 80%, il faut que je refasse un jeûne de 3-4 jours. Je n'ai pas encore bien trouvé le réglage qui permet de le maintenir à 80% en continu. En attendant, je continu les chélations et les anti-inflammatoires.



Édit 1, 2 Juillet.
Par ailleurs, j'ai suivi la formation gratuite de la fédération d'Aromathérapie (dispo sur internet, pdf + vidéos). Cette formation est géniale, la part gratuite est vraiment super, elle donne tous les principes de bases. Après, il faut quand même se procurer un livre pour aller dans le détail de chaque huile et de chaque application, mais les théoriques d'ensemble sont bien décortiquées. Cela est primordial pour démarrer. Je vais donc essayer de me concocter un mélange pour compenser l'ibuprofène.



Édit 2, 7 Juillet
Suite à deux jours de constipation, j'ai réussi à retrouver deux bonnes journées de selles sans faire de jeûne, ni de lavement, ni d'autre intervention. Là, ça avance bien. J'avais sauté l'ibuprofène du matin pour voir s'il était encore nécessaire, c'est peut-être cela qui a provoqué cette mini constipation. Il faut que je peaufine cette voie. Je vais essayer 2 formes d'application des H.E., en sub-lingual et en massage. Je vais prendre un mélange cicatrisant et anti-inflammatoire (Lavande, Laurier noble, Géranium rosat, Menthe poivrée, Romarin verbénone). C'est un mélange applicable pour Crohn. En sub-lingual, j'ajoute un peu d'huile végétale d'amande douce qui est cicatrisante et anti-inflammatoire. Pour le massage, j'ajoute de l'aloé-vera pour bien répartir les HE, je masse au niveau des intestins (hanches, ventre, dos). Je vais faire une application alternée d'un jour sur 2 afin de démarrer en douceur.
Dorénavant, je fais 2 heures de marche quotidienne (bien hydratée), une semaine sur deux. Je ne pensais pas que j'y parviendrai, mais je n'ai aucune difficulté particulière. Je souffre un peu de la chaleur, mais cela est normal. J'ai retrouvé un vrai plaisir de marcher. Quand je relis mes posts sur la lassitude que je trainais encore il y a quelques mois au cours de la marche, je peux vraiment voir mes progrès. J'oublie vite toute cette histoire, il faut que je relise mes vieux posts pour me rappeler la galère que c'était.



Édit 3, 13 Juillet
Je fais une fenêtre thérapeutique car je fatigue une peu. Je pense que tous les compléments que je prends fatiguent le foie. Je ne prends plus que les anti-inflammatoires (1matin 1soir). Je suis passé à un repas par jour depuis trois jours car si les jeûnes aident, ce rythme devait également aider. Cela n'a pas eu d'incidence ni sur le poids, ni sur les organes. J'ai certes une fringale en fin d'après-midi mais je ne mange pas plus que la quantité du dîner avant. Les sensibilités aux intestins sont bien diminuées, cela me rassure, mais je ne peux toujours pas ralentir le rythme des anti-inflammatoires.


Édit 4,15 juillet.
- J'ai l'impression que l'alcool diminue la constipation. Ça fait deux fois que je bois les 3/4 d'une bouteille la veille au soir et que j'aille à la selle le matin comme si je n'avais jamais été constipé. L'alcool semble faire réveiller les cellules endormies par les ML. Concomitance ne fait corrélation, mais il faut que je surveille ce sujet car j'ai bien diminué l'alcool depuis mes jeûnes. Cette diminution n'est pas directement concomitante avec la constipation mais, il a peut-être des effets à retardement. L'alcool est un sujet que je n'ai jamais évoqué, mais j'avais une bonne descente au cours des dernières années. L'alcool me faisait beaucoup de bien. Au plus fort de l'intoxication, l'alcool rétablissait une certaine sérénité intérieure. Cela me soulageait le temps de l'effet de l'alcool. J'aurais jamais tenu sans l'alcool. Aujourd'hui, je n'ai plus le plaisir d'en boire car je suis serein et que l'alcool ne m'apporte plus bien être qu'il me procurait à l'époque de l'intoxication.
- Complément au message sur les maux de dos : je me suis acheté un pommeau de douche avec la fonction massage. L'eau sort en saccades avec un jet fin et puissant. Ça fait un peu de bien. Pour les mouvements, je suis le schéma du brossage à sec. Cependant, j'insiste beaucoup autour de la colonne vertébrale sur toute la hauteur afin de diffuser les ML qui sortiraient par la colonne. Après la sortie de douche, le relaxation dure quelques heures. Et J'insiste surtout sur les vertèbres basses parce que c'est là ou il y a une grosse poche de liquide céphalo-rachidien. J'imagine que c'est par là que migrent les ions de ce liquide en contact avec le cerveau vers les intestins : les vibrations devaient aider à la diffusion et à la migration des toxines dans la zone.
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Sophocle

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